L'Album du Mois de Juin 2011 :
Symphony X - Iconoclast
Groupe & Catégorisation-
Symphony X est un groupe de progressif métal avec un gros apport symphonique (comme leurs nom l'indique) qui c'est fais connaître grâce à un beaucoup de talent et à une voix violente et mémorable de leurs chanteur. Signé dorénavant sur "Nuclear Blast records" (un grand classique pour les métalleux), Symphony X reviens avec son huitième album, suite de Paradise Lost, critique très positivement sur ce blog
Décorticage-
01-Iconoclast : Histoire de ne pas être déçu on commence directement par la chanson titre et qui plus est la plus longue de l'album, presque 11 minutes. La première impression est que Symphony X n'a rien perdu de son style agressif et instrumental, avec des changement de rythme appuyé par de l'orchestral en arrière plan. Comme souvent chez le groupe c'est la partie instrumental qui sert d'introduction avant que le riff principal s'installe et que la voix se lance. On est alors ravis de constater que le chanteur n'a rien perdu de sa puissance vocale, un des meilleurs atouts du groupe qui allie classe avec violence.
Si il ne s'agit pas là de leurs morceaux le plus mémorable, il se maintient tout à fais par rapport aux autres efforts du groupe, et la partie solo instaure une ambiance épique relativement originale pour le groupe. Les fans du progressif vont apprécié cette introduction en matière complexe à souhait.
02-The End Of Innocence : On retombe sur du Symphony plus classique avec dès le démarrage un clavier survitaminé. Si certains fidèle de ce genre de pratique ont depuis disparu (Stratovarius entre autre), il faut reconnaître que sa donne toujours aussi bien. C'est aussi ici qu'on commence à retrouvé l'héritage de Paradise Lost, avec un riff lourd et puissant comme on aime et la voix qui ne se laisse pas démonter. Par ailleurs le solo nous prouves aussi que Romeo (le guitariste) n'est pas non plus rouillé avec un vitesse et un shred bien maîtrisé.
03-Dehumanized : Au moins on en à pour son argent, on continue avec une chanson bien bourrin qui se place dans leurs registre de confiance. Riff puissant, voix puissante et orchestration classieuse, on est dans du pur Symphony. Peu marquant tout de même.
04-Bastards Of The Machine : De nouveaux un intro avec un clavier plein pot et dieu que sa pousse. C'est une magnifique réussite que le groupe à toujours su parfaitement maîtrisé, à savoir être déjà totalement "on fire" avant même que la voix ne commence à attaquer. En plus, si les paroles ne m'avait pas trop marqué dans les premiers morceaux, ici combiné à un rythme prenant deviennent vite inoubliable. Un véritable single en puissance, probablement une tuerie en live et avec un solo qui nous rappelles que avant tout il y a du talent.
05-Heretic : Sur un album de 7 chanson c'est ici que s'attendrait à avoir une chanson plus calme. Eh bien non. On continue dans le registre du bourrin avec cette fois le chœur latin qui se charge du font sonore et qui donne la réplique à la guitare de Romeo. Elle aboutit alors sur un morceau plus sombre et bien lourd comme on les aimes, une certaine forme d'originalité qui fais penser à leurs plus anciens albums.
06-Children Of A Faceless God : Toujours pas de chanson lente mais par contre un rythme qui lance immédiatement le headbang, même tout seul devant sa chaîne. Un petit coté Pagan's Mind mais avec des paroles sur les robots au lieu de Osiris, une différence minime pour deux groupes qui se tirent la bourre pour savoir lequel des deux est le plus classe. En tout cas ce n'est pas avec ce morceaux que Symphony va se laisser distancer, des paroles de nouveaux mémorable et qui donnent envie de chanter avec que se soit dans sa salle de bain ou avec des milliers de personnes en concert. Le batteur nous rappelles aussi à notre bon souvenir qu'il assure grave et la transition vers le solo est majoritaire de son fait.
07-When All Is Lost : Enfin la première chanson lente de l'album, la dernière de la version normale. C'est l'occasion, un peu en retard tout de même, de calmer un peu le jeux et de redécouvrir la talent du chanteur, un des meilleurs de toute la scène symphonique métal. Si le morceaux reprend vite du poil de la bête, il reste dans des limites de Paradise Lost, et du même coup s'élève gentiment au dessus des productions des autres groupes dans le même registre. Affichant 9 minutes au compteurs, c'est la deuxième plus longue de l'album, un choix très intelligent car c'est un genre où le groupe brille particulièrement, on le sent dans sa zone de confort. De plus, dans toute la tradition progressif, la chanson change radicalement à la moitié, apportant une touche d'originalité pour le solo ce qui en fait une des plus grande réussite de l'édition standard de l'album.
A partir d'ici les morceaux viennent de l'édition spéciale qui est en fait l'édition originale de l'album concept tel que le groupe l'a imagine avec la vrai tracklist et les douze chansons.
08-Electric Messiah : Basé dans premier temps sur des accélérations de la mélodie, on repars pleine vitesse après la pause de fin de premier cd. Un morceaux plutôt classique si ce n'est les burst de la guitare pour lesquels j'ai un vrai faible. A noter que dans la version normale de l'album, cette chanson environ est au milieu.
09-Prometheus (I Am Alive) : Qui fais suite directement à Electric Messiah dans les deux versions du CD, on à ici ce qui semble être à première vue la deuxième chanson lente de l'édition normale. Une erreur vite dissipé quand vers 1 minutes la chanson accélère brutalement en même temps que Romeo claque un solo baddass. Un qualificatif qui s'applique facilement au reste de la chanson, qui reprend, comme Heretic, un coté plus sombre.
10-Light Up The Night : La plus violente intro de l'album, immédiate et carré, elle lance directement la chanson qui n'aurait pas daigné à faire suite à Prometheus au lieu d'un vieux fondus sonore sans intérêt. Que se soit les paroles qui commencent immédiatement ou bien la vitesse générale qui enchaîne bien sur le dernier solo de batterie de la neuvième, j'ai le sentiment d'être légèrement floué sur le coté "concept album". Définitivement une chanson qui se devraient de faire partie d'un tout, peut-être un pièce majeure de 10 minutes comme le groupe ne rechigne pas à en faire habituellement.
11-The Lords Of Chaos : Un rythme étonnant groovy, du moins autant que groovy peut vous indiquez quelques chose dans du symphonique. Autrement, difficile de dire quelque chose qui n'a pas déjà été dit pour les autres chansons, c'est bourrin et classe à la fois.
12-Reign Of Madness : Madness ? This Is Symphony X !
A nouveau une chanson qui aurait du être liée à la précédente, son début faisait un peu forcé dans se format. Un mal bien vite effacé lorsque le riff principal, rapide et tranchant, viens se mettre en place. Plus longue chanson du deuxième cd, celà se ressent avec à nouveaux des changements de rythme à la moitié de la chanson pour laisser place à une petite pause tranquille avant la grande descente finale pour conclure l'album, à une vitesse que n'aurais pas rechigné DragonForce.
Résultats-
16/20
Si vous êtes venus pour du métal, vous allez être servis. Un album d'une dizaine de chansons (en moyenne des deux version) et une seule balade c'est culotté mais il faut reconnaître que le groupe ne s'en tire pas mal. Dommage que j'apprécie beaucoup ce type de morceaux, sa rareté ne faisant que ressortir la qualité de celui-ci. Avec un album bourrin de bout en bout il fallait bien se rendre à l'évidence que Symphony X à légèrement mal choisis son moment pour annoncer un album "concept" car l'écoute de celui-ci d'une traite le rend un peu redondant. Autrement dans une playlist métal avec les nombreux autre titres pour le dilué, cet album balance du bon Symphony X en grande quantité et en grande qualité, un plus pour tous fans qui se respecte.
A Retenir-
-When All Is Lost
-Children Of A Faceless God
-Bastards Of The Machine
Si vous avez aimés : Encore deux review de symphonique métal à venir cet été, vous allez avoir l’embarra du choix
Symphony X - Iconoclast
Toujours dessiné par le même artiste, les pochettes récentes de Symphony X sont très classes, celle-ci ne faisant pas exceptions
Groupe & Catégorisation-
Symphony X est un groupe de progressif métal avec un gros apport symphonique (comme leurs nom l'indique) qui c'est fais connaître grâce à un beaucoup de talent et à une voix violente et mémorable de leurs chanteur. Signé dorénavant sur "Nuclear Blast records" (un grand classique pour les métalleux), Symphony X reviens avec son huitième album, suite de Paradise Lost, critique très positivement sur ce blog
Décorticage-
01-Iconoclast : Histoire de ne pas être déçu on commence directement par la chanson titre et qui plus est la plus longue de l'album, presque 11 minutes. La première impression est que Symphony X n'a rien perdu de son style agressif et instrumental, avec des changement de rythme appuyé par de l'orchestral en arrière plan. Comme souvent chez le groupe c'est la partie instrumental qui sert d'introduction avant que le riff principal s'installe et que la voix se lance. On est alors ravis de constater que le chanteur n'a rien perdu de sa puissance vocale, un des meilleurs atouts du groupe qui allie classe avec violence.
Si il ne s'agit pas là de leurs morceaux le plus mémorable, il se maintient tout à fais par rapport aux autres efforts du groupe, et la partie solo instaure une ambiance épique relativement originale pour le groupe. Les fans du progressif vont apprécié cette introduction en matière complexe à souhait.
02-The End Of Innocence : On retombe sur du Symphony plus classique avec dès le démarrage un clavier survitaminé. Si certains fidèle de ce genre de pratique ont depuis disparu (Stratovarius entre autre), il faut reconnaître que sa donne toujours aussi bien. C'est aussi ici qu'on commence à retrouvé l'héritage de Paradise Lost, avec un riff lourd et puissant comme on aime et la voix qui ne se laisse pas démonter. Par ailleurs le solo nous prouves aussi que Romeo (le guitariste) n'est pas non plus rouillé avec un vitesse et un shred bien maîtrisé.
The End Of innoncence écoutable gratuitement pour la promo de l'album
03-Dehumanized : Au moins on en à pour son argent, on continue avec une chanson bien bourrin qui se place dans leurs registre de confiance. Riff puissant, voix puissante et orchestration classieuse, on est dans du pur Symphony. Peu marquant tout de même.
04-Bastards Of The Machine : De nouveaux un intro avec un clavier plein pot et dieu que sa pousse. C'est une magnifique réussite que le groupe à toujours su parfaitement maîtrisé, à savoir être déjà totalement "on fire" avant même que la voix ne commence à attaquer. En plus, si les paroles ne m'avait pas trop marqué dans les premiers morceaux, ici combiné à un rythme prenant deviennent vite inoubliable. Un véritable single en puissance, probablement une tuerie en live et avec un solo qui nous rappelles que avant tout il y a du talent.
05-Heretic : Sur un album de 7 chanson c'est ici que s'attendrait à avoir une chanson plus calme. Eh bien non. On continue dans le registre du bourrin avec cette fois le chœur latin qui se charge du font sonore et qui donne la réplique à la guitare de Romeo. Elle aboutit alors sur un morceau plus sombre et bien lourd comme on les aimes, une certaine forme d'originalité qui fais penser à leurs plus anciens albums.
06-Children Of A Faceless God : Toujours pas de chanson lente mais par contre un rythme qui lance immédiatement le headbang, même tout seul devant sa chaîne. Un petit coté Pagan's Mind mais avec des paroles sur les robots au lieu de Osiris, une différence minime pour deux groupes qui se tirent la bourre pour savoir lequel des deux est le plus classe. En tout cas ce n'est pas avec ce morceaux que Symphony va se laisser distancer, des paroles de nouveaux mémorable et qui donnent envie de chanter avec que se soit dans sa salle de bain ou avec des milliers de personnes en concert. Le batteur nous rappelles aussi à notre bon souvenir qu'il assure grave et la transition vers le solo est majoritaire de son fait.
On a aussi le droit à Dehumanized, dommage, pas le meilleur choix possible
07-When All Is Lost : Enfin la première chanson lente de l'album, la dernière de la version normale. C'est l'occasion, un peu en retard tout de même, de calmer un peu le jeux et de redécouvrir la talent du chanteur, un des meilleurs de toute la scène symphonique métal. Si le morceaux reprend vite du poil de la bête, il reste dans des limites de Paradise Lost, et du même coup s'élève gentiment au dessus des productions des autres groupes dans le même registre. Affichant 9 minutes au compteurs, c'est la deuxième plus longue de l'album, un choix très intelligent car c'est un genre où le groupe brille particulièrement, on le sent dans sa zone de confort. De plus, dans toute la tradition progressif, la chanson change radicalement à la moitié, apportant une touche d'originalité pour le solo ce qui en fait une des plus grande réussite de l'édition standard de l'album.
A partir d'ici les morceaux viennent de l'édition spéciale qui est en fait l'édition originale de l'album concept tel que le groupe l'a imagine avec la vrai tracklist et les douze chansons.
08-Electric Messiah : Basé dans premier temps sur des accélérations de la mélodie, on repars pleine vitesse après la pause de fin de premier cd. Un morceaux plutôt classique si ce n'est les burst de la guitare pour lesquels j'ai un vrai faible. A noter que dans la version normale de l'album, cette chanson environ est au milieu.
09-Prometheus (I Am Alive) : Qui fais suite directement à Electric Messiah dans les deux versions du CD, on à ici ce qui semble être à première vue la deuxième chanson lente de l'édition normale. Une erreur vite dissipé quand vers 1 minutes la chanson accélère brutalement en même temps que Romeo claque un solo baddass. Un qualificatif qui s'applique facilement au reste de la chanson, qui reprend, comme Heretic, un coté plus sombre.
10-Light Up The Night : La plus violente intro de l'album, immédiate et carré, elle lance directement la chanson qui n'aurait pas daigné à faire suite à Prometheus au lieu d'un vieux fondus sonore sans intérêt. Que se soit les paroles qui commencent immédiatement ou bien la vitesse générale qui enchaîne bien sur le dernier solo de batterie de la neuvième, j'ai le sentiment d'être légèrement floué sur le coté "concept album". Définitivement une chanson qui se devraient de faire partie d'un tout, peut-être un pièce majeure de 10 minutes comme le groupe ne rechigne pas à en faire habituellement.
11-The Lords Of Chaos : Un rythme étonnant groovy, du moins autant que groovy peut vous indiquez quelques chose dans du symphonique. Autrement, difficile de dire quelque chose qui n'a pas déjà été dit pour les autres chansons, c'est bourrin et classe à la fois.
12-Reign Of Madness : Madness ? This Is Symphony X !
A nouveau une chanson qui aurait du être liée à la précédente, son début faisait un peu forcé dans se format. Un mal bien vite effacé lorsque le riff principal, rapide et tranchant, viens se mettre en place. Plus longue chanson du deuxième cd, celà se ressent avec à nouveaux des changements de rythme à la moitié de la chanson pour laisser place à une petite pause tranquille avant la grande descente finale pour conclure l'album, à une vitesse que n'aurais pas rechigné DragonForce.
Résultats-
16/20
Si vous êtes venus pour du métal, vous allez être servis. Un album d'une dizaine de chansons (en moyenne des deux version) et une seule balade c'est culotté mais il faut reconnaître que le groupe ne s'en tire pas mal. Dommage que j'apprécie beaucoup ce type de morceaux, sa rareté ne faisant que ressortir la qualité de celui-ci. Avec un album bourrin de bout en bout il fallait bien se rendre à l'évidence que Symphony X à légèrement mal choisis son moment pour annoncer un album "concept" car l'écoute de celui-ci d'une traite le rend un peu redondant. Autrement dans une playlist métal avec les nombreux autre titres pour le dilué, cet album balance du bon Symphony X en grande quantité et en grande qualité, un plus pour tous fans qui se respecte.
A Retenir-
-When All Is Lost
-Children Of A Faceless God
-Bastards Of The Machine
Si vous avez aimés : Encore deux review de symphonique métal à venir cet été, vous allez avoir l’embarra du choix
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