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Bientôt sur le blog : Rattrapage du retard !

lundi, décembre 27, 2010

L'Album du Mois de Novembre, Musical review n°32 : RDLS

J'ai faillit récidiver mon erreur de l'année dernière, c'est à dire de présenter l'album du mois de novembre en plein mois de janvier parce que j'avais oublié mais cette fois-ci j'y ai pensé et qui plus est je vous ai gâté, voici :

L'Album du Mois de Novembre 2010 :
Jamiroquai - Rock Dust Light Star


Une photo de live prise en speed fais office de jaquette un peu basique à mon goût

Groupe & Caractérisation-


Parmi tous les groupes déjà mentionné sur ce blog je croit que l'on a affaire ici à l'un des plus connus du grand public. Qui ne connais pas Jamiroquai, ou tout du moins un ou deux de ces chansons populaires. Mélange de funk et d'acid jazz, Jay kay (le frontman au large chapeau) c'est toujours fais grâce aux qualités mnémotechniques et dansantes de ses morceaux, puisant dans une bonne basse et dans une voix entrainante pour nous faire bouger. Connus pour ses déboires avec Sony, Jamiroquai avait disparus des écrans après Dynamite (qui date tout de même de 2005), en disant qu'il était enfin libre, et en dehors de quelques live moyen (aussi incroyable que cela puisse paraitre Jamiroquai n'est pas meilleur en live) on n'en n'avait plus de nouvelle jusqu'à ce que surprise le dernier album est enfin disponible chez Universal Entertainment. Alors que vaut ce nouvel album qui à, selon les dires du groupe, changé maintes fois d'orientation ? C'est ce que ne nous allons découvrir.
Genre : Funk, Acid-Jazz, Electro

Décorticage-

1-Rock Dust Light Star : Derrière ce nom aussi long que classe se cache le morceau titre du nouvel album, comme ça, dès la première chanson. Autant chanté un titre de ce genre peu paraitre difficile mais on ne peu pas dire que ca arrête notre ami. Un rythme un peu acid jazz, un bonne couche sonore et toujours la voix excellente de Jay, cette chanson est sans soucis une bonne addition et une bonne façon d'ouvrir un album. Même si il ne s'agit probablement pas du meilleur morceau de l'album on remarquera que les chansons titres chez le groupe ne sont pas souvent les plus mémorable (sauf peut-être Dynamite qui était très bonne.).

2-White Knuckle Ride : Le premier single n'a pas été choisis par hasard. Dès les premières mesures on se sent bien chez Jamiroquai avec son ambiance funky et sa voix qui vous reste dans la tête et qui vous donnes envie de vous levez et de vous mettre à dansez. Avec un excellent refrain et une ambiance boite de nuit qui est pour une fois réussie, je suis complètement fan.


Le clip malheureusement très moyen du premier single tiré de l'album

3-Smoke and Mirrors : On sent à plein nez les origines jazzy de notre Jay Kay. Une basse magnifique et une petite ambiance posée, aucun doute c'est vraiment du bon jamiroquai. On est étrangement ramené à l'ambiance des deux premiers album, surement un reste de la première orientation de l'album qui souhaitait revenir un peu au base du groupe. C'est un franc succès et une magnifique continuation à la claque musicale du morceaux précédent.

4-All Good In The Hood : Un morceaux qu'on pourrait croire directement sortit de A Funk Odyssey, tant il en reprend l'ambiance funky et les codes, ce qui n'est pas une mauvaise chose au vue de la qualité de cet album. Pas trop mal et sympa à écouter mais on en reparlera pour la version "acoustic" dans l'album deluxe.

5-Hurtin' : Un morceau étonnamment plus rock que les autres, encore une preuve des orientations différentes que l'album à explorer. Plutôt surprenant et finalement assez original, les petits craquages à la disto de la guitare sont du plus bel effet et en font une addition très satisfaisante à l'album.

6-Blue Skies : Le deuxième single tiré de l'album n'est pas du tout dans le même genre que le premier. Cette fois par contre c'est du déjà entendus chez Jamiroquai, une sorte de continué à Corner of the Earth, l'excellent morceau posé de Funk Odyssey. Typiquement une chanson tranquille qui fais rêver de grand espace de promenade tranquille dans la nature avec de la bonne musique. Pas aussi réussis que sa grande sœur susnommé mais tout de même très sympa.

7-Lifeline : Le futur troisième single démarre par contre plus lentement que le reste de l'album. Avec une ambiance moyenne au piano on est dubitatif jusqu'au refrain qui lui par contre est vraiment sympa, dans une tradition légèrement pop aussi surprenant que cela puisse paraitre. Finalement correct mais si j'ai craint le pire en lançant la chanson alors que plus elle avance sur ses 4 minutes quarante et plus elle se révèle bonne.

8-She's A Fast Persuader : La première perte de vitesse de l'album. Avec un ligne de guitare très bonne malheureusement au premier plan à la place de la voix et un refrain un peu trop électronique, on à un triste exemple de mélange de genre qui ne marche pas. Sans rancune.

9-Two Completely Different Things : Une chanson Jamiroquai tout à fais classique, la voix accrocheuse sur une base au petite percussions bien agréable, on tiendrait un bon morceaux pour finir l'album. Moins original que le reste de l'album jusqu'ici.

10-Goodbye To My Dancer : Ambiance jazzy, fin de soirée mais avec une construction musicale un peu différente, j'ai du mal à situer ce à quoi cela me fais penser mais je suis sur d'avoir déjà entendus un peu se type de musique. Peut-être le coté plus acid jazz de ces premiers albums.

11-Never Gonna Be Another : Je suis surpris mais à nouveau le même type de remarque que précédemment et numéro 3. Posé, légèrement sombre et très jazzy, c'est toujours agréable mais ce n'est pas vraiment ce qu'on attends de Jamiroquai. Bien qu'ils aient toujours été doué pour ce genre de jazz, c'est leurs coté funk qu'y leurs a toujours apporté la reconnaissance.

12-Hey Floyd : Après trois morceaux plus dark il fallait bien finir l'album en beauté. Un morceaux qui ne paie pas de mine à son lancement (et par la suite dans ces couplets) mais qui pousse un refrain très sympathique avec du potentiel pour une version live de grande qualité j'en suit sur. En tous cas pas mauvais, surtout pour une fin d'album.


Le clip du deuxième single est la suite directe du premier où Jay kay se prend pour Tom Cruise. plus adapté dans celui-ci tout de même

Mais est-ce vraiment la fin ? Votre serviteur, chanceux comme il est, va vous terminer la review avec les morceaux de l'édition Deluxe parce que Jamiroquai ça le vaut bien.

13-All Good In The Hood (Acoustic Version): En plus du fait qu'on ne reconnait pas l'orchestration du morceaux d'origine en dehors des paroles, il faut avouer que cette version "acoustique" explose tout. Une basse ronde et prenante avec une ambiance plus funky tu meurs c'est déjà pour moi une raison suffisante d'avoir la version Deluxe de l'album et on se demande même pourquoi avoir remplacé cette version dans le CD final parce que franchement il n'y a pas photo.

14-Angeline : Encore un trop bon morceaux dans la veine de celui que je viens de décrire. Une superbe basse, une ambiance excellente et des paroles classes, cette version deluxe n'a pas pour l'instant usurpé son nom. Même l'électro et la guitare se permettent des petits plaisirs qui sont du plus bel effets. Et même un moment de bravoure à la fin.

15-Hang It Over : Un titre assez classique avec une base qu'on peu gueuler en concert et un ligne musicale facile à danser c'est peut-être pas le meilleur morceaux de l'album mais il joui d'une ambiance un peu bar western si j'ose m'exprimer ainsi qui est aussi originale qu'amusante.

16-Rock Dust Light Star (Live At Paelo) : Une version live du morceaux titre de l'album. De très bonne qualité il faut quand même le dire.

17-White Knuckle Ride (Alan Braxe) : Un remix par un petit frenchie qui fais des remix de pas mal d'artiste sans avoir vraiment sa carrière solo. Pas atroce mais pas non plus supérieur à l'original, typiquement le genre de remix qui occupe la deuxième place du single de votre chanson préférée.

18-Blue Skies (Fred Falke Remix) : Un pote à Alan Braxe d'au dessus, aussi français et aussi remixer à la seule différence que son genre c'est la house. Et franchement se remix c'est de la house de merde avec un peu de voix de Blue Skies plaqué dessus. C'est abominable mais bon c'est français donc je suis pas si surpris.

Résultats-

16/20 pour la version normale et 17.5/20 pour la version Deluxe.

Après une longue absence Jamiroquai nous reviens en pleine forme et avec beaucoup d'idées différentes qui se matérialise dans un album plutôt original avec de nombreux genre traversés. Même si on n'est pas encore à des sommets comme A Funk Odyssey, on peu clairement dire que la moyenne est très sympathique, on regrettera simplement que la fin de l'album soit un peu terne, un peu comme une fin de soirée où la musique dansante du DJ se transforme doucement en musique d'ambiance pour calmer le jeu, un comble chez des funkys de cette classe.

Pour la version deluxe en dehors des remix à coucher dehors on peu dire que vous en avez pour votre argent avec trois titres originaux littéralement meilleurs que presque n'importe quels autres de l'album normal dont une qui transcende complètement son double. Ce n'est pas tous les jours que je vous conseilles une version plus cher et plus rare mais cette fois-ci vous en avez pour votre argent.

A Retenir-

-White Knuckle Ride
-Hurtin'
-Blue Skies

Pour la version deluxe :

-White Knuckle Ride
-All In The Hood (Acoustic Version)
-Angeline

Les + :

-Toujours la voix unique de Jay Kay

-Le mélange de style

-Bonne Basse

-Beaucoup de morceaux et peu de mauvais

Les - :

-Un ou deux mélange qui passe moyen

-Une fin de l'album normal un peu lente

-Les meilleurs morceaux dans la version Deluxe

-Les deux remix bidon

Si vous avez aimés : Bienvenus au club mais je doit avouer que je suis pas un expert dans ce genre de musique j'en cherche moi même. Éventuellement vous aimerez peut-être Particle, The New Deal ou bien encore Galactic.

Eclipse : Ott

Aujourd'hui on va parler de plus connus que d'habitude, enfin pour ceux qui gravitent autour de Posford, voici :

Eclipse present : Ott


Dans la ligné de quelques post mentionnant Hallucinogen, Entheogenic et autre Bluetech j'en viens aujourd'hui à vous parlez d'Ott, l'un des grand mais discret acteur de cette sphère (la photo est la seule que j'ai pu trouvé sur le site de Twisted qui ne cite même pas son vrai nom).

Tout d'abord il convient de savoir qu'a la base, tout comme Posford (avec lequel il est ami depuis longtemps s'y l'on en croit le site de Twisted), il est producteur sonore. Ce qui fais qu'il n'a pas à son actif une immense discographie mais qu'en échange il est crédité sur tout les album de Shpongle, à de nombreux excellent remix chez Entheogenic ou Hallucinogen entre autres et qu'il est producteur du dernier Hoopy Frood déjà mentionné comme étant très bon. Alors tout de suite ca calme non ?

Mais si je viens vous parlez de lui c'est avant tout pour ses deux albums qui ont su prouvé à tous qu'il n'était pas seulement un très bon ingénieur mais aussi un compositeur digne de rivaliser avec Simon Posford, ce qui se fait plutôt rare de nos jours.


Le pseudo clip d'un des chansons de son premier album, trouvé sur Twisted Records

Si vous avez écouté la musique du clip au dessus ou que vous connaissiez déjà Ott, inutile de lire ce paragraphes mais pour ceux qui se demandent à quel genre de musique on pourrait rapprocher Ott je vous répondrais Psydub. La dub c'est un genre déjà plus connus dont je vous invite à aller cherchez vous même la description sur Wiki puisque je ne suit pas un expert en la matière mais par contre, le coté Psy est sans nul doute présent, dans un style souvent réminiscent d'Entheogenic ou bien de Shulman.

Comme d'habitude si vous voulez en écoutez plus sachez que plusieurs chanson dont l'excellente Splitting An Atom sont disponible plus ou moins illégalement sur Youtube et la discographie complète se trouve sur grooveshark.


Merci d'avoir prêter attention à cette nouvelle édition d'eclipse mais pour ceux qui connaissent déjà et à la prochaine.


Hey ! Un nouvel album est disponible depuis le 15 mars 2011 et est reviewé sur le blog !

samedi, décembre 25, 2010

Bon et euh, joyeux noël au passage

"C'était la nuit avant noël et dans la maison pas une créature ne bougeait... à l'exception des quattre cons qui entraient à l'arrière, deux par deux en formation serré."

mardi, décembre 14, 2010

Game Review n°31 : PS3

Depuis que j'ai troqué ma Wii contre une vrai console, enfin, une console avec des jeux corrects, j'ai décidé de vous faire rapidement pars de ce que j'ai pu testé pour l'instant (en plus de FF13 bien sûr), voici :

Le Choix Du Patron
Tekken 6


La série Tekken s'enrichit d'un nouvel épisode dans l'excellente continuité du cinquième épisode. Avec un nombre de personnages impressionnants et toujours des mécaniques aussi complexe on aurait tort de bouder ce nouveau volet de la série de jeux de combat. Étant depuis toujours un grand fan de la saga, je ne pourrais donc pas m'étendre sur le jeu tout en restant objectif. Note : 19/20 dans son genre il est presque au sommet, seul l'absence de Dr.Bosko reste pour un moi une légère déception (et le mode solo est toujours nul aussi mais bon, c'est pas une nouveauté).

Metal Gear Solid 4

Le dernier MGS est à la fois la conclusion d'une légendaire saga mais aussi un épisode qui, tout comme son héros, à vieillit prématurément. Autant la narration est toujours autant maitrisé par Kojima avec son lot de rebondissement, de personnages charismatiques, de scène mémorables et sans compter le filtre nostalgique qui recouvre presque tout le jeu, il faut reconnaitre que les développeurs savent où se trouve leurs public. Mais malheureusement le gameplay simple et efficace de l'action/infiltration tombe un peu a plat, la faute à un manque de possibilité et de la trop nombreuse présence de "couloir d'infiltration" où contourner les ennemis devient presque impossible. De la même manière le nombre faramineux d'arme est à mettre en confrontation avec le coté infiltration ne requérant qu'un pistolet silencieux et éventuellement un snipeur. Note : 17/20, On peu dire que la corde nostalgie est joué merveilleusement mais on en viens à regretter les salles carré de MGS premier du nom.

Le Choix Du Patron
Heavy Rain

Les petits français de quantic dream ont réussis un tour de force, combiné leurs système de dialogues et fin multiple avec un gameplay à base de QTE efficace et terriblement prenant. Avec son scénario intéressant et mature avec de nombreux déroulement différent, ces personnages réalistes avec lesquels ont empathises facilement et une ambiance sombre digne de Se7en et autre film policier de qualité, tout le monde devrait y trouver son compte. Note : 19/20, Un peu court mais surtout parce qu'il est indécrochable. Une expérience originale de jeux vidéo comme on en à le droit tous les dix ans, un "must play".

Bayonetta

Platinum games c'est peu des génies. Après le très bon et remarqué MadWorld sur Wii, ils nous reviennent avec un beat 'em all à la Devil May Cry qui s'avère être largement digne de son modèle. Une action survoltée, une difficulté punitive, un gameplay nerveux, c'est dire si vous en aurez pour votre argent. Malgré un portage un peu limite sur PS3, il faut reconnaitre qu'il s'agit d'un des meilleurs du genre que j'ai joué et franchement ils s'en son donné à coeurs joie, surotut dans l'ambiance, comment décrire ?, Sexy - Kitsch. Note : 18/20, Au vu de ce que va devenir DmC, il y a fort à parier que Bayonetta sera le dernier vrai Beat 'Em All avant longtemps alors vous auriez tort de le bouder.



Voilà pour le tour d'horizon de ce que j'ai joué sur la console de Sony pour l'instant, on peu dire que je ne me suit pas trompé quand à la qualité moyenne des jeux. On se revoit bientôt pour une prochaine review, @+.

Movie Review n°41 : Quattre journées au cinéma

Je vais être franc avec vous, les américains se foutent de nous. Alors que chez eux on trouve déjà les meilleurs film du moment en bluray, nous devons lutter pour enfin avoir au cinéma les grands succès de fin d'année. Qu'a celà ne tiennent quand le cinéma est près de chez soi et que les amis sont motivés, on va voir n'importe quoi. N'importe quoi ? voyons un peu ce qu'il y a(vais) de récent au cinéma, voici :

Le Bruit des Glaçons

Le dernier née d'un réalisateur français un peu cramé, cette comédie dramatique avec Dujardin et Dupontel brille surtout par son concept de base ("bonjour je suis la personnification de votre cancer") et par sa réalisation pour le moins étrange. Note : 15/20 Si vous ne regardez qu'un seul film français cette année, penchez pour celui-ci mais attention, réservez le à un public ouvert parce que l'ambiance est souvent bizarre.

Moi, moche et méchant

De l'animation payé par Universal et réalisé par des français ? Voilà qui est surprenant. Mais ausis incroyable que celà puisse paraitre, le film pioche intelligemment dans des références de grande qualité (Pixer, Looney Toons) et marie très bien humour sympathique avec de la vraie émotion. Evidemment très prévisible pour les adultes, il n'en reste pas moins un concurent très sérieux aux productions Dreamworks (Megamind et autres). Note : 16/20, c'est pas encore Pixar mais on commence à doucement à se rapprocher.

Mord-moi sans hésitation

Je l'avoue, pas vu au cinéma mais en version originale sous-tiré français. Alors que vous dire de cette nouvelle série de parodie réaliser par les mêmes idiots qui nous ont apporté les comédies les plus pourries de ces derniers année (Disaster Movie, Spartatouille...). Eh bien...c'est toujours très nul mais par contre, si vous avez du subir contre votre gré Twilight (1 & 2 surtout) il se pourrait que vous y trouviez un intérêt rien que pour vous déchargez de toute la mauvaise humeur accumulé. Note : 8/20, c'est nul mais si vous êtes l'une des victimes du phénomène, il se pourrait que vous rigoliez un samedi soir pour exorciser les mauvais souvenirs.

Very Bad Cops
Petite info avant de commencer, le tire original est "The Other Guys" (plus littéralement on aurais pu traduire par "Les deux autres" ou "Ces deux là") alors que le film à, dans son titre français, voulu surfer sur la popularité encore présente de Very Bad Trip. En dehors de ca, je dois dire aussi que je ne connais pas particulièrement Will Ferrel mais d'après ce que j'en ai un peu vu et lu, ce n'est de très loin pas mon genre d'humour. Alors ce very bad cops ? Très hardcore, pour une fois qu'une comédie nous impressionnent et nous surprends c'est génial. Soyez avertis il s'agit d'un humour très très stupide à base de situation sortie de nulle part et de personnages con comme leurs pied mais étonnamment, surtout grâce à Wahlberg et M.Keaton, ca fonctionne et on se marre du début à la fin. Note : 16/20, peut être très drôle mais seulement si on apprécie soit l'humour vraiment très débile et sans queue ni tête ou soit le cabotinages général de Will Ferrel, sinon oubliez.

Le Choix du Patron
Red

Bruce Willis est un vieux de la vielle de la CIA et avec ses potes il par en rampage contre Eomer. Voilà pour le scénario et croyez moi, vous ne voulez pas en savoir plus car avec son lot de rebondissement, de personnages hilarants et avec pour une fois un vrai scénario, ce Red est un réussite à tous les niveaux. Note : 18/20, vraiment pas grand chose à redire sur ce film, avec beaucoup d'action, un casting de fou et un scénario incroyablement prenant, une des grandes réussites de cette année.

Harry Potter et les Reliques de la Mort - Première partie

Je sais après la review méchante du sixième épisode, vous vous attendiez à une grande review qui fais mal n'est ce pas ? En fait je n'ai pas eu besoin parce qu'aussi incroyable que cela puisse paraitre, le film n'est pas mauvais. Bon comme toujours pour les concernés, il vaut mieux oublier qu'on à lut le livre mais cette fois on ne se fais plus insulter comme dans le dernier épisode. Situation bien retranscrites, meilleurs jeu d'acteurs et ambiance sombre, le nouvel épisode remonte enfin la pente. Note : 14/20.

Machete

Et le meilleur pour la fin, Machete. Adapté d'un fausse bande annonce de Planet Terror, l'histoire complètement barré d'un mexicain qu'il ne fallait pas faire chier. Si vous avez aimés les deux Grinhouse et Expendables, vous allez adorez le délicieusement stupide et bourrin Machete. Note : 17/20, Bien filmé, personnages mémorable, super bande-son et ambiance série Z, vous en aurez pour votre argent.


Voilà, on a enfin fais le tour !
Malgré qu'il faille attendre encore pour Black Swan et Tron Legacy, on se retrouvera encore pour Scott Pilgrim et qui sait ? Peut-être encore autre chose de bon ?
D'ici là, @+

La Chanson du Mardi Soir : Black Seam

Pour la deuxième fois, Sting reviens dans les chansons du mardi soir avec une version orchestrale d'un de ses vieux succès, voici :

Sting - We Work The Black Seam
(Symphonicities version)



Si vous suivez mon blog avec attention, vous devriez déjà avoir vu cette pochette (vraiment basique d'ailleurs) dans une cuisine du patron du mois d'aout. Pour ceux qui n'aurais pas suivis, Sting nous est revenus cette année après plusieurs LP moyen dans un excellent album orchestral dans lequel il reprend quelques uns de ses plus grand titres. Avec des morceaux classiques du catalogue de Police et de Sting, de Roxanne à Englishman in New York, on peu dire que l'album ravira les amateurs de bonnes musiques d'autant plus que les arrangements sont pour la plupart de très bonne qualité avec même certains qui s'élèvent largement au dessus de l'original.
We Work The Black Seam est de ceux-là.

Tiré de l'album The Dream Of The Blue Turtles, le premier album solo de Sting, il faut avouer que We Work n'est pas la chanson la plus marquante. Avec des paroles très engagés et une base musicale sympathique, je pense que c'est surtout par préférence personnelle que Sting l'a inclus dans son album. Et il à eu raison. Avec un arrangement majestueux et la voix toujours aussi langoureuse du chanteur c'est dans cette récente reprise que la chanson revit bien au delà de ses prétentions premières.

Comme d'habitude, je vous incites à allez l'écoutez légalement sur grooveshark, vous ne serez pas déçu, sinon tant pis, il ne vous restera plus qu'à attendre la semaine prochaine pour une nouvelle chanson, plus électro cette fois.

Bonne semaine à tous,

+

mardi, décembre 07, 2010

Eclipse : Red Sparowes

Presque un ans qu'il n'y avait plus eu d'éclipse, je me devais de corriger celà. Aujourd'hui le premier représentant d'un genre qui à, à lui seul, remplit une bonne moitié de ma playlist "eclipse", voici :

Eclipse present : Red Sparowes


Aujourd'hui je vous parles de Red Sparowes, un groupe de post-rock/rock instrumental qui à été un des premier de genre à arriver dans ma playlist. Alors la bonne question est, c'est quoi du post-rock ?
Voilà qui est dur à définir. Selon moi, il s'agit d'un courant musical récent qui doit son nom à une composition en général similaire à un groupe de rock (batteur, guitariste, bassiste) mais qui utilise la panoplie de sons disponible dans un tout autre registre. Morceaux long et complexe, en général instrumental, longue période de calme avant un crescendo majestueux et parfois une descente qui flirte souvent avec du "noise" (pas dans le sens grindcore mais dans le sens violent et "sale"). Si ce courant existe dans de nombreux pays, les USA sont un bon filon de groupe cutting-edge qui joue leurs musique sur des labels undergrounds. C'est un peu le cas de ses Red Sparowes.

Formé en 2003 (encore un groupe récent) de membres de groupe de métal expérimental varié, Red Sparowes s'est distingué dans ma playlist pour leurs morceaux relié les uns au autres (la fin d'une chanson est l'intro de la suivante) et pour leurs style à la fois sombre et complexe. Pour ce qui est de leurs discographie, elle compte trois albums (dont un de cette année), un excellent live et plusieurs petits EP plus ou moins intéressants (dans un en collaboration avec "Grails" sûrement un prochain eclipse). Pour s'en faire une idée, eh bien c'est compliqué parce que voyez-vous, les groupes de post-rock sont pas du genre à faire beaucoup de clips et tout le bazar, alors je peut que vous renvoyez vers Grooveshark mais en ce moment et pour une raison inconnus, il bugge chez moi donc je ne peut pas vous dire ce que vous y trouverez. En revanche vous trouverez le dernier album sur deezer mais uniquement le dernier.


Ce qui est plus ou moins considéré comme clip sur le site de leurs label

Au passage vous noterez qu'ils sont également connus pour la longueur de leurs titres, un exemple au hasard tiré de leurs deuxième album :

We Stood Transfixed In Blank Devotion As Our Leader Spoke To Us, Looking Down On Our Mute Faces With A Great, Ragin, And unseeing Eye
.

Et ce n'est même pas la plus longue...

Personnellement je suis un grand fan de leurs albums, avec une légère préférence pour leurs deuxième qui est celui avec la plus grande homogénéité. Si vous le pouvez, écoutez aussi leurs live, il mélange admirablement bien les meilleurs morceaux des deux premier album avec un son étonnamment bon pour un live, surtout avec un petit budget.

Voilà, j'espère que vous avez écoutez et appréciez cette petite plongé dans le monde du post-rock et rassurez-vous, j'essayerais de ne pas vous faire attendre 8 mois pour la prochaine édition d'éclipse.
D'ici là, @+

La Chanson du Mardi Soir : Dans la même rue

Ce soir, une chanson française, plutôt rare dans mes sélections. Vous allez voir que ce n'est pas par hasard que l'artiste fais sa première apparition sur mon blog :

La Ruda - Dans la même rue


La Ruda c'est quoi ? Un groupe de rock/ska français qui c'est rendus célèbre (dans ma playlist tout du moins) pour leurs morceaux rythmé au paroles aussi originales que mémétiquse. Avec de très bon albums et une carrière tout a fais enviable, La Ruda Salska est devenus plus récemment La Ruda tout court, permettant ainsi de changer légèrement leurs son pour du rock plus classique. Bien que n'ayant pas écouté l'un des trois albums depuis lors, je dois dire que dans leurs album "La Trajectoire de l'Homme Canon", la qualité avait baissé même si on restait encore dans le haut du panier. Par contre dans dernier album "Grand Soir", je dois avouer que j'ai hésité quelle chanson proposé pour cette soirée entre Fantomas 2008 qui s'inscrit bien dans leurs style, entre Eddie Voit Rouge, excellent hommage à une de nos légende, j'ai finalement opté pour Dans la même rue.

Un rythme prenant, empreins d'une nostalgie inattendus chez eux et de paroles plus ou moins engagé, c'est une vrai bouffé d'air frais pour le groupe. Pas joyeuse pour un sous mais plus subtil que Tryo dans le domaine, cette chanson à le mérite de combiner une très bonne musique à des paroles pas désagréable et franchement je croit qu'on ne peut pas en dire autant d'une majorité de groupe français. Alors j'écoute peut-être peu de chanson française mais de la bonne musique c'est toujours un plaisirs.

Bonne soirée en musique comme chaque semaine,

+

jeudi, décembre 02, 2010

Game Review n°30 : CoD : BO

Vous l'avez attendus et craints... vous ne saviez pas quoi pensez du nouveau détenteur de record de vente pour un loisirs...la simple mention de Treyarch vous faisait froid dans le dos...Enfin et en exclusivité (aha la bonne blague) sur votre internet favoris, vous allez enfin découvrir 100% subjectifs et trash la vérité sur..."roulement de tambour", voici :

Call Of Duty : Black Ops


Fiche Technique-

First Person Shooter sortis le 9 novembre 2010 éditée par Activision et développé par Treyarch (Call Of WaW). Voix et texte en français, surement-18 ans et disponible sur toute les consoles du moment. Le test portera une fois de plus sur la version PC.

Décorticage-


N'y allons pas par quatre chemin, Call Of Duty à sus s'imposer en 7 ans comme la franchise la plus lucrative de FPS (et presque du jeux vidéo tout entier) et détiens les deux première place du podium pour le meilleur lancement pour produits de divertissement (donc à la poubelle Harry Potter et j'en passe). Tout de suite, ca calme. Alors forcément la sortie du dernier épisode est toujours un évènement important surtout qu'en plus l'enjeu est surement le plus grand de toute la série. Pourquoi ? Petit rappel pour ceux qui dormes : Call Of Duty à commencé comme FPS sur la seconde guerre mondiale avec un grand nombre script renforçant l'action et à rencontré un vif succès.
Les suites sont devenus telle que Infinity Wars (les créateurs originels) ont signer un pacte avec le diable (à savoir Activision dans cette histoire) pour leurs sortir un jeux tous les 2 ans alors que l'année de friche serait développé par Treyarch, jugé par beaucoup comme débutant (et je reste polis). Tout allait bien chez Infinty parce quand eux sortait les excellent Modern Warfare 1 puis 2, leurs rivaux sortait un World At War moyen clairement en dessous de ce qu'on pouvais espérer de Call OF (voir la review n°14). Mais alors que le nouveaux Black Ops n'était pas sortis, Infinity Ward c'est dissolus et c'est fais la malle chez EA laissant Treyarch seuls maitre d'une des plus grosses licences du moment. C'est dire la pression qu'il avait sur leurs épaules.
Voyons comment ils s'en sont tirés.

Très bien.


Le trailer de lancement fais un bon résumé de ce qui vous attends en solo

Plus sérieusement, la première constation et l'idée qui nous restera dans tous le test c'est que Treyarch (abrégé dorénavant TA) à bien fais ces devoirs et à sus tirer une substantifique moelle de la vision de leurs homologues. Déjà, et merci grand dieu, finis WWII et bienvenus le Vietnam ! Alors si ce n'est peut-être pas le période préférée des joueurs elle à au moins le mérite de nous évitez un énième jeux sur les nazis parce ca commençais vraiment à nous sortir par les trous de nez. Ici on contrôle donc un certains Mason, membre des forces spéciales américaines qui se retrouve torturé et interrogé sur son passé d'agent qui va donc nous être conté en flashback. Pour ceux qui s'inquiète, l'écran titre vous révèles se faux spoiler donc aucun risque.
Par contre, pour une fois, spoiler il y a, ce qui me permet de noter un point très important de cet épisode : le scénario existe, et même mieux que ça, il est plutôt prenant. Amener comme la grande nouveauté par les critiques on peu sans peine imaginer TA regarder les deux Modern Warfare et se dire, "qu'est ce qu'on peu améliorer facilement ??" Le scénario bidon bien sûr. Finis donc les missions sans queue ni tête, on à le droit ici à des personnages charismatiques et des retournements de situation bienvenus qui ajoutent un certains magnétisme de la campagne solo pour ceux qui avait encore des doutes. Rajoutez à cela quelques figures historiques, des références à de bons vieux films classiques (vu qu'on est au Vietnam, Apocalypse Now et Platoon sont des choix judicieux) et un gros tas de script qui font que, lorsque que vous atteindrez sans peine la fin de la (courte) aventure solo, vous en redemanderez. Alors que faire ensuite, le multi ?

Pour le multijoueur, en grande majorité, rien n'a changé. Toujours un système très approximatif d'expérience et d'atout à débloquer qui déséquilibre parfaitement le jeu, surtout dans les bonus obtenus en série de victimes (appelez un hélicoptère de combat ou bien un radar qui indiques la position des ennemis...). Les modes de jeu sont plutôt classique et même le mode hardcore sans HUD (affichage tête haute) et ou les dégâts sont augmenté reste corrompus par les mauvais bonus et atout qui favorisent grandement le temps passé sur le jeu. Heureusement les vrais joueurs peuvent toujours se rabattre sur un mode "pur" où tout les atouts accessoires et bonus sont désactivés. Et croyez-moi ca fais du bien. On retombe presque sur du multijoueur correct avec des maps plutôt bien design (enfin 1 sur 2 on va dire) et avec suffisamment d'arme pour s'amuser. Par contre le nombre de type de match, notamment dans ce mode, est revus à la baisse et je doute qu'on s'y amusera pendant des mois, mais bon, c'est déjà ca de gagné.

Bizarrement dans ce Call Of, les missions dans la neige sont toutes largement au dessus du reste de jeu...

Donc cela est bien jolis mais alors pourquoi est ce que je boude depuis tout à l'heure en sous entendant que j'aime pas ce jeux alors que je fais que l'encenser ou presque ? C'est tout simplement parce y'en a marre et attention c'est pas des FPS que je parle. Mais simplement qu'après 7 ans d'une licence comme Call Of qui à relancer admirablement le genre, qu'est ce qui à changer depuis le numéro 2 (premier à introduire la vie qui remonte lorsqu'on est à couvert) ? A part quelques gadgets par ci par là et la montée de niveau amorcé dans Modern Warfare et complété à son paroxysme dans sa suite, qu'avons nous de nouveaux dans cet épisode ? Rien.
Tout simplement aucune nouveauté digne d'intérêt en dehors d'un environnement différent et d'un meilleur scénario. Et excuser du peu mais un jeu c'est avant tout un gameplay et quand je vois l'IA et les mouvement limités qu'on se trimballe encore, y'en à marre. Alors comme d'habitude, jouez-y, mais empruntez-le surtout parce que on commence vraiment à ce foutre de votre pomme et vus les nouveaux record de vente, on dirait que ca ne va pas s'arrêter.

Résultats-

-Graphisme : Le moteur de Modern Warfare tient encore la route sur les explosions et les visages mais beaucoup de textures commence vraiment à ce faire moche quand on les regardes avec un peu trop d'insistance. Néanmoins la variété des environnements et le level design sympathique sont toujours de rigueur.

-Gameplay : Pourquoi changer une équipe qui gagne ? Est ici le plus gros point noir du jeu. Aucune nouveauté, toujours de vielle mécanique usée jusqu'à la corde qui franchement ne sont de loin plus au standards actuels surtout dans les catastrophiques IA. C'est triste à dire mais au bout d'un moment on aimerais bien un peu de sang neuf. Concernant les situations en général, la campagne est très prenante mais on est ici plus équilibré que Modern Warfare 2. Dans l'ensemble, il y a moins de missions bof mais par contre les meilleures missions ne valent pas celle des anciens (clairement pas si on prend en exemple de MW1 l'infiltration de Tchernobyl).
Au moins les scripts sont mieux gérés que dans World at War et le nombre de moment ou l'on se gratte la tête d'incompréhension à largement diminué. Le multi est fidèle à lui même dans le mauvais sens du terme, si ce n'est qu'on à quand même le droit à une version sans fioriture que se révèle sympathique.

-Son : En dehors de quelques morceaux de bon vieux rock très sympa, le reste est du classique Call Of, ca bouge comme dans un film américain et la musique suit. Toujours cool mais pas non plus transcendant à force. Par contre dans l'ensemble les bruitages et les voix françaises ne sont pas mauvais mais la synchronisation labiale fais tâche pour un jeu de cette envergure.

-Scénario / Durée de Vie / Difficulté : Enfin un vrai scénario et ca fais plaisirs. Même si on à encore beaucoup de retard à rattraper, l'ensemble est très au dessus des anciens de la licence dans ce domaine. La durée de vie est comme d'hab dans Call Of, non pas que se soit une bonne chose, mais bon, on si fais avec si on aime le multi et/ou les zombis. La difficulté est plutôt honnête bien qu'encore une fois il faille savoir choisir avec intelligence son mode pour éviter de se faire soit : Hacher menus par des situations coupes gorges de nulle part / passer en mode Medal of Honor au coup de crosse comme arme principale. Une nouvelle fois, visez le mode commando.

-Ambiance : C'est sanglant, bourrin et plus adulte mais est-ce vraiment ce que Call of Duty avait besoin ? Je n'en suit pas convaincu. Si certaines missions dans cette ambiance marche très bien d'autre par contre ne serait pas nécessaire. Autrement trop de fausse scène cinématique dirigiste qui franchement casse le rythme, un comble pour le nerveux CoD.

Note-

15/20

C'est amusant car à nouveau Treyarch se mange une moins bonne note que Infinity Wars et à peine un points meilleurs que World At War alors que pourtant le jeu est clairement au dessus des deux sus nommés. Je vais vous rassurez ce n'est pas un boycott du studio qui, à mon avis, à très bien fais ses devoirs et à sus nous sortir enfin un Call Of fidèle à sa réputation. En fait ce qui me chiffonne le plus avec cette suite c'est qu'on se rend rapidement compte que rien n'a changer depuis le numéro 2 de la série. Pas de changement majeur de gameplay (en dehors d'un ou deux gadgets), pas de changement majeur dans la trame scripté, juste un Call Of de service. Et dans un période comme la notre où les FPS ont énormément la cote et où ils ont tendance à se ressembler de plus en plus, je me vois obliger de sanctionné le trop grand classicisme de ce Black Ops qui, malgré son statut de très bon jeu, n'a simplement rien de novateur.

Les + :

-Un gameplay solide

-Une bonne bande-son

-Un vrai scénar et une ambiance originale

-Les missions dans la neige (ne me demandez pas pourquoi...)

-Certains personnages vraiment charismatiques (Reznov FTW !)

-Un mode multi basique et jouable

Les - :

-Encore et encore le même gameplay que d'habitude

-Obligé de revenir chronologiquement en arrière pour pouvoir jouer convenablement en multi

-La synchronisation labiale qui fais tache

-Durée de vie Call Offesque

-Trop classique

Si vous avez aimés : Borderlands est sorti en version game of the year que je ne saurais trop vous conseillez, sinon le temps que le multi deviennent lourd, les gros FPS de l'année prochaine seront sortis et peut-être même reviewé.

L'Album du Mois d' Octobre, Musical Review n°31 : BS&WW

Avec, ca commence à devenir une habitude, beaucoup de retard je vous présente enfin le dernier d'une discographie bien connus sur ce blog, voici :

L'Album du Mois d'Octobre 2010 :
Joe Satriani - Black Swans & Wormhole Wizards

Une pochette minimaliste qui déçoit par rapport aux visuels qu'on aurait pu imaginer du titre de l'album

Groupe & Caractérisation-

Déjà reviewé dans ces colonnes il y a un an et demi, Satriani nous revient cette fois ci avec un album sérieux (j'entend par là : pas sortis un 1er avril) et avec une volonté clairement affiché de faire revenir le clavier dans ses morceaux. Après un dernier album légèrement en baisse et une paire de live corrects mais classique voyons ce que ce nouvel effort solo du légendaire guitaristes à dans le ventre.
Sortis le 5 octobre 2010 chez Epic.
Genre : Guitar Hero, Instrumental Rock

Décorticage-

1-Premonition : Une intro plutôt classe, et un morceaux qui à une bonne prestance, voila une bonne façon de commencer un album. Pa rappport à son dernier album, Satch nous revient plus direct, plus minimaliste mais aussi plus fidèle à lui même. Une bonne accroche, un son sympa et un bon solo, une très bonne entrée en matière.

2-Dream Song : Attention subjectif, j'adore absolument le type de sonorité sur laquelle la chanson est basée, une sorte d'équivalent du scratch sur platine mais à la guitare, jouissif. C'est aussi ici qu'on commence à entendre l'apport important du clavier dans cette nouvelle mouture et ce n'est de loin pas déplaisant. Une bonne ligne de base, une construction plutôt originale pour du Satch et un solo de qualité. Jusqu'à présent on ne peu pas dire qu'on commence mal.

3-Pyrrhic Victoria : Un titre posé et rythmé dans la pure veine de Super Colossal qui nous prouves encore une fois que Satch est à l'aise dans le middle tempo. Si techniquement il ne s'agit sûrement pas de sa plus grande prouesse , la chanson restara dans les mémoires longtemps. Un morceau de grande classe mais si personnellement je trouve son refrain un peu moyen mais qui est rattrapé par un très bon solo.

4-Light Years Away : On dirait que ce début d'album est placé sous le signe de satchfunkilus. Encore une très bonne pioche, un titre rythmé et avec un excellente ligne de basse qui fais à nouveau pensé à du Super Colossal. On appréciera le discret mais sympathique clavier, surtout dans les refrain. Peut-êtr eun peu longue par rapport au autre.

5-Solitude : Une minute de petite note de guitare. Franchement quitte à faire une transition en décalage, il nous avait habitué à mieux.

6-Littleworth Lane : Satriani joue du blues. Mais vraiment. Aucun doute possible, on à ici affaire à du bon vieux blues de service, celui qui balance et qui pose. Le seul problème à mon avis : Satch nous as déjà prouvés maintes fois qu'il savait faire du blues de qualité (Son album titre avec SMF et New blues dans The Extremist) mais je trouve que se titre est à la fois trop classique et finalement pas si bon que ca par rapport à ce qu'il pourrais faire. Sans rancune vieux mais je préfère mon blues plus sombre et plus travaillé.

7-The Golden Room : Après les titres Super Colossal, voici Strange Beautiful Music, le retour. Une ambiance légèrement ethnique, une guitare lourde et bien électronique. A nouveau un mélange pas inconnus de l'artiste mais qui malheureusement ne marche pas à tous les coup. Eh bien cette fois-ci ce la fonctionnne parfaitement, tout comme une certaine Andalusia dans l'album précédent. Ici la bonne idée est de maintenir cette ambiance unique tout au long de la chanson et de ne pas céder à revenir sur du plus classique comme c'était souvent le cas des les albums précédents qui ont tenté cette approche.

8-Two Sides To Every Story : Vieux rock,un peu jazzy, c'est ici que l'idée de faire revenir le clavier est bonne. Une ambiance sympathique et un bon jeu de guitare donne le ton dès le début et ne faiblit pas. Probablement pas son meilleur mais une addition satisfaisante à sa collection.

9-Wormhole Wizards : La chanson titre casse des briques, je vous le dit tout de suite. Ce n'est pas non plus une surprise chez Satriani (Super Colossal, Is There Love In Space...) mais ici c'est la crème de l'album. Une ambiance sombre et classe qui fais rend étonnamment bien avec le titre accrocheur de l'album, un jeu de guitare très maitrisé, sans bourrinage inutile mais avec un excellent son et comme toujours une batterie efficace pour rythmé le tout. Avec en plus un excellent solo et un refrain mémorable, vous en aurez pour votre argent. Et même un solo de clavier joué par Mike Keanally (un pote à Steve Vai, qui joue sur tout l'album).

10-Wind In the Trees : Le seul morceaux lent de l'album est dans le pur style searching : Une base très simpliste et un immense solo dessus. Avec 7 min 42, c'est la plus longue chanson du CD et malheureusement, pas la meilleure. Non pas que le problème viennent du morceaux en général, dans lequel Satriani nous montres une fois encore qu'il possède tout le talent pour animer une démo technique, mais plutôt que dans les morceaux lent on à déjà atteint des sommets avec le couple Searching/Bamboo et que par rapport à ces deux merveilles, le titre n'est pas encore à la hauteur. Néanmoins meilleur que les essais du dernier album.

11-God Is Crying : Histoire de finir avec classe, le dernier titre n'en manque pas. VOus savez ce son si particulier que j'ai encensé dans Dream Song ? Est bien il est de retour mais avec un clap bien cool et dans un emballage absolument excellent. Ici, on sent que Satrani se fais plaisirs avec un morceaux tout à sa gloire, juste puissant et prenant. On sent à nouveau l'influence de Super Colossal mais remis au gout et avec un son juste trop bien. Oh, et un super solo parce que c'est quand même un Guitar hero avant tout.

Résultats-

17/20

Alors que son rival de toujours, Steve Vai, se touche un peu en ce moment avec des live et autres expérience, Satriani lui continue son petit bonhomme de chemin et après un album original mais semi bon, ils nous revient en pleine forme dans un album très réminiscent de Super Colossal mais remis au gout du jour, à savoir avec plus de clavier et le retour de quelques genre déjà testé mais légèrement oublié, du jazz au blues en passant par un coté un peu plus électro. Malgré quelques morceaux qui tombe un peu à l'eau (on ne gagne pas à tous les coups) et certains bon morceaux qui font encore un peu pâle figure devant ses plus grand succès, nul doute que Joe est sur une bonne pente.

A Retenir :

-Une des trois premières chansons au choix
-The Golden Room
-Wormhole Wizards
-God Is Crying

Les + :

-Bien classe

-Un début d'album juste légendaire

-Une sonorité excellente sur plusieurs morceaux

-Toujours du talent à revendre

-Quelques bonne idée au clavier

Les - :

-Quelques expériences qui un peu moyenne

-Pas encore aussi classe d'autre de ces succès

-Clavier encore un petit peu discret

-Pas de voix et/ou de morceaux délirant

Si vous avez aimés : Il fais d'excellent live à Paris, autrement je dirais bien Steve Vai mais en ce moment il est pas super productif...

La Chanson du Mardi Soir : Vive les JDR !

Aujourd'hui un chanson humanitaire, pour la bonne cause donc, voici :

Naheulband - Sauvons les rôlistes


Encore une fois je dois la chanson du mardi soir à pen of chaos, le génie derrière Le Donjon de Naheulbeuk, qui, je pense, n'a plus besoin d'être présenté sur ces pages.

Comme le veut la coutume, c'est un morceau 200% geek ici et si vous n'avez aucune idée de quoi les gens parles quand vous les entendez direz que "Mon PJ était en fufu pour passer un crit mais le MJ à décidé de faire une charac imba et donc le malus + son buff m'a interrupt" vous pouvez d'ors et déjà passez à la news suivante, ya rien à voir.

Pour les autres, héhé, voici un petit bijoux de chanson français ou je neu peu, volonté du grand architecte, malheureusement que vous renvoyez vers le lien de cet excellent titre mais croyez moi, c'est du lourd : Lien.

Merci de votre coopération.

mardi, novembre 09, 2010

Movie Review n°40 : Un Chouette Film

Maintenant que la blague obligé est passé, je vous proposes aujourd'hui une petite review de cinéma avec le dernier d'un réalisateur déjà acclamé brièvement dans ces colonnes, voici :

Le Royaume de Ga'Hoole, la légende des gardiens

L'affiche est plus lumineuse que le film en lui même et on remarque que pour un dessin animé mettre "par le studio de Happy Feet" est plus vendeur que "par le réalisateur de 300 et Watchmen"...

Fiche Technique-

Film d'animation réalisé par Zack Snyder (Watchmen, 300 et bientôt Sucker Punch) adapté de la série de livre de fantasy "Les Guardiens de Ga'hoole". Avec les voix (en VO) de Jim Sturgess (Across the Universe), Hugo Weaving (Agent Smith, Elrond) et Geoffrey Rush (Capt Barbossa). Sortit le 27 octobre 2010, dure 1h40 apparemment tout public et en 3D.

Synopsis-

Dans un monde de fantasy classique, le jeune Soren, héritier de la famille de chouette Tyto (les chouettes effraies en langue scientifique), se fais kidnapper avec son frère par une dangeureuse organisation de "sang-pur". Arrivera il à s'enfuir pour retrouver et prévénir les Guardiens légendaires du royaume de Ga'hoole ?

Décorticage-

Zack Snyder, c'est mon idole. Ne cherchez pas plus loin, ce mec à compris. Sûrement biberonné au comics bien badass en grandissant, il a su en extraire la substantifique moelle pour des films certes classiques mais foutrement classe. Après un excellent 300 et un absolument parfait Watchmen, Syner fais une petite pause avant Sucker Punch (qui s'annonce déjà hardcore) pour nous réaliser un films d'animation adapté d'une série de fantasy pour enfant...
Pardon ?!

Pour ceux qui ne connaitrais pas, et je pense qu'il doit d'agir de la majorité, inutile de paniquer, apparemment le film ne suit que brièvement l"histoire des livres et s'émancipent dans le traitement. Il en conserve tout de même l'originalité principale, dans ce monde pas d'humain, d'elfes et de nains mais bien des chouettes et des hiboux... Je défie quiconque de ne pas être dubitatif devant le constat numéro 1, c'est le seigneur des anneaux avec des chouettes. Pardon ?!

Oui, avec des chouettes...

Mais finalement pourquoi pas ? Personnellement j'ai toujours beaucoup aimé les oiseaux et on ne peux pas nier que les chouettes ont vraiment une beauté animale. C'est sur cette idée que le film s'appuie et pour être sûr de ne pas louper le coche, Snyder s'allie avec la team d'animation derrière Happy feet que je connais surtout pour s'être occupé de 300. Tout de suite on comprend que les retrouvailles entre le réalisateur le plus slow-mo et son équipe d'animation fasse des éteincelles et effectivement le film est beau. Mais il s'agit d'un très gros euphémisme puisqu'en plus de la technologie 3D très bien utilisé ici (un des rares fois d'ailleurs), l'animation en général en véritablement superbe. Le film le plus magnifique de cette année et sûrement depuis longtemps, la passion de Snyder pour les ralentis se mariant particulièrement bien avec de l'animation en vrai 3D, un exemple pour les animations à venir.

Mais c'est bien jolie tout ca mais sans scénario, ca ne servirais pas à grand chose. Sachez qu'on est vraiment pas passé loin du bord du précipice parce que franchement le scénario est vus et revus. Empruntant allégrement au ténor de la fantasy et avec seulement quelques concept plutôt peu exploité et surtout peu expliqué (sûrement un des seuls travers du à l'adaptation) l'intérêt des spectateurs est maintenus grâce à deux bonnes idées. Numéro 1, voir des chouettes balancer des dialogues classiques de fantasy et se battre a coup de bec, à un coté original qui relance sympathiquement l'histoire. Et la deuxième raison c'est que, pour garder les amateurs d'animations plus âgées, le films se permet d'être étonnamment violent et sombre. On peux en rire mais voire des hiboux se battrent à coup de serres en acier (en 3D en plus c'est réellement impressionnant) au dessus d'une forêt en flammes ce n'est pas si amusant surtout pour les plus jeunes. Et heureusement que les blessures soient poliment hors champ car je n'imagine pas les gamins voir leurs chouette se faire transpercer en plein cœur c'est moyennement réjouissant. Un excellent moyen de rendre le film agréable pour les plus vielles générations que celles (sûrement) visée.

Alors au final que lui reprocher ? Déjà, comme dit plus haut, certains concept du livre son transférés sans grande explication ce qui nuis à la compréhensions générale. Deuxième moment d'égarement, la traduction qui, tout en possédant d'excellente voix, traduit certains phrases qui ne cessent de faire tilter chaque fois qu'on les entends du type : "Fis-toi à ton gésier !". Difficile de ne pas sourire quand on voix la chouette balancer ca dans un contexte star warsesque. Sinon les personnages sont légèrement inégaux, certains ne servent vraiment pas à grand chose alors que d'autre sont bien utilisés.

Cette image ne rend pas la qualité du visuel du film, même au dixième degré

Résultats-

-Animation : Si la mention "par l'animation de Happy Feet" ne fera pas bouger certains, l'accroche "par le réalisateur et le studio d'effet spéciaux de 300" est tout de suite plus rassurante. Et même, je crois que vous ne serez pas préparez à la qualité des visuels qui franchement sont bluffant, même comparé à Avatar. D'ailleurs un bravo pour l'utilisation très honnête de la 3D qui rajoute beaucoup à l'ensemble notamment dans les combats aériens. (Je sais que l'ai déjà dit mais voir une serre en acier sortir de l'écran pour tenter de nous attrapez est, en plus d'être réaliste par rapport au contexte, très jouissif)

-Son : La bande-son est tout à fais correcte, surtout si on le considère dans la catégories film d'animation qui n'ont pas souvent le droit au même traitement. Même si le compositeur n'est pas super connus, les musiques épiques de grande qualités s'enchainent et même la petite chanson "film pour enfant" est largement supportable (et courte en plus). Pour les voix, c'est plus mitigé car malgré un excellent cast en français la traduction des termes dans des phrases sérieuses ne passe pas inaperçus ("Mon dieu, il à été débouluné !" pardon ?! vous n'avez pas trouvez mieux pour "moon-blinked" ?)

-Scénario : Si le scénario est classique le traitement auquel il à le droit est bien meilleur que celui de la fantasy habituelles. Avec des personnages charismatiques, une histoire qui se prend au sérieux et qui n'hésitent pas à travailler sur le coté violent des batailles, Narnia ou Arthur et les Minimoche pourrait en prendre de la graine.

-Personnages : J'espère que arriverez vite à comprendre qui est qui dans le royaume des chouettes car une bataille de Strigidé c'est facilement déconcertant. Néanmoins le film fais tout pour ne pas perdre le spectateur ce qui à l'avantage de rendre certains personnages attachants mais dans simplifier à outrance d'autre. Voir aussi des hiboux prêcher l'idéologie de la race supérieur est suffisamment original pour être noter.

-Ambiance : Chouette, gésier, fantasy, épique et vol aérien de toute beauté, je pense qu'on peux clairement dire qu'il s'agit d'un mélange unique. On appréciera beaucoup qu'ils aient bien travailler leurs recherche pour rendre distinct de nombreuses espèces ainsi que la physique du vol et des plumes.

Note-

16/20, alors que pour beaucoup l'animation se cantonne au dessins animés pour enfant, quelques irréductible fans se battent pour une reconnaissance du film d'animation avec des perles comme ce Royaume de Ga'Hoole. Etant l'un des plus beaux films que j'ai jamais vu, avec des personnages attachant, une version française correcte et une ambiance qui à le mérite de nous surprendre constamment, que lui reprocher ? En fait son plus gros défaut est qu'il se prend au sérieux que clairement beaucoup de gens vont avoir du mal à prendre au sérieux des chouettes forgerons qui se battent pour sauver leurs fils déboulunés. Mais si vous arrivez à oubliez votre regard d'adulte et que vous appréciez le film pour ce qu'il vaut, il se pourrait bien que nous soyons un de plus à défendre les droits des bons films d'animation. Oh ! et vaut mieux aimer les chouettes de bases.

Les + :

-Visuel Magnifique, mais vraiment

-Ambiance unique

-3D très bien mise en valeur

-Bonne bande-son épique

-Coté sombre et réaliste très appréciable

Les - :

-Peut être un tout petit peu sombre pour les plus jeunes

-Certaines traduction un peu trop littérale

-Certains héros un peu trop classique pour être intéressant

Si vous avez aimés : je pense immédiatement à Numéro 9, sinon le reste de Zack Snyder parce que... c'est un génie, voilà. Et pourquoi pas la version en dessin animé (Ralph Bakshi) du Seigneur des anneaux aussi ?

La race supérieure des Tyto régnera sur le monde des chouettes !

dimanche, novembre 07, 2010

Artist Review, Anime Review n°18 : Kon Satoshi

Aujourd'hui une artist review originale car en plus d'être une "anime review" c'est aussi mon premier hommage à un génie si il n'en n'existe un. Voici,

Kon Satoshi

Artiste-

Satoshi Kon c'est un peu le Kubrick de l'animation. Né le 12 octobre 1963 et mort le 24 Aout 2010 (sniff...), Satoshi est un réalisateur de film d'animation dont la qualité est de très loin supérieur à une large majorité des animes existants aujourd'hui, en fait même des films existants aujourd'hui. Si je ne vais pas détailler ca carrière c'est pour deux raison :

La première, je pense qu'un hommage ne passe pas par raconter comment il est passer d'une œuvre à l'autre mais bien de reprendre ses travaux l'un après l'autre et de constaté l'évolution.

Deuxième raison, c'est simplement que depuis qu'il s'est lancé dans les films je n'ai plus rien à dire. Pas de baisse de régime, pas de vieux film honteux, pas un seul écart, une carrière hors norme. Je tiens aussi à préciser que sa mort à 46 ans d'un cancer pancréatique m'a touché plus durement que celle Michael Jackson (c'était un petit chanteur de quartier de toute façon).

Concernant son style je pense qu'on peux clairement posé que ses thèmes favoris sont le mélange réalité fiction avec très souvent une plongée dans les méandres de l'esprit.

Kon Satoshi - Perfect Blue


L'avantage avec Satoshi c'est que j'apprécie tant son travail que j'en ai déjà reviewé une bonne partie. C'est de la cas de perfect blue, apparaissant dans l'anime review megamix 2 dans laquelle j'écrivais : "moins craquage (donc moins bon) que ceux qui suivent mais tout de même excellent surtout pour les gens qui se sont un peu intéressé au phénomène." Je dois avouer que je n'ai pas grand chose à rajouter à cette review si ce n'est qu'à mon avis il vaut mieux le regarder après un ou deux autres de ses films histoires d'être déjà dans l'ambiance. Je lui avait mis 18/20 mais je vais devoir niveler un peu cette note maintenant que je juge la qualité de sa filmographie en entier. Je lui donne donc un 17/20, ce qui reste une excellente performance.

Kon Satoshi - Millenium Actress


L'un de ses films que j'ai regardez pour la première dans le cadre de cet hommage. Drame sortit en 2001 par l'excellent studio Madhouse (qui animera tous ses films d'ailleurs). L'histoire tourne autour d'un journaliste qui réalise l'interview de son actrice fétiche, une icône d'une époque dont elle se souvient avec vigueur. Entre l'interviewer et l'interviewée se crée un lien très fort et bientôt les souvenirs des films se mêle étrangement à la réalité.

Animation : Madhouse n'est pas un studio à prendre à la légère (Monster, Trigun et Black Lagoon font partie de leurs catalogue...) et clairement l'animation est au niveaux. Magnifique et mêlant parfaitement bien le changement permanent d'action, on apprécie beaucoup les personnages et leurs expressions qui font très bien ressortir leurs émotions.

Son : La musique sait ce faire épique dans les scènes d'action mais sait aussi disparaitre quand les mots sont plus importants. Un très bon travail a été fais sans aucun doute.

Scénario : Si Perfect Blue faisait tout de même penser à un produit à visé japonais, Millinium Actress ne cache pas son ambition de s'attaquer à de vrai film et réussis là où beaucoup ont échoué. Avec un scénario prenant et magnifique, tout les ingrédients sont réunis pour que le monde porte un regard différent sur l'animation japonaise. Dans la ligné de Myazaki dans ces meilleurs moment, ce qui veut dire beaucoup.

Personnages : Le plus impressionnant c'est que malgré l'ambiance mi comique, mi dramatique les personnages sonnent tous juste. La confrontation entre l'ancienne actrice de légende et son plus grand fan est délectable tout au long du film et plus d'une fois on réprime des larmes.

Ambiance : C'est drôle, c'est original, c'est très bien mis en scène mais avant tout c'est beau, vraiment beau...

Note : 19/20, Si perfect blue est un excellent thriller psychologique à la sauce japonaise, ce drame transcende sans problème toute vos espérance avec un travail sur l'histoire et sur les personnages sans commune mesure avec la plupart des films du même thème. En plus l'humour très présent nous maintient dans l'histoire qui est magistralement mis en scène.

Kon Satoshi - Tokyo Godfathers

Comédie (?) sortit en 2003 et toujours animé par Madhouse. Trois sans abris découvre la veille de noël un bébé abandonné. Le trans du groupe pris d'instinct maternel, décide de battre toute la ville pour retrouver les parents du petit et leurs faire comprendre leurs erreurs. Mais la vie est rude pour les SDF, surtout en hiver et avec un bébé sur les bras...

Animation : Comme souvent avec Madhouse, les gens ont un aspect légèrement cartoon qui les rends amusant dès le premier regard mais qui renforce aussi la violence lors de certaines scène. Et voir de sympathique sans abris se défendre face à tous les assaut possible c'en est presque dérangent par moment. Je pense qu'on peux considérer ça comme un gage de qualité.

Son : Très peu de musique au final dans celui-ci mais beaucoup d'ambiance urbaine qui renforce admirablement la crédibilité de l'ensemble. Le bébé est chiant, comme on pouvais s'y attendre.

Scénario : Une histoire de noël vus du point de vue de sans abris avec plusieurs scénario entrelacés et un étonnant suspense tout au long du film. Très sympa et vraiment divertissant même si on déplore un peu l'absence de "Mind Screw" caractéristique de Satoshi.

Personnages : Plus complexe qu'il n'y parait mais aussi très attachant de sorte qu'on se prend vite d'affection pour ces étonnants personnages. Même si ce n'est pas la première fois qu'on voit le stéréotype de trans dans un anime (les japonais des fois...) c'est toujours plaisant de les voir crapahuté dans toute la ville.

Ambiance : La magie de noël est bien présente, surtout dans l'enchainement un peu trop parfait des coincidences. Mais c'est aussi ca qui fais la force du film, à chaque fois que rythme retombe un moment, il repart de plus belle quelques minutes après.

Note : 16/20, il s'agit surement du moins bon film de Satoshi et également du plus éloigné de son style habituel. Fort heureusement la carrière du bonhomme étant tellement sidérale que son moins bon film est encore très sympathique et à le mérite de faire bien rire tous en conservant un suspense finalement très prenant. Peut-être une des meilleurs histoires de noël de tous les temps (avec bien sur le noël des petits animaux de la forêt de South Park).

Satoshi Kon - Paranoia Agent


Déjà reviewé dans une vieille Anime Review n°4, je tiens à mettre à jour mes impressions. Satoshi à de l'idée mais clairement un peu trop pour un film alors que fait-il ? Il fais une série d'anime de 13 épisodes en reprenant un peu de business thriller (comme dans Perfect Blue), un peu de social (comme dans Tokyo Godfathers) et énormément de Mind Screw. A l'arrivé on obtient une série qui alterne entre des scènes qui font clairement halluciné et des scènes qui font trembler. Très sérieusement, si à l'époque il avait pris une note qui ne reflétais pas vraiment sa qualité c'est aussi et surtout parce qu'il est dérangeant. Bien qu'aujourd'hui je ne lui mettrait pas le 16/20 que je lui avait mis il y a tout de même 2 ans, je rappel qu'il y a une raison pour ne pas commencer par Paranoia Agent, c'est du lourd : 18/20.

Le Choix Du Patron
Kon Satoshi - Paprika


Une des meilleures taglines que j'ai jamais lues et encore une fois j'ai déjà reviewé en partie se chef d'œuvre dans l'autre anime review megamix. Maintenant que rajouté sur cette légende ? Quand Satoshi à fais Paranoia Agent on sens ses idées novatrices dilués dans 13 épisodes et c'est terriblement efficace, alors que ce passe t'il lorsqu'on place ses idées concentrés dans un seul film ? La réponse la voici. Je pense que la seule raison de ne pas lui avoir mis 20 est de n'avoir rien d'autre à comparer mais même avec ma maigre culture, je peut affirmer que ce film est clairement présent dans ma liste de film favoris de tous les temps. Des personnages attachants et complexes, un scénario et un script à des années lumières de tous ce qui à jamais été fais dans ce sens et une ambiance de folie porté par une animation de très grande qualité, je me réjouis qu'une telle merveille soit arriver jusqu'à moi. Note : 20/20

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Comme je l'ai dit dans l'introduction, Satoshi Kon c'est un peu le Kubrick de l'animation. La différence c'est que chez Kubrick sur 13 films il y en a que la moitié que j'aime vraiment alors qu'ici je les trouves tous excellents avec tous de même une petite préférence par ci par là mineure. Cette review était clairement subjective, je l'avoue sans détours mais dites-vous que c'est rare que je prennent autant partis pour un personnages. Maintenant il ne reste plus que "The Dream Machine" qui sortira l'année prochaine et permettra, je l'espère, de sceller à jamais sa réputation de génie. Dans tous les cas, bonne nuit mon doux prince.

Il ressemble à un grand maitre d'art martiaux vous trouvez pas ?

samedi, novembre 06, 2010

Musical Review n°30 : Linkin Park

Vous ne rêvez pas ! Après 1 mois et 3 ans voici pour la review numéro 30, la suite de ma toute première review evar ! Voici,

Linkin Park - A Thousand Suns

Une pochette abstraite parce que, ca le fais !

Groupe & Caractérisation-

Linkin Park c'est un peu le viol de ma jeunesse à chaque nouvel album. Alors qu'il s'était fendus d'un dépars excellent et d'une suite plutôt correcte, ma première review avait clairement montré qu'il tombait dans un commercial insupportable. Près de 3 ans après, il revienne avec ce qu'ils appèlent un concept album sur la guerre nucléaire !? Je dois avouer que se suis perplexe mais Shinoda (plus ou moins le leader) affirme que l'album est plus "cutting-edge". Alors que vaut-il vraiment ? C'est aujourd'hui, après 3 ans que je vous proposes de continuer l'idée qui avait été lancé avec cette review, je cite : "Bon pour boucher les trous je vais me faire mes propres review d'un peu de tout ce qui me tombe sous la main".
L'album est disponible depuis le 8 septembre chez Warner.
Genre : New-métal (on espère), Hip-Hop (peut-être), Alternative Rock (le mauvais coté)

Décorticage-

1-The Requiem : On démarre plutôt correctement, un coté électro affiché et un essais d'ambiance qui est malheureusement plombé par le sample "auto-tune". Néanmoins, l'intro combiné au fait que je fais un hommage à ma première review, me tiens étrangement en haleine.

2-The Radiance : Un entre chanson qui blablate sur exactement la même rythmique que l'intro et qui continue la montée, toujours prenant mais pourquoi en faire 2 chansons séparées ?

3-Burning In The Skies : On ne sent pas la transition avec les deux premiers morceaux et j'aime. Par contre quand les premières mesures de la chanson arrive ce n'est plus le cas. D'accord on avait parfois des morceaux un peu alternatif (et encore) mais pas en début d'album après une monté de 3 minutes. Ça ne ce fais pas. La chanson en elle même, pas grand chose à dire dessus, c'est musicalement gai (sans aucune arrière pensé raciste, je le rappèle) et ca se répète très vite. De nouveaux il nous vient à l'esprit que le chanteur c'est toujours mieux débrouiller pour claquer du métal que chanter en mode émo (et voilà, je vais encore me faire des amis...). Un solo tout à fais nul et l'impression que la chanson tourne en boucle voilà pour la reste.

4-Empty Spaces : Transition de 20 secondes qui ressemble au début de One de Metallica mais sans que se soit d'un quelconque intérêt.

5-When They Come For Me : Le début donne l'impression que le lecteur CD est en train de bugger. J'aime bien le coté un peu Indus, mais les sonorités sont vraiment pas bonne, dommage parce que sa commençait plutôt bien. Le chanteur fais son hip-hop, déjà entendus déjà critiquer, nul besoin de revenir dessus. La chanson conserve tout de même une certaines ambiance bien meilleure que mes récents souvenir de Linkin Park. Les paroles ont l'air engagés, mais cela ne les rends pas plus intéressante (certains vont pas aimer mais pour des paroles engagés, je préfères lire un livre. Quand j'écoute un album je veux de la musique pas un débat politique...). Au final pas si nul, mais 5 minutes quand même, j'en aurais bien coupé un peu.

6-Robot Boy : Intro au piano, c'est déjà mauvais signe. Vieux clap, ambiance sonore bidon, on est vite retombé dans du mauvais "alternatif" qui franchement ne vaut pas grand chose aussi bien musicalement que lyriquement. On sent tout de même que le groupe dispose d'un certain budget et d'une production pas mauvaise mais on est clairement pas sur le bon genre. Un solo électro plutôt marrant tout de même mais c'est peu de chose pour empêcher le naufrage.

7-Jornada Del Muerto : Parce que l'espagnol ca fais classe (demandez à Bleach). Encore une transition mais qui cette fois ressemble énormément à la fin de l'autre chanson, alors pourquoi les séparer ?!


Le clip craignos de Waiting for the End, deuxième single

8-Waiting For The End : Plus sombre, plus électro aussi, on dirait que le groupe tiens déjà un peu plus de contenus. Malheureusement un point domine, c'est que ce qui faisait marcher Linkin c'était le mélange Electro/Hip-hop/Métal. Et sans le coté métal, c'est pas que c'est atroce mais ca perd tout son intérêt. En plus le chanteur qui chante je suis un emo, aimez-moi c'est vraiment dommage. Je suis sur qu'avec un peu de travail et un bon bourrinage, on pourrait faire quelques chose de cette chanson mais là c'est peine perdus. A noter que cette chanson bien emo, pardon commerciale est aussi le deuxième single tiré de l'album.

9-Blackout : On dirait que l'électro à la cote, et justement c'est le style de Linkin de ce placer dans ce qui marche. L'ambiance musicale est vraiment pourris, comme les paroles mais le chanteur gueule, et vous savez quoi ? Je suis maintenant convaincu que leurs début était clairement leurs coup de maitre. Il assure pour une ambiance new-métal, c'est sans appel. Par contre le reste de la chanson se veut Indus mais sans aucune ambition. C'est pas parce qu'on gueule avec des effets sonores électroniques et qu'on rajoute un peu de bruit qu'on est instantanément catapulté dans ce qui marche désolé.

10-Wretches and Kings : Eh ca c'est plutôt pas mal ! C'est lourd, bien métallique et ca rappe sur une bonne ambiance, c'est peut-être une amélioration. Franchement je suis épaté de la qualité relative de ce morceaux qui se hisse presque au niveau de certaines chansons des anciens albums. Bien sûr se serait mieux avec un enrobage métal mais c'est étonnamment écoutable. C'est dommage qu'ils ont dus ce dire qu'il fallait prendre ca comme point maximum plutôt que comme idée de base, ca aurait pu donner du Linkin Park inattendus.

11-Wisdom, Justice, And Love : I Have a Dream ! The dream that one day, Linkin Park will return to making good nu-metal and not fake electro emo rock !

12-Iridescent : Intolérable, typiquement le genre de daube qui m'énervais àa tour de bras dans le dernier album et au début de celui-ci. A jeter, à jeter avec vigueur et sans arrière pensée, je veux du vrais sons, bon sang ! C'est nul, juste complètement, irrévocablement, entièrement et totalement NUL.

13-Fallout : War, war never changes... Transition électro super bidon, check.

14-The Catalyst : La chansons poster de l'album, le premier single à avoir été présenté. Je pense que tout à déjà été dit dessus, c'est clairement un poids mort de l'album. On chante en émo parce que ca se vend, on met de l'electro style clubbing de merde parce que sa se vend et on fais durer 5 minutes 40 parce que ils vont se dire c'est long parce qu'ils on beaucoup à dire, c'est très profond. Et on à raison, c'est tellement profond par rapport à leurs premier travaux que je ne prendrais pas la peine de mesurer la hauteur de la chute.


Le clip de The Catalyst (non pas le désastreux avec Medal of Honor)

15-The Messenger : Je fais style se suis capable de faire une chanson tout seul avec juste un peu d'accompagnement à la gratte et au piano. Pathétique.

Résultats-

6/20

Attention, il est pas pire que l'autre album reviewé mais c'est simplement que je prend en compte les 3 ans de production ainsi que ma relative patience pour leurs nouvel album (en plus je note plus sévère maintenant ^^). Si l'album comporte sans doute quelques idées intéressantes comme les transitions bien intégrés et un petit coté électro, le tout est encore et toujours plombé par les même problèmes. Trop niais, trop gais, trop commercial, appelé ça comme vous voulez mais toujours est-il qu'a une époque Linkin Park ils étaient un peu le fer de lance d'un style qu'on entendait vraiment pas souvent alors que maintenant...Je préfère qu'on les entendes pas souvent.

Les + :

-Quelques transitions bien intégrés

-Un petit coté indus amusant

-On sent qu'il y a toujours du talent et du budget derrière

Les - :

-A peu près la totalité de l'album.

Si vous avez aimés : Difficile, j'aimerais bien vous conseillez de laisser un petit commentaire choc histoire que je comprennent ce que le gens peuvent aimer la dedans. Merci.