En ce moment sur le blog : Movie Review Avengers ; Review DragonForce ; Game Review SSX
Bientôt sur le blog : Rattrapage du retard !

dimanche, août 23, 2009

Movie Review n°24 : Inglourious Basterds

Seulement 5 jours après son arrivé dans les salle voici en exclusivité la review du dernier Quentin Tarantino dont tout le monde parle :

Le Choix du Patron

Inglourius Basterds

Fiche Technique-

Film d'action (?) réalisé par Quentin Tarantino (Artist Review n°1), sortie le 19 aout 2009 avec Brad Pitt (vous le connaissez), Mélanie Laurent, Christoph Waltz et Eli Roth (Boulevard de la Mort). Dure 2h33 et est certainement le meilleur film de cette année.

Synopsis-

La seconde guerre mondiale revue et corrigé par Quentin Tarantino.

Décorticage-

Casting : Tarantino n'a pas son pareil pour trouver d'excellent acteur peu connus et nous sortir des personnages mémorables avec. Cette fois-ci le plus mémorable reste Christoph Waltz en commandant nazis des plus original (bien que tous les allemands soient joués par des véritables têtes de nazis). Sinon Brad Pitt s'en donne à cœur joie dans son cowboys de la seconde guerre mondiale.

Scénario : Il ne faut pas plus de 5 secondes pour comprendre que l'on se trouve ne présence d'un Tarantino tant la mise en scène fais appel à ses expériences passés. Le découpage en chapitre ainsi que les différents personnages qui évoluent dans leur histoire mais au sein d'un grande Histoire en est le symbole évident. Le scénario diverge sur plusieurs genre : action, dialogues constructifs, développement des personnages, suspense et explosion dantesque. On retrouvera avec plaisirs certaine mise en valeur "à la Grindhouse" ainsi qu'un scénario décalé par rapport au film sur la WWII habituel. Tarantino lui-même à dit : "Mes personnages ne savent pas qu'ils sont dans l'Histoire, ils sont donc confronté à leur choix sans barrière, et ainsi l'Histoire aurait pu se passer comme cela si ils avaient existé." En gros il se permet tout et n'importe quoi. Et on aime.

Bande-son : placé comme un hommage, la bande-son est composé en grande majorité de musique d'autre film (surtout d'Ennio Morricionne, dont Tarantino est très fan) qui est replacé (ou non) dans un contexte totalement différent. Le résultat est excellent, profondément décalé et rappellera des souvenirs à ceux qui partagent les même références que QT (ce qui n'est pas mon cas). Le doublage est très bon mais une VO s'impose car dans la version originale, chacun parle sa langue (a la manière du jour le plus long) et ainsi on à 1/3 d'anglais, 1/3 de français et le reste en allemand, un vrai plaisirs. Malgré une petite dimension qui tombe à l'eau en français (l'accent des Basterds en l'occurrence) le reste est jouable en français.

Aspect Visuel : Si vous aimé QT vous adorerez ce film. Des prises de vues continues au zoom très prononcé sur certains détail, on retrouve ce cachet si particulier du réalisateur. La mise en scène est excellente pour peu qu'on soit dans le bon état d'esprit et on vient comme toujours à rigolé dans les moments violents et à se délecté des dialogues constructifs. Le sens du détail lors des pseudo reconstitution est intéressant, bien que la réalité historique soit malmené pour notre plus grand plaisirs.

Résultats-

20/20 Quentin Tarantino frappe une nouvelle fois très fort avec une fable adulte et décalé sur la seconde guerre mondiale et reprenant toutes les excellentes trouvailles de ses films. Avec des personnages en béton armé, une bande-son étonnante, des dialogues aux petits oignions et scénario immense, tout est réunis pour une nouvelle légende du cinéma, si tant est que vous appréciez le travail et le style de Tarantino. Comme il le dit lui-même à travers la dernière phrase du film (par la bouche de Brad Pitt) : "Celui-ci pourrait bien être mon chef-d'œuvre".

Les + :

-Scénario et ambiance décalé

-Personnages mémorables

-Bande-son bien reprise et pleine d'hommage

-Mise en scène et réalisation digne de QT

-On en à pour son argent

-A cheval sur de nombreux genres.

Les - :

-Aucun

Si vous avez aimés : bravo pour vous, commencez par regardez tous les Tarantino que vous ne connaissez pas. Si vous aimé les films de guerre, pas compliqué non plus : voyez Le jour de le plus long, il faut sauver le soldat ryan, Valkyrie et j'en passe.

samedi, août 08, 2009

Movie Review n°23 : Teenage Movie.

- Mon dieu pardonnez-moi car j'ai pêché !

- Qu'à tu donc fait pour venir ainsi chercher pardon devant un dieu auquel tu ne croit pas ?

- J'ai voulu comprendre la culture moderne des adolescents, j'ai voulu pouvoir dire "je l'ai fait" et en tirer les conclusions nécessaires !

- Et bien, c'est une bonne chose, de quoi devrais-je te pardonner ?

- J'ai regardé le dernier Harry Potter...

- Allons tous le monde fais des erreurs surtout les fans du livre, tu est pardonné. 

-J'ai aussi regardez Twilight... de ma propre volonté !

-Voila qui est plus grave, si encore c'était avec une fille je comprendrais mais là... je te pardonne, mais ne recommence pas...

-Mais le pire mon seigneur, j'ai regardé High School Musical...

-Quoi !! Et tu ose encore cherchez pardon après tout le mal que tu t'es fais ! Tu à participé à ce massacre de la culture !

-Je suis désolé mais c'était pour le bien commun, pour les prévenir...

-Hum je vois... ta punition la voici, décrire avec discernement et objectivité ces 3 horreurs sur ton blog et ainsi faire savoir au monde quelles tourments tu as subits.

-Oui mon seigneur, il sera fait tel votre volonté.

-Mais attention tu devras aussi regardez et faire de même pour les prochains films jusqu'à ce que les série soit terminées !

-Nooooonnnnn pitié, sauvez mon âme !!

-Bon d'accord tu peux oublier les autres High School Musical, je pense qu'il ne faut pas non plus prendre trop de risque inconsidéré.

-Oh merci, mon seigneur, merci et soyez loué !

-Dieu à parlé, maintenant va.

-Amen.

Movie Review n°23 : Harry Potter 6 et la grande imposture (ou le Prince de Sang-Mêlé)

Fiche Technique-

Adaptation de Harry Potter 6 (et le Prince de Sang-mêlé) sortit le 15 juillet 2009 avec les mêmes acteurs que d'habitudes et le réalisateur du 5. Dure 2h30 (fallait bien ca).

Synopsis-

Alors que Harry arrive en 6ème année à Bout-de-lard, Voldemort est de retour un climat de tension règne dans le monde des sorciers. Histoire de coeur, complot contre Dumbledore et analyse du passé de Voldemort sont au centre de ce volet.

Décorticage-

Bien le bonjour vous qui allez payés, je vous présentes Harry Potter $, la grande imposture. Si vous avez lu livre et que vous espérez une adaptation fidèle, vous pouvez payer puis sortir. Si vous n'avez pas lu le livre mais que vous aimé le vrai cinéma et l'univers allé à droite passé par la caisse puis sortez à l'arrière merci. Quand à tous ceux qui s'en foute je vous invites à payer puis à vous dirigez vers la porte derrières vous. Sachez d'abord que je ne vais pas faire les comparatifs désastreux avec le livre (d'autres le ferons mieux que moi) mais plutôt m'intéressez au film en lui même et à sa réalisation.

Tout d'abord un coup de maitre pour Warner de (re)choisir un réalisateur totalement inconnus et qui n'a à son actif que de la série anglaise basique pour une des plus importantes adaptations de cette époque, merci. Si le directeur est nul, on peu au moins lui accordé une chose (et tout le monde vous le dira), les effets spéciaux sont puissants et bien réalisé, utilisé pour dynamiser ces 2h30 de film retranscrivant les passages impressionnants du livre (qui sont aux nombres de 1). Mais le meilleur reste le sens de l'adaptation du design, un des seuls points positifs du réalisateur (comparé au dramatique 3 et 4), les lieux et objets conserves leurs descriptions magiques et captivants du livre. Malheureusement il à lui-aussi commis l'erreur de se fier au rédacteur du scénario (toujours le même en plus salaud) qui n'a pas du lire le livre, ou tout du moins ne pas se focaliser sur la même histoire que moi (celle qui fait les 3/4 du livres quand même). Il se plaint de devoir adapté un gros roman et il arrive encore à nous balancer des scènes très peu importantes (voire idiote) et même du "hors-livre" ! J'y voit un certain paradox.

En ce qui concerne le scénario je voudrais aussi poser une "petite" critique en ce qui concerne le montage finale où on à l'impression de passé d'une scène à l'autre si violemment qu'on se demande si un bout de la bande n'a pas été découpé avant la projection. Autrement on retrouve certains aspect important du livre comme les histoire de cœurs des protagonistes (comme si on avait rien de mieux à adapté) notamment la moins importante qui est particulièrement développé à grand renfort de liberté par rapport au livre (comprenez scènes inventés). Les 2 parties les plus importantes : un travail d'enquête sur le passé de Voldemort et le coeur balançant de Harry sont a peine mentionné (on croit rêver) et finissent par ne même plus coïncider avec leur propre scénario. Merci aussi au scénariste qui paie sa stupidité (ou tout du moins ses oublis) dans les scénario précédents, se retrouvant à devoir inventé des scènes pour expliquer se qui est normalement déjà connus depuis les volumes précédents.

Spoiler : Dumbledore est Gay.

Pour revenir sur un (des rares) points positifs je saluent 1/2 du casting pour être toujours aussi excellent (Alan Rickman alias Rogue ou l'actrice de Luna Lovegood...) et le nouveau perso de Sulghorn très bien retranscrit. Malheureusement certain acteur ne se sentent apparemment plus obligé de jouer correctement ainsi Harry est d'une platitude impressionnante (ou alors stone ?)  ou Ron se noie dans le rôle du comique de service. Sinon les autres personnages auraient pu être intéressant mais la plupart n'ont pas assez de temps pour s'exprimer correctement, voir ne sont même pas nommer (Le loup-garou Fenrir Greyback est notamment introduit par un clin d'œil dans le décors, fallait le faire).

Un dernier mot sur la bande-son, qui reste l'un des meilleurs aspects du film, avec des thèmes orchestral de bonne qualité et un doublage français quasi-irréprochable. 

Voila si vous avez tout lut vous devriez comprendre pourquoi on peu être "déçu" à la sortit.

Résultats-

Casting : Si l'adaptation des personnages du livre est toujours excellente c'est le plutôt le talent d'acteur de certain personnages qui fait mal au yeux (Harry mais qu'est ce que tu fais ?!). Sinon les nouveaux persos sont bon mais manque de consistance.

Scénario : se focalise sur les passages les plus inutiles du livre et trouve même le moyen de rajouter des scènes originales je croit qu'on aura tout vu. N'a plus grand chose à voir.

Bande-son : rien à redire, bonne un point c'est tout.

Aspect Visuel : Moitié moitié, autant le sens du design et de certaines mises en scène est excellent, autant ca aurait été mieux si on avait cherché à respecté (un minimum, je suis pas exigeant) la chronologie du livre rien que pour pouvoir comprendre leur scénario décalé !

Note-

12/20 et je suis gentil. Un film fantastique correct si on met à part le fait qu'il se place dans une série aussi prestigieuse, adaptation de l'un des meilleurs livres. Maintenant je me demande comment ils veulent adaptés le prochain, avec tout les éléments qui leurs manques à force de trancher dans le livre avec un scie à viande. Si les livres deviennent de plus en plus profond et adulte au fur et à mesure des numéros, c'est l'inverse pour les films (retourner voir la Chambre des secrets et vous vous demanderez comment-en est on arrivé là ?).

Les + :

-Objet et lieux magiques

-Le casting

-la bande-son/le doublage

Les - :

-Personnages à coté de la plaque

-Scénario incohérent

-Adaptation manchot

-Scènes "Hors-livre"

Si vous avez aimés : Eragon, les autres Harry Potter, Narnia, La Croisée des Mondes. 

Movie Review n°23 : Twilight

Fiche Technique-

Adaptation de roman réalisé par Catherine Hardwicke (déjà "très" célèbre pour les seigneurs de Dogtown), sortit le 9 janvier 2009 avec une grosse bande d'inconnus, dure 2h10 (aie).

Synopsis-

Isabella Swan, la greluche de service, décide de déménager chez son vieux dans un village paumé de Washington dans lequel elle va faire la connaissance d'une vérité cruelle : dans le nord, il pleut.

Décorticage-

Alors que tout le monde se presse pour aller voir la dernière adaptation d'Harry Potter (les pauvres), une nouvelle série à succès pour adolescente fait son apparition, plus sombre, plus underground : Twilight. Née de l'esprit dérangé d'une écrivaine en manque, elle décide d'écrire ses fantasme sous la forme d'une histoire d'amour. Jusque là rien d'anormal, roman à l'eau de rose et succès miteux, tout irait bien dans le meilleur des mondes si l'histoire ne se proposait pas de revoir le mythe des Vampires. Provoquant alors une vague d'intérêt sans précédant dans l'histoire du papier toilette, des millions de jeunes emos (tiens encore eux, j'ai l'impression d'en avoir déjà parlé...) laissèrent tomber leur poème et se mirent à lire et relire frénétiquement ce gachis d'arbre avant de se mettre à en parlé partout (merci les blogs) pour pouvoir convaincre encore plus de jeunes âmes que les vampires ça existe et qu'ils jouent au base-ball. Surfant sur la vague de "il est trop bô, c'est trop une belle histoire de love et le pauvre il est triste", nos studios de cinéma favoris on flairé la bonne affaire qui sent le dollars (toujours très fort pour ça) et ainsi, Twilight le film est née (ainsi que le parfum, le jeu vidéo, les couches culottes...).

Commençons par le scénario, directement adapté du livre, une gourdasse sans copine se fait la malle chez son père et arrive dans une nouvelle école au pays des vampires (non pas la transylvanie mais bien Washington). Elle se fait bien vite des copines parce que les gens de la-bas sont tous un peu niais mais elle remarque surtout un groupe de consanguins dont le plus solitaire Edward Cullen (prononcé avec accents anglais et inséré hurlement de vierge en chaleur) l'attire énormément (20 secondes et hop le coup de foudre). Elle joue donc sur sa supériorité féminine pour l'attirer dans ses filets mais surprise (comme si on savait pas, c'est écrit partout) c'est un vampire ! Alors que tout le monde pense qu'elle va se faire becter et que le film se terminera là, il s'avère que Edward (ainsi que sa famille de mort-vivant) sont des vampires végétariens, ils ne mangent que de la viande (logique imparable). Elle commence donc une relation passionné avec le vampire (en gros il se regarde dans le blanc des yeux pendant 20 minutes de films)  mais celui-ci semble très intéressé par son sang plutôt que par son esprit (normal). Ensuite une poursuite avec d'autres vampires, bla bla bla, finit par être cramé off-screen, et Edward la fais revivre par un baiser magique (enfin en lui suçant son sang) et le film est finit. Voila pour le scénario (enfin si on peu appelé ça un scénario) mâtiné de romance, de longueur et d'ineptie dont la plus grosse à déjà fais le tour du monde : bienvenus chez les vampires en plastique.

Ce qu'ils voient, ce qu'elle voit, ce qu'il voit, ce que nous voyons.

Car voyez-vous, si vous attendiez à des vampires habituels vous serez surpris d'apprendre, qu'il possède une super force, qu'il sont très pâle et que le soleil les fais briller... Briller au soleil, pardon ? Oui, comme un diamant. Alors vous comprenez que dans ces conditions d'effets spéciaux, le dialogue "je suis prisonnier de ma condition, nous sommes trop différents" tombe un peu à l'eau au profit de " je suis un cadavre ambulant d'une centaine d'année et je brille au soleil". Pour continuer dans les magnifique effets spéciaux sachez désormais que les vampires peuvent faire des bond de plusieurs mètres grâce à des nombreux fils magiques astucieusement camouflé en post-prod et que leur vitesse suprême leur permet de faire trembler la caméra et de jouer au baseball dans la catégorie "Famille Indestructible". Si vous êtes arrivés jusque là vous devez déjà certainement vous dire que ce film est une vaste blague mais vous avez oubliés le meilleur, c'est une histoire d'amour ! Alors merci les stéréotypes des séries de 15h00 sur france 3 romantique ainsi que les dialogues d'une profondeur rare du type "je n'ai plus la force de rester loin de toi...". 

Pour le casting, je dois avouer avec humilité que je n'ai pu lu le livre, j'ai donc trouvé que les personnages étaient crédible, surtout le vampire principal qui se maquille. En dehors de la plupart des personnages sans âme (comme les copains de Isabella ou son père) et des vampires psychopathes aux dreadlocks , le cast en supportable, enfin pour qui ne regarde pas sérieusement le film car sinon vous vous rendrez compte que le "premier rôle " n'est pas qu'une façon de parler tant on à parfois l'impression d'entendre lire à haute voix le livre sans intonation. D'ailleurs si le protagoniste masculin fais rêver les filles (je comprend maintenant pourquoi je suis seul si ça c'est la canon de beauté du moment...), l'autre personnages principale n'intéressera pas les pauvres petits-amis étant venus voir le film avec leur copine à moins que ceux-ci soient vraiment désespéré.

Un dernier mot sur la bande-son que va finir d'achever ceux qui ne sont pas dans le mainstream, un mélange subtil de ligne piano bricolé en 2 temps 3 mouvements, aussi sentimental qu'un moustique qui virevolte sans arrêt autour de votre oreille à 3 heure du matin et de rock basique pour ado moderne du type Linkin Park et autre gags du genres. Le doublage est mitigé, très passables pour certains perso et détestable pour d'autre, l'un dans l'autre : tous nul.

Résultats-

Casting : dire que le casting est le meilleur du film serait un peu trop gros mais on en vient parfois à se demander comment de tel personnages (et de tel jeu d'acteur) arrive à faire vibrer les foules bien que certains soient encore supportable (le rang le plus haut atteint dans Twilight).

Scénario : si le scénar est très classique dans sa base, il à la chance de nous proposé en plus d'une histoire d'amour niaise, un univers saugrenu et des dialogues tiré des feux de l'amour. Je croit avoir largement démolit cet aspect du film mais en ce qui concerne l'adaptation du livre je ne l'ai pas lu et d'ailleurs je ne veut pas savoir si c'est bien adapté ou pas alors ne cherchez pas plus loin. Dommage, car l'idée de base de dépoussière le vampire et le replacer dans un contexte crédible et actuel était plutôt bonne.

Bande-son : comme quoi on arrive quand faire à faire cet aspect, je croit que c'est l'un des seules fois (avec High School Musical, attention il arrive juste après) que je me sens obligé de déconseillé une bande-son. Entre les morceaux au piano mille fois éculé et la radio aujourd'hui, seul les musiques d'ambiance sauve la bande-son du désastre complet, permettant au moins de ce concentrer sur autre chose que les dialogues calamiteux et le doublage dramatique.

Aspect Visuel : Aurait pu être correct mais malgré quelques jolis paysages de campagnes brumeuses, les abominables effets spéciaux nous charges de nous rappelez qu'on est toujours en train de regardez cette horreur.

Note-

6/20 Je me surprend de mettre une note aussi sévère (ou haute selon votre point de vue) mais rien que pour tout le bruit déclenché m'obligeant ainsi à me renseigner en le regardent ma culpabilité disparait. Si vous n'êtes toujours pas convaincu je ne peut rien vous conseiller d'autre que de le regarder, comme ça j'aurais au moins la satisfaction de ne pas être le seul à avoir vu et détester ce film. Enfin, pour ceux de moins de 13 ans/QI qui vénère (ou tout du moins on aimé ce "film"), eh bien soyez heureux mais arrêter de me rebattre les oreilles avec ce genre de merde, merci.

Les + :

-L'idée principale de moderniser les vampires

-La jolie forêt brumeuse

-2 persos supportable du casting

Les - :

-Tout le reste

Si vous avez aimés : Je vous propose de laissez un petit (ou long) commentaire trash sur comment je suis un connard et à quel point je suis raciste avant de partir de ce blog et de dire à toutes vos petites copines de faire pareilles, histoire que mon diagnostique sur la culture populaire d'aujourd'hui soit confirmé. Merci d'avance.

Movie Review n°23 : High School Musical

Fiche Technique-

Tv film de Disney Channel, sortit quelque part en 2006 avec un réalisateur de série pour adolescent américain sur Disney Channel et des acteurs innommables. Dure une très longue 1 heure et demie

Synopsis-

L'histoire de jeunes qui veulent vivre leur passion dans un monde de lycée américain qui n'accepte que la catégorisation. Est-ce que Troy et Grasbriella vont pouvoir vivre leur passion pour le chant et arrivé à resté amis avec leur clan respectif ? Vous le saurez, même si vous ne regardez jamais ce film.

Décorticage-

Imaginez un monde dans lequel la seule préoccupation est faire de l'argent à partir de série de merde réalisé en 3 jours. Imaginez un monde fais de guimauves et de sucres d'orges fais pour faire rêver les petites princesses américaine sur l'horreur de leur "culture". Imaginez Disney Channel. Remplis généralement de série qui font ahaha et ohohho dans les moments sensés être drôle (désolé mais nous n'avons pas les mêmes valeurs d'humour) et de dessins animés ne valant pas tripette, on à parfois le droit à quelque production originale, filmé en 5 jours et donc la qualité peine à être au niveau d'un Twilight. Cela fesait déjà quelques années que se genre de merde défilaient continuellement au Etats-Unis et chez nous à qui voulait bien les voir mais un jour le drame arrivât, l'un de ses Tvfilm eu un succès si grand qu'on à commencé à en entendre parlé, beaucoup parlé. Alors, moi qui cherche à comprendre tout ce qui peu rapporter de l'argent je décide d'attaquer le mal par la racine, et alors que le 3ème de la série défile sur l'écran des cinémas je me procure le premier High School Musical et le regarde avec un esprit ouvert et détendus, décidé à ne pas trop me prendre au sérieux et à apprécier ce que je m'attend à être une belle histoire Disney avec du chant et de la danse. L'une des plus grosses erreurs de ma vie.

Qui à dit Stéréotype ?

Si vous croyez avoir vu de la daube dans votre vie, vous avez probablement un nouvel étalon pour mesurer la nullité d'un film grâce à HSM. Surfant sur un scénario qui fleur bon la fosse septique comprenant une quantité de Stéréotype si importante que l'institut de physique mondiale à du inventé une nouvelle unité pour catégoriser cette profusion de cliché, on notera quand même que le réalisateur arrive encore à se tromper en fusionnant la hiérarchisation des clans dans l'école avec un message du type on s'aime tous, on accepte tous nos différences : on obtient donc des geeks de sciences sociables ou des sportifs ouvert d'esprit. Logique. Malheureusement le réalisateur à tous prévus car si vous essayez de passez sur les personnages et de vous concentrez sur autre chose, généralement vous appréciez au moins la musique. Pour éviter cela le film est une comédie musicale qui utilise intuitivement les voix affreuses des protagonistes pour nous chantez des tubes (donc creux) écœurants de mièvrerie et de messages peace & love digne des série des années 80. Ajouté à cela une musique d'ambiance à endormir un mort, des dialogues dignes des plus grandes productions hollywoodiennes comme Hannah Montana et un doublage à la française diabolique et vous obtenez de quoi vous empêcher de dormir pendant 6 semaines. Que dire de plus si ce n'est que d'un point de vue réaliste le scénario tiens sur un demi tier d'une pièce d'un centime et que toute façon les personnages ont visiblement entrainé plus leur chorégraphie bâtarde que leur jeu d'acteur. Et de toute façon j'en ai marre d'en parlé, on est tous d'accord sur la débilité de ce film alors pourquoi en débattre ?

Résultats-

Casting : L'image plus haut devrait suffire à vous répugnez et explique bien mieux que moi le niveau de ce casting. Je tiens quand même à confirmer ce que vous pensiez déjà, le jeu d'acteur se situe quelque part en calamiteux et horriblement merdique (plus proche de ce dernier tout de même). 

Scénario : Disney Channel concentré en 1h30. Si vous ne savez pas de quoi je parle, remerciez la providence et continuer à vous tenir à l'écart de se genre de merde. Pour ceux qui en ont déjà fais les frais, vous n'êtes pas seul, tenez bon.

Bande-Son : No comment, renseignez-vous vous même si vous osez.

Visuel : Voir scénario.

Note-

0/20 Mon premier 0 est le fruit d'une longue réflexion pour essayer de trouver des points positifs au film mais force est de constater que j'en suis bien incapable. Peut-être trouverez vous la note un peu sévère mais quand on aime on compte pas, donc quand on aime pas, on compte. Désolé de donner raison au ceux qui vomissent sur ce film sans l'avoir vu et qui l'utilise pour prouver la destruction de la culture qui se produit tout les jours, mais ils ont raisons... Regardez plutôt l'épisode South Park qui y est consacré : Elementary School Musical.

Les + :

-Aucun

Les - :

-Que ce film existe

Si vous avez aimés : Pitié dites-moi que ce n'est pas possible qu'une telle personne se retrouve à lire mon blog mais je ne vous donnerais même pas de conseil si ce n'est d'éviter de faire l'apologie de ce genre de film au gens normaux qui pourrait être assez naïf pour commettre la même erreur que moi en se le procurant.


Voilà tout le monde, merci d'avoir pris quelques minutes pour lire (ou survolé) mes articles pour que mon péché me soit pardonner. En attendant, @+ et soyez rassurez, le blog reprend son cours normal de vrai critique jusqu'au prochain Twilight et Harry Potter que je ne manquerais pas de juger sans prendre en compte mon avis précédant.


La Chanson du Mardi Soir et L'album du Mois : Trident Session

Désolé pour le retards massif mais début des vacances et fin du boulot alors voila quoi... Aujourd'hui un morceaux de choix puisque "love" sur last.fm depuis peu, c'est plutôt rare chez moi. Je vais détailler uniquement la chanson du mardi soir, tout en parlant du contexte et cela devrait être suffisant pour classer le reste de l'album dans l'album du mois de Juillet. Voici :

Le Choix du Patron

Trilogy (The Sunlit Path, La Mere de la Mer, Tommorow's Story Not the Same)

L'un des morceaux phare du dernier album en date de Mahavishnu Orchestra à été, en fait, enregistré en 1973, juste avant la fin de la première line-up du groupe (qui est considéré comme la plus légendaire) à une époque où certains membres ne se parlaient même pas entre eux pendant les sessions d'enregistrements. Il faudra attendre 1999 pour voir débarquer l'album incomplet de cette session et pourtant la qualité est là. On à souvent tendance à oublier les prémisses de Mahavishnu puisque seul 2 vrai albums sont sortit mais on commet une grosse erreur si on sous-estime cette session. Par exemple ce morceaux : Commence par un petit rythme sympathique dans la plus pure tradition de Mahavishnu puis elle s'arrête et reprend plusieurs secondes plus tard sur un autre rythme un peu plus rapide mais qui ne dure pas longtemps et disparait bien vite dans un fondu...mais c'est la suite qui est intéressante. La chanson reprend de plus belle et les membres se lancent des solos/duels d'une violence jamais entendus dans les incarnations futures de Mahavishnu. Ils jouent tous comme si ils avaient le diable au corps et ce pendant presque 4 minutes d'affilées avant de retomber enfin sur le rythme de départ en accéléré (normal après une telle violence on peut pas ralentir aussi facilement).

Maintenant vous imaginez que ce n'est qu'un des 6 morceaux de l'album et vous comprendrez pourquoi est ce qu'on peu le considérer comme l'album du mois de juillet. A ne manquer sous aucun prétexte.