L'Album du Mois d'Octobre 2010 :
Joe Satriani - Black Swans & Wormhole Wizards
Groupe & Caractérisation-
Déjà reviewé dans ces colonnes il y a un an et demi, Satriani nous revient cette fois ci avec un album sérieux (j'entend par là : pas sortis un 1er avril) et avec une volonté clairement affiché de faire revenir le clavier dans ses morceaux. Après un dernier album légèrement en baisse et une paire de live corrects mais classique voyons ce que ce nouvel effort solo du légendaire guitaristes à dans le ventre.
Sortis le 5 octobre 2010 chez Epic.
Genre : Guitar Hero, Instrumental Rock
Décorticage-
1-Premonition : Une intro plutôt classe, et un morceaux qui à une bonne prestance, voila une bonne façon de commencer un album. Pa rappport à son dernier album, Satch nous revient plus direct, plus minimaliste mais aussi plus fidèle à lui même. Une bonne accroche, un son sympa et un bon solo, une très bonne entrée en matière.
2-Dream Song : Attention subjectif, j'adore absolument le type de sonorité sur laquelle la chanson est basée, une sorte d'équivalent du scratch sur platine mais à la guitare, jouissif. C'est aussi ici qu'on commence à entendre l'apport important du clavier dans cette nouvelle mouture et ce n'est de loin pas déplaisant. Une bonne ligne de base, une construction plutôt originale pour du Satch et un solo de qualité. Jusqu'à présent on ne peu pas dire qu'on commence mal.
3-Pyrrhic Victoria : Un titre posé et rythmé dans la pure veine de Super Colossal qui nous prouves encore une fois que Satch est à l'aise dans le middle tempo. Si techniquement il ne s'agit sûrement pas de sa plus grande prouesse , la chanson restara dans les mémoires longtemps. Un morceau de grande classe mais si personnellement je trouve son refrain un peu moyen mais qui est rattrapé par un très bon solo.
4-Light Years Away : On dirait que ce début d'album est placé sous le signe de satchfunkilus. Encore une très bonne pioche, un titre rythmé et avec un excellente ligne de basse qui fais à nouveau pensé à du Super Colossal. On appréciera le discret mais sympathique clavier, surtout dans les refrain. Peut-êtr eun peu longue par rapport au autre.
5-Solitude : Une minute de petite note de guitare. Franchement quitte à faire une transition en décalage, il nous avait habitué à mieux.
6-Littleworth Lane : Satriani joue du blues. Mais vraiment. Aucun doute possible, on à ici affaire à du bon vieux blues de service, celui qui balance et qui pose. Le seul problème à mon avis : Satch nous as déjà prouvés maintes fois qu'il savait faire du blues de qualité (Son album titre avec SMF et New blues dans The Extremist) mais je trouve que se titre est à la fois trop classique et finalement pas si bon que ca par rapport à ce qu'il pourrais faire. Sans rancune vieux mais je préfère mon blues plus sombre et plus travaillé.
7-The Golden Room : Après les titres Super Colossal, voici Strange Beautiful Music, le retour. Une ambiance légèrement ethnique, une guitare lourde et bien électronique. A nouveau un mélange pas inconnus de l'artiste mais qui malheureusement ne marche pas à tous les coup. Eh bien cette fois-ci ce la fonctionnne parfaitement, tout comme une certaine Andalusia dans l'album précédent. Ici la bonne idée est de maintenir cette ambiance unique tout au long de la chanson et de ne pas céder à revenir sur du plus classique comme c'était souvent le cas des les albums précédents qui ont tenté cette approche.
8-Two Sides To Every Story : Vieux rock,un peu jazzy, c'est ici que l'idée de faire revenir le clavier est bonne. Une ambiance sympathique et un bon jeu de guitare donne le ton dès le début et ne faiblit pas. Probablement pas son meilleur mais une addition satisfaisante à sa collection.
9-Wormhole Wizards : La chanson titre casse des briques, je vous le dit tout de suite. Ce n'est pas non plus une surprise chez Satriani (Super Colossal, Is There Love In Space...) mais ici c'est la crème de l'album. Une ambiance sombre et classe qui fais rend étonnamment bien avec le titre accrocheur de l'album, un jeu de guitare très maitrisé, sans bourrinage inutile mais avec un excellent son et comme toujours une batterie efficace pour rythmé le tout. Avec en plus un excellent solo et un refrain mémorable, vous en aurez pour votre argent. Et même un solo de clavier joué par Mike Keanally (un pote à Steve Vai, qui joue sur tout l'album).
10-Wind In the Trees : Le seul morceaux lent de l'album est dans le pur style searching : Une base très simpliste et un immense solo dessus. Avec 7 min 42, c'est la plus longue chanson du CD et malheureusement, pas la meilleure. Non pas que le problème viennent du morceaux en général, dans lequel Satriani nous montres une fois encore qu'il possède tout le talent pour animer une démo technique, mais plutôt que dans les morceaux lent on à déjà atteint des sommets avec le couple Searching/Bamboo et que par rapport à ces deux merveilles, le titre n'est pas encore à la hauteur. Néanmoins meilleur que les essais du dernier album.
11-God Is Crying : Histoire de finir avec classe, le dernier titre n'en manque pas. VOus savez ce son si particulier que j'ai encensé dans Dream Song ? Est bien il est de retour mais avec un clap bien cool et dans un emballage absolument excellent. Ici, on sent que Satrani se fais plaisirs avec un morceaux tout à sa gloire, juste puissant et prenant. On sent à nouveau l'influence de Super Colossal mais remis au gout et avec un son juste trop bien. Oh, et un super solo parce que c'est quand même un Guitar hero avant tout.
Résultats-
17/20
Alors que son rival de toujours, Steve Vai, se touche un peu en ce moment avec des live et autres expérience, Satriani lui continue son petit bonhomme de chemin et après un album original mais semi bon, ils nous revient en pleine forme dans un album très réminiscent de Super Colossal mais remis au gout du jour, à savoir avec plus de clavier et le retour de quelques genre déjà testé mais légèrement oublié, du jazz au blues en passant par un coté un peu plus électro. Malgré quelques morceaux qui tombe un peu à l'eau (on ne gagne pas à tous les coups) et certains bon morceaux qui font encore un peu pâle figure devant ses plus grand succès, nul doute que Joe est sur une bonne pente.
A Retenir :
-Une des trois premières chansons au choix
-The Golden Room
-Wormhole Wizards
-God Is Crying
Les + :
-Bien classe
-Un début d'album juste légendaire
-Une sonorité excellente sur plusieurs morceaux
-Toujours du talent à revendre
-Quelques bonne idée au clavier
Les - :
-Quelques expériences qui un peu moyenne
-Pas encore aussi classe d'autre de ces succès
-Clavier encore un petit peu discret
-Pas de voix et/ou de morceaux délirant
Si vous avez aimés : Il fais d'excellent live à Paris, autrement je dirais bien Steve Vai mais en ce moment il est pas super productif...
Joe Satriani - Black Swans & Wormhole Wizards
Une pochette minimaliste qui déçoit par rapport aux visuels qu'on aurait pu imaginer du titre de l'album
Groupe & Caractérisation-
Déjà reviewé dans ces colonnes il y a un an et demi, Satriani nous revient cette fois ci avec un album sérieux (j'entend par là : pas sortis un 1er avril) et avec une volonté clairement affiché de faire revenir le clavier dans ses morceaux. Après un dernier album légèrement en baisse et une paire de live corrects mais classique voyons ce que ce nouvel effort solo du légendaire guitaristes à dans le ventre.
Sortis le 5 octobre 2010 chez Epic.
Genre : Guitar Hero, Instrumental Rock
Décorticage-
1-Premonition : Une intro plutôt classe, et un morceaux qui à une bonne prestance, voila une bonne façon de commencer un album. Pa rappport à son dernier album, Satch nous revient plus direct, plus minimaliste mais aussi plus fidèle à lui même. Une bonne accroche, un son sympa et un bon solo, une très bonne entrée en matière.
2-Dream Song : Attention subjectif, j'adore absolument le type de sonorité sur laquelle la chanson est basée, une sorte d'équivalent du scratch sur platine mais à la guitare, jouissif. C'est aussi ici qu'on commence à entendre l'apport important du clavier dans cette nouvelle mouture et ce n'est de loin pas déplaisant. Une bonne ligne de base, une construction plutôt originale pour du Satch et un solo de qualité. Jusqu'à présent on ne peu pas dire qu'on commence mal.
3-Pyrrhic Victoria : Un titre posé et rythmé dans la pure veine de Super Colossal qui nous prouves encore une fois que Satch est à l'aise dans le middle tempo. Si techniquement il ne s'agit sûrement pas de sa plus grande prouesse , la chanson restara dans les mémoires longtemps. Un morceau de grande classe mais si personnellement je trouve son refrain un peu moyen mais qui est rattrapé par un très bon solo.
4-Light Years Away : On dirait que ce début d'album est placé sous le signe de satchfunkilus. Encore une très bonne pioche, un titre rythmé et avec un excellente ligne de basse qui fais à nouveau pensé à du Super Colossal. On appréciera le discret mais sympathique clavier, surtout dans les refrain. Peut-êtr eun peu longue par rapport au autre.
5-Solitude : Une minute de petite note de guitare. Franchement quitte à faire une transition en décalage, il nous avait habitué à mieux.
6-Littleworth Lane : Satriani joue du blues. Mais vraiment. Aucun doute possible, on à ici affaire à du bon vieux blues de service, celui qui balance et qui pose. Le seul problème à mon avis : Satch nous as déjà prouvés maintes fois qu'il savait faire du blues de qualité (Son album titre avec SMF et New blues dans The Extremist) mais je trouve que se titre est à la fois trop classique et finalement pas si bon que ca par rapport à ce qu'il pourrais faire. Sans rancune vieux mais je préfère mon blues plus sombre et plus travaillé.
7-The Golden Room : Après les titres Super Colossal, voici Strange Beautiful Music, le retour. Une ambiance légèrement ethnique, une guitare lourde et bien électronique. A nouveau un mélange pas inconnus de l'artiste mais qui malheureusement ne marche pas à tous les coup. Eh bien cette fois-ci ce la fonctionnne parfaitement, tout comme une certaine Andalusia dans l'album précédent. Ici la bonne idée est de maintenir cette ambiance unique tout au long de la chanson et de ne pas céder à revenir sur du plus classique comme c'était souvent le cas des les albums précédents qui ont tenté cette approche.
8-Two Sides To Every Story : Vieux rock,un peu jazzy, c'est ici que l'idée de faire revenir le clavier est bonne. Une ambiance sympathique et un bon jeu de guitare donne le ton dès le début et ne faiblit pas. Probablement pas son meilleur mais une addition satisfaisante à sa collection.
9-Wormhole Wizards : La chanson titre casse des briques, je vous le dit tout de suite. Ce n'est pas non plus une surprise chez Satriani (Super Colossal, Is There Love In Space...) mais ici c'est la crème de l'album. Une ambiance sombre et classe qui fais rend étonnamment bien avec le titre accrocheur de l'album, un jeu de guitare très maitrisé, sans bourrinage inutile mais avec un excellent son et comme toujours une batterie efficace pour rythmé le tout. Avec en plus un excellent solo et un refrain mémorable, vous en aurez pour votre argent. Et même un solo de clavier joué par Mike Keanally (un pote à Steve Vai, qui joue sur tout l'album).
10-Wind In the Trees : Le seul morceaux lent de l'album est dans le pur style searching : Une base très simpliste et un immense solo dessus. Avec 7 min 42, c'est la plus longue chanson du CD et malheureusement, pas la meilleure. Non pas que le problème viennent du morceaux en général, dans lequel Satriani nous montres une fois encore qu'il possède tout le talent pour animer une démo technique, mais plutôt que dans les morceaux lent on à déjà atteint des sommets avec le couple Searching/Bamboo et que par rapport à ces deux merveilles, le titre n'est pas encore à la hauteur. Néanmoins meilleur que les essais du dernier album.
11-God Is Crying : Histoire de finir avec classe, le dernier titre n'en manque pas. VOus savez ce son si particulier que j'ai encensé dans Dream Song ? Est bien il est de retour mais avec un clap bien cool et dans un emballage absolument excellent. Ici, on sent que Satrani se fais plaisirs avec un morceaux tout à sa gloire, juste puissant et prenant. On sent à nouveau l'influence de Super Colossal mais remis au gout et avec un son juste trop bien. Oh, et un super solo parce que c'est quand même un Guitar hero avant tout.
Résultats-
17/20
Alors que son rival de toujours, Steve Vai, se touche un peu en ce moment avec des live et autres expérience, Satriani lui continue son petit bonhomme de chemin et après un album original mais semi bon, ils nous revient en pleine forme dans un album très réminiscent de Super Colossal mais remis au gout du jour, à savoir avec plus de clavier et le retour de quelques genre déjà testé mais légèrement oublié, du jazz au blues en passant par un coté un peu plus électro. Malgré quelques morceaux qui tombe un peu à l'eau (on ne gagne pas à tous les coups) et certains bon morceaux qui font encore un peu pâle figure devant ses plus grand succès, nul doute que Joe est sur une bonne pente.
A Retenir :
-Une des trois premières chansons au choix
-The Golden Room
-Wormhole Wizards
-God Is Crying
Les + :
-Bien classe
-Un début d'album juste légendaire
-Une sonorité excellente sur plusieurs morceaux
-Toujours du talent à revendre
-Quelques bonne idée au clavier
Les - :
-Quelques expériences qui un peu moyenne
-Pas encore aussi classe d'autre de ces succès
-Clavier encore un petit peu discret
-Pas de voix et/ou de morceaux délirant
Si vous avez aimés : Il fais d'excellent live à Paris, autrement je dirais bien Steve Vai mais en ce moment il est pas super productif...
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