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mardi, août 24, 2010

Combo Breaker ! Top 10 : 007

Aujourd'hui un post un peu spécial puisqu'il s'agit d'une requête d'un de mes fidèles lecteurs qui me propose de faire un petit Top 10 , rubrique qui pourra revenir ou pas selon les demandes, voici pour Bastien :

Top 10 : James Bond 007


Introduction-

Si on peu penser que la célèbre licence James Bond n'a nul besoin d'introduction je tiens tout de même à rappeler quelques fais :
James Bond, c'est avant tout un héros de roman écrit par Ian Fleming ente 1953 et 1966 qui donna naissance à l'une des plus grosse licence anglaise comprenant 22 film s'échelonnant entre 1962 et 2008. Le plus récent épisode, Quantum of Solace était dans la continuité du "reboot" de la saga avec encore une nouvelle tête pour notre agent secret, la sixième si je ne m'abuse.
Évidemment James Bond c'est aussi une des icônes les plus reconnaissable de la culture cinématographique de ses 40 dernières années avec de nombreuses répliques et situations cultes (Bond, James Bond, La recette du Martini et j'en passe), une figure de proue de la fiction d'espionnage. Ceci dit, passons maintenant à note compteur et découvrons ensemble les meilleurs James Bond et n'oubliez pas, c'est un avis personnel qui vous est donné.

Numéro 10 - Dr.No (n°1, 1962)

Déjà certains seront surpris de voir le compteur commencer (ou bien finir c'est selon) par le premier James Bond. Alors, pourquoi Dr.No ? Non content d'être le lanceur de toute une saga légendaire, il est aussi responsable de nombreux éléments récurrent, en vrac : la séquence du canon de pistolet, la JB girl, le martini "secoué, non agité" de même que le rythme général de presque tous les James Bond de cette période. Alors pourquoi ci bas ? Malgré la scène mythique où Ursula Andress sort de l'eau en Bikini, il faut bien avoué que le film à beaucoup viellit et aujourd'hui, je doute qu'il jouisse de la même popularité qu'à sa sortie.

Numéro 9 - L'Homme au Pistolet D'or (n°9, 1974)
/ Dangereusement Votre (n°14, 1985)

Allons bon, a peine le début et déjà une égalité. Eh oui, ces deux JB on 10 ans d'écart on pourtant sont appréciés pour les mêmes raisons. Malgré un scénario basé sur de bonne idée mais un peu ridicule, le film est sauvé par une prestation de Roger Moore toujours de qualité mais surtout grâce à la présence de méchant qui se retrouvent aujourd'hui encore dans nos film, respectivement Christopher Lee (qui à cette époque était plus connus comme Dracula que comme Compte Dooku /Saruman) et Christopher Walken (que l'on reconnait facilement dans Batman le Défi ou Sleepy Hollow). Deux méchant légendaire, deux très bon thème d"introduction, et deux très bonne course poursuite (Tour Eiffel et Tonneau en voiture pour ceux qui se souviennent) et deux James Bond plaisant. Alors pourquoi pas plus haut ? Tous simplement que le filtre nostalgique à tendance à masquer le coté un peu ridicule de ces deux James Bond mais qui est malheureusement bien présent (le scène de Kung-fu dans L'homme au pistolet d'or par exemple).

Numéro 8 - Vivre et Laisser Mourir (n°8, 1973)

Le James Bond numéro 8 à la huitième place, une drôle de coïncidence mais il mérite sa place. Débutant par un générique repris des milliers de fois (Le légendaire Live and Let Die de Paul McCartney), se 007 joue la carte du dépaysement en brandissant le cartel noir de trafiquant de drogue comme excuse pour une viré dans le vaudou et dans le mysticisme de la Louisiane entre autre. Avec des personnages remarquables comme le shérif J.W Pepper, la liseuse de Taro Solitaire, Tee Hee et le terrifiant Baron Samedi, cette histoire de James Bond reste facilement dans les mémoires grâce à un rythme très soutenus et des scènes d'actions encore superbes aujourd'hui (la course poursuite en hors-bord dans les marais viens immédiatement à l'esprit). Alors pourquoi pas plus haut ? La fait d'être pas mauvais ne signifie pas être bon et malheureusement lui non plus n'échappe à une certaine déception après l'avoir revus sérieusement. Néanmoins il reste un très divertissant et à le mérite de s'intéresser à un complot un peu différent que Russe vs. Anglais.

Numéro 7 - Tuer n'est pas Jouer (n°15, 1987)

La première apparition du nouvel acteur, Timothy Dalton ne s'est pas fais discrètement avec ce Tuer n'est pas jouer. Là ou les acteurs successif de James Bond nous avais habitué à beaucoup de romantisme de la part de Bond, celui-ci joue la carte du plus sombre et du plus réaliste avec un véritable trame d'espionnage.
Avec une violoncelliste qui en à fais baver plus d'un et un méchant trafiquant d'arme aussi dangereux que comique, le film reste plus mémorable que sa suite Permis de Tuer grâce à une scène de poursuite défiant toute autre production, entre l'Aston Martin (tm) suréquipé de missile et laser et une descente d'anthologie sur un étui de violoncelle, on comprend facilement sa place dans un top 10 comme celui-ci. Alors pourquoi si bas finalement ? Tout simplement que malgré la férocité de James Bond dans cet épisode, il faut bien admettre que l'humour et parfois l'invraisemblance fais aussi partie intégrante de James Bond et que finalement c'est plus elle qu'on retient. Néanmoins Tuer n'est pas Jouer est trop souvent oublié, surtout le Laitier.

Numéro 6 - On ne vit que Deux Fois (n°5, 1967)
/ Moonraker (n°11, 1979)

Encore une égalité, et encore une fois c'est la trame qui est comparé ici. On ne vit que deux fois et Moonraker, c'est un peu le summum de James Bond dans le style un peu surexcité. Voyez un peu les deux synopsis : 1, James bond devient un ninja pour arrêter une fusée qui avale des fusée dans une base camouflée dans un volcan. 2, James Bond va dans l'espace avec des pistolets laser pour arrêter un complot d'envergure mondiale. Évidemment par rapport à Tuer n'est pas Jouer mentionné juste au dessus c'est très loin d'une histoire d'espionnage réaliste et pourtant la recette fonctionne un temps. Entre le coté dépaysement asiatique de On ne vit que deux fois dans lequel Sean Connery prend son pied et la bataille entre Requin et 007 sur un téléphérique de Moonraker, les scènes d'anthologie ne manque pas, alors pourquoi pas plus haut ? Malgré le gros apport nostalgie qu'il véhiculent, il faut bien reconnaitre que si le ridicule ne tue pas, il handicap sérieusement.

Numéro 5 -Demain Ne Meurt Jamais (n°19, 1997)

Alors que James bond viens de se faire relancer par le grand Goldeneye (on y viendra, ne vous inquiétez pas), faire une suite dans la même ligné n'est pas chose aisée et pour une fois c'est réussi. Débutant avec Pierce Brosnan toujours aussi classe et un excellent thème d'ouverture, Demain ne meurt jamais nous raconte un complot d'envergure organisé par un grand magnat des médias. L'originalité dans tous cela ? Le méchant, campé par l'inimitable Jonathan Pryce (le gouverneur Swan de Pirate des Caraïbes pour nos jeunes spectateurs qui n'ont pas vus Brazil), donne l'impression d'être en permanence défoncé et lance un conflit mondial presque que pour s'amuser. A coté d'un méchant aussi "bondissant", James Bond n'est pas en reste avec une agent asiatique redoutable et des scènes d'action de très bonne facture (un course en moto ou bien en voiture téléguidé viennent à l'esprit). Avec un scénario pas si bête et un très bon cast pourquoi ne pas le mettre plus haut dans le classement ? Tout simplement parce que Goldeneye est juste mieux partout.

Numéro 4 - L'Espion qui m'aimait (n°10, 1977)

A une époque où les complots invraisemblables et les méchants mégalomanes se succèdent (cet épisode se situé entre les deux épisodes placés au numéro 6), l'Espion qui m'aimait réussis à sortir une trame majeure mais qui, étonnamment, parviens à rester crédible. Bien que la menace nucléaire est un outil classique, le bateau avaleur de sous-marin l'est déjà moins et au final le vilain Karl Stromberg n'est pas si ridicule que cela. Alors pourquoi aussi haut ? Quelques exemples de ce qu'il se passe dans ce film vous en conviendra je pense : une course poursuite en sky, l'agent russe Triple X, le général Gogol en égypte et surtout la première apparition de Requin. Vous commencez à restituez la classe de cet épisode où il vous en faut plus ? Pensez à une course poursuite avec la légendaire Lotus esprit (tm) qui se transforme en mini sous-marin. Au final, qu'est ce qui empêche l'épisode d'être plus haut dans la liste ? La qualité du podium.

Numéro 3 - Casino Royale (n°21, 2006)

Le bas de se podium revient à une magnifique réussite, le récent reboot de la série, Casino Royale. Ce qui est impressionnant avec cet épisode c'est que tout le monde l'attendait au tournant depuis l'échec de Meurt un autre Jour et beaucoup d'élément était vraiment tendus. La présence de Daniel Craig à elle seule à donner lieu à un pré-boycott ("Daniel Craig n'est pas James Bond") et l'absence de nombreux éléments récurent de la série menaçait gravement ce nouveau film. Mais au final et contre toutes attentes c'est le contraire qui c'est produit, c'est le film qui à mis tout le monde d'accord. Avec un traitement moderne et réaliste, un James Bond sombre et dangereux, un complot bien au delà de la guerre froide, c'est surtout l'ambiance générale qui à convaincu. Difficile à résumer, un habile mélange d'action et de présence cumulé avec des personnages profond (l'un des premiers vrai rôles pour une James Bond girl) et un thème d'introduction qui nous montrait enfin que James Bond venait de passer au 21ième siècle, pour ce bien numéroté 21ième épisodes.

Numéro 2 - Goldeneye (n°17 , 1995)

Avec notre précédent numéro, Goldeneye partage plusieurs similitudes comme le même réalisateur par exemple et surtout la position rare d'avoir relancée et modernisée la saga. Alors que le dernier James Bond, Permis de Tuer, date de 1989, Goldeneye se voit attribué la lourde tache de faire passer 007 dans la modernité, en commençant par changer d'acteur. Première réussite, Pierce Brosnan est souvent considéré comme le plus vrai James Bond après Sean Connery tant son style classe mais pro convient à merveille. Comprenant un scénario de grande qualité et un casting sans faille (Sean Bean et la nouvelle M), Goldeneye à sus conquérir tous le monde avec ses scènes d'action nerveuse et sa bande-son excellente assuré par Eric Serra et lancé par Tina Turner. Comme si cela ne suffisait pas, Goldeneye à aussi profité de sa sortie sur un autre média dont la qualité et l'impact rivalise facilement avec celui-ci du film, je parle bien sur de l'adaptation sur N64 qui à contribué elle aussi à créer cette légende autour de cet épisode purement excellent.

Numéro 1 - Goldfinger (n°3, 1964)

Et la première place revient au légendaire Goldfinger, où je défie quiconque de ne pas le placer dans le top 3 des meilleurs James Bond. Que dire de plus que tous ce qui n'a déjà été dit ? Sûrement la meilleure performance de Sean Connery dans lequel le rôle s'imprime définitivement, avec un méchant aussi charismatique que son accent allemand, débutant par un thème classieux chanté par la désormais légendaire Shirley Bassey. N'oublions pas non plus l'étonnant Oddjob mais aussi la première apparition nommé de Q et de l'Aston Martin bidouillé du coffre aux phares. Avec un scénar qui aujourd'hui nous parait légèrement ridicule mais qui sait capté l'attention et des scènes parodiés des dizaines de fois dans tous les médias possibles, c'est véritablement ici que James Bond à atteint son sommet, le pic de ses aventures. Pour tous ceux qui auraient encore des doutes je n'aurais qu'une chose à dire : "Vous espérez que je vais parlez ? Non monsieur Bond, j'espère que vous mourrez !"

Numéro 0 - Bon Baiser de Russie, (n°2, 1963)

Comment, un numéro 0 ? Mais qu'est ce qui se passe ici ?! Pas de panique j'ai une raison bien précise pour ce numéro 0 qui ne correspond pas à la place au dessus de 1 mais bien au numéro zéro, celui qui marque le début de chaque compteur. Ce numéro 0 n'a pas pour ambition de montrer un 007 meilleur mais plutôt ce que j'appelle (par une traduction douteuse), le codifieur du genre. En gros, Bon Baiser de Russie se place comme le James Bond qui définis tous les James Bond. Si certains pensent qu'il s'agit d'un parallèle avec "le meilleur de tous" je tiens à rappeler qu'un concept se doit d'évoluer et très souvent c'est dans cette évolution que l'on trouve vraiment le meilleur. Alors pourquoi Bon Baiser de Russie finalement ? Tous simplement parce qu'on y trouve tous les éléments qui font de JB ce qu'il est. Un complot de guerre froide fomenté par le S.P.E.C.T.R.E, une girl mignonne et inutile, un macguffin russe, des méchant très méchant et sans honneur, le dépaysement dans les lieux visités et tout une autre floppé de concept qui encore aujourd'hui sont considérés comme des immanquables pour la série.


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Voilà pour ce premier Top 10, j'espère qu'il vous à plus et en tous les cas je vous invites à nous faire partager vos avis via les commentaires et je vous dit à la prochaine.

@+


vendredi, août 20, 2010

Movie Review n°37 : Le Film avec Stallone



Avertissement !

Lisez cette review avec ma voix !

Compris, eugh ?


Après un bon film de réflexion comme Inception, quoi de mieux qu'un bon film d'action avec Stallone, enfin Schwarzy, enfin Willis, enfin Statham, enfin Jet Li, enfin voici,

The Expendables : unité spéciale


Une affiche qui met en avant l'intérêt principal du film, son cast.

Fiche Technique-

Film d'action réalisé par Sylvester Stallone avec tout les noms sur l'affiche qui n'ont nul besoin de présentation. Sorti le 18 août 2010 au cinéma en français bien sûr. Dure 1h45 et est interdit au moins de 12 ans.

Synopsis-

L'histoire d'une bande de mercenaires féroces qui se voient proposé une mission dangereuse consistant à éliminer un dictateur d'une petite île sud-américaine.

Décorticage-

Casting : Le point numéro 1 du film, la plus grande concentration de légendes du cinéma d'action et de gueules cassées qu'on puisse trouver. Chacun joue son numéro de stéréotype classique dans un festival de testostérone. Notons l'apparition bonus de B.Willis et A.Schwarzenegger dans une scène déjà culte ainsi que la première (si je ne m'abuse) apparition cinématographique de David Zayas (le porto-ricain de Dexter) plutôt convaincante et le mafioso à la tête inimitable (Salvatore je crois) de The Dark Night en méchant.

Scénario : Une belle excuse pour se faire bastonner tous les plus grand bourrins que le cinéma à su nous dégoter. Le scénario est propice pour un moment de bravoure de chaque personnage (avec le combo Stallone/Statham au premier plan) et aux répliques idiotes plus souvent dirigées contre les acteurs eux-même que sur leurs personnages.






La bande-annonce donne le ton.



Bande-son : Guitare électrique et explosions dantesquse constitue la base de la bande-son qui se fait suffisamment discrète pour rester dans le ton. On appréciera grandement que tous les personnages conservent leurs doubleurs habituels ce qui donne lieu à des scènes de dialogue particulièrement carabinées

Aspect Visuel / Ambiance : Cigare, lunette de soleil, gros flingue et explosion gigantesque, on n'en attendait pas moins de la part de Sly.

Résultats-

17/20

Alors que le gros film d'action débile était légèrement passé à la trappe ces dernières années (sauf avec l'Agence tous risques), Stallone profite de son statut de légende pour rameuter tous ses copains avides de botter le cul de centaines de figurants en faisant tout exploser et en lançant des one-liners impeccables. Bien que le scénario ne soit pas complétement cohérent, il faut bien reconnaître que ce n'est pas ici qu'on l'attendait même si il est basé avant tout sur un concours de bite permanent entre les différentes têtes. Et quand on apprend que Stallone aimerait en faire une nouvelle licence, on ne peut que se débrancher le cerveau et sauter de joie.

Les + :

-Le Cast !

-Tout explose

-Humour basique mais efficace

-Doublages à la française

Les - :

-Scénario un peu confus

-Certains acteurs (du coté méchant surtout) "pot de fleur"

Si vous avez aimés : les grands classiques de l'action, autrement dit : la filmographie de la plupart des acteurs principaux - sinon l'Agence tous Risques de cette année.


Le méchant : Qui t'envoies ?
Stallone : Ton coiffeur, eugh !

mercredi, août 11, 2010

La Cuisine du Patron : Our Words are backed with NUCLEAR WEAPONS !

Les vacances sont toujours une bonne occasion de booster sa culture, je vous proposes quelques idées pour passer les long week-ends pluvieux, voici :

La Cuisine Du Patron

Flim


Warning Very Good, Akira : Une légende de l'anime que j'ai enfin regarder. Fidèle à sa réputation, il peut se targuer d'intéresser même les détracteurs de l'anime en général si tant est qu'ils apprécient le divertissement pour adulte.

B
ienvenue Chez Les Robinsons : Un Disney récent qui ne vaut vraiment pas tripette. Avec un scénario en carton, une animation de cartoon et des personnages détestables, pas grand chose à sauver.

Dragonball Evolution : Je l'ai fais ! Mériterais une review pour dire à quel point c'est du grand n'importe quoi mais heureusement il n'a pas la même réputation que Twilight ou High School Musical, les gens savent déjà qu'il est horrible. A regarder uniquement au 25ième degrés avec des fans du manga original pour dire "je l'ai fais !" comme moi.

La Planète au Trésor : Un disney de 2002 qui reprend joliment la célèbre histoire de l'île au trésor. Avec un univers visuellement attractif, des personnages crédibles, un doublages honorables et surtout beaucoup d'émotion, il se place comme l'un des rares Disney correct de cette période (la même année que Lilo & Stitch, arrgh).

La Véritable Histoire du Petit Chaperon Rouge : Une parodie/hommage des dessins animés mignons et chantées avec beaucoup d'humour et un traitement pour le moins original. Tire un peu sur la corde (surtout avec les chansons) mais se regarde avec plaisirs.

Les Trois Royaumes I&II : Un série de film de John Woo sur la légendaire bataille de Chi Bi (les habitués de la légende des trois royaumes ou de Dynasty Warriors reconnaitront) filmé avec tous les moyens nécessaire. Près de 2h20 par film pour un fresque sur la chine ancestrale qui ravira tous les fans de ce genre de cinéma (Hero, Tigre & Dragon...) grâce à ses moyens et à son scénario sans concessions. Implique de le regarder en version originales sous-titrées pour profiter de la version longue (et des deux films d'ailleurs).

Warning Very Good, Toy Story 3 : Le retour de l'excellente saga Toy Story au cinéma ne se fais pas à moitié, l'autre gros candidats pour le meilleur film de l'année. Émotion, action et humour sont au rendez-vous pour toutes la familles pour une des rares suites qui transcendes le matériel d'origine. On constate que Pixar est toujours au sommet en tout cas.

Games


En ce moment je joue surtout à Civilization IV alors vous comprendrez que la variété de mes jeux ne soient quelques peu touchés.

S
uper Mario Galaxy 2 : Review en approche

Sam & Max Season 3 : je continue dans le 4ième épisode dans cette saison toujours aussi légendaire. Attendra la fin pour un review complète de la saison.

Music


Blind Guardian - At The Edge Of Time : Avec la review du dernier Rhapsody, mon ratio de review de power métal est épuisé mais sachez que le dernier album de Blind Guardian est toujours de grande qualité à commencez par un morceaux d'introduction légendaire.

Eric Clapton - Blues Rehearsals : Un rare album qui correspond aux répétitions blues de l'album From The Cradle. Un excellent mix avec de nouvelles versions de super chansons à la base (Sinner's Prayer et Motherless Child par exemple).

Oasis - Time Flies : Une immense compilation du travail d'Oasis jusqu'à leurs récente rupture. Une bonne façon de remplacer un Best Of dans une cd-thèque.

Ratatat - LP4 : Le retour de Ratatat se fais sans surprise, toujours le même mix minimaliste d'électro. Ceux qui aimaient seront toujours pour, les autres n'y verront pas de quoi leurs faire changer d'avis.

Sting - Symphonicitites : Sting revient après un album plus que moyen sur le bon chemin avec cet excellent album symphonique. En reprenant des classiques de Police et de son catalogue, il s'assure un public acquis par la qualité toujours présente de ses mélodies, mise en valeur par de très bons arrangement orchestraux. Une qualité qui varie tout de même entre les morceaux atteignant facilement son somment avec "The End of The Game" ou "She's Too Goo For Me".

The Flashbulb - Arboreal : Mérite un review mais je ne peu garantir quand, n'ayant pas encore eu le temps de l'écouter en profondeur. Sachez au moins qu'il s'élève sans problème au niveau "Soundtrack to a Vacant Life" dans un genre plus ou moins similaire.


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Voila pour cette cuisine, j'espère qu'elle vous sera utile pour votre propre culture-bombing. Autrement attendez-vous à encore quelques review de film (Expendables entre autres) et musique (particulièrement Flashbulb et éventuellement Bluetech) ainsi que du games avec Mario Galaxy 2.
Enfin sachez que je vous réserves encore quelques surprises comme review pour la rentrée et sur ce, à la prochaine !

L'Album du Mois de Juillet, Musical Review n° 27 : The Way Out

Les lecteurs assidus de ce blog (si il en existe...), ne devraient pas être surpris par l'album de ce mois-ci, le dernier d'un groupe que j'apprécie beaucoup, voici :

L'Album du Mois de Juillet 2010 :
Le Choix Du Patron
The Books - The Way Out

Les pochettes minimalistes sont assez courantes chez the Books

Groupe & Catégorisation-

Je vous renvoie au premier Eclipse qui lui est consacré.
Signalons qu'il s'agit de leurs dernier album depuis 5 ans (sans compter un petit expérimental en 2006).

Décorticage-

1-Group Autogenics 1 : L'intro et la première chanson de l'album tiens les promesses des artistes qui disaient déjà : "le prochain album contiendra des samples de séances d'hypnoses et autres techniques de relaxation". Véritablement une très bonne idée qui marque immédiatement l'ambiance ainsi que l'ambition de l'album. Peut-être pas le morceaux le plus musical de tous mais certainement une excellente entré en matière.

2-IDKT : Acronyme pour "I Didn't Know That" le titre de la chanson suivante dont celle-ci sert de courte introduction. Pas grand chose à dire si ce n'est qu'il aurait très bien pu fusionner les deux chansons.

3-I Didn't Know That : C'est véritablement ici que l'album commence avec un bond dans la complexité très impressionnant dans l'utilisation originales de voix et d'instrument électronique par opposition à leurs cordes habituelles. Et pourant, au milieu de cet illogisme apparait une sorte de cohérence qui donne presque au morceaux un coté "facile d'accès" qui évite de perdre dès la première chanson les non-initiés. C'est complexe, c'est original, c'est rythmé, c'est génial.

4-A Cold Freezin' Night : Une sorte de battle de sample basé sur un étrange rythme hypnotique tout en beat. Déroutant au départ mais conserve un coté addictif avec un sentiment d'étrangeté qui donne envie d'en entendre plus. Déjà plus dur d'accès mais non sans ses morceaux de bravoures.


La vidéo officielle de "A Cold Freezin' Night" dans le pur style de leurs clips

5-Beautiful People : Commencez une chanson par des paroles inversées c'est déjà classe, mais le faire bien c'est encore mieux. Une sorte de marche joyeuse sur le thème des maths qui n'est pas sans rappeler leurs travaux sur Lost and Safe mais poussé encore plus loin. Court et divertissant.

6-I Am Who I Am : Ceux qui attendait the Books au tournant ne vont pas être déçus. Ici ce n'est pas un pas mais carrément une plongé dans l'électronique pure avec un degré de complexité qui frise le Aphex Twin ou Amon Tobin mais sans le coté sombre. Le titre reste musical et prenant, une sorte de tourbillon qui nous rappelles en pleine face pourquoi cet album à mis 5 ans à sortir et qui saura convaincre les plus exigeant d'entre nous.

7-Chain Of Missing Links : Un morceau plus dans le style récent de The Books avec un long sample et une base relaxante malgré un solo électronique qui réveille. Une bonne balade après la claque de la dernière chanson.

8-All You Need Is A Wall : On revient tout doucement dans la zone de confort du groupe mais non sans un certaine remise au gout du jour pour tenir la comparaison face aux autres chansons. Très agréable et pas sans intérêt non plus.

9-Thirty Incoming : Un morceaux très expérimental avec une utilisation des cordes et des samples inattendus, même de la part de The Books qui en fais sa spécialité. Après une longue montée, le reste de la chanson s'avère transparent dans le bon sens du terme. Fin et puissant à la fois, le son saura vous montez dans les oreilles et vous transportez au delà de vos attentes.

10-A Wonderful Phrase By Gandhi : "I do dimly perceive that whilst everything around me is ever changing, ever-dying, there is underlying all that change a Living Power that is changeless, that holds all together, that creates, dissolves, and re-creates"

11-We Brought the Flood : On est à présent revenus à dus The Books classique (de Lost & Safe tout du moins), une lente et agréable chanson avec juste la bonne proportion de corde et de voix. Toujours aussi bon.

12-The Story Of Hip-Hop : Pas tant de ressemblance au Hip-Hop qu'on pourrait le croire à première vus mais plutôt une étonnante histoire expérimentale qui combine allègrement rythmique hypnotique avec break électronique surréaliste. Sûrement la plus expérimentale des chansons de l'artiste mais aussi une des meilleures tant le mariage s'effectue bien entre les sons qui sont pourtant sans rapport les uns des autres.

13-Free Translator : De loin on sent le rapport avec Tunng et cette branche de folktronic auquel The Books est régulièrement rattaché mais on est vite balancé avec un agencement musical des plus surprenant et pourtant pas si désagréable.

14-Group Autogenics 2 : Excatement dans le même style que l'introduction de l'album pour vous achevez si vous êtes encore relativement conscient après les treize chansons. On appréciera le choix judicieux des samples qui serviront à encore plus à imprimez le souvenir et l'expérience que vous venez d'entendre.

Résultats-

18/20

Le retour de The Books est enfin arrivé et personne ne sera déçu d'avoir attendus cinq ans pour ce chef d'œuvre. Si la recette n'a pas tant changé, le disque à largement gagné en variété et en complexité, à tel point que chaque chanson semble représenter une autre vision d'un même genre musical, aussi peu définit qu'il soit.

A Retenir :

-I Didn't Know That
-I Am Who I Am
-The Story Of Hip-Hop
-Thirty Incoming

Les + :

-Gagne en complexité

-Toujours très originaux

-Pas si difficile d'accès

-On en à pour notre argent

Les - :

-Le style développé dans The Lemon Of Pink reste encore leurs meilleur travail

Si vous avez aimés : Bibio, Four Tet, mùm, enfin toute cette petite branche de détraqué.

Movie Review n°36 : Inception

Alors que je suis à nouveaux en retard sur mes prévisions (que voulez-vous, vacances obliges) je tient à me rattraper en commençant par une review qui me tiens à cœur depuis que j'ai eu la chance de le voir le jour de sa sortie, voici :

Le Choix Du Patron
Inception


Une affiche qui met tout de suite l'eau à la bouche

Fiche Technique-

Thriller réalisé par Christopher Nolan (Les Batman Récent, Memento, Le Prestige) avec Leonardo DiCaprio (plus la peine de le présenter, Titanic, Shutter Island, Aviator...), Marion Cottilard (Taxi, Public Ennemies) et Ellen Page (Juno). Sortit au cinéma le 21 juillet 2010, dure 2h28.

Synopsis-

Une histoire basé sur la technologie permettant de s'infiltrer dans les rêves d'un sujet. En dire plus serait nuire à la surprise.

Décorticage-

Pas de décorticage complet pour laisser la surprise à ceux qui ne l'aurait pas encore vus.

Casting : DiCaprio est l'un des rares acteurs du moment qui se bonifie avec l'age : son assurance dans les rôles principaux déjà remarqué dans Shutter Island apparait encore plus ici. Le reste du cast est excellent aussi avec Ellen Page très convaincante, Ken Watanabe impérial et un duo de nouvelle tête très prometteuse Tom hardy (excellent dans Bronson parait-il) et Joseph Gordon-Levitt qui pourrait bien devenir un habituer chez Nolan.
D'ailleurs des habitués ont en retrouve avec "L'épouvantail" et "Alfred" qui assurent mais la palme revient à notre Marion nationale dont je ne préfère rien dévoilé.

Scénario : Un projet en gestation chez le réalisateur de Memento depuis une dizaine d'année ca fait forcément baver. Autant dire qu'il ne nous as pas déçu. On sent l'investissement qu'il y a eu et on ne peu que applaudir un scénario aussi intelligent, complexe et qui ne prend pas le spectateur pour une huitre. Certains pourront se faire un peu larguer méfiance.

Admirez la classe de cette image qui vous donnerais presque envie de voir le film alors que vous n'avez aucune idée d'où elle vient.

Bande-son : Une bande-son fantomatique et transparente composé par Hans Zimmer qui convient parfaitement avec le coté mystérieux du film. On notera aussi avec amusement un peu d' Edith Piaf qui renforce encore la coté français du film (je n'en rajoute pas).

Aspect Visuel / Ambiance : Heureusement que Nolan à attendus un moment avec de réaliser Inception car l'important budget confier au réalisateur de The Dark Knight à permis que rien ne passe à la trappe et l'aspect visuel qui en ressort est tout simplement brillant. Le fait de travailler avec et dans les rêves aides aussi à avoir une variété très agréable de décors tous aussi intelligent les uns que les autres. Assurément une franche réussite.

Résultat-

19/20

Alors que la mode est en ce moment au adaptation et au remake, il faut bien avouer qu'une bonne idée originales est encore au dessus du reste. Avec un casting en kevlar renforcé, un scénario complexe et intelligent et des visuels sans précédents, cette nouvelle bombe de Nolan se place comme un candidat très sérieux au film de l'année et ne fait que confirmer l'engouement pour ce réalisateur. A voir et à revoir.

Les + :

-Original

-Très malin tout le long

-Casting exemplaire

-Personnages et univers hors du commun

-Bande-son mystique

-Ambiance visuelle

Les - :

-Euh.....

Si vous avez aimés : Pourquoi pas Shutter Island ? Sinon le reste de la filmographie de Christopher Nolan, vous ne serez pas déçus...et aussi si vous pouvez vous procurez "Ink", vous pourriez être intéresser.