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jeudi, novembre 24, 2011

Musical Review n°38, l'Album du Mois d'Octobre : Biophilia

Si vous êtes un fervent lecteur de se blog vous ne pouvez pas ignorer l'admiration pour une chanteuse déjà largement encensée sur le blog et pour qui chaque album s'accompagne d'une excitation frénétique qui continue encore plusieurs mois après la sortie officielle, eh bien nous y revoilà, voici :

L'Album du Mois d'Octobre 2011 :
Björk - Biophilia

Les couvertures de björk sont toujours un peu...spéciales et celle-ci ne fais pas exceptions. Néanmoins j'ai bien le coté minimaliste qui ressort mieux qu'avec Volta

Groupe & Catégorisation-

Je vous à la première review que j'ai fais sur Björk, à l'époque où je la découvrait à peine (décembre 2007 tout de même...). Sinon qu'est ce que vous devez savoir de plus ? Cet album contient, tout comme son prédécesseur, pas mal d'électronique qui peuvent surprendre voir choquer au premier abord. 
Ouverture d'esprit musicale vivement conseillé.
Sortie le 5 Octobre 2011.

Décorticage-

1-Moon : L'intro de l'album se fais tout en douceur avec un thème qu'on pouvait difficilement loupé dans un concept album sur la planète terre, la lune ! Basé sur une série de notes toutes simple mais qui symbolise parfaitement les cycles lunaires (la vidéo est plus claire sur le sujet) et des paroles qui nous confirmes tout le talent de la chanteuse qui n'a maintenant plus rien à prouver au vue de la qualité de sa carrière. On apprécie beaucoup les différentes couches de chants qui donnent un air profond au titre sans pour autant saturer la plage audio. Au final une première étape tranquille et reposante qui pose l'album dans un écrin de raffinement musicale.


La vidéo simple et efficace de Moon, à voir de préférence en HD


2-Thunderbolt : Un démarrage plus sombre et plus métallique que la précédente mais qui prend très vite un niveau de complexité avec la première chanson originale à ma connaissance dont la ligne principale est joué par une bobine tesla. Le résultat est tout simplement fantastique, bien que surprenant au premier abord, il en devient rapidement hypnotisant et provoque une sensation étrange comme si notre corps ignorais comme réagir devant ce son, et ce même sans savoir sa provenance. En plus de cette instrumentalisation, la voix se fais elle aussi plus hypnotique, plus répétitive et sous une forme de vague qui nous portes et nous aides à passer au travers du doute premier que l'on ressent devant cette chanson. A ce titre le refrain est particulièrement pénétrant comme seul Björk sait en chanter.

3-Crystalline : Le premier single et première chanson dévoilée de cet album est clairement une des plus faciles d'écoute, ce qui ne signifie pas une des moins intéressantes. Sur un rythme très simple (comme Moon), la chanson adopte un rythme normal couplet/refrain mais avec des paroles très bien écrites qui sont en plein dans l'idée du concept album. De même la ligne sonore commencent doucement mais devient rapidement "pollué" par des accélérations et des effets sonores jusqu'à un climax surprenant mais exceptionnel, une ligne de drum and bass qui finis de faire monter la chanson dans le panthéon des grands singles de Björk.

4-Cosmogony : Après la rationnelle Crystalline, Cosmogony vient remettre l'album à un rang émotionnel avec une chanson basé sur le folklore de la naissance de l'univers. Tout comme certaines partie de sa carrière, c'est une chanson qu'on apprécie plus à chaque écoute et qu'on en vient à apprécier au fur et à mesure. En tout cas le chant, presque céleste, sera reconnus et certainement apprécié par tous, pour autant qu'on l'écoute avec du matériel de qualité.

5-Dark Matter : On retombe à nouveau dans le plus sombre avec une chanson courte qui fait plus pensée à des expérimentations du style "Submarine" ou "Unravel". Peut-être une de celles qui as le plus de chances de rebutés, son orchestration étant à la limite du dérangeant. 

Un live de Thunderbolt posté par björk elle même et qui est recommandé "d'écouter avec des bonnes enceintes ou casques" par le site offficiel

6-Hollow : Apparemment Dark Matter n'a pas suffit dans le sombre bizarre, voilà qu'on continue avec ce style avec une intro qui nous déstabilise immédiatement. Lorsque enfin le beat principal s'impose et que la voix, fantomatique, débute on sent qu'on avoir droit à une de chansons "on aime ou on aime pas" comme "Hunter" ou, plus proche encore, "Vertebrae By Vertebae" dans Volta. Personnellement je dois avouer que j'ai toujours eu un peu de mal avec Björk en mode sombre et que ce titre n'arrange pas les choses. Néanmoins certains vont grandement apprécier.

7-Virus : Après cette descente dans le sombre on reviens doucement vers la lumière avec un titre plus soft, plus léger, très réminiscent de ce qui avait été fais sur Vespertine, jusqu'au "gling gling" du fond sonore. Les paroles elles aussi tendent vers l'apaisement, s'approchant parfois du murmure, et chante l'amour à travers les virus, une idée étonnamment à propos.

8-Sacrifice : Tout comme Thunderbolt, le son est ici la partie la plus surprenante. Ils vous faudra très certainement plusieurs écoute avant dans tiré tout le plaisirs, moi même j'ai encore du mal à passer cet étrange son de la harpe. Une fois passé ce premier cap, si vous y arriver, vous trouverez un morceaux très équilibré, à la fois tranquille et violent par moment (de bref passage d'électronique "sale") parvenant à être à la fois lent et rapide, sombre et lumineux. Difficile d'en décrire plus, à nouveaux un morceaux des plus complexe.

Premier single, premier succès avec en prime une fantastique vidéo par notre Michel Gondry national

9-Mutual Core : Tout commençait pourtant normalement, une lente ligne d'orgue et un chant marqué mais contenus, une chanson simple et efficace. Pourtant au fur et à mesure on sent une sorte de montée en second plan, discrète mais qui présage quelque chose de bien plus violent comme la vieille montagne qui sent le volcan se réveiller sous elle. Jusqua cet instant symbolique ou les premiers beats électroniques commencent littéralement à explosé dans nos oreilles jusqu'à un refrain qui catapulté directement ce morceaux bien au delà de la musique terrestre de toute l'histoire humaine. Oui, c'est aussi bon que çà. Une fois le calme revenus on ne peut s'empêcher d'attendre la nouvelle descente avec encore plus d’appréhension que la première et finir le morceaux en beauté pour une chanson qui as encore beaucoup de potentiel à révéler dans un live qui promet d'être monumental.

10-Solstice : Après une telle montée, on finis tranquillement sur un titre plus minimaliste, concentré principalement sur des paroles poétiques encore une fois écrite par Sjon (poète islandais amis contribuant au texte de björk depuis longtemps) et qui se suffisent à elle même pour animer cette dernière chanson. C'est aussi ici qu'on à  la plus impressionnante démonstration de talent de björk dans un final à la voix qui laisserait n'importe qu'elle autre chanteur/chanteuse sur les dents.

Résultats-

J'ai peur de donner une note objective sur un artiste où je n'ai, sans aucun doute, pas la moindre de chance d'y arriver. Depuis que je l'ai découvert Björk c'est toujours montré à la hauteur de mes espérances comme artiste la plus originale mais aussi la plus appréciable que j'ai jamais écouté et cet album, malgré quelques interprétations que j'apprécie moyenne est encore à des années-lumières de n'importe quel autre qu'on espère me faire acheté. Alors dans le doute un petit 19/20 devrait mettre tout le monde d'accord.

A Retenir :

-Crystalline

-Thunderbolt

-Mutual Core

Si vous avez aimés : Vous êtes dans ma situation, condamné à chercher des ersatz de cette qualité en restant au crochet d'internet pour être prêt à saisir les premières places de concerts qui seront disponible. Rassurez-vous, on se verra la-bas.

La Chanson Du Mardi Soir : The Silent Planet

On continue ces chansons de la semaine un peu métal avec encore un groupe mythique mais cette fois-ci avec un moins peut-être moins connus mais en tout cas pas moins bon, voici :

Iron Maiden - Out Of The Silent Planet


Bon je me doute bien que je n'ai pas besoin de vous parlez de Iron Maiden, vous connaissez n'est ce pas ?

Groupe de Heavy Métal de la "Nouvelle Vague de Heavy Métal Anglais"  ? Hyper Méga Célèbre ? 666, The Number of The Beast ? Fear of the Dark ? Run to the Hills ?

Si vous les avez chantonnez en les lisant parfais, pour les autres ils faudra les écoutez aussi quand vous serez sur votre plate-forme de musique préférez pour écoutez celle dont je vais vous parlez maintenant, Out of the Silent Planet.

Second single de leurs album de 2000, Brave New World, qui as su amener avec brio Maiden dans le nouveau millénaire alors que certains groupe du même acabit manquait violemment le coche (Metallica, Judas Priest...). Avec un son puissant et des compositions de qualité, Iron Maiden marque son retour dans le son heavy métal de qualité après une paire d'album, on va dire moyen.

Alors pourquoi vous parlez de celle-ci plutôt que d'une super connus et apprécié par tous (le groupe n'en manque pas) ? Tout simplement parce que j'ai flashé dessus. L'intro mémorable à la guitare, le chant groupé prévus pour un de ces lives à plusieurs milliers de personnes et le lancement principal de la chanson réussi comme seul Maidne arrive à faire.

Comme toujours vous trouverez ces petites merveilles légalement sur Deezer (down à l'heure ou j'écris ces lignes) ou Grooveshark et à la semaine prochaine pour une autre sélection de votre serviteur !

samedi, novembre 19, 2011

Game Review n°39 : Hector !

Vous le savez sans doute mais j'aime les point'n click bien fun et j'ai notamment des actions chez Telltale. Bien sûr que non mais vu la qualité de leurs travaux depuis leurs lancement, je surveille de très près leurs projets et avant qu'un certains Jurassic Park ne sorte je suis tombé sur un jeu bien plus indépendant mais aussi plus hardcore, voici :

Le Choix Du Patron
Hector: Badge Of Carnage


Fiche Technique-

Point'n Click développer par Straandlooper et Telltale et édité par ces derniers sous la forme d'une trilogie épisodique. Développé initialement pour IOS (Iphone et Ipad) et convertis sur PC et Mac OSX sortis entre avril et octobre 2011. Humour adulte, entièrement en anglais et ne sera jamais traduit d'aucune façon (on en perdrais le charme).

Décorticage-

-Graphisme : étant développé à la base sur Iphone on peut se douter que les graphisme ne sont pas le point fort du jeux, néanmoins celui-ci tiens bon grâce à design général très classe, autant des décors que des personnages. Le style 2D conserve en tous un cas un charme particulier même passer sur un écran de pc immense.

-Gamepaly : du point'n click réduit à sa plus simple expression (taillé pour IOS rappelez vous) on se renvoie propulser à l'age d'or du genre avec beaucoup d'objet, des personnages hors du commun et la règles des trois épreuves (dans les jeux d'aventures les quêtes à accomplir vont toujours par trois). Si la manipulation à la souris est parfois un peu simpliste elle n'handicape pas non plus la maniabilité générale. 

-Son : La musique est typiquement ce qu'on pourrais attendre d'un jeux d'aventure, simple et efficace mais qui à malheureusement tendance à tournée en boucle un peu vite, surtout qu'elle n'est pas non plus du niveau de Michael Land (Mr. bande son des Lucasart). Les voix sont par contre formidable, avec un accent anglais remarquable surtout qu'une seule personne s'occupe de toutes les voix masculines (et je ne l'avais même pas remarqué avant tout à l'heure en me renseignant) et des tirades qui nécessite les sous-titres, heureusement fournis avec, pour être comprise (même pour des anglais pur souche j'en suis sur).

Le trailer de la version PC est bien classe mais vous y comprendrez rien avec leurs accents anglais...

-Durée de Vie / Difficulté / Scénario : La durée est de vie est un peu médiocre, encore un problème du au format téléphone. Si vous risquez d'être bloqué une paire de fois les 3 épisodes ne devrait pas vous prendre plus 7/8 heures (on va dire 2h par jeux) ce qui n'est pas non plus du vol pour les 20 euros qu'on vous demande. La difficulté est un vrai plaisirs, corsée mais sans être impossible, avec notamment des façon inédite de se sortir de situation tout aussi improbable. Dommage par contre que certains script mal pensés nous obliges parfois à devoir attendre qu'ils se déclenchent (en revenant sur un même lieu le plus souvent) et nous bloques sans raison. Enfin le scénario est un festival de craquage, des énigmes bidons mais qui sont résolues avec astuces et originalité font de l'histoire un vrai plaisirs à traverser et ce jusqu'à la fin.

-Ambiance : La meilleure note de la liste. Vulgaire, grossier, vil, sale, crade, insultant, violent, crétin et obscène, ce jeu possède toutes les qualités. Un personnages totalement abject dans une ville qui l'est tout autant et un humour trash omniprésent rendent les situations et les dialogues absolument truculents, un niveau bien au dessus de ce propose Sam & Max dans le genre.

Résultat-

17/20

Un jeu bien dégueulasse comme on en fais plus sur un gameplay de vieux point'n click comme on en fais plus. Si le format "jeux ipad" limite quelque peu les possibilités, force est de reconnaître le talent des développeurs qui sont parvenus à nous pondre une expérience de jeux exceptionnelle avec des personnages et des situations plus dingues le uns que les autres dans un style graphique maîtrisé. Ajoutez encore à cela une difficulté juste bonne et des voix anglaises parfaitement incompréhensible et vous avez un petit indépendant que n'importe quel amateur de jeux d'aventure qui n'est pas anglophobe devrait essayer de suite. 

Les + :

-Trash, super trash

-Personnages principal complétement cool

-Situation hardcore

-Simple et efficace

-Accents anglais

Les - :

-Réalisation un peu minimaliste

-Que en anglais

-Script forçant les allez-retours

-On en veut plus !

Si vous avez aimés : Bon ben Sam & Max s'impose déjà sinon je sèche...

Movie Review n°54 : Contagion

Alors que tous monde se presse pour voir les intouchables (et bientôt twillight T_T) j'ai choisi d'aller au cinéma un peu au hasard pour aller voir un film dont je n'avais pas entendus parler en dehors d'une paire d'affiche, voici :

Contagion

Une affiche efficace qui met surtout en avant le casting exceptionnel

Fiche Technique-

Film d'anticipation / Docu-Fiction réalisé par Soderbergh (Ocean's, Solaris, Traffic) avec Matt Damon (Infiltrés, Ocean's), Laurence Fishburne (Morpheus), Marion Cotillard (Inception) et pas mal d'autre. Sortie le 9 novembre 2011, probablement -12 ans (et encore...) et dure 1h40.

Synopsis-

Alors qu'elle revient d'un voyage d'affaire à Hong Kong, une jeune femme meurs d'un mal mystérieux qui très vite se répand un peu partout sur le globe pendant que les différentes organisations mondiales tente de comprendre et de réagir face à cette contagion généraliser.

Décorticage-

-Casting : On s'en doutais mais autant de bon second rôle dans le même film est bine agréable surtout qu'en dehors de Matt Damon un peu trop lui même, le reste du cast est très crédible surtout Laurence Fishburne qu'on aimerait voir un peu plus souvent sur nos écran. Dommage que certains personnages n'apparaissent pas plus (j'y reviendrais dans le scénario à propos de Cotillard).

-Scénario : Basé sur une idée déjà largement exploité au cinéma (Alerte pour ne citer que lui), cette mise à jour prend le parti du réalisme et se place presque comme un docu-fiction, les événements étant retranscrit avec un soucis de cohérence et d'intelligence rarement vu de ce genre de film. On appréciera entre autres les réactions logiques des protagonistes, une absence de morale idiote trop évidente et un passage bref et efficace sur le coté panique déjà vu aussi des milliers de fois. Au rayon négatifs on déplorera par contre certains sous-scénario franchement peu utile (la pseudo romance gratuite) qui empêche de développer correctement certains personnages, surtout Marion Cotillard qui, après une entrée remarqué, disparais sans laisser de trace au milieu du film.

-Bande-son : une bande-son électronique efficace qui se fais discrète mais qui maintient une ambiance prenante. On appréciera surtout les voix françaises avec les doubleurs habituels d'autant d'acteurs qui ne déçoivent pas.

-Aspect Visuel / Ambiance : L'aspect visuel délavé est bien utilisé pour apporter une ambiance discrète mais efficace, sans jamais tomber dans le gadget inutile.La caméra de Soderbergh est elle aussi bien employé avec l'idée d'une focalisation très spécifique, surtout sur les zones de contamination possible, zoomer sur une poignée de porte ou un bouton d'ascenseur n'a jamais été aussi intelligent. L'ambiance générale est, comme dit plus haut, le plus réaliste et le plus crédible possible, une sorte de détachement médical analysant la situation sans concession. Sachant cela n'allez pas le voir au cinéma mais préférez une sortie DVD qui ne vous fera rien manquer en terme d'effet spéciaux.

Résultat-

15/20

Un bon film qui fais plus office de Docu-fiction que de vrai thriller tant le réalisme est poussé à l’extrême. Avec un casting exceptionnel sur un sujet bien traité et avec un réalisateur douée derrière la caméra, pour un film qui, contrairement à ce que vous dirons les autres critiques, ne cherche pas à faire peur mais plutôt à vous expliquer sans détour comment une épidémie comme celle de la grippe H1N1 aurait pu déraper et la réaction approprié des différentes instances. 
Si on tient là une bonne valeurs sure pour l'année, on pourra par contre regretter un film plus "thriller" avec le personnage de Marion Cotillard, épidémiologiste qui ne disparaît pas sans raison mais qui traque le virus avec un compte à rebours contre elle.

Les + :

-Très réaliste

-Une brochette de super acteurs habitués aux seconds rôles

-Maintient une certaine attende

-Réalisation très propre

-Marion Cotillard, épidémiologiste...

Les - :

-...mais qui est mise au placard à la moitié du film

-Pas la peine de le voir au ciné

-Matt Damon un peu Matt Damon quand même

Si vous avez aimés : Imdb propose "Clones" avec B.Willis qui n'est pas mal du tout sinon District 9 pourquoi pas.

vendredi, novembre 18, 2011

Music Review n°37 : Double Rhapsody

Aujourd'hui une review un peu particulière sans grand décorticage mais plus une série d'opinion sur un groupe qui à atteint un rendement impressionnant ces dernières années et sur lequel une paire d'album mérite d'être mentionné, voici :

Le Choix Du Patron

Rhapsody Of Fire - The Cold Embrace Of Fear - A Dark Romantic Symphony
&
Rhapsody Of Fire - From Chaos To Eternity

Même si elle reste agréable, les pochettes de Rhapsody on quand même baissé en qualité

Fiche Technique-

Rhapsody of fire est un des acteurs majeurs du symphonique métal (et du power) avec un renouveau de carrière consommé maintenant depuis 3 albums qui as vu apparaître un style plus symphonique mais aussi moins mémorable qui c'est bien repris comme nous l'a montré la review de leurs deuxième album de 2010, The Frozen Tears of Angels. Mais cette année 2010 n'a pas été synonymes d'une sortie unique car en même temps Rhapsody sortait un EP d'un trentaine de minute qu embrassait totalement leurs style "conteur d'histoire", The Cold Embrace Of Fear.
A peine remis de cette double sortie en 2010, le groupe remet le couvert l'année suivante avec encore un album qui vient conclure la trilogie de "Of Fire", From Chaos To Eternity.
Puisque parler des deux albums chanson par chanson serait fastidieux et moyennement informatif dans ce cas-ci, je vais plutôt  vous donnez quelques opinion sur les deux et une note informative.
Genre : Métal Symphonique, Power Métal.

Décorticage-

Quand je me suis rendus compte que j'avais loupé non pas un mais deux album de Rhapsody, je me suis sentit un peu honteux, ayant suivit avec régularité leurs carrière depuis Dawn of Victory, je me suis empressé de comblé cette lacune. Fort heureusement j'avais déjà reviewé l'album de l'année Frozen Tears positivement et je m'attendais donc à une paire d'album d'une même qualité. Je m'étais trompé...

Ils étaient encore meilleurs.

La grosse différence entre les deux albums chroniqué ici vient surtout de style de narration, l'album respectant un format classique alors que l'EP se présentait plus comme une sorte d'histoire (une habitude chez Rhapsody) avec des chansons qui n'en n'étais pas mais plutôt une aventure musicale avec des dialogues entrecoupés de chansons. Le choc est tel qu'en lançant l'EP on se demande un bon moment ce qu'on est en train d'écouter en entendant le groupe faire face à une avalanche et une longue intro avant que ne démarre proprement dit la musique (le troisième chanson sur 7 tout de même) dans une fresque d'un quart d'heure longue et agréable complexe. 

"On apprécie énormément la repousse des parties génitales du groupe dans les chanson en italien"

Si on retrouve un rhapsody toujours aussi chantant, l'histoire derrière reste importante, un pont avec la chanson longue de l'album de 2011 qui dure elle 20 minutes durant lequel on en apprend beaucoup sur notre quête. Mais si la qualité de ces chansons à rallonge, tout as fais honnête soit dit en passant, est relativement proche du niveau de celle de l'album de 2010, là ou on apprécie énormément la repousse des parties génitales du groupe dans les chanson en italien (le groupe l'étant à la base). 

Si j'en avais déjà dit beaucoup de bien, le changement inattendus de langue parfaitement maîtrisé, fais soufflé un vent d’originalité sur un genre où on pensais avoir tout entendus. Que se soit posé dans l'EP (avec Neve Rosso Sangue) ou plus violent dans l'album de 2011 (avec Tempesta Di Fuoco), le chanteur nous rappelle qu'il possède un talent rare qui n'est largement pas obscurcis dans sa langue natale et ce même quand le morceaux demande puissance et ferveur. Si il faut avouer que Rhapsody était fortement devenus commercial on ne peut que les saluer d'avoir remonter leurs bretelles en proposant non seulement plus d'expérimentation mais aussi une plus grande place à l'histoire qui devrait ravir les fans de leurs narrations hérioco-fantastiques
.
"Le chanteur nous rappelle qu'il possède un talent rare qui n'est largement pas obscurcis dans sa langue natale et ce même quand le morceaux demande puissance et ferveur."
 
Je trouve la couverture de l'EP encore meilleur que celle des albums

Mais je n'en pas encore finis !

Car si il est vrai que Rhapsody à tirer son originalité grâce à une mythologie complexe et une narration solide c'est surtout les morceaux purement power-métal qui ont attiré un grand nombre des fans. Que ce soit avec l'excellente Emerald Sword, Knightriders of Doom ou encore Dawn of Victory (oui, l'album entier), le groupe à su enchaîner les succès puissants et épiques comme tous les métalleux ont su apprécier, jusqu'à une certaine chute opéré conjointement en Symphony of Enchated Lands II et le premier Rhapsody Of Fire. Si le deuxième album avait su nous proposer une peu plus de vitesse pour moins de symphonique, ces deux spécimens en remette une couche avec, dans l'EP, un des meilleurs morceaux de Rhapsody depuis bien longtemps : Erian's Lost Secrets. Mais l'album principal n'est pas non en reste car, étant le dernier album avec Luca Turilli, celui-ci à voulu partir par la grande porte en pondant des morceaux qui font honneur au reste de leurs discographie notamment avec la chanson titre From Chaos To Eternity et le premier single Aeons Of Raging Darkness.

"Même les fans de la première heure peuvent sans peur retourner sur ces trois efforts et les appréciés sans honte."


L'un dans l'autre il s'agit d'une excellente entrée dans la discographie d'un groupe mythique ayant connus une légère perte de vitesse mais qui semble avoir repris du poil de la bête, multipliant les tentatives audacieuse et les titres d'anthologie pour un duo d'album sortis avec un rendement impressionnant. Peut-être qu'après le départ de Turilli, le groupe n'arrivera jamais à atteindre le stade de qualité qu'ils ont atteints mais en tous cas ces dernières prouesse nous prouves à tous que Rhapsody n'est pas mort et que même les fans de la première heure peuvent sans peur retourner sur ces trois efforts des années 2010's et les appréciés sans honte.
Note informative : 17/20.



Si vous avez aimés : Edguy à sortir un nouvel bien classe qui sera chroniqué ici et sinon les deux autres membres des review de métal de l'été : Symphony X et Pagan's Mind.

La Chanson du Mardi Soir : The Mob Rulz

Imaginez un instant un super groupe de métal le plus violent possible. Un chanteur d’exception, un batteur inhumain et un guitariste montant comme une fusée. Si vous avez imaginez Adrenaline mob je vous aimes, sinon suivez le guide car voici :

Adrenaline Mob - The Mob Rules


Définir Adrenaline mob est plutôt simple pour une fois. Si vous êtes un peu au courant de l'actualité intéressante (qui n'est pas sur le blog parce que toujours en retard), vous savez sans doute que Mike Portnoy, le génie derrière la batterie de Dream Theater, à quitté le groupe avant la sortis de leurs dernier album. Pour les fans du groupe ce fut un choc, non seulement au vue de la bonne entende qu'il y avait en général dans le groupe, mais aussi pour le talent de Portnoy qui donnait aux morceaux un puissance rarement égalé par leurs concurrents. Si l'histoire DT est pour une prochaine review, celle de Portnoy à récemment ajouté un nouveaux chapitre avec le super groupe Adrenaline Mob. 

Pour ce projet légèrement plus métal que DT (ou autant que leurs morceaux les plus violents), il s'est entouré d'un guitariste de talent, Mike Orlando, un petit nouveau qui commence à faire son petit nom dans le métal. Ajouté à cela une paire de mec doué du domaine et on commence à avoir quelque chose de bien mais là ou Portnoy à su mettre un dure coup à son ancien groupe c'est le chanteur. Pour les connaisseurs, le chanteur de Dream Theater c'est un petit peu le point faible du groupe, très doué dans les instrumental, mais toujours moins impressionnant quand il s'agit de chanter. Ici c'est tout simplement le chanteur de Symphony X qui vient apporter sa participation, Russen Allen. Et si vous avez déjà écoutez symphony x ou lu ma review vous savez que ce type est l'un des meilleurs chanteur de métal de notre époque.

Maintenant que vous connaissez les composants il n'y a plus qu'a écoutez le produit final, un premier Ep d'une grande classe qui ne demande qu'à être exploité dans un album complet et une reprise d'un titre déjà fantastique de Black Sabbath (époque Dio) présenter dans cet article.

En résumé, un mélange explosif pour un groupe à surveiller de très près. 

Mangez-en c'est du bon !