En ce moment sur le blog : Movie Review Avengers ; Review DragonForce ; Game Review SSX
Bientôt sur le blog : Rattrapage du retard !

vendredi, juillet 30, 2010

Game Review n°26 : Split/Second

La nouvelle fournée de concurent à Burnout et Need For Speed (Surtout Burnout en fait...) est disponible depuis peu avec deux licences originales : Blur et Split/Second, chacun avec son propre concept. Intéressons nous au plus ambitieux des deux, voici :

Split/Second Velocity


Fiche Technique-

Jeu de course arcade sortit le 20 mai 2010 sur PC/PS3/Xbox, développé par Black Rock Studio (Pure) et payé par Disney Interactive. Disponible en français et le test à eu lieu sur une version PC sans manette je le précise (puisque apparemment les jeux récent vous obliges à avoir une manette 360).

Décorticage-

Depuis que NFS c'est littéralement torpillé lui-même, le marché de la course arcade est légèrement tombé en disgrâce, relevé uniquement par quelques bons survivants (comme Burnout) et nos analyste favoris se sont dit : "Ya des dollars à faire !". Voici donc deux jeux qui surfent sur ce créneaux : le très multijoueur Blur et le plus classique Split/Second.
Commençons par le concept de ce dernier, l'un des ses importants faire valoir, résumé en ces quelques lignes : "Contrôlez des bolides originaux à toute vitesse à travers une ville où chaque immeuble est votre arme !". En gros au lieu de tirer des missiles ou des carapaces rouge sur vos ennemis vous faîtes litéralement exploser voitures, camions, routes, buildings, ponts et j'en passe pour vous débarrassez de vos adversaires. Dubitatif ? Attendez de voir un porte-conteneur se mettre à passez dans votre circuit et vous allez moins rire. Que se soient de simple attaque comme les premiers niveaux d'explosions (voitures du bas coté qui explosent, largage de baril explosif sur la route ou encore bus remplis de C4 qui viens en travers de la route) ou bien de véritables changement de décors comme une immense tour s'effondrant sur la piste et devenant une véritable rampe de lancement (sans blague) vous imaginez sans peine les réflexes nécessaires pour naviguez dans le tas de débris à des vitesses dignes de Burnout.


Voici une bonne idée de ce qui vous attends...

En plus le jeu est beau, ce qui rend les explosions toujours plus alléchantes et qui paradoxalement vous déconcentrera plus d'une fois lors de vos premier run sur les (peu nombreux) circuits. Si l'argument des développeur veut que leurs nombres soient réduits à cause de leurs grande versatilité celui-ci est plutôt une mauvaise excuse qui passe pour un manque de temps mais qui heureusement ne veut pas dire manque d'idée. Entre le port de conteneur, le centre-ville et la centrale nucléaire (oui, oui oui) vous en aurez pour votre argent, enfin si tant est que vous l'avez acheté sur consoles. Parce que votre PC est malheureusement bridé à cause du portage. Au revoir donc les 100 fps constants et bonjour à des explosions qui font ramer votre pc dernière génération avec les graphismes minimum, saleté de consoleux. Citons la manette qui n'est pas inclus et qui posera de nombreux problème quand viendra le moment de caser vos dérapages avec votre clavier, enfin pour tous ceux qui ne sont pas des habitués de Trackmania. Mais que serais une course sans adversaire ?

C'est dans ce genre de situation que l'instinct de survie prend le dessus.

Ici, l'intelligence artificielle cumule les petites limitations de gameplay pour vous incitez à jouez dans les cordes. Vous devrez enchainez nombre de dérapages et autres aspirations pour pouvoir remplir votre jauge de destruction mais les ordis n'auront pas ce problème (d'ailleurs comment font-ils pour prendre les épingles à cheveux sans dérapez avec leurs immenses 4x4 ?). De même, vous aurez beau vous jetez de toute la force de votre faux-Hummer (tm) sur une fausse-lambo, vous ne ferez pas bougez le bot d'un poil qui lui vous repoussera sans difficulté : "Dans la série l'ordinateur triche, je voudrais le jeux de courses !". Bien sûr, le reste de l'IA n'est pas plus Mario Kart que les bots d'Unreal ne vous laisseront vivre en Très Difficile et certaines courses vous donneront du fil à retors.

D'ailleurs en ce concerne les courses, sachez qu'elles se divises en plusieurs style : classique, élimination (grâce à un compteur) et quelques bonnes idées : contre la montre avec explosion scripté ou survie (contre un hélico de combat ou bien un camion géant). Bref un bon programme pour un mode solo plutôt acceptable compte tenus du nombre honnête de voitures et de la difficulté élevé du soft. Signalons aussi un mode multi sympathique et bien violent, y compris en écran splitté (louez soit le seigneur !).

Résultats-

Graphisme : c'est beau, c'est même très beau et ce n'est pas tous les jours qu'une tour de 200 étage vous tombes dessus. Rien que pour cela, bravo. Par contre le jeux bloqué à 30 fps sur PC et qui rame même avec une machine de la N.A.S.A en 800x600 et les détails au minimum c'est un peu se foutre du monde. Mais c'est beau !

Gameplay : Avec une manette et sur un console qui rame pas c'est très bon, sans ses deux conditions, on se casse un peu les dents. Mais c'est aussi un rare plaisirs que de se frotté à une IA féroce dans des circuits ou le moindre défaut de réflexe vous expédie illico à la dernière place. Aurait mérité un peu plus de circuit et d'environnement mais on prend déjà bien son pieds.
On aime aussi le multijoueur, surtout en écran splitté.

Son : Malgré peu de musique très marquantes, les bruitages sont très soignés et la cohérence qui s'en dégage est très impressionnante. Par contre les voix...heureusement que cet aspect à été oubliez parce que les rares fois ou l'on entends les doubleurs nous présentez tel ou tel épisodes on est pris d'envie de suicide.

Scénario/Durée de Vie/Difficulté : Le scénario aurait pu être bon si il avait été utilisé, le concept d'une télé-réalité explosive avait du potentiel non exploité (j'y reviendrais dans ambiance). La durée de vie est honorable, un jeu de bagnole classique si j'ose dire sauf qu'ici n'espéré pas battre les bots avec la caisse de départ (comme dans un certains NFSC) alors que les ennemis eux-même commence avec les meilleures voitures du jeux. Comme dit précédemment, la difficulté est régulièrement retord et même si être premier du championnats ne devrait pas posé beaucoup de problèmes, arrivez premier à toutes les courses est un tout autre challenge surtout dans les conditions PC.

Ambiance : L'idée de base de la télé-réalité est bonne mais au final pratiquement rien n'en a été conservé en dehors du découpage des courses en épisodes et de quelques (heureusement rare) présentation cinématique. Un aspect du jeux qui aurait gagné à être largement plus exploité.

Note-

15/20

Un très bon jeux de bagnole arcade qui s'appuie intelligemment sur un concept innovant pour mettre la pression. Malgré quelques évident défauts de jeunesse au niveau de l'IA par exemple, force est de constater que l'on est encore plus absorbé que dans Burnout, ce qui n'est pas peu dire. Perd un point pour le portage douteux sur PC et on ne pourra que regretter le manque d'investissement dans l'ambiance qui partait pourtant sur de bonnes bases.

Les + :

-Ca va vite

-Tout explose

-Difficulté retors

-Très bon travail des bruitages

-Concept original

-Ecran splitté

Les - :

-Quelques problèmes de gameplay

-IA un peu trop tricheuse

-Limitation sur PC


Si vous avez aimés : Blur sûrement, sinon Burnout et avec un peu de chance, le prochain Need For Speed Hot Poursuit.

samedi, juillet 10, 2010

Movie Review n°35 : Eclipse

Et non, il ne s'agit pas du nouveau numéro d'éclipse mais bien de la review que vous attendez tous, la conclusion de ma mission divine, l'apothéose de se blog, le monument de mon (relatif) travail de cobaye, voici :

Twilight chapitre 3 : Hésitation

Un choix...se sacrifier pour les autres ou sauver deux heures d'une vie ?

Fiche Technique-


Film romance fantastique adaptation du 3ième volet de la saga Twilight dont les informations qui n'ont pas changé se retrouvent toujours sur la review du 2ieme volet. On notera que le film est cette fois-ci réalisé par David Slate (pas grand chose à son tableau de chasse) avec comme nouveau rôle une nouvelle connasse rousse pour remplacer l'ancienne.

Synopsis-

Alors que Bella à enfin réglé ses problèmes conjugaux avec Edward "24 carat" Cullen des disparitions inexpliqués à cause des vampires se produisent à Seatle. Orchestré par la rouquine inutile des autres épisodes et cautionné par les fanatiques Vol-du-riz, Mr.freeze et les lupins vont devoir formé une alliance pour repousser cette nouvelle menace. Oh ! et les deux protagonistes sont censés se marier par les liens sacré du vampirisme.

Décorticage-

Attention, cette review est inspiré de faits réels !

Lorsque l'un de mes amis ma proposé d'aller voir le troisième Twilight ensemble, j'ai d'abord récrier qu'il n'avais pas du lire mon blog. Le fait est qu'il devait le voir suite a un paris stupide (aha, il se reconnaitra), j'acceptais difficilement la dernière étape de ma mission divine. La tête pleine d'un espoir fou que la trilogie se termine convenablement, votre serviteur c'est donc lancé dans ce dernier volet (en tous cas pour moi) des aventures de Dracula et l'autruche. Autant vous le dire tout de suite, les critiques parlent souvent du livre comme le maillon faible de la trilogie. Au vu du niveau très moyen de la saga (et se suis encore gentil pour l'instant) ce dernier volet s'annonçait sous de mauvais auspices...eh bien justice à été rendus, les critiques avaient raison !

Tout d'abord le scénario commence dans le champs de fleur qui avait vu le deuxième film se terminer avec exactement le même refrain : "épouse-moi...". Le coté émotionnel qu'apportais plus ou moins cette réplique dans le deuxième opus disparais ici après sa cinquième itération devant une greluche amoureuse jusqu'au yeux mais qui aimerais d'abord se faire sauter, pardon mordre. Déjà l'accroche du coté romance commence par nous sortir par les trous de nez alors que le film vient à peine de commencer, je rage. En continuant sur une note plus sympathique je voudrais signaler le casting, dont la platitude à désormais atteint son paroxysme et qui est de plus renforcé par les dialogues les plus immondes de l'histoire du cinéma fantastique.
Même le délirant Ed Wood n'avait pas fais mieux dans le genre "je t'aime, moi non plus" qui dégouline de partout et salope le plancher.

Pour continuer sur ces dialogues insipides, un mot sur la morale, un parfait exemple de l'héritage mormon de l'auteur (et du point de vue catholique en général) avec la mise en valeur de thème comme "l'amour uniquement après le mariage" dans la bouche du vampire principal, un comble pour un puceau de 110 ans. Et tant qu'on est dans les débilités signalons le lupin de service dont j'ai oublié le nom (Taylor Lävercoperator pour l'acteur ou quelque chose dans le genre) qui est tellement obnubiler par le charisme époustouflant de la plante verte principale, qu'il en vient à ruminer son "elle m'aime mais elle ne le sait pas encore" jusqu'à presque le faire devenir con. Ah pardon, on me signale qu'il l'étais depuis le début, autant pour moi. Le geranium qui sert de présence féminine ne s'améliore pas avec le temps puisque son jeu oscille dangereusement vers le "très énervant" pour les spectateurs, de la voir jouer sa petite princesse alors qu'on à tous bien compris qu'elle rêvait simplement de ce faire sauter par un vampire (enfin un détail qui correspond à l'image des buveur de sang). Pour tuer encore un peu plus le mythe, les loups-garou imberbe font maintenant face aux vampires cubes de glace parce que, eh oui !, ils sont forment d'étonnantes formation glaciaires très inflammables à leurs mort (essayez un peu de dégagez le sens de ce passage).

Magnifique champs de fleur comprenant les deux spécimens principaux du documentaires

Un mot ou deux sur le scénario, qui nous fais ici le plaisirs d'avoir enfin un peu de développement des personnages secondaires, quelqu'un à du comprendre que les gens allaient s'arracher les cheveux devant 2h des trois légumes principaux. La famille vamp se permet alors un paire de flashback sympathique qui aurait été du plus bel effet si placé dans le premier volume, causant ainsi un petit intérêt naissant pour ses personnages. Pas de bol, à dix minutes de la grande bataille (théorique j'y reviendrais) cette présentation éclair ne fais pas autant d'effet que prévus. D'ailleurs, le combat en question est, comme souvent dans les pseudo-blockbuster actuel, relégué à une légère scène de CGI de trente seconde, certes classe mais pas suffisamment pour remplir plus que la bande-annonce, qui en passant vous montres 90% des scènes d'actions du film. A signaler, ou pas, un changement d'actrice complétement invisible et un ou deux nouveau personnages dont, le lendemain de ma vision, je n'arrive déjà plus à me remémorer les noms. Enfin ceux qui aime la musique seront ravis d'apprendre que Muse participe encore à la bande-son, ajoutant ainsi une raison supplémentaire de ne pas aller voir ce film. Mais eh, ya quand même UNKLE alors tout n'est pas perdu n'est ce pas ?

Toute la qualité du jeu d'acteur en une image.

Résultats-

Casting : Il est tout de même impressionnant de voir qu'après trois film passé ensemble, les trois protagonistes soient toujours aussi lamentable qu'avant. Certains pourtant pourrais sortir du lot mais sont plombés par le ridicule des situations auquel ils devraient apporter leur soutient. Difficile de savoir qui est le pire dans tous cela, surtout que même les acteurs "expérimentés" tournent en boucle (le père de bella est dans mon top 10 des parents les plus stupides)

Scénario : J'avais entendus dire que le troisième étais aussi le creux de la vague de la sage, je partage cet opinion mais puissance dix. Non seulement l'histoire n'apporte rien de nouveau sous le soleil mais en plus les dialogues et les thèmes abordés sont encore plus ridicule que dans les deux autres volets (il fallait le faire). En plus la fin est cousus de fil clignotant et les personnages sont en une seule dimension, attention subjectif : Bella : "je veux me faire sauter", Edward : "j'ai pas d'organe", Woulfi : "je veux sauter Bella", Père de Bella : "hein ? Quoi ? Ah.", Méchante : "je veux tuer Bella".
Je croit que l'auteur à définitivement une fascination pour son personnage principal, voyez ici pour plus de détail (l'article wiki qui prend même Twilight en exemple).

Bande-son : On notera UNKLE. On notera aussi de ne pas prêter attention au reste de la bande-son (muse...ca veut tout dire). Le doublages est supportables mais ce sont les dialogues qui font souffrir.

Aspect Visuel / Ambiance : De bien jolis décors mais aussi bien moins crédible que dans les deux premier épisode (torse nu sous la neige en Alaska je n'en doute pas...). Sinon les effets visuels conservent leurs relative qualité du deuxième mais son plombé par un détail très refroidissant, les vampires en cube de glace. L'ambiance romance / action fantasy gagne encore un niveau de niaiserie et de mièvrerie (une certaines forme de prouesse).

Note : 3/20


Alors que le premier Twilight avait pris un 6 que je qualifiais à l'époque de sévère (quelques points en moins pour m'avoir forcé à le voir) et que son successeur avait gagné un point, la dernière pierre de l'édifice nous montres comment les suites sont toujours les pires. Tel la cerise sur le gâteau, ce dernier épisode de la saga concentre tous les éléments énervant des autres films mais avec le scénario et la surprise en moins. Avec toujours les mêmes défauts et certains même empiré (les dialogues et les thèmes, mon Dieu !), tous ceux qui hésitaient encore à regarder cette trilogie on maintenant la réponse définitive : Twilight, c'est de la merde.

Les + :

-J'en ai finis avec Twilight

-Deux / Trois flashback acceptable

Les - :

-Les mêmes défauts puissance dix

-Tout le reste

Si vous avez aimés : je vous en veux pas mais éviter d'en faire la pub svp, ne gâchez mon sacrifice.

Anime Review n°17 : Queen's Blade

Anime qui m'a été conseillé par l'un d'entre vous, un pur produit ecchi de la japanimation, voici :

Queen's Blade S1&2


Synopsis-

Dans un monde de fantasy (démon, ange, chevalier, ninja (?) et j'en passe) le grand tournoi Queen's Blade se déroule tous les quatre ans pour désigner la reine la plus puissante et la plus belle qui se voit confier les plein pouvoir du continent. L'histoire tourne autour de plusieurs de ses combattantes dont la jeune Reina (ou Leina), fille d'un puissant noble.

Décorticage-

Animation : Assuré par "Arms" (Ikkitousen et Elfen Lied entre autres) les personnages et les scènes de combats sont plutôt convaincante. Même si les décors et autres lieux ne laissent pas un souvenir impérissable, on appréciera la, hum hum, "qualité" des héroïnes.

Son : Pas grand chose à dire, les productions ecchi brillent rarement pour les prouesses sonores et Queen's Blade n'échappe pas à la règle : les musiques sont niaises et le combo opening/ending ne mérite pas d'être mentionné. Le doublage, lui, s'en sort mieux avec plusieurs doubleuses que certains reconnaitront (l'ange récurrent est doublé par Haruhi en autre) et font un bon travail de, hum hum, "bruitages".

Le principal attrait de l'anime vient après l'avoir terminé...

Scénario : Euh... un grand tournoi, des guerriers venus de partout et une jeune héroïne naïve qui veut devenir plus fort sans raison particulière, je suppose que le terme banal est de rigueur. Dommage, vraiment dommage que l'anime se prennent trop au sérieux par rapport au autres production ecchi/comédie (Green Green ou Ikkitousen par exemple).

Personnages : Un cast d'une vingtaine de personnages et tous sont exclusivement femelles... Je crois que l'idée de base est assez claire. Certaines se révèlent finalement plutôt amusantes/originaux (l'ange pas si saint que cela) alors que d'autre souffrent beaucoup de l'aspect "trop sérieux" de l'anime en général (l'héroïne et sa rivale entre autres). On à tout de même déjà vu bien mieux malgré le soin particulier appliqué aux, hum hum, "proportions".

Ambiance : Un royaume fantasy, des thèmes usés jusqu'à la corde et du drama inutile... La carte du sérieux au milieu du ecchi ne tourne clairement pas à son avantage, là ou Ikkitousen savait varier les plaisirs entre délice visuel et situation comique, Queen's Blade patine dans son univers très basique.

Résultat-

13/20

Partant d'une idée simple et un design de personnages, hum hum, "intéressant", Queen's Blade ne parvient à sortir du lot, la faute à un traitement beaucoup trop sérieux pour un anime de cette catégories. Contrastant énormément avec le coté irréaliste du ecchi, la lutte pour le pouvoir et le drama sont clairement mal venus. Pourra toutefois convenir à ceux qui sont en manque de fantasy/panty shot pour une ou deux aprem mais n'en n'attendez pas grand chose. Au moins on se rattrape avec le grand nombre de, hum hum, "produit dérivé".

Les + :

-Chacun sa préférée

-Certains personnages attachant

-Encore beaucoup à "voir" après la fin

Les - :

-Coté sérieux

-Univers et ambiance surfait

-Bande-son en plastoc

Si vous avez aimés : La dernière saison de Ikkitousen (Xtreme Xecutor) viens de finir. Sinon ils vous restes sûrement beaucoup à voir dans les spin-off de la série.

vendredi, juillet 09, 2010

Movie Review n°34 : Trois journées au cinéma.

Puisque la fête du cinéma est terminé voici un grand bombardement sur les salles obscures du moment, un petit pot-pourris, voici :

Iron Man 2


Vu depuis longtemps mais j'avais oublié de le reviewer. Après un excellent premier épisode qui s'éloignait enfin des classiques super-héro, Tony Strak pardon Robert Downey Jr. nous reviens encore plus exubérant que jamais pour notre plus grand plaisirs. Humour, Action et personnages charismatiques, le blockbuster de l'été est une très bonne pioche : 17/20, encore meilleur que son prédécesseur.

L'Agence tous risques

L'Agence tous risque, c'est vraiment...la dernière chance au dernier moment !

Cette reprise de la célèbre série tv que je n'ai pas vu (trop jeune) se place comme l'un des bons films de cet été. Avec un casting au poil, beaucoup d'humour combiné avec une réalisation intelligente et une bonne ambiance, ce typé vieux films d'action ravira tous les fans du genre avec beaucoup de démesure. En dehors du scénario gentil, pas grand chose à lui en vouloir (même le thème original est présent !) : 17/20.


Shrek 4, Il était une fin

Après un bon deuxième épisode et une fin de trilogie un peu boueuse, Shrek tente de conclure en beauté. Pari plutôt réussis, où la bonne idée à été de laissez tomber la surcharge de personnages secondaires pour se concentrer sur ce qui as fais le succès de la série. Plusieurs bonnes idées et un humour moins bas-de-plafond que le dernier, ce finale est décemment regardable même si on as déjà vu mieux : 14/20. Existe aussi en 3D.

When You're Strange

Documentaire sur le groupe mythique "The Doors" narré par Johnny Depp, comment raté une accroche pareille ? Là où le biopic "The Doors" de Scorsese admettais que vous connaissiez déjà la légende et s'intéressait plutôt aux "à coté", ce doc n'y va pas par quattre chemin et nous balances les fais sur de la bonne musique. Alors si vous connaissez forcement tous l'historique des Doors, vous serez peut-être moins excité mais tous ceux qui apprécie la bonne zik raconté par Johnny Depp seront gâtés : 16/20.

Enter The Void


Ce film très expérimental de 2h30 se réserve avant tout au crack des cinéphiles. Les gens normaux qui regardent des films pour le plaisirs ne devraient pas prêter grande attention à ce qui suit. Pour ceux qui cherchent à se faire un peu surprendre de temps en temps avec des films indirect voici une bonne piste. Un histoire plutôt étrange d'un petit dealer de Tokyo dont on suit le chemin, surtout après sa mort (oui après sa mort). Inspiré du livre des morts tibétains (me demander pas ce que c'est), on est catapulté dans un film violent, souvent dérangeant mais qui exerce aussi une certaine fascination qui ne s'estompe que plusieurs heures après la fin du film. Au hasard, contient sans détour du DMT, du sexe, de la violence et des écrans déconseillés au épileptique. 15/20 , dure de noté une expérience sensorielle.


Voilà pour le cinéma du moment mais ne vous inquiétez pas, je revient vite avec une review anime et ensuite une surprise que vous attendez tous !

@+