Top 10 : James Bond 007
Introduction-
Si on peu penser que la célèbre licence James Bond n'a nul besoin d'introduction je tiens tout de même à rappeler quelques fais :
James Bond, c'est avant tout un héros de roman écrit par Ian Fleming ente 1953 et 1966 qui donna naissance à l'une des plus grosse licence anglaise comprenant 22 film s'échelonnant entre 1962 et 2008. Le plus récent épisode, Quantum of Solace était dans la continuité du "reboot" de la saga avec encore une nouvelle tête pour notre agent secret, la sixième si je ne m'abuse.
Évidemment James Bond c'est aussi une des icônes les plus reconnaissable de la culture cinématographique de ses 40 dernières années avec de nombreuses répliques et situations cultes (Bond, James Bond, La recette du Martini et j'en passe), une figure de proue de la fiction d'espionnage. Ceci dit, passons maintenant à note compteur et découvrons ensemble les meilleurs James Bond et n'oubliez pas, c'est un avis personnel qui vous est donné.
Numéro 10 - Dr.No (n°1, 1962)
Déjà certains seront surpris de voir le compteur commencer (ou bien finir c'est selon) par le premier James Bond. Alors, pourquoi Dr.No ? Non content d'être le lanceur de toute une saga légendaire, il est aussi responsable de nombreux éléments récurrent, en vrac : la séquence du canon de pistolet, la JB girl, le martini "secoué, non agité" de même que le rythme général de presque tous les James Bond de cette période. Alors pourquoi ci bas ? Malgré la scène mythique où Ursula Andress sort de l'eau en Bikini, il faut bien avoué que le film à beaucoup viellit et aujourd'hui, je doute qu'il jouisse de la même popularité qu'à sa sortie.
Numéro 9 - L'Homme au Pistolet D'or (n°9, 1974)
/ Dangereusement Votre (n°14, 1985)
Allons bon, a peine le début et déjà une égalité. Eh oui, ces deux JB on 10 ans d'écart on pourtant sont appréciés pour les mêmes raisons. Malgré un scénario basé sur de bonne idée mais un peu ridicule, le film est sauvé par une prestation de Roger Moore toujours de qualité mais surtout grâce à la présence de méchant qui se retrouvent aujourd'hui encore dans nos film, respectivement Christopher Lee (qui à cette époque était plus connus comme Dracula que comme Compte Dooku /Saruman) et Christopher Walken (que l'on reconnait facilement dans Batman le Défi ou Sleepy Hollow). Deux méchant légendaire, deux très bon thème d"introduction, et deux très bonne course poursuite (Tour Eiffel et Tonneau en voiture pour ceux qui se souviennent) et deux James Bond plaisant. Alors pourquoi pas plus haut ? Tous simplement que le filtre nostalgique à tendance à masquer le coté un peu ridicule de ces deux James Bond mais qui est malheureusement bien présent (le scène de Kung-fu dans L'homme au pistolet d'or par exemple).
Numéro 8 - Vivre et Laisser Mourir (n°8, 1973)
Le James Bond numéro 8 à la huitième place, une drôle de coïncidence mais il mérite sa place. Débutant par un générique repris des milliers de fois (Le légendaire Live and Let Die de Paul McCartney), se 007 joue la carte du dépaysement en brandissant le cartel noir de trafiquant de drogue comme excuse pour une viré dans le vaudou et dans le mysticisme de la Louisiane entre autre. Avec des personnages remarquables comme le shérif J.W Pepper, la liseuse de Taro Solitaire, Tee Hee et le terrifiant Baron Samedi, cette histoire de James Bond reste facilement dans les mémoires grâce à un rythme très soutenus et des scènes d'actions encore superbes aujourd'hui (la course poursuite en hors-bord dans les marais viens immédiatement à l'esprit). Alors pourquoi pas plus haut ? La fait d'être pas mauvais ne signifie pas être bon et malheureusement lui non plus n'échappe à une certaine déception après l'avoir revus sérieusement. Néanmoins il reste un très divertissant et à le mérite de s'intéresser à un complot un peu différent que Russe vs. Anglais.
Numéro 7 - Tuer n'est pas Jouer (n°15, 1987)
La première apparition du nouvel acteur, Timothy Dalton ne s'est pas fais discrètement avec ce Tuer n'est pas jouer. Là ou les acteurs successif de James Bond nous avais habitué à beaucoup de romantisme de la part de Bond, celui-ci joue la carte du plus sombre et du plus réaliste avec un véritable trame d'espionnage.
Avec une violoncelliste qui en à fais baver plus d'un et un méchant trafiquant d'arme aussi dangereux que comique, le film reste plus mémorable que sa suite Permis de Tuer grâce à une scène de poursuite défiant toute autre production, entre l'Aston Martin (tm) suréquipé de missile et laser et une descente d'anthologie sur un étui de violoncelle, on comprend facilement sa place dans un top 10 comme celui-ci. Alors pourquoi si bas finalement ? Tout simplement que malgré la férocité de James Bond dans cet épisode, il faut bien admettre que l'humour et parfois l'invraisemblance fais aussi partie intégrante de James Bond et que finalement c'est plus elle qu'on retient. Néanmoins Tuer n'est pas Jouer est trop souvent oublié, surtout le Laitier.
Numéro 6 - On ne vit que Deux Fois (n°5, 1967)
/ Moonraker (n°11, 1979)
Encore une égalité, et encore une fois c'est la trame qui est comparé ici. On ne vit que deux fois et Moonraker, c'est un peu le summum de James Bond dans le style un peu surexcité. Voyez un peu les deux synopsis : 1, James bond devient un ninja pour arrêter une fusée qui avale des fusée dans une base camouflée dans un volcan. 2, James Bond va dans l'espace avec des pistolets laser pour arrêter un complot d'envergure mondiale. Évidemment par rapport à Tuer n'est pas Jouer mentionné juste au dessus c'est très loin d'une histoire d'espionnage réaliste et pourtant la recette fonctionne un temps. Entre le coté dépaysement asiatique de On ne vit que deux fois dans lequel Sean Connery prend son pied et la bataille entre Requin et 007 sur un téléphérique de Moonraker, les scènes d'anthologie ne manque pas, alors pourquoi pas plus haut ? Malgré le gros apport nostalgie qu'il véhiculent, il faut bien reconnaitre que si le ridicule ne tue pas, il handicap sérieusement.
Numéro 5 -Demain Ne Meurt Jamais (n°19, 1997)
Alors que James bond viens de se faire relancer par le grand Goldeneye (on y viendra, ne vous inquiétez pas), faire une suite dans la même ligné n'est pas chose aisée et pour une fois c'est réussi. Débutant avec Pierce Brosnan toujours aussi classe et un excellent thème d'ouverture, Demain ne meurt jamais nous raconte un complot d'envergure organisé par un grand magnat des médias. L'originalité dans tous cela ? Le méchant, campé par l'inimitable Jonathan Pryce (le gouverneur Swan de Pirate des Caraïbes pour nos jeunes spectateurs qui n'ont pas vus Brazil), donne l'impression d'être en permanence défoncé et lance un conflit mondial presque que pour s'amuser. A coté d'un méchant aussi "bondissant", James Bond n'est pas en reste avec une agent asiatique redoutable et des scènes d'action de très bonne facture (un course en moto ou bien en voiture téléguidé viennent à l'esprit). Avec un scénario pas si bête et un très bon cast pourquoi ne pas le mettre plus haut dans le classement ? Tout simplement parce que Goldeneye est juste mieux partout.
Numéro 4 - L'Espion qui m'aimait (n°10, 1977)
A une époque où les complots invraisemblables et les méchants mégalomanes se succèdent (cet épisode se situé entre les deux épisodes placés au numéro 6), l'Espion qui m'aimait réussis à sortir une trame majeure mais qui, étonnamment, parviens à rester crédible. Bien que la menace nucléaire est un outil classique, le bateau avaleur de sous-marin l'est déjà moins et au final le vilain Karl Stromberg n'est pas si ridicule que cela. Alors pourquoi aussi haut ? Quelques exemples de ce qu'il se passe dans ce film vous en conviendra je pense : une course poursuite en sky, l'agent russe Triple X, le général Gogol en égypte et surtout la première apparition de Requin. Vous commencez à restituez la classe de cet épisode où il vous en faut plus ? Pensez à une course poursuite avec la légendaire Lotus esprit (tm) qui se transforme en mini sous-marin. Au final, qu'est ce qui empêche l'épisode d'être plus haut dans la liste ? La qualité du podium.
Numéro 3 - Casino Royale (n°21, 2006)
Le bas de se podium revient à une magnifique réussite, le récent reboot de la série, Casino Royale. Ce qui est impressionnant avec cet épisode c'est que tout le monde l'attendait au tournant depuis l'échec de Meurt un autre Jour et beaucoup d'élément était vraiment tendus. La présence de Daniel Craig à elle seule à donner lieu à un pré-boycott ("Daniel Craig n'est pas James Bond") et l'absence de nombreux éléments récurent de la série menaçait gravement ce nouveau film. Mais au final et contre toutes attentes c'est le contraire qui c'est produit, c'est le film qui à mis tout le monde d'accord. Avec un traitement moderne et réaliste, un James Bond sombre et dangereux, un complot bien au delà de la guerre froide, c'est surtout l'ambiance générale qui à convaincu. Difficile à résumer, un habile mélange d'action et de présence cumulé avec des personnages profond (l'un des premiers vrai rôles pour une James Bond girl) et un thème d'introduction qui nous montrait enfin que James Bond venait de passer au 21ième siècle, pour ce bien numéroté 21ième épisodes.
Numéro 2 - Goldeneye (n°17 , 1995)
Avec notre précédent numéro, Goldeneye partage plusieurs similitudes comme le même réalisateur par exemple et surtout la position rare d'avoir relancée et modernisée la saga. Alors que le dernier James Bond, Permis de Tuer, date de 1989, Goldeneye se voit attribué la lourde tache de faire passer 007 dans la modernité, en commençant par changer d'acteur. Première réussite, Pierce Brosnan est souvent considéré comme le plus vrai James Bond après Sean Connery tant son style classe mais pro convient à merveille. Comprenant un scénario de grande qualité et un casting sans faille (Sean Bean et la nouvelle M), Goldeneye à sus conquérir tous le monde avec ses scènes d'action nerveuse et sa bande-son excellente assuré par Eric Serra et lancé par Tina Turner. Comme si cela ne suffisait pas, Goldeneye à aussi profité de sa sortie sur un autre média dont la qualité et l'impact rivalise facilement avec celui-ci du film, je parle bien sur de l'adaptation sur N64 qui à contribué elle aussi à créer cette légende autour de cet épisode purement excellent.
Numéro 1 - Goldfinger (n°3, 1964)
Et la première place revient au légendaire Goldfinger, où je défie quiconque de ne pas le placer dans le top 3 des meilleurs James Bond. Que dire de plus que tous ce qui n'a déjà été dit ? Sûrement la meilleure performance de Sean Connery dans lequel le rôle s'imprime définitivement, avec un méchant aussi charismatique que son accent allemand, débutant par un thème classieux chanté par la désormais légendaire Shirley Bassey. N'oublions pas non plus l'étonnant Oddjob mais aussi la première apparition nommé de Q et de l'Aston Martin bidouillé du coffre aux phares. Avec un scénar qui aujourd'hui nous parait légèrement ridicule mais qui sait capté l'attention et des scènes parodiés des dizaines de fois dans tous les médias possibles, c'est véritablement ici que James Bond à atteint son sommet, le pic de ses aventures. Pour tous ceux qui auraient encore des doutes je n'aurais qu'une chose à dire : "Vous espérez que je vais parlez ? Non monsieur Bond, j'espère que vous mourrez !"
Numéro 0 - Bon Baiser de Russie, (n°2, 1963)
Comment, un numéro 0 ? Mais qu'est ce qui se passe ici ?! Pas de panique j'ai une raison bien précise pour ce numéro 0 qui ne correspond pas à la place au dessus de 1 mais bien au numéro zéro, celui qui marque le début de chaque compteur. Ce numéro 0 n'a pas pour ambition de montrer un 007 meilleur mais plutôt ce que j'appelle (par une traduction douteuse), le codifieur du genre. En gros, Bon Baiser de Russie se place comme le James Bond qui définis tous les James Bond. Si certains pensent qu'il s'agit d'un parallèle avec "le meilleur de tous" je tiens à rappeler qu'un concept se doit d'évoluer et très souvent c'est dans cette évolution que l'on trouve vraiment le meilleur. Alors pourquoi Bon Baiser de Russie finalement ? Tous simplement parce qu'on y trouve tous les éléments qui font de JB ce qu'il est. Un complot de guerre froide fomenté par le S.P.E.C.T.R.E, une girl mignonne et inutile, un macguffin russe, des méchant très méchant et sans honneur, le dépaysement dans les lieux visités et tout une autre floppé de concept qui encore aujourd'hui sont considérés comme des immanquables pour la série.
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Voilà pour ce premier Top 10, j'espère qu'il vous à plus et en tous les cas je vous invites à nous faire partager vos avis via les commentaires et je vous dit à la prochaine.
@+
Introduction-
Si on peu penser que la célèbre licence James Bond n'a nul besoin d'introduction je tiens tout de même à rappeler quelques fais :
James Bond, c'est avant tout un héros de roman écrit par Ian Fleming ente 1953 et 1966 qui donna naissance à l'une des plus grosse licence anglaise comprenant 22 film s'échelonnant entre 1962 et 2008. Le plus récent épisode, Quantum of Solace était dans la continuité du "reboot" de la saga avec encore une nouvelle tête pour notre agent secret, la sixième si je ne m'abuse.
Évidemment James Bond c'est aussi une des icônes les plus reconnaissable de la culture cinématographique de ses 40 dernières années avec de nombreuses répliques et situations cultes (Bond, James Bond, La recette du Martini et j'en passe), une figure de proue de la fiction d'espionnage. Ceci dit, passons maintenant à note compteur et découvrons ensemble les meilleurs James Bond et n'oubliez pas, c'est un avis personnel qui vous est donné.
Numéro 10 - Dr.No (n°1, 1962)
Déjà certains seront surpris de voir le compteur commencer (ou bien finir c'est selon) par le premier James Bond. Alors, pourquoi Dr.No ? Non content d'être le lanceur de toute une saga légendaire, il est aussi responsable de nombreux éléments récurrent, en vrac : la séquence du canon de pistolet, la JB girl, le martini "secoué, non agité" de même que le rythme général de presque tous les James Bond de cette période. Alors pourquoi ci bas ? Malgré la scène mythique où Ursula Andress sort de l'eau en Bikini, il faut bien avoué que le film à beaucoup viellit et aujourd'hui, je doute qu'il jouisse de la même popularité qu'à sa sortie.
Numéro 9 - L'Homme au Pistolet D'or (n°9, 1974)
/ Dangereusement Votre (n°14, 1985)
Allons bon, a peine le début et déjà une égalité. Eh oui, ces deux JB on 10 ans d'écart on pourtant sont appréciés pour les mêmes raisons. Malgré un scénario basé sur de bonne idée mais un peu ridicule, le film est sauvé par une prestation de Roger Moore toujours de qualité mais surtout grâce à la présence de méchant qui se retrouvent aujourd'hui encore dans nos film, respectivement Christopher Lee (qui à cette époque était plus connus comme Dracula que comme Compte Dooku /Saruman) et Christopher Walken (que l'on reconnait facilement dans Batman le Défi ou Sleepy Hollow). Deux méchant légendaire, deux très bon thème d"introduction, et deux très bonne course poursuite (Tour Eiffel et Tonneau en voiture pour ceux qui se souviennent) et deux James Bond plaisant. Alors pourquoi pas plus haut ? Tous simplement que le filtre nostalgique à tendance à masquer le coté un peu ridicule de ces deux James Bond mais qui est malheureusement bien présent (le scène de Kung-fu dans L'homme au pistolet d'or par exemple).
Numéro 8 - Vivre et Laisser Mourir (n°8, 1973)
Le James Bond numéro 8 à la huitième place, une drôle de coïncidence mais il mérite sa place. Débutant par un générique repris des milliers de fois (Le légendaire Live and Let Die de Paul McCartney), se 007 joue la carte du dépaysement en brandissant le cartel noir de trafiquant de drogue comme excuse pour une viré dans le vaudou et dans le mysticisme de la Louisiane entre autre. Avec des personnages remarquables comme le shérif J.W Pepper, la liseuse de Taro Solitaire, Tee Hee et le terrifiant Baron Samedi, cette histoire de James Bond reste facilement dans les mémoires grâce à un rythme très soutenus et des scènes d'actions encore superbes aujourd'hui (la course poursuite en hors-bord dans les marais viens immédiatement à l'esprit). Alors pourquoi pas plus haut ? La fait d'être pas mauvais ne signifie pas être bon et malheureusement lui non plus n'échappe à une certaine déception après l'avoir revus sérieusement. Néanmoins il reste un très divertissant et à le mérite de s'intéresser à un complot un peu différent que Russe vs. Anglais.
Numéro 7 - Tuer n'est pas Jouer (n°15, 1987)
La première apparition du nouvel acteur, Timothy Dalton ne s'est pas fais discrètement avec ce Tuer n'est pas jouer. Là ou les acteurs successif de James Bond nous avais habitué à beaucoup de romantisme de la part de Bond, celui-ci joue la carte du plus sombre et du plus réaliste avec un véritable trame d'espionnage.
Avec une violoncelliste qui en à fais baver plus d'un et un méchant trafiquant d'arme aussi dangereux que comique, le film reste plus mémorable que sa suite Permis de Tuer grâce à une scène de poursuite défiant toute autre production, entre l'Aston Martin (tm) suréquipé de missile et laser et une descente d'anthologie sur un étui de violoncelle, on comprend facilement sa place dans un top 10 comme celui-ci. Alors pourquoi si bas finalement ? Tout simplement que malgré la férocité de James Bond dans cet épisode, il faut bien admettre que l'humour et parfois l'invraisemblance fais aussi partie intégrante de James Bond et que finalement c'est plus elle qu'on retient. Néanmoins Tuer n'est pas Jouer est trop souvent oublié, surtout le Laitier.
Numéro 6 - On ne vit que Deux Fois (n°5, 1967)
/ Moonraker (n°11, 1979)
Encore une égalité, et encore une fois c'est la trame qui est comparé ici. On ne vit que deux fois et Moonraker, c'est un peu le summum de James Bond dans le style un peu surexcité. Voyez un peu les deux synopsis : 1, James bond devient un ninja pour arrêter une fusée qui avale des fusée dans une base camouflée dans un volcan. 2, James Bond va dans l'espace avec des pistolets laser pour arrêter un complot d'envergure mondiale. Évidemment par rapport à Tuer n'est pas Jouer mentionné juste au dessus c'est très loin d'une histoire d'espionnage réaliste et pourtant la recette fonctionne un temps. Entre le coté dépaysement asiatique de On ne vit que deux fois dans lequel Sean Connery prend son pied et la bataille entre Requin et 007 sur un téléphérique de Moonraker, les scènes d'anthologie ne manque pas, alors pourquoi pas plus haut ? Malgré le gros apport nostalgie qu'il véhiculent, il faut bien reconnaitre que si le ridicule ne tue pas, il handicap sérieusement.
Numéro 5 -Demain Ne Meurt Jamais (n°19, 1997)
Alors que James bond viens de se faire relancer par le grand Goldeneye (on y viendra, ne vous inquiétez pas), faire une suite dans la même ligné n'est pas chose aisée et pour une fois c'est réussi. Débutant avec Pierce Brosnan toujours aussi classe et un excellent thème d'ouverture, Demain ne meurt jamais nous raconte un complot d'envergure organisé par un grand magnat des médias. L'originalité dans tous cela ? Le méchant, campé par l'inimitable Jonathan Pryce (le gouverneur Swan de Pirate des Caraïbes pour nos jeunes spectateurs qui n'ont pas vus Brazil), donne l'impression d'être en permanence défoncé et lance un conflit mondial presque que pour s'amuser. A coté d'un méchant aussi "bondissant", James Bond n'est pas en reste avec une agent asiatique redoutable et des scènes d'action de très bonne facture (un course en moto ou bien en voiture téléguidé viennent à l'esprit). Avec un scénario pas si bête et un très bon cast pourquoi ne pas le mettre plus haut dans le classement ? Tout simplement parce que Goldeneye est juste mieux partout.
Numéro 4 - L'Espion qui m'aimait (n°10, 1977)
A une époque où les complots invraisemblables et les méchants mégalomanes se succèdent (cet épisode se situé entre les deux épisodes placés au numéro 6), l'Espion qui m'aimait réussis à sortir une trame majeure mais qui, étonnamment, parviens à rester crédible. Bien que la menace nucléaire est un outil classique, le bateau avaleur de sous-marin l'est déjà moins et au final le vilain Karl Stromberg n'est pas si ridicule que cela. Alors pourquoi aussi haut ? Quelques exemples de ce qu'il se passe dans ce film vous en conviendra je pense : une course poursuite en sky, l'agent russe Triple X, le général Gogol en égypte et surtout la première apparition de Requin. Vous commencez à restituez la classe de cet épisode où il vous en faut plus ? Pensez à une course poursuite avec la légendaire Lotus esprit (tm) qui se transforme en mini sous-marin. Au final, qu'est ce qui empêche l'épisode d'être plus haut dans la liste ? La qualité du podium.
Numéro 3 - Casino Royale (n°21, 2006)
Le bas de se podium revient à une magnifique réussite, le récent reboot de la série, Casino Royale. Ce qui est impressionnant avec cet épisode c'est que tout le monde l'attendait au tournant depuis l'échec de Meurt un autre Jour et beaucoup d'élément était vraiment tendus. La présence de Daniel Craig à elle seule à donner lieu à un pré-boycott ("Daniel Craig n'est pas James Bond") et l'absence de nombreux éléments récurent de la série menaçait gravement ce nouveau film. Mais au final et contre toutes attentes c'est le contraire qui c'est produit, c'est le film qui à mis tout le monde d'accord. Avec un traitement moderne et réaliste, un James Bond sombre et dangereux, un complot bien au delà de la guerre froide, c'est surtout l'ambiance générale qui à convaincu. Difficile à résumer, un habile mélange d'action et de présence cumulé avec des personnages profond (l'un des premiers vrai rôles pour une James Bond girl) et un thème d'introduction qui nous montrait enfin que James Bond venait de passer au 21ième siècle, pour ce bien numéroté 21ième épisodes.
Numéro 2 - Goldeneye (n°17 , 1995)
Avec notre précédent numéro, Goldeneye partage plusieurs similitudes comme le même réalisateur par exemple et surtout la position rare d'avoir relancée et modernisée la saga. Alors que le dernier James Bond, Permis de Tuer, date de 1989, Goldeneye se voit attribué la lourde tache de faire passer 007 dans la modernité, en commençant par changer d'acteur. Première réussite, Pierce Brosnan est souvent considéré comme le plus vrai James Bond après Sean Connery tant son style classe mais pro convient à merveille. Comprenant un scénario de grande qualité et un casting sans faille (Sean Bean et la nouvelle M), Goldeneye à sus conquérir tous le monde avec ses scènes d'action nerveuse et sa bande-son excellente assuré par Eric Serra et lancé par Tina Turner. Comme si cela ne suffisait pas, Goldeneye à aussi profité de sa sortie sur un autre média dont la qualité et l'impact rivalise facilement avec celui-ci du film, je parle bien sur de l'adaptation sur N64 qui à contribué elle aussi à créer cette légende autour de cet épisode purement excellent.
Numéro 1 - Goldfinger (n°3, 1964)
Et la première place revient au légendaire Goldfinger, où je défie quiconque de ne pas le placer dans le top 3 des meilleurs James Bond. Que dire de plus que tous ce qui n'a déjà été dit ? Sûrement la meilleure performance de Sean Connery dans lequel le rôle s'imprime définitivement, avec un méchant aussi charismatique que son accent allemand, débutant par un thème classieux chanté par la désormais légendaire Shirley Bassey. N'oublions pas non plus l'étonnant Oddjob mais aussi la première apparition nommé de Q et de l'Aston Martin bidouillé du coffre aux phares. Avec un scénar qui aujourd'hui nous parait légèrement ridicule mais qui sait capté l'attention et des scènes parodiés des dizaines de fois dans tous les médias possibles, c'est véritablement ici que James Bond à atteint son sommet, le pic de ses aventures. Pour tous ceux qui auraient encore des doutes je n'aurais qu'une chose à dire : "Vous espérez que je vais parlez ? Non monsieur Bond, j'espère que vous mourrez !"
Numéro 0 - Bon Baiser de Russie, (n°2, 1963)
Comment, un numéro 0 ? Mais qu'est ce qui se passe ici ?! Pas de panique j'ai une raison bien précise pour ce numéro 0 qui ne correspond pas à la place au dessus de 1 mais bien au numéro zéro, celui qui marque le début de chaque compteur. Ce numéro 0 n'a pas pour ambition de montrer un 007 meilleur mais plutôt ce que j'appelle (par une traduction douteuse), le codifieur du genre. En gros, Bon Baiser de Russie se place comme le James Bond qui définis tous les James Bond. Si certains pensent qu'il s'agit d'un parallèle avec "le meilleur de tous" je tiens à rappeler qu'un concept se doit d'évoluer et très souvent c'est dans cette évolution que l'on trouve vraiment le meilleur. Alors pourquoi Bon Baiser de Russie finalement ? Tous simplement parce qu'on y trouve tous les éléments qui font de JB ce qu'il est. Un complot de guerre froide fomenté par le S.P.E.C.T.R.E, une girl mignonne et inutile, un macguffin russe, des méchant très méchant et sans honneur, le dépaysement dans les lieux visités et tout une autre floppé de concept qui encore aujourd'hui sont considérés comme des immanquables pour la série.
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Voilà pour ce premier Top 10, j'espère qu'il vous à plus et en tous les cas je vous invites à nous faire partager vos avis via les commentaires et je vous dit à la prochaine.
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