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mardi, mai 24, 2011

Movie Review n°48 : Le Thor Tue

Maintenant que la vanne de service à été placé, permettez moi de relancer les reviews cinéma avec le dernier né d'une longue famille de blockbuster "marvellien", voici :

Thor

Un grand blond au yeux bleus et un marteau à une main, pas de doute on est bien dans la mythologie nordique

Fiche Technique-

Adaptation de comics réalisée Kenneth Branagh avec Chris Hemsworth (dernier Star Trek), Natalie Portman (Prélogie Star Wars, Black Swan) et Anthony Hopkins. Sortit le 27 mai 2011 en France, tout public, dure presque 2 heures.

Synopsis-

A la suite d'une imprudence de trop, le puissant mais arrogant Thor est bannis de son royaume divin pour vivre parmi les humains mais alors qu'il fais la connaissance d'une scientifique un peu trop douée, un complot d'envergure se prépare dans le monde des dieux.

Décorticage-

-Casting : Un grand blond au yeux bleus et très musclé pour Thor, on choix facile mais très satisfaisant, surtout que hemsworth semble bien s'amuser dans son rôle de dieux mythique. Natalie Portman est toujours très agréable à regarder et le reste du cast humain est tout à fais acceptable. Dommage par contre pour Anthony Hopkins peut inspiré dans le rôle d'Odin, qui n'arrive pas à la cheville de l'excellent interprète (peu connus encore) de Loki.

-Scénario : Si la formule classique du bannissement et du dépaysement sur Terre est connue, elle fonctionne très bien et donne lieu à pas mal d'humour. Par contre un point négatif sur le plan machiavélique du méchant tout simplement incompréhensible, dommage pour un tel personnage.

Une bande-annonce classique mais efficace avec les doublages français finaux

-Bande-son : Formule classique des blockbusters à gros renforts de thème épique pour poser l'action. Si la BO n'est pas particulièrement mémorable, le casting des voix françaises est largement correct.

-Aspect Visuel / Ambiance : Les effets spéciaux sont de grande qualité, notamment concernant la ville des dieux nordiques, totalement fidèle au représentation fantaisiste qu'on peut en avoir. Par contre la 3D est l'une des plus inutiles du moment, économiser donc votre argent pour une séance normale. Conernant l'ambiance, on joue sur un classique décalage entre le héros mystique et la réalité terrienne avec toutefois une légère pointe de mauvais goûts sur certains costumes (notamment celui de Loki). Autrement, si la mythologie n'est pas totalement fidèle au matériaux d'origine, elle à au moins le mérite de donner envie de s'y renseigner.

Résultats-

14/20

Un blockbuster tout à fais satisfaisant sur un personnage moins populaire du l'énorme univers Marvel. Avec un casting bien choisis, un aspect visuel très classe et toujours un bon mélange humour/action, la recette Iron Man fonctionne toujours très bien. Dommage que celui-ci pêche par un sens du détail un peu à la ramasse et par un scénario fort douteux du coté du méchant, rôle pourtant facile à définir dans une adaptation de comics classique. Un bon divertissement en attendant de compléter le casting des Avengers.

Les + :

-Acteur principal très juste

-Visuel très classe

-Humour efficace

-Bon rythme général

Les - :

-Plan du méchant incohérent

-Bande-son très (trop) classique

-3D invisible

Si vous avez aimés : Les adaptations de comics sont nombreuses et de qualité (en dehors des 4 fantastiques) et le prochain X-men arrive à grand pas et promet d'être explosif.

Nous avons combattus, nous avons bus et il a fais honneur à ses ancêtres !

mercredi, mai 18, 2011

La Cuisine du Patron : Capt'n Carnage

La dernière cuisine du patron datant fortement, une petite update sur ce que je traverse pour vous apportez des reviews constructives, voici :

La Cuisine du Patron

Flim

Passé virtuel : Un film d'anticipation à la croisée entre Matrix et l'excellent Dark City. Dommage que malgré un scénario sympathique il n'égale aucun de ses rivaux.

3h10 pour Yuma : Un remake d'un vieux western qui m'a franchement déçus. Malgré un casting de première catégorie, le scénario est convenue et bancal avec des personnages moyens et aucune ambiance

Bronson : Une sorte d ebiobic ultraviolent et dérangeant sur le détenus le plus célèbre d'angleterre. Un personnages principal hors du commun et une réalisation très originale.

Warning Very Bad, Le Secret des Poignards Volants : L'autre film du réalisateur de Hero (celui avec Jet Li) qui est malheureusement une grosse déception. Décors pas si impressionnants, combats peux inspirés, personnages en une dimension et scénario insipide.

Warning Very Good
, R
enaissance : Un excellent policier en animation bi-chromatique de grande qualité avec une super ambiance et un scénario prenant. Une franche réussite.

Solaris : Un remake d'un film russe in-regardable annoncé comme un concurrent sérieux à 2001 L’Odyssée de l'espace. Très humain, le film est finalement bien plus un drame que de la SF avec un George Clooney tout en finesse et le reste du casting très efficace. Avec une idée de base très original on à la un film qui fais réfléchir.

Game

Warning Very Good, Total War Shogun 2 : Fainéant de faire une review aussi tard mais sachez que ce nouvel épisode est une réussite sur tout les plans. Gameplay hyper stratégique et chronophage, ambiance japon excellente et visuel impressionnant.

Music

Daft Punk - Alive 2007 : Je suis définitivement réconcilié avec Daft Punk avec leurs lives. Un excellent mix non stop avec du bon gros beat qui nous fais rêvés d'y être.

Warning Very Good, Amorphous Adrogynous - The Peppermint Tree and Seeds of Superconsciousness : Le dernier album de AA est aussi énorme que les autres. Totalement psychédélique et bourré de super morceaux originaux, j'ai trouvé du néo-rockpsy que je cherchais depuis longtemps.

The Flashbulb - Love As A Dark hallway : Le premier mauvais flashbulb depuis longtemps. Un mix indigeste entre son ancien électro et son style plus fly récent. Pas ignoble mais très franchement décevant pour l'artiste.

Powerglove : Un vrai groupe de métal qui fais des reprise de jeux vidéo et de générique télé de grande qualité. Tout geek un peu métalleux devrait très largement apprécié.

Série & Animation

Naruto : Continue son petit bonhomme de chemin pour rattraper le manga dans une succession d'inepties de plus en plus grosse. Vivement la fin.

Bleach : Plus ou moins finis, le manga se tape un trip bizzare que j'attends de voir se crasher ou devenir intéressant alors que l'anime c'est mis en mode HS sans intérêt.

The World God Only Knows : La première saison était excellente, geek et très drôle, la deuxième viens de commencer doit dans la même lignée.

Wolverine : Si Iron Man avait un peu déçu ce n'est malheureusement pas Wolverine qui relèvera le niveau. Avec un choix de casting douteux et un scénario en somme toute banale, seul le plaisirs de voir Logan trancher des gens est toujours là. C'est maintenant à X-men de remonter le niveau

House MD : La dernière saison est on seulement en train de perdre de l'intérêt à vitesse grand V et en plus il ont confirmé la prochaine. Pitié reprenez-vous !

Psychic Detective Yakumo : Un anime sympathique mais sans plus à base d'adolescent asocial qui voit les fantômes (non pas Bleach). Rigolo pour tuer le temps mais pas remarquable pour autant.

Warning Very Good, Game of Thrones : Seulement 5 épisodes et se suis déjà scotché. Avec Sean Bean en tête de casting la série se décrit bien comme cela : "elle suit la formule gagnante des série HBO : combat, sexe et politique".

Panties & Stocking With Garterbelt : Un anime complètement barré avec le style graphique des "Super Nana" mais en beaucoup plus trash dans tous les sens. Un concurrent sérieux pour des productions comme FLCL

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Voilà pour cette cuisine, avec une autre qui devrait suivre bientôt avec les films du club cinéma de cette année scolaire. Autrement bientôt une review d'animation nostalgique, un Album du Mois de Mai non définis, une review blockbuster récent et peut-être du gaming si j'arrive à tester du jeux ces prochains temps (au moins le post spécial E3).

D'ici là rester à l'écoute pour encore un peu de bonne culture et à la prochaine !

L'Album du Mois d'Avril, Eclipse : Take Care

Un album du mois flash mais néanmoins très bon et une bonne raison de vous parlez d'encore un peu de post-rock, voici :

Eclipse present l'Album du Mois d'Avril 2011 :
Explosions in the Sky - Take Care, Take Care, Take Care


Une pochette aussi sobre qu'agréable, un vrai tableau

Quand on parle de post-rock, plusieurs nom me viennent à l'esprit rapidement : Mogwai pour l’ancienneté, Sigur Ros pour l'originalité et quelques autres héros d'un genre encore trop peu connus (Eclipse à d'ailleurs commencé à leurs rendre hommage). Mais l'un des éternels rivaux de ses grands groupe se trouve être "Explosions in the Sky" , une autre légende dans le milieu.

Groupe américain de post-rock, ils se sont très vite fais un nom grâce à des lives impressionnants et avec des albums où ils sont arrivés à maintenir une qualité rare tout au long de leurs carrières. Le dernière de cette carrière est justement l'Album du Mois d'Avril, ce sixième album du groupe : Take Care, Take Care, Take Care.

Si les groupes de post-rock apprécies particulière les chansons à rallonge mais moins nombreuses, celui-ci n'échappe pas à la règle et à première vues 6 chansons ne paient pas de mine face à des albums plus impressionnants mais à la première écoute on est rassuré quand au talent du groupe. Pour vous donnez une idée de leurs style, leurs chansons sont typiquement de longue (moyenne au moins 8/9 minutes) balade instrumental qui commence doucement, souvent fantomatique et qui monte en un crescendo assuré par trois guitariste pour seulement un batteur.
Il en résulte des pièces imposantes, véhiculant une émotion profonde et parfois même une forme d'histoire.

Dans cet excellent album, la recette reste la même mais elle est encore plus travaillé si c'est toutefois possible, avec des pièces qui manie justesse et complexité avec une habileté rare et toujours dans un style très intimiste et émotionnel, un domaine où le post-rock à déjà fais ses preuves.

Maintenant que je vous ais vantés le titre j'ai néanmoins un bémol à mettre : pour les non-initiés cet album ne sera pas le plus facile à écouter et à apprécié du genre. Malgré toute ces qualités il faut reconnaître que les impatients ou tout simplement ceux qui ne se trouvent pas dans de bonnes disposition d'écoute risque d'être un peu lassé par l'avancé fine de l'album.
Si toutefois vous êtes intéressez (et je vous le recommande vivement) le dernier album ainsi que quelques autres se trouvent sur deezer, un conseil d'écoute toutefois : le calme d'un fauteuil ou avant de s'endormir est fort propice pour ressentir le flux de l'album.

A bon entendeurs, salut.

mardi, mai 17, 2011

La Chanson du Mardi Soir : Chinese Man In Da Place

Ce soir, une petite chanson pour vous parlez d'un album récent dont de nos (rares) bons groupes français, voici :

Chinese Man - Miss Chang



Pour ceux qui débutent, Chinese Man c'est avant tout un groupe de Hip-hop français dans notre bonne tradition de DJ de qualités (cherchez Birdy Nam Nam et Wax Taylor entre autre). Avec deux albums très sympathiques porté par une tournée mémorable dans toute la France, les voici de retour avec un nouvel album : "Racing With The Sun", dont La Chanson du Mardi Soir est le premier single qui va avec.
Dans une tradition hiphop/scratch, Chinese Man nous reviens dans cet album plus intimiste, plus posé et avec une tendance vers des rythmes plus lent et plus posé qui contraste avec beaucoup de featuring (le cas de cette chanson).
Concernant cette premioère approche, j'ai choisis l'un des morceaux les plus proches de leurs style classique, à savoir, qui balance sur une bonne ambiance musicale couplé à un très bon clip très "vieux méchant chinois d'hollywood".

Si vous êtes intéressez par la suite, l'album est disponible sur deezer et je vous encourages vivement à supporter le peu de bonne musicale nationale qui nous restes et sur ce, bonne soirée à tous.

jeudi, mai 05, 2011

Game Review n°35 : Think With Portals

Je vous avais promis une review assassine et une review fanatique concernant les FPS et vous avez sûrement reconnus la première avec celle de Crysis 2. Aujourd'hui je vous proposes la deuxième review pour équilibré votre jugement, voici :

Le Choix du Patron
Portal 2


Fiche Technique-

First Person Puzzle développé et édité par Valve (Half-life, Left For Dead), sortit le 19 avril 2011 sur PC/PS3/360, déconseillé au moins de 12 ans. Suite de Portal premier du nom, vendus avec l'Orange Box, jeux de l'année 2007 et qui avait récolté un 19/20. Voix et texte en français, testé en version originale sur PC.

Décorticage-

Lorsque l'Orange Box est sortis il y a déjà quatre ans (rendant encore plus insoutenable le rappel de l'attente de HL2 Episode 3), ce n'est ni Team Fortress 2 ni HL2 qui ont été remarqué alors qu'il s'agissait pourtant de deux excellent jeux mais c'est bien de Portal que tout le monde c'est mis à parler. Une originalité à tous les niveaux, une utilisation du format FPS encore jamais vus, une ambiance unique, le jeux à mis tout le monde d'accord et placé la barre très haut pour le reste des FPS. Mais quatre ans plus tard leurs vision a telle été prise en compte ? Que se soient chez des grandes licences comme Call Of Duty qui s'embourbent de plus en plus dans le style de Fps qu'ils ont crées, dans le retour de nouvelles licences qui copient sans vergogne en espérant touchant une part du gâteau (Medal Of Honor, apparemment Battlefield s'y met aussi) ou même dans des essais loupés de gagner la guerre du marketing sans avoir de ressource derrière (Homefront), le FPS ne se porte pas bien.


Duty Calls n'est pas une parodie très subtile mais elle à le mérite d'être symptomatique des ficelles de gameplay des FPS actuels.

En fait je joue sur les mots, il ne se porte pas bien pour les joueurs car pour les éditeurs le combos DLC plus disparition du talent dans les FPS leurs ont ouvert des portes que jamais ils ne croyaient pouvoir atteindre. Même Halo, qui était le fleuron des FPS consoles, doit s'avouer vaincu devant la nouvelle vague de machine à fric. Et même les meilleurs s'y mettent, Valve n'est pas non plus au dessus avec certaines pratiques marketing douteuses (Left for Dead et sa pseudo suite). Quand enfin la suite de Portal est annoncé à base d'une chasse au œufs totalement hallucinante dans des petits bouts de code planqué un peu partout, l'espoir revient dans le cœur des geeks qui n'en peuvent plus d'attendre Half-Life Ep 3. Et maintenant que j'ai pu avoir le jeux entre mes mains voici ce qu'on peu en dire :

Portal 2 c'est avant tout la suite d'un premier épisode qu'il fortement conseillé d'avoir joué et au vus du nombre impressionnant de promotion et d'offre steam à son sujet si vous ne le possédez pas encore c'est que vous l'avez fais exprès. Vous vous réveillez donc dans se second épisode dans une étonnante chambre de repos qui fais office (et s'en moque beaucoup d'ailleurs) de pseudo didacticiel. SI vous doutiez encore de l'ambiance loufoque et des dialogues finement ciselés du premier épisode, vous allez être immédiatement convaincu par ces débuts mouvementés et dans la rencontre avec votre premier compagnons, Weathley.
Avec toujours beaucoup d'humour et à la suite d'un script dont la complexité renvoie tout les FPS basé sur se système à l'age de pierre vous vous retrouvez une nouvelle fois dans les salle de test si chère à la série. Sauf que maintenant (beaucoup d'année plus tard) tout est détruit, envahie d'herbes folles et passablement délabré, une façon subtile de nous prouvez que le moteur est non seulement maîtriser parfaitement par les développeurs mais qu'il est encore largement capable d'afficher de magnifiques environnements. Je vous laisses le soin de découvrir ce qui vous attends par la suite et j'en profite pour abordé le points le plus important, le gameplay.

Une salle de test bien plus délabrée que celle du premier épisode, la norme de cette suite

Si portal était basé sur une idée simple mais pleine de profondeur, sa suite ne se contente pas de prendre les mêmes et de recommencer, elle ne fais pas les choses à moitié pour varié le gameplay. Si la physique du portal de base est toujours conservé, les développeurs y ont ajouté une brouettes de nouveautés, qui vont des rayons lasers à faire circuler dans toute la pièce, à des gels de couleurs qui changent les propriétés des surfaces conservées (rebondissant, accélérateur...).
Il ne s'agit bien sûr que du haut de l'iceberg car le nombreux de nouveauté est si impressionnant qu'a peine vous en avez finis avec une, que la suivante viens déjà vous êtres présentés. Un rythme très appréciable dont le seul défaut est de devoir attendre les dernière salles du jeux pour pouvoir manié toutes ces nouveautés en même temps et même à ce moment la difficulté reste encore largement jouable. Car si le premier portal était relativement complexe la première fois qu'on jouait, celui-ci ce révèle calculé de la même manière, à savori que certains vont bloquer sur un ou deux endroits en particulier mais que jamais vous ne devriez à avoir à hurler votre haine au développeurs pour leurs esprit tordus. D'ailleurs la plupart du temps la solution est finalement bien plus facile qu'envisagé précédemment.

Si tous les FPS maîtrisait leurs moteur physique aussi bien que ce Portal 2...

Une fois découvert le joie du portal gun à double sens et des premiers améliorations vous commencez vraiment à vous amusez et les développeurs ont la bonne idée de vous faire variées d’environnement avec un point de scénario important (de toute façon le jeu est bourré de spoiler), et de vous lâchez dans des salles bien plus ouverte ou trouvé sont chemin est la première étape avant de comprendre comment s'y rendre. Un passage semi-exploration qui est d’ailleurs un des plus réussis du jeux, vous limitant violemment les surface compatibles avec vos portails afin d'offrir une expérience de découverte qui rappelle qu'il s'agit des développeurs d'Half-life, particulièrement doué pour balisé subtilement un parcours sans que le joueurs ne se sentent pris pas la main. Alors que les jeux du moment, et notamment les FPS, ont pour habitude de tous vous montrez et de vous mettre un grand point clignotant sur la carte là où vous devez allez, portal prend au contraire un malin plaisir à vous perdre et à vous laissez cherchez votre chemin en utilisant toutes les techniques et nouveauté à votre disposition.

Wheatley, un des nouveaux personnages hilarants pour les anglophiles et un tout petit peu de spoil du début du jeux


C'est d'ailleurs durant se second acte que vous découvrirez la matière qui à été rajoutez au background du jeu qui devient largement prédominant et qui donne envie d'en découvrir plus, notamment dans le lien avec Half-Life 2 qui n'est toujours pas abordé malgré beaucoup d'information supplémentaire découvrables. J'aimerais vous en parlez plus mais le scénario lui même est finalement assez développer et au vus de la qualité de l'expérience il serait criminel de vous ruiner la surprise qui est présente dans presque toute les scène scriptées du jeux. Si vous voulez je peux vous parlez de l'ambiance mais si vous avez regardez les différentes vidéo de présentation, vous savez déjà les bases de la narration de portal 2, une des meilleures dans l'histoire des FPS.

Si l'humour est omniprésent comme dans le premier épisode, c'est ici les personnages qui s'en donnent à cœurs joie avec des dialogues toujours aussi loufoques et bourrées de réplique cultes malgré le fait que la plupart d'entre eux sont indirect. Les situation sont elles aussi une successions de moment d'anthologie et resterons dans les annales du jeux tant se portal se place au delà des FPS conventionnel. je finis par le point qui fâche en général : la durée de vie.
Si les fps ne sont pas connus pour leurs longue expérience (portal n'était d'ailleurs pas une référence dans ce domaine), cette suite ne fais pas beaucoup mieux bien qu'elle dure environ trois plus longtemps que le portal d'origine. Cependant la difficulté équilibrés et le système de réflexion bien implanté chez les joueurs du premier opus, l'aventure solo ne devrait pas prendre plus de 6, 7 heures de pur bonheur.

Les deux protagonistes du mode coopératif que je n’ai même pas encore testé

Résultats-

-Graphisme : Si l'on craignait que le moteur source rendent l'âme, force est de constater qu'il se débrouille encore très bien avec d'excellent effets de lumière entre autres. Les différents environnements sont excellent et l'utilisation du moteur physique est la plus aboutie de l'histoire du jeux vidéo.

-Gameplay : Comme dans tous les bons jeux, le gameplay est à la fois simple mais terriblement prenant, surtout combiné à un grand panel de nouveauté qui multiplie vertigineusement le nombre de possibilités. Si certains ajouts ne sont pas encore exploité à fond gageons que les maps amateurs et les futurs devraient pallier à se problème.

-Son : Des dialogues extrèmements bien écrit tout au long du jeux et doublés magistralement en version originale tout comme en version française (légèrement en retrait tout de même). La bande-son est bien implémenter avec une sélection éclectique d'électronique de qualité. Comme toujours on appréciera beaucoup les bruitages qui font la réputation du jeux (des tourelles par exemples)

-Scénario / Durée de Vie / Difficulté : Le scénario est non seulement prenant mais contient aussi son lot de rebondissement cumulé avec une bonne louche d'information supplémentaire sur les différents personnages et lieux. L'humour absurde est aussi de la partie, ajouter en dose généreuse tout au long de l'aventure. La durée de vie est relativmeent courte malheureusement, 6/7 heures en solo et apparemment de même en coop. Cependant comme son prédécesseur, les excuses pour y rejouer ne manqueront pas. La difficulté est calculée selon une courbe très précise qui n'exclut pas que vous bloquiez sur un puzzle pendant un moment mais qui est équilibré pour que vous n'en n'arriviez pas à vous arrachez les cheveux devant la complexité. Les habitués du premier volet ne devrait d'ailleurs pas avoir de problème pour démonter le jeux et attendront avec impatience les premières maps non officielles.

-Ambiance : C'était déjà un argument de vente du premier volet et le deuxième passe à la vitesse supérieure. Plus de variété, plus d'humour, plus de situations mémorables, plus de dialogues légendaires et toujours autant de plaisirs à traverser l'univers qui se voit largement enrichis. Dommage que le lien avec half-life soit toujours introuvable.

Note-

20/20

Si le premier épisode avait obtenus un 19, je ne comptais donner ce dernier poins facilement mais force est de constater que tous ce qui faisait la qualité du premier opus c'est vus triplés dans cette suite digne de l'engouement des critiques. Si vous hésitez encore à vous procurez ce chef-d'oeuvres dites vous que dans cette critique, le jeux à pris la note maximal alors que je n'ai reviewé et testé que la moitié de celui-ci, à savoir le mode solo. Un mode coopératif entier, au moins aussi long et tortueux est encore à faire et sans même l'avoir effleurés je fais confiance à la qualité de celui-ci. Portal 2, un candidat très sérieux pour le jeux de l'année.

Les + :

-Gameplay parfait

-Ambiance unique

-Bien variée

-Véritablement drôle

-Mémorable jusqu'au bout

-Aspect sonore sans reproche

-Courbe de progression toujours aussi bien étudiée

-Mode coopératif

Les - :

-Aucun

Si vous avez aimés : Refaite-le avec les commentaires des développeurs, ce n'est pas tous les jours qu'on croise un jeux comme ça.

Still Alive...

La Chanson du Mardi Soir : Slow Train

Cette semaine on met à jour un artiste qui c'est déjà vu encensé dans la chanson du mardi soir, un bon vieux rockeur de la nouvelle école, voici :

Joe Bonamassa - Slow Train

Joe Bonamassa n'est pas une nouveauté du blog, mentionné pour la première fois dans une review de son premier album solo, le bougre m'avais bien plus mais devait encore gagner un peu en maturité avant de vraiment entrer dans la cour des grands. un album m'a convaincu de cela, il s'agit de Blues Deluxe, non seulement mentionné avec les honneurs dans une cuisine du patron mais dont le meilleur morceaux était "chanson du mardi soir" quelques mois plus tard.
Le guitariste avait donc toujours un bonne place dans ma playlist et tout récemment je me suis rendus compte en prenant de ses nouvelles que je n'avais pas loupé un mais deux albums de son cru !
M'étant empressé de réparer ma faute je vous proposes aujourd’hui le premier morceaux qui a retenus mon attention (mais largement pas le seul) dans ses deux albums de très grandes qualités. Tiré de Dust Bowl, le plus récent des deux, Slow Train est la chanson d'ouverture et se voit donc attribué la lourde charge de nous mettre dans l'ambiance de tout un album. C'est mission accomplis pour cette composition excellente dans le pur style de Bonamassa, toujours très blues/rock et plein d'entrain.

Pour les intéresser, Bonamassa est dispo sur Deezer et sur Grooveshark et je vous invites à fouiller un peu ses albums, vous ne le regretterez pas.

Sur ceux, je vous quittes je viens de me rendre compte qu'il me manque encore un de ces albums, il faut que je répare cette nouvelle erreur !