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Bientôt sur le blog : Rattrapage du retard !

samedi, juillet 23, 2011

Anime Review n° 20 : X-Men Evolution

On continue sur les dessins animés avec une série d'animation qui à tourné pile dans ma génération et sur une de mes licences favorites, voici :

X-Men: Evolution


Fiche Technique-

Série d'animation diffusé depuis 2001 en France (sur France 3), à ne pas confondre avec X-Men : la série animée des années 90's. Comprend 52 épisode de 20 minutes sur 4 saisons.

Synopsis-


Totalement détaché de la série habituel des X-men, on suit la vie quotidienne des mutants de l'Institut Xavier lors de leurs années au lycée. Découvrant leurs pouvoir tout en restant discret avec leurs entourage, les élèves vont devoir réussir à cumuler leurs doubles identités sans que leurs combat contre Magneto ne dérape sur leurs vie de tout les jours.

Décorticage-

-Animation : Le choc est grand par rapport à l'histoire première série animée et on sent que l'animation à fais un grand bond en avant. Si certains effets se répètent de temps à autre la qualité est plutôt constante et le phases de combats sont nerveuse et compréhensible. On constate tout de même un grand classique des anciens dessins animés : la différence de couleur entre les objets appellés à bouger et le décors fixe.

-Son : La bande-son tente de poser un thème principal aussi mémorable que son prédécesseur et de le réutiliser régulièrement, ce qui n'est pas une mauvaise chose même si il n'égale pas l'original. Néanmoins la bande-son n'a pas à rougir de la compétition avec des thème rock et électro pour une l'action dans une pure tradition X-Men. Les voix françaises sont un magnifique exemple de victoire sur la VO tant elles sont en majorité plus classes et plus adaptés au personnages (bien que Sacha pour Nightcrawler est un peu...moyen), Magneto et Wolverine entre autres. Le seul écueil est, comme toujours, la traduction un peu lunatique des noms de code des personnages (Quicksilver est Vif-Argent ?) même si aucune grosse erreur n'est à déployé la plupart des VF se plaçant largement au niveau des originaux

-Scénario : Au revoir les costume flashy et les colants, ici les mutants sont jeunes, "cool" (enfin pour un anime de 2001) et plus intelligent que la moyenne. Si la carte de la discrimination est toujours joué, elle est moins envahissante et moralisatrice que dans la première série animée, n'arrivant d'ailleurs que assez tard dans les saisons. On appréciera aussi la disparition des scénarios totalement farfelus des années 80 (les robots géants rose dans la ville) au profit de petites histoires parfois sans gravité qui mais bien plus réaliste dans leurs approche. Concernant les saisons c'est comme souvent la première qui sert d'introduction des personnages alors que c'est la deuxième qui perd un peu de vitesse sur des petites situations de tous les jours. C'est véritablement la fin de la saison 2 et toute la troisième qui donne à la série ces lettres de noblesses avec des réinterprétation d'arc classique du comics. Par contre oubliez la saison 4 elle n'apporte vraiment rien et se trouve être totalement décevante sur la fin.

Le cast du coté des gentils...et dites-vous qu'il y en as encore au moins une bonne quinzaine du coté des méchants...

-Personnages : On prend les mêmes et on recommences en grande partie même si rapidement des nouvelles têtes viennent se greffer au classique groupe de X-men. De plus, même si les gentils ont Wolverine de leurs coté, c'est véritablement chez les méchants que les plus gros baddass sont, surtout quand Magneto dévoile ses alliés. On appréciera également les nombreuses relectures du design plus le rendre plus moderne dont la plupart s’accommode très bien par rapport à la première série animée. Le cast en général rassemble dans ses gros moment plus d'une trentaine de personnages et même si tous ne sont pas de la même importance, de nombreux mutant parmi les plus originaux et les plus bourrins de l'univers sont réunis avec enfin des méchants qui utilisent leurs pouvoirs un peu correctement (Mystique et Magneto sont bien plus manipulateurs que dans certaines de leurs incarnations).

-Ambiance : Si la série animée originale était en grande partie farfelus pour cause de design des années 80, elles savait néanmoins se faire régulièrement sombre et tragique, une composante nettement absente de Xmen évolution avant la troisième saison. Ici on retrouve la coté cool des show des années 2000 avec comme but principal d'être X-treme ! à savoir sport extrême, petits délinquant et rebelles de la société (une étonnante relecture de la Confrérie des Mutants). Une esthétique originale qui ne plaira peut-être pas à tous les monde mais qui à le mérite de bien retranscrire certains problèmes spécifiques aux périodes scolaire. Si l'ambiance est plutôt à la détente et au blague jusqu’à la deuxième saison, on reviens heureusement à un coté plus sombre
pour toute la troisième (et dernière intéressante) saison.

Résultats-

15.5/20


Si la première série est une légende de l'animation de comics pour plusieurs raisons, celle-ci prend le pari de présenter les X-men sous un autre angle et avec une ambiance plus actuelle et réussi cette idée. Si une malheureuse baisse de régime est à déplorer dans la deuxième saison, la série propose tout de même de nombreux moment d'anthologie basé sur certains grand arc du comics d'origine malgré une quatrième saison totalement oubliable. L'aspect technique est par cotnre parfaitement rendus avec une très bonne animation, bande-son et casting des voix française meilleure que l'original.

Les + :

-Beaucoup de redesign efficace

-Méchants dangereux

-Aspect technique très satisfaisant

-Relecture de grand axe du comics

-Wolverine

Les - :

-Une saison moyenne et une autre à jeté à la poubelle

-Certains épisode un peu à la traîne

-On aimerais voir plus de certains personnages

-Un ou deux x-men visant clairement le maillon faible des spectateurs (Sacha Nightcrawler et surtout Spike)

Si vous avez aimés : Si vous n'avez pas encore regardé la série animée originale, c'est votre prochaine cible sinon un anime X-men et Wolverine sont sortis récemment

L'Album du Mois de Juillet , Eclipse : Grails

On continue sur les albums du mois combinés avec eclipse pour vous parlez encore de post-rock, voici :

Eclipse present l'Album du Mois de Juillet 2011 :
Grails - Deep Politics


Une pochette vraiment classe, peut-être leurs meilleure depuis celle de leurs premier album

Pour vous parlez de post-rock avec Eclipse j'ai choisis d'alterner entre les groupes "classiques" comme Mogwai ou Explosions In The Sky et quelques groupe plus originaux encore, trempant allègrement dans plusieurs styles comme Red Sparowes. C'est dans cette deuxième catégorie que je classerais Grails, qui sont d'ailleurs des partenaires de Red Sparowes ayant plusieurs fois partager des albums avec eux sous le même label. Mais là où Grails se démarque c'est par le choix assez inhabituel d'instruments et par conséquent d'ambiances qui ne ressemble à rien de connus dans le domaine.
Avec beaucoup de cordes, souvent des instruments folkloriques d'ailleurs, Grails navigue souvent dans des univers pseudo oriental, jamais directement utilisé mais toujours référencé, mélangés avec une gratte très sombre.

Possédant une carrière plutôt bien fournis pour un groupe qui à débuter en 2003, leurs son à sur prendre des formes très différentes au fur et à mesure des albums, en partant d'une ambiance mélancolique et nostalgique (The Burden Of Hope) pour ensuite enchaîner avec une ambiance presque psychédélique (L’exceptionnel Burning Off Impurities ou Take Refuge In Clean Living) avec des incursions régulière dans du vraiment sombre et lourd (Black Tar Prophecies ou Doomsdayer's Holiday, presque un peu "too much" pour moi).

Aujourd'hui ils reviennent avec Deep Politics, un album qui, sans être au niveau de leurs meilleurs travaux (les deux albums psychédéliques sus-nommé en ce qui me concerne), converse une grande classe et contient de nombreux morceaux plus facile d'écoute que l'on aurait pu le croire pour un groupe de ce genre. Mais passons au décorticage voulez-vous ?

-Comme toujours vous pouvez suivre le décorticage avec grooveshark et les différents clips vidéos associés.-

01-Future Primitive : Dès cette premier chanson on se retrouve en terrain connus, le retour de leurs coté sombre et grandiose. Un peu comme écoutez une prière à Anubis dans Notre-Dame de Paris pour vous donnez une idée du mélange d'ambiance et de l'univers qui s'en dégage. Lorsque que les premières cordes c'est aussi l’occasion de retrouver ce qui fais le charme du groupe, à savoir leurs style musical surprenant dans l'utilisation des violons. Basé sur un rythme entraînant et avec juste ce qu'il faut d’écho pour remplir l'espace, cette chanson est une bonne introduction au reste de l'album et par la même au reste de leurs travaux. Dommage (un léger reproche valable pour tout l'album) qu'on manque d'une grand descente en crescendo pour le final.

02-All The Colors Of The Dark : On morceaux qu'on croirait tout droit sortit d'une bande-originale de film, sûrement le thème du grand méchant. Lent et méthodique, il rappelle les thèmes légendaires d'Ennion Morricone mais dans une ambiance plus sombre, plus baddass encore. Un excellent argument pour étayer ma réflexion de confier des bande-son de films à des groupes de post-rock (un essai d'ailleurs très réussis avec "The Fountain"), une bien belle preuve que Grails ne serais pas pris au dépourvus dans une telle entreprise.

03-Corridors Of Power : Une sorte de pseudo-interlude plus fly et posé que le reste de l'album. En effet il n'y as que dans le post-rock (et dans la musique classique éventuellement) qu'on peu imaginer un interlude de 4 minutes mais par rapport à la moyenne des chansons du genre c'est plutôt court. Un peu trop court, car malheureusement il ne s'agit pas du seule titre de l'album qui ne dépasse pas les 5 minutes et qui donne parfois (j'y reviendrais pour la cinquième chanson) un sentiment de vide, une excellente idée qui n'est finalement pas assez exploitée. C'est typiquement le cas pour celle-ci, une très bonne ambiance mais bien peu de changement et de complexité pour tenir face à la suite, d'où l'appellation "Interlude".

04-Deep Politics : La Chanson titre chez le groupe à naviguer entre le très bon et le passable dans les différents albums. Légèrement plus longue que se voisine, elle s'affiche clairement dans le coté mélancolique du groupe, une prouesse assez rare depuis leurs premier album qui était presque totalement dans ce style. Elle se compose tout d'abord comme une ballade lente et respirante, une agréable mais solennelle introduction avant, au milieu de la chanson, une arrivée impressionnante de la batterie qui accélère légèrement le rythme mais sans dénaturer l'esprit triste et sobre du titre. Un morceaux lent, complexe et puissant, le genre de titre qui mérite qu'on nomme un album après lui et qu'on en parle au gents.


Un clip étrange mais original qui pour une fois à le mérite d'être plus court que la moyenne si vous voulez évitez d''en avoir pour deux heures à écoutez du post-rock

05-Daughters Of Blitis : La deuxième moitié de l'album commence par cette superbe ligne de piano, dans la continué de la chanson titre juste précédemment. Si on est immédiatement catapulté dans cette étrange ambiance, mélange de piano lounge et de background oppressant, c'est malheureusement ici qu'on en redemande une fois que les 3 minutes 25 du morceaux termine et qu'on l'impression d'avoir simplement effleurés la qualité qu'on aurait put tiré de cette cinquième chanson. Au moins elle servira d'excellent test pour attirer des audiophiles à écoutez l'album.

06-Almost Grew My Hair : Comme si pour se pardonner de leurs coupures entre les deux morceaux, celle-ci débute directement dans le vif du sujet et dure 8 minutes, de quoi satisfaire notre appétit. Si cet album tend plutôt du coté nostalgique de leurs premier effort, ce morceaux est clairement le représentant de leurs par de psychédélique, survenus plus tard et avec grand succès dans leurs style musical. Rappelant distinctement Burning Off Impurities, le meilleur album selon moi, cette sixième musique redonne un coup de fouet à l'album, avec des un rythmes plus rapides et une trame sonore plus mnémotechniques. De plus les 8 minutes de sa durée font que le groupe peut largement donné l'entendue de son talent et se permet un changement radical de style au milieu avant de repartir de plus belle pour un des rares mais classe final qui finisse d'asseoir se morceaux dans le haut du panier.


Le clip commence directement vers la moitié de la chanson, là où elle décolle

07-I Led Three Lives : Un démarrage plutôt lent par rapport au reste de l'album mais pas par rapport au reste de leurs discographie. Lorsque le titre commence vraiment je pense à nouveau malgré moi à une bande-son de western, mais en légèrement plus dark toujours pour suivre un méchant ou une scène chargée en drame. Arrivé à la moitié des presque 9 minutes, le titre s'autorise un petit calme avant la tempête et reprend ensuite plus violemment que n'importe qu'elle autre chanson de l'album. Toujours avec une guitare très lourde et beaucoup de disto, le groupe nous maintient scotché au siège encore eux bonnes minutes avant de retomber définitivement dans un final plus soft, une sorte de transition pour la dernière chanson.

08-Deep Snow : La conclusion laissant déjà présager une référence à la chanson titre de l'album, on est pas surpris de commencer en douceur cette dernière étape du voyage. Quelques cordes qui vibrent et un léger fond sonore, voilà comment la chanson commence avant une première montée, qui fais appel à bien plus d'instrument pendant un bref instant. De nouveau on retombe tranquillement dans la superbe ligne de guitare mais déjà les rapides frasques de la batterie nous rappelles qu'ils sont là pour laisser un souvenir impérissable. Ce qui est le cas vers la moitié de la chanson quand tout s’arrête sauf la guitare électrique qui nous joue le thème principal qu promet déjà d'être exceptionnel. Et promesse tenus car quand tout les instruments s'y mettent, Grails envoie la sauce et c'est sans conteste un des meilleurs moments de l'album. On se prend à vibrer au rythme des remontés subites de volume sonore avant de sombrer finalement dans une conclusion tranquille et revigorante.

Résultats-

Je ne me vois pas dans l'obligation de mettre une note pour l'instant à cet album, une simple relecture de mes impressions chansons par chansons vous confirmeras ce qu'il faut savoir sur cet album d'une grande qualité sans hésitation. Une ambiance toujours aussi bien maîtrise et dans un style moins violent qui permettra au non initié d'en voir la couleur, encore une très bonne addition à une excellente carrière dans un genre qui resplendis grâce à se genre de petit groupe underground mais talentueux qui n'hésite pas troquer facilité d'écoute contre complexité musicale.


La Chanson du Mardi Soir : Perform This Way

Ce soir une chanson que vous connaissez toutes et tous, certains l’appellent la nouvelle Madonna, d'autres réfutent son existence en bloc et d'autres encore parodie sauvagement son travail. C'est d'un de ceux-là que nous allons parlez, voici :

"Weird Al" Yankovic - Perform This Way (Lady Gaga Cover)


Déjà mentionné dans une chanson du mardi soir qui remonte déjà à plus d'un ans, Weird Al est sans conteste le roi de la parodie américaine. L'année dernière il avait timidement sortit un EP "Internet Leaks" avec une tracklist très sympa mais avec seulement une seule reprise humoristique. Son dernier album disponible depuis peu reprend tout les morceaux de l'EP et rajoute dessus tout un nouvel arrivage de reprise de morceaux connus du moment. Si l'album brille énormément dans son traditionnel medley de polka qui reprend les grand succès de la pop récente (de "Poker Face" à "Womanizer" en passant par "I Kissed A Girl") j'ai choisis de vous présentez une parodie plus classique mais toujours au sommet de son art : Lady Gaga.

Si parodiez du Lady Gaga était plus facile et courut d'avance la nouvelle version de "Born This Way" n'est pas une chanson sur la bouffe, la télé, ou les geeks mais bien une fine analyse de la prétendue "originalité" de l'artiste et sur les réactions des fans et critiques. Basé sur d'excellente rime et sur des références bien réelles mêlées avec des dialogues plus comiques, cette chanson combine la célébrité du morceaux d'origine avec des paroles que (par rapport à l'original) je n'ai pas honte de connaître par cœur.
Si ce n'est pas la première fois que "Weird Al" adresse sa parodie directement au groupe (Nirvana avait déjà pris très cher avec "Smells Like Nirvana") ça faisait déjà longtemps que cela ne s'était pas reproduit et autant dire que Lady Gaga méritait largement se traitement.

Comme toujours je vous invites à écoutez ce petit bijoux d'humour sur deezer ou grooveshark et à faire passez le mot (anglophobes s'abstenir).

A la semaine prochaine !

vendredi, juillet 15, 2011

Musical Review n°35, L'Album du Mois de Juin : Iconoclaste !

Pour ce mois-ci, je vous propose encore un été symphonique avec le nouvel effort d'un groupe peu présent sur la scène mais de grande qualité, voici :

L'Album du Mois de Juin 2011 :
Symphony X - Iconoclast


Toujours dessiné par le même artiste, les pochettes récentes de Symphony X sont très classes, celle-ci ne faisant pas exceptions

Groupe & Catégorisation-

Symphony X est un groupe de progressif métal avec un gros apport symphonique (comme leurs nom l'indique) qui c'est fais connaître grâce à un beaucoup de talent et à une voix violente et mémorable de leurs chanteur. Signé dorénavant sur "Nuclear Blast records" (un grand classique pour les métalleux), Symphony X reviens avec son huitième album, suite de Paradise Lost, critique très positivement sur ce blog

Décorticage-

01-Iconoclast : Histoire de ne pas être déçu on commence directement par la chanson titre et qui plus est la plus longue de l'album, presque 11 minutes. La première impression est que Symphony X n'a rien perdu de son style agressif et instrumental, avec des changement de rythme appuyé par de l'orchestral en arrière plan. Comme souvent chez le groupe c'est la partie instrumental qui sert d'introduction avant que le riff principal s'installe et que la voix se lance. On est alors ravis de constater que le chanteur n'a rien perdu de sa puissance vocale, un des meilleurs atouts du groupe qui allie classe avec violence.
Si il ne s'agit pas là de leurs morceaux le plus mémorable, il se maintient tout à fais par rapport aux autres efforts du groupe, et la partie solo instaure une ambiance épique relativement originale pour le groupe. Les fans du progressif vont apprécié cette introduction en matière complexe à souhait.

02-The End Of Innocence : On retombe sur du Symphony plus classique avec dès le démarrage un clavier survitaminé. Si certains fidèle de ce genre de pratique ont depuis disparu (Stratovarius entre autre), il faut reconnaître que sa donne toujours aussi bien. C'est aussi ici qu'on commence à retrouvé l'héritage de Paradise Lost, avec un riff lourd et puissant comme on aime et la voix qui ne se laisse pas démonter. Par ailleurs le solo nous prouves aussi que Romeo (le guitariste) n'est pas non plus rouillé avec un vitesse et un shred bien maîtrisé.


The End Of innoncence écoutable gratuitement pour la promo de l'album

03-Dehumanized : Au moins on en à pour son argent, on continue avec une chanson bien bourrin qui se place dans leurs registre de confiance. Riff puissant, voix puissante et orchestration classieuse, on est dans du pur Symphony. Peu marquant tout de même.

04-Bastards Of The Machine : De nouveaux un intro avec un clavier plein pot et dieu que sa pousse. C'est une magnifique réussite que le groupe à toujours su parfaitement maîtrisé, à savoir être déjà totalement "on fire" avant même que la voix ne commence à attaquer. En plus, si les paroles ne m'avait pas trop marqué dans les premiers morceaux, ici combiné à un rythme prenant deviennent vite inoubliable. Un véritable single en puissance, probablement une tuerie en live et avec un solo qui nous rappelles que avant tout il y a du talent.

05-Heretic : Sur un album de 7 chanson c'est ici que s'attendrait à avoir une chanson plus calme. Eh bien non. On continue dans le registre du bourrin avec cette fois le chœur latin qui se charge du font sonore et qui donne la réplique à la guitare de Romeo. Elle aboutit alors sur un morceau plus sombre et bien lourd comme on les aimes, une certaine forme d'originalité qui fais penser à leurs plus anciens albums.

06-Children Of A Faceless God : Toujours pas de chanson lente mais par contre un rythme qui lance immédiatement le headbang, même tout seul devant sa chaîne. Un petit coté Pagan's Mind mais avec des paroles sur les robots au lieu de Osiris, une différence minime pour deux groupes qui se tirent la bourre pour savoir lequel des deux est le plus classe. En tout cas ce n'est pas avec ce morceaux que Symphony va se laisser distancer, des paroles de nouveaux mémorable et qui donnent envie de chanter avec que se soit dans sa salle de bain ou avec des milliers de personnes en concert. Le batteur nous rappelles aussi à notre bon souvenir qu'il assure grave et la transition vers le solo est majoritaire de son fait.


On a aussi le droit à Dehumanized, dommage, pas le meilleur choix possible

07-When All Is Lost : Enfin la première chanson lente de l'album, la dernière de la version normale. C'est l'occasion, un peu en retard tout de même, de calmer un peu le jeux et de redécouvrir la talent du chanteur, un des meilleurs de toute la scène symphonique métal. Si le morceaux reprend vite du poil de la bête, il reste dans des limites de Paradise Lost, et du même coup s'élève gentiment au dessus des productions des autres groupes dans le même registre. Affichant 9 minutes au compteurs, c'est la deuxième plus longue de l'album, un choix très intelligent car c'est un genre où le groupe brille particulièrement, on le sent dans sa zone de confort. De plus, dans toute la tradition progressif, la chanson change radicalement à la moitié, apportant une touche d'originalité pour le solo ce qui en fait une des plus grande réussite de l'édition standard de l'album.

A partir d'ici les morceaux viennent de l'édition spéciale qui est en fait l'édition originale de l'album concept tel que le groupe l'a imagine avec la vrai tracklist et les douze chansons.

08-Electric Messiah : Basé dans premier temps sur des accélérations de la mélodie, on repars pleine vitesse après la pause de fin de premier cd. Un morceaux plutôt classique si ce n'est les burst de la guitare pour lesquels j'ai un vrai faible. A noter que dans la version normale de l'album, cette chanson environ est au milieu.

09-Prometheus (I Am Alive) : Qui fais suite directement à Electric Messiah dans les deux versions du CD, on à ici ce qui semble être à première vue la deuxième chanson lente de l'édition normale. Une erreur vite dissipé quand vers 1 minutes la chanson accélère brutalement en même temps que Romeo claque un solo baddass. Un qualificatif qui s'applique facilement au reste de la chanson, qui reprend, comme Heretic, un coté plus sombre.

10-Light Up The Night : La plus violente intro de l'album, immédiate et carré, elle lance directement la chanson qui n'aurait pas daigné à faire suite à Prometheus au lieu d'un vieux fondus sonore sans intérêt. Que se soit les paroles qui commencent immédiatement ou bien la vitesse générale qui enchaîne bien sur le dernier solo de batterie de la neuvième, j'ai le sentiment d'être légèrement floué sur le coté "concept album". Définitivement une chanson qui se devraient de faire partie d'un tout, peut-être un pièce majeure de 10 minutes comme le groupe ne rechigne pas à en faire habituellement.

11-The Lords Of Chaos : Un rythme étonnant groovy, du moins autant que groovy peut vous indiquez quelques chose dans du symphonique. Autrement, difficile de dire quelque chose qui n'a pas déjà été dit pour les autres chansons, c'est bourrin et classe à la fois.

12-Reign Of Madness : Madness ? This Is Symphony X !
A nouveau une chanson qui aurait du être liée à la précédente, son début faisait un peu forcé dans se format. Un mal bien vite effacé lorsque le riff principal, rapide et tranchant, viens se mettre en place. Plus longue chanson du deuxième cd, celà se ressent avec à nouveaux des changements de rythme à la moitié de la chanson pour laisser place à une petite pause tranquille avant la grande descente finale pour conclure l'album, à une vitesse que n'aurais pas rechigné DragonForce.

Résultats-

16/20

Si vous êtes venus pour du métal, vous allez être servis. Un album d'une dizaine de chansons (en moyenne des deux version) et une seule balade c'est culotté mais il faut reconnaître que le groupe ne s'en tire pas mal. Dommage que j'apprécie beaucoup ce type de morceaux, sa rareté ne faisant que ressortir la qualité de celui-ci. Avec un album bourrin de bout en bout il fallait bien se rendre à l'évidence que Symphony X à légèrement mal choisis son moment pour annoncer un album "concept" car l'écoute de celui-ci d'une traite le rend un peu redondant. Autrement dans une playlist métal avec les nombreux autre titres pour le dilué, cet album balance du bon Symphony X en grande quantité et en grande qualité, un plus pour tous fans qui se respecte.

A Retenir-

-When All Is Lost
-Children Of A Faceless God
-Bastards Of The Machine

Si vous avez aimés : Encore deux review de symphonique métal à venir cet été, vous allez avoir l’embarra du choix

Game Review n°36 : Always Bet On Duke !

Vous l'attendiez, Vous la redoutiez, Vous l'espériez. Voici enfin le couronnement de ma carrière de critiques, le jeu que jamais je n'aurais imaginé reviewé sur ce blog, le plus grand fantôme vidéo-ludique de tout les temps, voici :

Duke Nukem Forever


Fiche Technique-

FPS développé par gearbox software et beaucoup d'autre personnes et éditée par 2K games. Interdit au moins de 18 ans, ne contient pas le pictogramme sexe selon la législation européenne sortit le 10 juin 2011 sur PC/PS3/360/Mac (bientôt).

Décorticage-

Même apès l'avoir finis 2 fois, j'ai du mal à croire que j'écris ses lignes sur Duke Nukem Forever. Faisant partis des irréductible qui ont joué à Duke Nukem 3D alors que je n'avais pas l'age requis d'au moins 10 ans, la possibilité de pourvoir enfin tâter de la suite de cette légende est arrivé. Cependant je prend le parti de vous parlez directement du jeux et non de l'historique qui va autour, de nombreux sites bien plus compétant (ce qui n'est pas difficile soit dit en passant) se chargeront à ma place.
Alors que peut-on dire sur Duke Nukem Forever le jeu (et non pas la tondeuse à gazon) ?
Le premier constant que l'on peut faire, et ceux dès la séquence d’introduction, c'est que l'esprit déjanté sexy et violent de Duke est parfaitement plaisant, une vrai surprise considérant les vigiles du bon goûts qui apparemment sont allez faire un tour pendant qu'on classifiait Forever.

Du niveau dans la bar de strip-tease en passant par de nombreux accrochage avec de charmante créature, le jeux culmine dans la présence de deux jumelles blondes et habits d'écolière qui habitent avec Duke. Déjà on est rassuré de voir qui si l'ambiance visuelle est toujours aussi alléchante, Duke n'a aussi rien perdu de sa ver-g...ve légendaire avec des répliques qui combinent nouvelles bonnes idées et vieilles répliques ravageuses pour notre plus grand plaisirs.

Concernant le contenus, on retrouve les grand classique de l'épisode 3D tant au niveau des armes (Shrink Ray, Geleur, Devastator...) qu'au niveau des ennemis (porflics, octabrain...) et même certaines références dans les niveau, le "duke burger" faisant par exemple son grand retour. Et si les joueurs actuels risquent d'en être dérouter, le jeux comportent quelques phases de plate-formes bien charnues, tout comme son aînés. Si elles se font moins nombreuses et globalement moins intéressante que celle de "3D", c'est néanmoins un facteur nostalgie important pour les joueurs de la première heure. Cependant elle sont largement plombé par le level design, le premier d'une malheureuse longue liste de défaut du jeux.

Super une séquence de rail-shooting ! Call Of Duty ? Non Duke Nukem Forever...

Pour commencer le level design est probablement un des éléments qui à le plus souffert du passage incessant entre plusieurs développeurs et plusieurs époques. Niveaux linéaires peu intéressant, enchaînement des missions douteux, temps de chargement intolérable sur consoles et design général vide et peu inspiré, on est bien loin des légendaires monde de Duke 3D. Si de temps en temps on est sauvé par un bon vieux niveau classe, la moyenne est franchement basse avec certains niveaux qui souffre énormément du manque de rythme général du jeux. Grimper une tour ou se balader dans l'antre des aliens est étonnamment ennuyants, surtout pour un jeux où les seules vagues impressionnantes d'ennemis viennent pendant du vieux rail-shooting. Pourquoi ne pas avoir repris le style d'arène à la Serious Sam ? Nous ne le saurons jamais.

En parlant de rail-shooting un autre point terrible est le gameplay. Voir Duke se traîner la pâte, sauter comme une enclume et se planquer pour restaurer sa vie est en soi déjà grave mais ce n'est pas le point le plus contradictoire jamais imaginez pour un FPS récent : Duke Nukem ne peut porter que deux armes à la fois.

Le mode multi, classique mais tolérable, au moins ici la limitation d'arme est moins dérangeante

Cette repompe d'une mécanique récente est, pour commencer, totalement stupide car elle empêche une grosse partie du fun de "3D" d'être repris ici, à savoir la possibilité de changer régulièrement d'arme pour rigoler avec les possibilités offertes. Vous aimiez le Shrink Ray ? Oubliez le ici car 5 ennemis plus tard vous aurez épuisez vos munitions et devrez comme toujours l'échanger contre le bon mais classique Shotgun. Tout le panel d'arme devient alors fatalement inutile sachant qu'on ne peut s'en servir à notre guise et même d'un point de vue de fan : Comment Duke Nukem, le Chuck Norris du jeux vidéo, ne peut porter plus de deux armes à la fois ? C'est totalement anti-logique et offensant pour toute une catégorique de geek fana du géant blond.
Sinon on s'en fout mais les graphismes sont moches.

La vidéo qui à donné envie à tout le monde, surtout avec The Prodigy en fond


Je n'allait pas vous quittez sans vous parlez du multijoueur online, obligatoire dans tous FPS moderne (ou presque). Ici on retrouve les habituels niveaux pour débloquer du contenus mais au lieu d'invoquer une meute de chiens enragé, ici les gains sont purement cosmétique et permette de découvrir des éléments pour habillez Duke ou pour remplir son appartement. Une activité finalement assez récompensante pour les fans, pouvoir se balader dans la maison remplis de tableaux à la gloire du Duke et de charmante donzelle est finalement un plaisirs. Si les mode de jeux sont très classiques et le nombre de maps restreins, rien que leurs propre version du mode "capture de drapeau" vaut le détour.

Résultats-

-Graphisme : C'est clairement moche mais franchement on s'en fout. Les animations sont nuls, le design général peu inspiré et les décors très vide mais c'est vraiment le cadet de nos soucis, surtout si on considère le nombre de fois qu'il à changé de moteur graphique.

-Gameplay : Lourd, lent, moderne, beaucoup de qualificatif dégradant pour décrire cet aspect du jeux. Si certains travers était encore attendus (la vie qui remonte par exemple) d'autre sont tout simplement inexcusable. La limitation des deux armes étant la pire mais le rythme général du jeux est aussi complètement mou et les trop nombreuses phases de rail-shooting et de mauvais scripts n'aidant pas. Il reste bien le mode multijoueur mais celui-ci ne durera pas plus quelques heures de fun

-Son : La bande-son est toujours puissante et classe mais quelque fois trop effacé, de nombreuses scènes sans musique qui perdent un peu en punch. Concernant les répliques, la version française à eux l'excellente idée de d'aller chercher le doubleur de Shwarzy pour un résultat qui, sans être à la hauteur de son homologue VO, est très satisfaisant.

-Durée de Vie / Difficulté / Scénario : Vous ferez le tour du mode solo en une douzaine d'heures, un poil plus en dur ou en cherchant toutes les montées de la barre d’ego. Comme dit la difficulté générale est plutôt bien équilibré, rarement trop facile mais vite dur si vous montez le niveau très tôt. Et le scénario... : Ces enculés d'aliens ont kidnappés nos femmes, je vais les défoncés !

-Ambiance : Le gros du travail de Gearbox se situe ici. Situation légendaire, réplique culte et nombreux clins d’œil, l'esprit de la série à été très bien respecté.

Note-

13/20

Notez Duke Nukem Forever de cette façon m'est vraiment difficile. Après tout le temps qu'on l'a attendus et tomber sur cet ersatz de FPS bourrin c'est vraiment dommage. Si heureusement le fan service est bien présent, le reste du jeux arrive à cumuler les défauts des vieux jeux et des récents dans un mélange mou et peu inspiré, un comble pour une telle pointure du jeux vidéo. Par contre maintenant que la série est relancée il n'y a plus qu'a espérer un nouvel épisode repris à zéro qui lui envoie du pâté afin de redorer le blason du Duke.

Les + :

-L'esprit de Duke

-Nombreux clins d’œil au fans

-Retour des armes et aliens classiques

-Bande-son et réplique (y compris en français pour une fois)

Les - :

-Gameplay famélique

-Réalisation bancale

-Rythme lent et poussif

-Dégradant pour une telle licence

Si vous avez aimés : Il est toujours facile de botter des culs dans un FPS, que se soit sur Bulletstorm ou les Serious Sam (dont le troisième épisode sort bientôt).


Va te faire voir les tentacules au japon, connard !!

Combo Breaker ! E3 2011.

Maintenant que l'E3 est mort et enterré revoyons rapidement ensemble ce qu'il fallait retenir de cet édition 2011, voici :

Récapitulatif E3 2011


Comme d'habitude les vidéos et éventuelle images appartiennent à leurs propriétaires respectifs (majoritairement www.jeuxvideo.com) et sont utilisées uniquement dans un but informatif.

Comme toujours parlons des grands constructeurs :

Microsoft - Xbox 360, Kinect, PC

Cette année Microsoft n'avait qu'un mot à la bouche : Kinect. Kinect par ci, Kinect par la, "c'est mignon, c'est casual vous allez aimés, vous allez achetés." On retrouve donc pêle mêle de jeux entièrement développé autour du périphérique comme Star Wars Kinect ou Fable : The Journey (un épisode sortis dont ne sais où) et certaines grosses licences qui s’annoncent compatibles pour des fonctionnalités gadget surtout : Mass Effect 3, Ghost Recon et Minecraft. Concernant les exclu 360, xbox est resté sur son bon vieux Gears of War 3 et annonce une nouvelle trilogie Halo ainsi qu'un remake HD du premier épisode. Apparemment on manque d'idée chez Microsoft.

Quelques gros jeux cross-plateforme on fais aussi le déplacement :

-Call Of MW3

-Battlefield 3

-Tomb Raider Rebooot

-The Witcher 2 sur 360

Conclusion Xbox 360 : Kinect à marché et on s'en frotte les mains. Du coup toutes les grosses licences se voient affublés d'une mention "compatible Kinect" pour faire joli dans les rayons casual et sinon on relance Halo puisque on a plus d'idée et que tous les pigeons attendent que ça.

Pour nos PC, l'E3 à toujours été une période de vache maigre, mais on pourra retenir :

-La vidéo de Bioshock Infinite

-LA Noire sur PC !

-TF2 passe en Free To Play !

et une ribambelle de jeux multi-plateforme.

Conclusion PC : Rien à dire les grosses annonces étaient plus dans la période E3 que réellement pour l'E3. Néanmoins Team Fortress gratuit et L.A. Noire sur PC constitue à eux seul une bonne raison de vous levez le matin.

Le trailer de Ryse, exclusivité 360 avec Kinect développé par Crytek. Apparemment du bourrinage sur Rome en first person...


Sony - Playstation 3, PSVita

Sony annonce mais on le savait déjà la nouvelle PSP, qui prend le nom très bof de PSVita. Avec une paire d'écran tactile pour mieux naviguer dans les menus et une meilleure qualité graphique (en deça des attendes le coût initial étant bien trop élevé) rien de bien neuf à se mettre sous la dent, une PSP 2.0 sans plus à 300€ et avec Uncharted et LittleBigPlanet.
Pour la PS3 on reparle et on s'excuse avec classe du dérangement du PSN et on ressort la 3D avec une télé Playstation 3D permettant de voir chacun son écran avec des lunettes différentiés pour le multi splitté. Par contre on s'étend pas trop sur le PSmove, le succès de l'engin étant visiblement mitigé.

Sinon quelques vidéo des gros jeux à venir :

-Uncharted 3

-Resistance 3

Conclusion PS3 : Sony sont arrivé à se sortir du bourbier PSN avec classe mais par contre ils sont fortement avare en exclu ses derniers temps, à croire que Uncharted, LittleBigPlanet et Resistance sont les seules licences officielle de Sony. Mais reprenez vous bon sang, vous vous faites mangez par le multi-plateforme !

Conclusion Vita : Si on évite quelques écueils de la bourde PSPGo, on reste dans les mêmes travers avec un prix élevé et des fonctionnalités déjà vues. Pas beaucoup de nouveautés annoncées et des licences présente ailleurs, ça sent le tas de cendres.

Enfin le retour de SSX, l'une de mes plus grosses attentes sur PS3


Nintendo - Wii U, 3DS

Cette année encore Nintendo remet le couvert pour exploser haut la mains ses concurrents. Avec un chapelet d'annonce d'exclusivité pour la 3DS comprenant notamment le prochain Luigi's Mansion et le prochain Mario Kart, il se pourrait que lorsque les jeux tombes, les ventes se mettent enfin à décoller pour ne plus redescendre avant longtemps. Concernant leurs Wii, Nintendo se sont aligné sur la concurrence avec une nouvelle console, La Wii U (non seulement un nom bof à la base mais accolé le U derrière est encore plus moche). Console HD avec rétrocompatibilité Wii classique, elle se démarque surtout par sa manette, un Ipad. Littéralement une tablette graphique avec stylet, accéléromètre, tactile et une paire de boutons. L'idée de base, fortement martellé par Big N, est de pouvoir passé d'un écran à l'autre, sois pour s'en servir comme d'une DS avec la télé soit pour carrément jouée sans l'appuie de la tv. C'est malin, les développeurs ont annoncé leurs soutiens et Nintendo promet (encore une fois) une soin particulier pour les hardcore gamer. Le problème dans tous ca ? Très peu d'annonce concrète, pas vraiment de jeux officiel et un design général un peu casu.

Conclusion Wii U : La Wii va gentiment laisser la place à une version plus couillus et avec, encore une fois, une manette unique. Si le démarrage risque d'être un peu confus, il se pourrait bien qu'un ai bientôt un concurrent très sérieux sur les bras en admettant que Nintendo tiennent enfin leurs promesse, surtout à propos des éditeurs tiers pour supporter le panel de jeux.

Conclusion 3DS : La 3DS gagne enfin une petite série de jeux de bonne qualité, un arrivage massif de licence que va sûrement propulsé la console dans les hautes sphères, en s'essuyant les pieds sur la Vita au passage.

Bientôt le prochain Zelda avec un prémisse qui me rappelle bizarrement Wind Waker. Espérons qu'il ne tombe pas dans les mêmes travers


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Conclusion E3 : Un certains manque de souffle chez un peu tout le monde qui préfère se reposer sur ses lauriers en annonçant des jeux déjà annoncés 2 mois avant sauf du coté de Big N qui à préférez gagnez haut la mains le salon en présentant le futur mais sans avoir grand chose derrière pour assurer les fondations. Néanmoins si la guerre des consoles perds un peu de vitesse, celle des consoles portables semblent déjà terminer tellement la 3DS semble à des année lumière de sa futur rivale, la Vita.

La Chanson du Mardi Soir : Generation Online

Ce soir, on reviens avec une chanson bien geek si il en est une, voici :

Machinae Supremacy - The Greatest Show On Earth


Déjà mentionné brièvement sur ce blog, Machinae Supremacy (MS) est un véritable groupe geek, rejeton d'internet et élevé underground. Ayant bataillé ferme pour atteindre la reconnaissance de leurs premier album Deus Ex Machinae, ils sont aujourd'hui signé sur un grand label de métal et l'unique groupe de SID-métal au monde, autrement dit du métal avec un clavier de Commodore 64 pour générer des sons 8-bits. Donnant au métal une ambiance NES originale et accrocheuse, ils peuvent également se targuer d'avoir un guitariste de talent et un chanteur particulièrement reconnaissable.

Après 3 album tout à fais correct, le dernier en date à fait encore une fois le tour des geeks métalleux profitant de paroles toutes plus référencée les unes que les autres. Entre un morceaux sur le manga Death Note (Shinigami) et un autre intitulé Crouchin Camper Hidden Sniper leurs source d'inspiration donnent lieu à des paroles originales sur la culture d'internet.

C'est justement le thème de cette chanson du mardi soir, une chanson sur la génération online et sur l'avènement des réseaux sociaux (Fessebook est plus ou moins mentionné) avec un regard très juste sur la rapport avec le web. Si le reste de l'album contient de nombreux candidats à une musique de la semaine, c'est celle-ci que j'ai choisis en raison du talent qu'ils montrent pour chanter un thème aussi spécifique dans un album de métal classique.
Comme d'habitude je vous renvoie sur grooveshark et deezer pour vos écoute, et n'hésitez pas à rechercher les paroles en prime, elles valent le coup.

Sur ce, bonne soirée et on se retrouve la semaine prochaine !