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Bientôt sur le blog : Rattrapage du retard !

samedi, mars 27, 2010

Anime Review n°14 : Star Wars : Clone Wars.

Attention à ne pas confondre avec la récente série "Star Wars The Clone Wars". Celle-ci est non seulement plus vieille mais elle n'était pas supervisé par "grand maitre Lucas". C'est donc avec de grandes pincettes que je vous parlez aujourd'hui de :

Star Wars : Clone Wars

Sortit en 2003 sous la forme de petit épisode de 10 minutes s'intercalant entre l'épisode 2 et 3 de la saga Star Wars, réalisé par le créateur du Labo de Dexter et de Samurai Jack (le style graphique le laisse présager).

Synopsis-

"De débuter viens juste la guerre des clones...", Maitre Yoda.

Entre l'épisode 2 et 3 de Star Wars, une aperçus au jour le jour de la guerre noire, commençant peu après la bataille de Géonosis et terminant sur l'enlèvement du chancelier Palpatine par le général Grievous.
Genre : Star Wars, Action.

Décorticage-

Animation : utilisant le style caractéristiques du célèbre laboratoire de Dexter et de Samurai Jack, il véhicule les mêmes qualités et défauts. Certains seront rebutés par le modèle polygonal des personnages, d'autres apprécieront la dynamisme et les chorégraphies furieuses qui s'adapte parfaitement au style graphique. Néanmoins on remarque que certains personnages rendent mieux que d'autres, le terrifiant Grievous en est l'exemple majeur.

Son : Une bande-son Star Waresque rend hommage à une série de cette envergure et les voix sont plutôt bonne et plusieurs sont conservés dans la série "The Clone Wars" qui tourne en ce moment (Obi-Wan, Yoda et le compte Dooku par exemple), on déplore seulement l'absence des voix originales dans la versions américaines. La version français peu par contre se féliciter de réutiliser les doubleurs officiels des films.

Scénario : Pas particulièrement brillant, les petites histoire sont au moins les mérites de tenter d'expliquer plusieurs points de la période, en vrac : les blessures de Grievous, l'enlèvement le Palpatine, Ventress l'assassin au service de Dooku, le changement de main robotique d'Anakin ainsi que son accession au rang de chevalier. Autant de points amusant mais qui ne sont pas tous très fidèle au "canon" original (les blessures de Grievous sont normalement présente depuis le début de son status de droide). Les mini-scénarios d'épisodes sont en général acceptables bien que certains se permettent beaucoup de libertées.

Vous allez comprendre pourquoi le général Grievous est crains dans l'épisode 3.

Personnages : Bien qu'ils aient perdus leurs voix, on ne peu pas dire que les Jedis ont perdus leurs talents loin de là. Ayant voulus poussé la maitrise de la force plus loin que les adaptations habituelles, le jedi (ou les clones d'ailleurs) sont ici des machines de guerres, détruisant des armés entières de droïdes sans broncher. Si vous trouviez que le jeu "Le Pouvoir de la Force" abusait un peu de ce coté là, vous n'avez rien vus. Amusant mais tout de même assez éloignés du vrai Star Wars (joute en speedbiker, j'en doute pas...). Cependant la volonté d'introduire de nouveaux personnages ou de développer les anciens est tout à leurs honneurs (Ventress est surtout connus pour faire sont apparition ici).

Résultats-

16/20, Difficile de considéré cette série comme faisant vraiment partie de la saga Star Wars, tant elle se permet des folies dans l'univers. Cependant cette originalité inattendus combinés à un style graphique rare et à des combats d'une féroce intensité, je ne vois pas quel fan de Star Wars louperait ça.

Les + :

-Style graphique particulier

-Idée originale

-Combats hyperactifs

-Star Wars comme vous ne l'avez jamais vus

Les - :

-Un peu abusé

-Visuel rebutant pour certains

-Pas de voix officielles

Si vous avez aimés : Je pense que vous êtes déjà en train de suivre la série The Clone Wars sur la même période, sinon vous pouvez tenter les dessins animés du même auteur (Samurai Jack par exemple).

We are being overrun, i repeat, we are being overrun !

La Chanson du Mardi Soir : Sigur Ros.

Aujourd'hui et pour célébrer le printemps je vous proposes un double choix du patron avec deux chansons du même artiste et du même album. Voici :

Le Choix du Patron
Sigur Rós - Glósóli / Hoppípolla


Sigur Rós - Glósóli from Sigur Rós on Vimeo.


Pour le début de la belle saison, je voulais vous faire profiter d'un groupe que j'apprécie de plus en plus et comme je n'arrivais pas à me décider de quel morceaux j'allais parler, j'ai choisis de les mettres tout les deux.
Sigur Ros est un groupe de post-rock islandais, dont la renommée dépasse celle de la plupart des groupes de ce pays dont je parle en général, ayant réussis une percée dans le monde des critiques musicales. Résolument joyeux, toujours complexe et souvent construit autour d'un langage fictif et de guitare avec archet, sigur ros est un ovni cultivant son originalité. Et par chance cette classe c'est déjà posé sur 5 albums (et 2 de la carrière solo du front man) et continue de nous faire rêver. Aujourd'hui ce sont les premières chansons du quatrième album, Takk (si ont excepte l'intro bien sur), et elles ont toutes les deux pondus un single à leurs nom et un clip particulièrement original. Si vous avez regardez celui de Glosili en ouverture, voici la video de Hoppipola :

Sigur Rós - Hoppípolla from Sigur Rós on Vimeo.


Voilà, j'espère que vous avez appréciés ce petit intermède musical et à la semaine prochaine.

dimanche, mars 07, 2010

L'Album du Mois, Musical Review n°22 : And then we saw land...

Alors que Tunng vient de se voir offrir une place de choix dans la rubrique Eclipse , le mois de février est dédicacé à leur nouvel album dont je vais disséquer le contenus, voici :

L'Album du Mois de Février 2010 :
Tunng - ...And Then We Saw Land

Une pochette absolument magnifique qui mêle habilement abstrait et éléments reconnaissables.

Groupe & Catégorisation :


Le tout récent Eclipse vous en dira plus à ce sujet. Pour ceux qui veulent suivre la review, l'album en entier est disponible sur deezer (et à l'heure où j'écris, il partage même la une !).

Décorticage-

1-Hustle : La pseudo chanson titre ("When i see land" dans les paroles) est l'occasion rêvé de récidivé avec la chanson mémorable à 200% qui plaira au plus grand nombre et qui donnera envie d'en savoir plus. Ils avaient déjà appliqués avec beaucoup de succès cette stratégie dans leurs dernier album, popularisant ainsi Bullets, le premier single du groupe. Avec Hustle, c'est une petite chanson folk très agréable et rythmé qui mérite bien de tourné en boucle sur votre baladeur, chaine stéréo ou autre, tant son enrobage est délectable.

2-It Breaks : Le seconde chanson suit le rythme du l'intro, avec à nouveau un morceaux chanté très sympathique et qui restera gravé dans les mémoires. Avec ce combo de très bon titres, l'album s'assure déjà une place privilégié parmi les albums qui savent placés leurs bonne ambiance. De plus la voix féminine que l'ont entendait parfois prend ici une autre ampleur, ce que personne ne lui reprochera ,tant elle est emplis de sincérité et de fluidité.

3-Don't Look Down Or Back : On retombe enfin sur nos habitudes, avec une chanson plus proche de ce que Tunng nous avaient servis dans les autres albums. Une ligne acoustique plaisante, des paroles poétiques et une construction intelligente. On appréciera beaucoup la montée épique du refrain qui sait utiliser la voix à bon escient.

4-The Roadside : Première pseudo-instrumentale de cet album, the Roadside commence gentiment par un petit rythme saccadés au cordes et bientôt les percussions légères viennent s'y greffer. Plutôt tranquille, elle convient parfaitement à une petite marche ou bien à une balade en vélo pour regarder le paysage en musique.

5-October : On repasse dans le vrai chanté avec un duo vocal qui montre jusqu'où le groupe pousse cette logique de la voix comme instrument. Soutenus par un rythme de qualité et par un refrain hypnotique, cette fresque est un concentré de plaisirs. De plus, la montée de milieu/fin de morceaux est très bien orchestré et nous maintiens visser au casque.



6-Sashimi : Morceaux chantés à nouveaux, ce Sashimi est plus rapide que les autres mais pas vraiment meilleur. La guitare électrique et l'arrangement vocal ne donnent pas aussi bien que dans les autres titres. Pourrait malheureusement passé pour du rock alternatif plus classique si quelques bonnes idées électro ne sauvaient l'ensemble du crash.

7-With Whiskey : Vocal léger et petit ligne de guitare, on retombe à nouveau sur du Tunng plus classique. Malheureusement malgré la bonne volonté de garder son ambiance, il faut bien reconnaitre que ce morceaux manque d'ambition et finalement ne restera pas dans les annales.

8-By Dusk They Were In The City : Le titre clairement folktronic((a) selon les adeptes) de l'album. Un pur mélange de sonorité acoustique avec une base mêlant magnifiquement électronique et classique. Ici, nul besoin de voix pour ancrer définitivement se titre dans les nombreux succès du groupe, tous les sons parlent d'eux même avec en prime un solo de grande classe. Certains trouveront néanmoins que le morceaux se fait un peu long, d'autres (fans de Four Tet par exemple) seront aux anges.

9-These Winds : Petite transition en presque pur vocal. Peu ambitieux mais son caractère d'intermède fais passer sans problème cette expérience.

10-Santiago : De nouveaux on à le droit à un titre plus électro et avec moins de vocals mais par contre le son principal sur lequel la chanson repose est trop "cheesy" (guimauvesque) pour passer après la classe dont ils ont fais preuve auparavant. Dommage car autrement très bien orchestré.

11-Weekend Away : Le final est une apologie du week-end, pas étonnant qu'ils aient autant de fan...Une chanson plus proche de leurs travaux originaux des autres albums. Pas la meilleure non plus, mais une bonne fin d'album.

Résultats-

17/20 Probablement pas leurs meilleur album, mais certainement l'un des plus mémorables, la fautes à plusieurs morceaux positivements accrocheurs. Le reste s'articule autour de titre sympathique toujours bon en moyenne sauf un petit écart vers la fin. On lui préféra peut-être son prédécesseur Good Arrows mais vraiment de peu.

A Retenir :
-Hustle
-It Breaks
-October
-By Dusk They Were In The City

Les + :

-Plus de vocals, y comprit féminin

-Une bonne ambiance générale

-Facile d'accès au premier abord, plus complexe au second

-Un début quasi parfait.

Les - :

-Parfois un peu trop de vocals

-Légèrement moins complexe que ses ainés

-Baisse de régime en deuxième moitié d'album

-Le son hyper plastique du la n°10

Si vous avez aimés : Commencez par remontez la chaine et écouté tout les autres albums. Autrement The Books et mùm, ses compagnons d'Eclispe devrait vous accrochez. Sinon essayez voir Four Tet et ses potes, mais résultats non garantît.

Beware of the trees.

Game Review n°23 : BioShock 2

Venez, Mr.P, je vais vous montrez la suite d'un jeux légendaire qui remonte à exactement 10 game review plus tôt :

BioShock 2


Fiche Technique-

FPS/Aventure sortit le 9 février 2010, développé et édité par 2k Games. Disponible sur PC, Xbox 360, PS3 et jeu intégralement en français. Attention, suite au limitation de support le test à été effectué sur PC, uniquement en mode solo et en difficulté difficile.

Décorticage-

1960, un homme vole tranquillement au dessus de l'océan quand tout à coup...la suite vous la connaissez (sinon finissez d'abord le premier avant de venir vous attaquez à celui-ci) et c'est 10 ans après cette affaire que nous revenons à Rapture, mais dans d'autre bottes. Si le marketing à bien marché, vous devriez déjà savoir que vous contrôlez pour la première fois un protecteur, l'un des premiers en fait, et que le gameplay s'en trouve radicalement changé. Si votre premier contact avec la légendaire foreuse fais plaisirs, on s'aperçoit vite fais que notre équipement de protection s'articule autour d'une vielle combinaison en latex qui protège autant des balles que du papier mâché protège de l'acide sulfurique. Autant dire qu'en mode difficile, 5 balles vous tueront et ce dès le début du jeux, ce qui devient un vrai problème lorsque vous vous apercevez que vos munitions sont limitées y compris avec la puissante drill. C'est d'ailleurs ce début du jeu qui risque de rebuter les adeptes du mode dur car votre arsenal débutant ridicule et votre armure ne servant à rien, vous serez souvent dans des galères assez profondes, surtout quand vous devrez vous occupez des petites sœur.




Car c'est le point principal de ce nouveaux volet, la présence des petites collecteuses d'Adam nous permet (après avoir triomphé du classique Big Daddy rival) de prendre la fille sous notre aile, de lui faire récolter de l'Adam par 2 fois et ensuite de choisir de la sauvé ou non. Des scènes qui deviennent bien plus compliqués dès lors qu'on doit affronter 1) Un big daddy, 2) Un immense tas de splicers deux fois de suite et tout de suite après, 3) La Big Sister, sorte de robot sur-vitaminé et booster aux plasmides. Seul problème, l'apparent choix moral se base en théorie sur la quatité d'Adam que vous pourrez récoltez. En d'autre terme, si vous sauvez les petites filles vous en aurez moins alors qu'en s'en débarrassant vous pourrez achetez plus que le strict minimum. Si le premier suivait plus ou moins cette logique (les cadeaux de fillettes se chargeait d'équilibrer), ici le nombre conséquent de petites sœurs et d'Adam que vous pouvez leurs faire récoltez vous offres la possibilités de sauver les petites filles tout en débordant de pouvoir par les oreilles. Sans plaisanter, en les sauvant toutes vous ne saurez même pas quoi faire de tout cet argent que vous finirez pas dilapidez sans grande stratégie, juste pour voir des pouvoirs rigolo. Et en plus, maintenant vous aussi êtes chargez aux plasmides car l'une des autre nouveautés consistes (enfin !) à pouvoir utiliser une arme et un plasmide en même temps. Alors, bien que les armes soient toujours assez classiques (fusil, gatling, lance-roquette), la combinaison avec de nombreux et évolutifs nouveaux plasmides permets des combinaisons dévastatrices qui auront vite fais de supprimé quasi toute difficulté passé les 3 premières heures de jeu. On appréciera par contre le disparition du mini jeu de hack, remplacé par une alternative bien moins perte de temps mais pas forcément plus facile et les nouvelles stations d'amélioration des armes qui proposent désormais un troisième buff qu'on ne peux obtenir qu'après les deux autres.

Bien qu'elles soient visuellement très réussites, les scènes sous l'eau n'apportent finalement pas grand-chose au jeu en lui-même.

Pour le scénario, on notera un méchant très intéressant, le Dr Lamb, très différents de notre Andrew Ryan favoris et certains passage très épique que je n'oserais pas vous dévoilez. Par contre ce que je peux vous dévoilez c'est que les scène sous l'eau n'apporte finalement qu'un aspect "joli" au jeu, puisque tout combat y est rigoureusement interdit. Il est aussi dommage que les thèmes "années 30" se fassent fort rare en dehors des temps de chargements et que les lieux traversés, bien que très sympathiques, manquent parfois d'un zeste de folie auquel le numéro 1 nous avait habitué. Triste aussi pour la narration qui, après nous avoir montré une magnifique séquence de "voici ce qu'un protecteur peu faire" vous jettes dans les bottes d'un mollasson en plastique dont la seule mission est de retrouvé votre petite fille. Une idée qui parait intéressante mais qui n'implique pas assez le joueur dans l'obligation physiologique d'aller retrouver sa moitié qu'éprouve le personnage principal. En somme un excellent jeu, une très bonne suite mais mieux que le premier ? je ne croit pas.

Résultats-

Graphisme : Si certaines zones sont magnifiques, il faut reconnaitre que le jeu à perdus une partie de sa mystique et qu'on ne découvre plus les quartiers avec autant de plaisirs, surtout que ceux ci sont plus banal (par rapport au premier). On appréciera tout de même certains effets visuel et de lumière notamment dans les phases aquatiques qui sont un régal pour les yeux.

Gameplay : bien que similaire dans les grandes lignes, le point de vue du protecteur apporte quelque plaisirs supplémentaires, que se soit dans l'armement pur (aaah la foreuse ^^) ou dans les gameplays secondaires (appareil photo moins agaçant, hack plus dynamique). De plus, la présence permanente des plasmides de combat renforcent énormément l'intensité des combats surtout que leurs nombres et leurs effets ont augmentés pour encore plus de possibilités. La quête des petites sœurs est aussi très bonne et, bien que le nombre d'ennemis reste à peu de chose près le même, ils pourront parfois donner du fil à retordre. Dommage que les choix moraux perdent en qualités comme je l'ai expliqué dans le décorticage.

Son : Si les voix (anglaises pour ma part) sont toujours de très bonne factures, c'est plutôt les musiques qui m'ont légèrement déçus. Non pas qu'elles soient mauvaises, mais le mix musique originales et classiques des années 30 du premier marchait mieux pour définir l'ambiance lounge de plusieurs zones. Ici ont se retrouve presque avec un film dont la bande-son, aussi puissante soit-elle, ne parviens à rester graver dans les mémoires.

Scénario/Durée de vie/Difficulté : Le scénario n'est pas mauvais du tout, avec son lot de scènes mémorables et de rebondissement. Seul un certains laxisme des développeurs sur les personnages secondaires (voir la section Ambiance pour plus de précisions) montre que les bonnes idées du premier n'ont pas toutes données suite. La durée de vie est correcte, surtout si on à la bonne idée de désactivé la flèche de quête, il nous faudra environ autant de temps que le premier mais avec moins de découverte (forcément on commence à connaitre les lieux) et possiblement le mode multijoueur mais qui semble atteint du même syndrome que Call of à savoir la boucle "Temps investit=bonus=skill". La difficulté (tout du moins en mode difficile) peu paraitre vicieuse au début mais c'est seulement à cause du manque flagrant de munition pour les armes de base (la foreuse épuise son carburant en 6-7 ennemis) et du nombre réduit de plasmides. Passer le début du jeu, votre statu divin se trouve confirmé jusqu'à la fin de l'aventure.

Ambiance : le point qui à le plus souffert par rapport à son grand frère. Les lieux sont moins originaux, les personnages moins intéressants (comprenez moins fou) et le scénario, malgré certains scènes d'anthologie, ne se montre pas à la hauteur. De plus la narration très approximative ne vous fais pas forcements rentrez dans le personnages et les légendaire phases de découverte ne sont plus réduits qu'à 2/3 pauvres phases sous-marine qui n'apportent rien au gameplay.

Note : 17/20 Voici Bioshock en courant. Malgré une volonté de corriger les rares faiblesses du premier il faut bien dire que la recette à perdus un peu de son charme. Alors même si le gameplay est fort correct certaines inepties le rendent très déséquilibrés (la collecte des petites filles ou le contrastes début impossible/dieu passez les 3 premières heures) et au final nous privent de se plaisirs de découverte dangereuse par lequel le numéro 1 avait fais tremblé les joueurs du monde entiers. Enfin le scénario n'est pas aussi accrocheur que la première fois, la faute à des personnages bien trop simpliste (en dehors de "Alexandre le Grand") et à une narration plus que bancale. Voila le parfais exemple du jeu qui à voulus gagnez en dynamisme et qui à mal calculé la résistance de ses concepts. Dommage pour celui qui se voulait la suite d'une excellente nouvelle licence, BioShock 2 nous prouves une fois de plus qu'il n'y à pas que dans le cinéma que le numéro 2 est toujours moins bon que son prédécesseur.

Les + :

-Nettes améliorations du gameplay

-Certaines scènes d'anthologie

-Lieux chargés d'histoire (les cassettes enregistrés)

-Le combo plasmide/foreuse

-L'IA

-Super Dynamisme

Les - :

-La bande-son moins old-school

-La narration et le scénario en général

-Les personnages secondaires

-Déséquilibrés

-Trop Dur/Trop Facile

-A perdus des éléments fédérateurs du premier volet

Si vous avez aimés : De nombreux bon FPS trainent en ce moment sinon tester Boderlands.

There something in the sea....

samedi, mars 06, 2010

La Chanson du Mardi Soir : The Million.

Ce soir, une petite chanson que j'apprécie depuis longtemps mais que j'ai tardé à vous présentés, voici :

Ani DiFranco - The Million That You Never Made



Puisqu'on ne peux pas toujours faire confiance au deezer de bonne aventure, je me sens obligé de vous revoyez un rip frauduleux de la chanson sur le yutoube mais que voulez-vous, c'est le prix à payez pour de la bonne culture.
Alors, un peu d'histoire pour ceux qui ne veulent pas allez chercher sur wiki : Ani DiFranco est une guitariste plus ou moins indépendante, dont la remarquable carrière Folk rock à déjà pondus près d'une vingtaine d'album, dont plusieurs de grande qualité (primé au Grammy). Son style, très engagé, oscille entre le simple mais efficace et des morceaux plus travaillés, certains avec une ambiance tout à fais particulière. Mais pour cette chanson du mardi soir, j'ai choisis un morceaux ciblés au grand manitou des maisons de disques bien que ce n'est pas pour les paroles que je l'apprécie (vous savez moi la musique engagé...) mais pour pour le jeu de guitare furieux qui monte en puissance avec la chanson pour finir par exploser dans les dernières minutes et nous donnez un avant gout de ce qu'elle est capable de faire.

Autrement sachez de nombre de ses albums sont excellents, mais qu'ils sont relativement difficile à trouver sur les réseaux gratuits&légaux et qu'elle à inspirés Kaki king (vous devriez à présent savoir que je l'adore, vous le nombres de fois que je le rabâche)

Voilà c'est tout, passez une bonne soirée et à la semaine prochaine !

Eclipse : Tunng.

Comme promis, Eclipse vous fais aujourd'hui découvrir un nouvel artiste pour beaucoup d'entre nous, voici :

Eclipse present : Tunng


Uniquement mentionné brièvement sur le blog, Tunng est un artiste qui campe dans ma playlist depuis bien longtemps (plus d'un an) sans que j'arrive vraiment à m'en faire une idée. De mes premières séances d'écoutes, je n'avais retenus que un bon feeling général, ce qui lui a valu une sorte de place honoraire dans la catégories "un jour peut-être...". Eh bien se jour est arrivé récemment.

Mais qui sont-ils ?
Groupe anglais crée en 2003, il s'est d'abord fais connaitre grâce à son agencement particulier au niveau musical, mélange original d'acoustique, de sonorité unique et d'électro, on pourrait les classer comme Folktronic (où parmi les adeptes ont trouve parfois les nom de Four Tet, Kaki King et mùm...).
Depuis que je me suis ré-intéressé à eux et que j'ai expérimenté leurs production, il en ressort que leurs premier album sont assez complexes et certaines chanson manifeste bien leurs envie de se démarquez du schéma classique. C'est surtout avec leurs 2 derniers albums que l'ouverture commence à apparaitre avec certains rythme très simple et entrainant qui font des chansons de présentations de véritable hits que peu de gens n'apprécieront pas. Pour vous en donnez un exemple voici le clip de Bullets, un de leurs morceaux les plus connus, tirés de leurs avant-dernier album Good Arrows :



Laisse rêveur non ? Rassurez-vous, pour ceux qui craignent le manque de variété, vous serez ravis d'apprendre que tout les morceaux ne se limitent pas à une belle ligne principale mais vont parfois cherchez assez loin dans l'électro, voir dans le noise. (dans des proportions très raisonnables bien sûr).

D'un point de vus personnel j'apprécie beaucoup le premier album Mother's Daughter and Other Songs pour son originalité et sa complexité, un bel exemple étant la chanson titre. Le second : Comments on Inner Chorus est plus approchable mais pas moins intéressant, il se trouve simplement que je préfère légèrement (en moyenne) les morceaux du premier que ceux du deuxième. Le troisième album cités au dessus est très bon également, notamment dans le mix complexité/simplicité. Enfin le dernier album reviendra très prochainement sur le blog comme album du mois de février.

Et puisque vous avez été gentil voici encore un excellent clip, cette-fois ci de leurs deuxième album et je vous envoie les liens que vous réclamez pour en goutez plus : le tout sur deezer, le compte youtuve pour les autres clips et enfin le site officiel à la section paroles. On se retrouve bientôt pour l'album du mois, en attendant, @+.



Rien à dire, du bon...

mardi, mars 02, 2010

Anime Review n°13 : Code Geass

Aujourd'hui je m'attaque à une pointure de l'anime, un des manga dont j'ai le plus souvent entendus parler sur les forums de passionnés, je parle bien sur de :

Code Geass (Saison 1 & 2)


Synopsis-

Dans un univers alternatif (ou uchronie pour les puristes), le suprême empire de Britannia (situé à la place des USA) à envahis une grande partie de la planète dont le Japon, renommé alors "Zone 11", reléguant ses habitants au rang de sous-race "Elevens" (les onziens ? Je me demande comment le doublage français se débrouillera). Mais alors que les japonais semble soumis, un jeune prodige décide de profiter des terroriste locaux pour se lancer dans une vengeance qui à pour but de détruire tout l'empire.
Genre : Mecha, Guerre, Drama.

Décorticage-

Animation : dirigé par Sunrise (grand maitre qui contrôle plein de série), le budget est fort correct et nous offres des décors sublimes combinés à des scènes de combat correct. Le grand plaisirs viens plutôt des personnages design par Clamp (en gros tout le monde est magnifique) qui flatte le regard, sauf pour ceux qui ont la phobie des personnages très fin et long. On sent toutefois que le succès de la première saison se répercute sur la deuxième avec certains effets 3D de toutes beautés.

Son : Une bande-son très efficace, notamment avec certains thème très bien orchestré (tout ce qui se rattache aux aristocrates par exemple). Le cast japonais est fidèle à sa bonne réputation, tout les personnages s'en sorte bien malgré un ou deux petits désagréments pour les moins patient d'entre vous. Au passage, zappez l'opening et l'ending, ils ne valent vraiment pas tripette, les deux saisons confondus.

Scénario : Là on commence enfin à parler. Si vous n'avez jamais vu de vrai mecha (Samurai 7 et Gurren Lagann de compte pas), parce que vous n'aimez pas ca, rassurez-vous, moi non plus. Mais une fois de temps en temps on peu bien en accepter un peu, surtout quand c'est au service d'un aussi bon scénario. Complot, guerre, magie, traitrise, amitié, utopie... le scénario se veut complexe et réaliste (dans les limites de leurs univers bien sûr) et se révèle fort agréable. Peut-être que les stratégies n'égale pas celle de Death Note, mais elle sont clairement sortit du même moule et serve toujours l'histoire avec brio. Seul l'aimant à problème dont le héros souffre peut finir par stresser, surtout que l'histoire est tourné du point de vue drama donc les conséquences des problèmes inattendus deviennent vite pesant. Mais c'est aussi un point bénéfique, cela montre à quel vitesse vous pouvez vous attachez aux personnages, et à propos de personnages...

Personnages : Ils sont le cœur du succès de cet anime. Malgré un grand nombre de protagonistes, ont s'aperçoit qu'une grande partie est beaucoup plus complexe qu'au premier abord et que certains évoluent plus en 25 épisodes qu'en 150 de Naruto. De plus l'opposition voulue entre le personnages principal (l'anti-héros) et son meilleur amis/ennemis (le lawful good) nous fais vite prendre partis pour l'un ou l'autre et on vit avec eux leurs triomphes mais aussi leurs descentes. Je suis moi même stupéfait par le rôle étonnamment réaliste/approprié de plusieurs protagonistes, principaux ou non et on peut dire que plusieurs sortent des sentiers battus (à commencer par le héros, plutôt rare comme archétype).

Résultats-

18/20 Une excellente série qui tiens son succès au développement poussé de ses personnages ainsi qu'à son scénario adulte et intense. Seul la présence et l'importance des mechas peux rebuter, surtout sur ceux qui se refusent en général à se type d'anime. Mais je pense que si il ne faut en regardez qu'un de sérieux pour l'avoir fais et le déconstruire, celui-ci pourrait être une très bonne pioche, vous ne le regretterez pas.

Les + :

-Une brochette de personnages très travaillés

-Bonne ambiance et très bon décors en général

-Bande-son épique

-Scénario torturés

-Animation correcte et design des protagonistes magnifique

Les - :

On y va en devinette :

-Qu'est ce qui se déplace à une vitesse supersonique, transporte une ou plusieurs lame(s) géante(s) rouge clignotante, envoie des volés de 200 missiles et tire des rayon laser de plusieurs mètre de large à partir de son genoux ou de sa poitrine ?
Réponse : Un robot de combat... -_-

Si vous avez aimés : Death Note pour le personnages principal du même tonneaux sinon allez sur la liste des animes "a voir" de n'importe quel bon forum/site, rayez-le et passez au suivant. Si vous avez eu de mal avec les mechas et que vous ne l'avez pas encore vu, foncez sur Gurren Lagann , c'est un ordre.


"Lelouch vi Britannia, orders you : all of you...die !"

"Yes Your Highness !"