Le Choix Du Patron
Rhapsody Of Fire - The Cold Embrace Of Fear - A Dark Romantic Symphony
&
Rhapsody Of Fire - From Chaos To Eternity
Même si elle reste agréable, les pochettes de Rhapsody on quand même baissé en qualité
Fiche Technique-
Rhapsody of fire est un des acteurs majeurs du symphonique métal (et du power) avec un renouveau de carrière consommé maintenant depuis 3 albums qui as vu apparaître un style plus symphonique mais aussi moins mémorable qui c'est bien repris comme nous l'a montré la review de leurs deuxième album de 2010, The Frozen Tears of Angels. Mais cette année 2010 n'a pas été synonymes d'une sortie unique car en même temps Rhapsody sortait un EP d'un trentaine de minute qu embrassait totalement leurs style "conteur d'histoire", The Cold Embrace Of Fear.
A peine remis de cette double sortie en 2010, le groupe remet le couvert l'année suivante avec encore un album qui vient conclure la trilogie de "Of Fire", From Chaos To Eternity.
Puisque parler des deux albums chanson par chanson serait fastidieux et moyennement informatif dans ce cas-ci, je vais plutôt vous donnez quelques opinion sur les deux et une note informative.
Genre : Métal Symphonique, Power Métal.
Décorticage-
Quand je me suis rendus compte que j'avais loupé non pas un mais deux album de Rhapsody, je me suis sentit un peu honteux, ayant suivit avec régularité leurs carrière depuis Dawn of Victory, je me suis empressé de comblé cette lacune. Fort heureusement j'avais déjà reviewé l'album de l'année Frozen Tears positivement et je m'attendais donc à une paire d'album d'une même qualité. Je m'étais trompé...
Ils étaient encore meilleurs.
La grosse différence entre les deux albums chroniqué ici vient surtout de style de narration, l'album respectant un format classique alors que l'EP se présentait plus comme une sorte d'histoire (une habitude chez Rhapsody) avec des chansons qui n'en n'étais pas mais plutôt une aventure musicale avec des dialogues entrecoupés de chansons. Le choc est tel qu'en lançant l'EP on se demande un bon moment ce qu'on est en train d'écouter en entendant le groupe faire face à une avalanche et une longue intro avant que ne démarre proprement dit la musique (le troisième chanson sur 7 tout de même) dans une fresque d'un quart d'heure longue et agréable complexe.
"On apprécie énormément la repousse des parties génitales du groupe dans les chanson en italien"
Si on retrouve un rhapsody toujours aussi chantant, l'histoire derrière reste importante, un pont avec la chanson longue de l'album de 2011 qui dure elle 20 minutes durant lequel on en apprend beaucoup sur notre quête. Mais si la qualité de ces chansons à rallonge, tout as fais honnête soit dit en passant, est relativement proche du niveau de celle de l'album de 2010, là ou on apprécie énormément la repousse des parties génitales du groupe dans les chanson en italien (le groupe l'étant à la base).
Si j'en avais déjà dit beaucoup de bien, le changement inattendus de langue parfaitement maîtrisé, fais soufflé un vent d’originalité sur un genre où on pensais avoir tout entendus. Que se soit posé dans l'EP (avec Neve Rosso Sangue) ou plus violent dans l'album de 2011 (avec Tempesta Di Fuoco), le chanteur nous rappelle qu'il possède un talent rare qui n'est largement pas obscurcis dans sa langue natale et ce même quand le morceaux demande puissance et ferveur. Si il faut avouer que Rhapsody était fortement devenus commercial on ne peut que les saluer d'avoir remonter leurs bretelles en proposant non seulement plus d'expérimentation mais aussi une plus grande place à l'histoire qui devrait ravir les fans de leurs narrations hérioco-fantastiques
.
"Le chanteur nous rappelle qu'il possède un talent rare qui n'est
largement pas obscurcis dans sa langue natale et ce même quand le
morceaux demande puissance et ferveur."
Je trouve la couverture de l'EP encore meilleur que celle des albums
Mais je n'en pas encore finis !
Car si il est vrai que Rhapsody à tirer son originalité grâce à une mythologie complexe et une narration solide c'est surtout les morceaux purement power-métal qui ont attiré un grand nombre des fans. Que ce soit avec l'excellente Emerald Sword, Knightriders of Doom ou encore Dawn of Victory (oui, l'album entier), le groupe à su enchaîner les succès puissants et épiques comme tous les métalleux ont su apprécier, jusqu'à une certaine chute opéré conjointement en Symphony of Enchated Lands II et le premier Rhapsody Of Fire. Si le deuxième album avait su nous proposer une peu plus de vitesse pour moins de symphonique, ces deux spécimens en remette une couche avec, dans l'EP, un des meilleurs morceaux de Rhapsody depuis bien longtemps : Erian's Lost Secrets. Mais l'album principal n'est pas non en reste car, étant le dernier album avec Luca Turilli, celui-ci à voulu partir par la grande porte en pondant des morceaux qui font honneur au reste de leurs discographie notamment avec la chanson titre From Chaos To Eternity et le premier single Aeons Of Raging Darkness.
"Même les fans de la première heure peuvent
sans peur retourner sur ces trois efforts et les
appréciés sans honte."
L'un dans l'autre il s'agit d'une excellente entrée dans la discographie d'un groupe mythique ayant connus une légère perte de vitesse mais qui semble avoir repris du poil de la bête, multipliant les tentatives audacieuse et les titres d'anthologie pour un duo d'album sortis avec un rendement impressionnant. Peut-être qu'après le départ de Turilli, le groupe n'arrivera jamais à atteindre le stade de qualité qu'ils ont atteints mais en tous cas ces dernières prouesse nous prouves à tous que Rhapsody n'est pas mort et que même les fans de la première heure peuvent sans peur retourner sur ces trois efforts des années 2010's et les appréciés sans honte.
Note informative : 17/20.
Si vous avez aimés : Edguy à sortir un nouvel bien classe qui sera chroniqué ici et sinon les deux autres membres des review de métal de l'été : Symphony X et Pagan's Mind.
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