Un petit post pour vous souhaitez un joyeux anniversaire pour Isaac Newton (25 décembre) et pour Val Kilmer (31 décembre).
Vla le temps des fêtes ! Joyeux noël, bonne année, bonne santé et j'en passe !
mercredi, décembre 30, 2009
Game Review n°21 : Dead for Left 2
Une petite review, la dernière de l'année, pour finir en beauté voici :
Left 4 Dead 2
Fiche Technique-
Jeux de massacre de zombies (FPS/Beat 'Em All) , suite de Left 4 Dead (Game Review n°16) développé et distribué par Valve sortit le 19 novembre 2009 avec dans les rôles principaux Ellis, Rochelle, Coach et Nick. Existe en français, jouable en solo, multijoueur (y compris xbox live invité) sur PC et xBox 360.
Décorticage-
Graphisme : Toujours et encore sous le moteur source, celui-ci nous ressert ses textures grossières mais cette fois-ci avec une ambiance visuelle plus originale et bien plus amusante.
Gameplay : Tous ce qu'on peu attendre d'une suite, le gameplay de base n'a pas changé mais gagne en possibilité avec plus d'armes (dont les nouvelles armes corps à corps), plus de zombies spéciaux et plus de variétés dans les situations (courir pour désactiver une alarme, tenir la fin du niveaux pendant un concert de rock, allez cherchez du soda pour un planqué...). Cependant force est de constater que tous les nouveaux contenus aurait pu sans peine être ajouté dans Left 4 Dead premier du nom.
Son : Quelques thème musicaux sympathique qui viennent au moins changé un peu des "zombies par ci, zombies par là, je recharge !..." On appréciera beaucoup les zombies spéciaux qui "gargouillent" tous d'une manière différentes, facilitant ainsi leurs repérage.
Durée de vie : En solo compter au moins... 4/5 heures pour débloquer les succès "finir les campagnes" et ensuite passez au multi. Si vous n'avez pas (ou n'aimez pas) le multijoueur, vous pouvez désinstaller le jeux. Autrement réfléchissez bien avant de perdre ce qui reste de votre vie sociale.
Ambiance : Cette suite apporte un très agréable changement de décors et les 5 campagnes, toutes imprégnés de Louisiane profonde, se font agréable à parcourir malgré certaines parties coupe-gorge en multijoueur.
Résultats-
16/20 Bien plus complet que son prédécesseurs, il frappe fort et améliore tous les aspect de cette formidable expérience. Plus de tout et de grande qualité, le mode multijoueur promet de longue soirée à chasser du zombie et de nombreux moment de délire du coté des survivant ou des infectés. La seule ombre au tableau est la désagréable impression que les joueurs du premier se sont fais arnaquer en achetant la démo au lieu du jeu final.
Les + :
-Gameplay toujours efficace
-Plus de tout
-Meilleure ambiance visuelle et sonore
-Durée de vie potentiellement illimité
Les -
-Le moteur graphique qui se fais vieux
-Contenus encore à la limite de l'acceptable par rapport à d'autre jeux
-Casting bien moins inspirés que Bill & Co.
-Aurait du être Left 4 Dead tout court
Si vous avez aimés : cherchez dans tous ces joyeux FPS multijoueur de valve (Team Fortress 2, DoD Source...), mais vite car ils sont encore en promotions. Sinon on se voit sur les serveurs !
Jeux de massacre de zombies (FPS/Beat 'Em All) , suite de Left 4 Dead (Game Review n°16) développé et distribué par Valve sortit le 19 novembre 2009 avec dans les rôles principaux Ellis, Rochelle, Coach et Nick. Existe en français, jouable en solo, multijoueur (y compris xbox live invité) sur PC et xBox 360.
Décorticage-
Graphisme : Toujours et encore sous le moteur source, celui-ci nous ressert ses textures grossières mais cette fois-ci avec une ambiance visuelle plus originale et bien plus amusante.
Gameplay : Tous ce qu'on peu attendre d'une suite, le gameplay de base n'a pas changé mais gagne en possibilité avec plus d'armes (dont les nouvelles armes corps à corps), plus de zombies spéciaux et plus de variétés dans les situations (courir pour désactiver une alarme, tenir la fin du niveaux pendant un concert de rock, allez cherchez du soda pour un planqué...). Cependant force est de constater que tous les nouveaux contenus aurait pu sans peine être ajouté dans Left 4 Dead premier du nom.
Son : Quelques thème musicaux sympathique qui viennent au moins changé un peu des "zombies par ci, zombies par là, je recharge !..." On appréciera beaucoup les zombies spéciaux qui "gargouillent" tous d'une manière différentes, facilitant ainsi leurs repérage.
Durée de vie : En solo compter au moins... 4/5 heures pour débloquer les succès "finir les campagnes" et ensuite passez au multi. Si vous n'avez pas (ou n'aimez pas) le multijoueur, vous pouvez désinstaller le jeux. Autrement réfléchissez bien avant de perdre ce qui reste de votre vie sociale.
Ambiance : Cette suite apporte un très agréable changement de décors et les 5 campagnes, toutes imprégnés de Louisiane profonde, se font agréable à parcourir malgré certaines parties coupe-gorge en multijoueur.
Résultats-
16/20 Bien plus complet que son prédécesseurs, il frappe fort et améliore tous les aspect de cette formidable expérience. Plus de tout et de grande qualité, le mode multijoueur promet de longue soirée à chasser du zombie et de nombreux moment de délire du coté des survivant ou des infectés. La seule ombre au tableau est la désagréable impression que les joueurs du premier se sont fais arnaquer en achetant la démo au lieu du jeu final.
Les + :
-Gameplay toujours efficace
-Plus de tout
-Meilleure ambiance visuelle et sonore
-Durée de vie potentiellement illimité
Les -
-Le moteur graphique qui se fais vieux
-Contenus encore à la limite de l'acceptable par rapport à d'autre jeux
-Casting bien moins inspirés que Bill & Co.
-Aurait du être Left 4 Dead tout court
Si vous avez aimés : cherchez dans tous ces joyeux FPS multijoueur de valve (Team Fortress 2, DoD Source...), mais vite car ils sont encore en promotions. Sinon on se voit sur les serveurs !
dimanche, décembre 20, 2009
Movie Review n°29 : Avatar
A peine au cinéma et déjà review, bande de veinard vous allez savoir avec certitude (ou presque) si ce film tient ses promesse :
Le Choix Du Patron
Avatar
Fiche Technique-
Film de science-fiction réalisé par James Cameron (Terminator, Aliens, Abyss...) sortit au cinéma depuis le 16 décembre avec Sam Worthington (Dernier Terminator) et d'autre gens. Visible en français et 3D dans les cinémas qui vont bien, dure 2h50 !
Synopsis-
Dans un futur pas très proche, un marines paraplégique arrive sur la planète Pandora, seule planète où l'on trouve l'épice, pardon un cailloux qui vaut cher et pour pouvoir l'exploiter tranquillement on va devoir exploser les gentils indigènes qui squattent. Imaginez Pocahontas mais avec une interface qui permet à quelques choisis (comme notre héro) de se retrouver dans des corps d'indigènes afin de pouvoir s'en approcher.
Décorticage-
J'aimerais faire un décorticage complet du film mais pour éviter de donner trop d'information, vous serez cantonnés au résultats pur.
Casting : Le lead male est pas mauvais du tout, heureusement décerné à un acteur moins connus (et moins con) que la plupart des blockbusters. Les autres personages sont soient trop virtuel soient trop mineurs pour avoir uen mention, à l'exception de la biologiste cassante mais généreuse et du captain america de service qui prend son rôle à cœur.
Scénario : Frolant les classiques du genre les humains sont méchants, les indigènes sont gentils, le film s'appuie aussi sur une ambiance féérique et sur une évolution du personnage principal très convaincante mais attention à ceux qui n'aime pas se prendre des message écolo dans la tronche, il se pourrait que vous vous sentiez atteint. Toutefois ce n'est pas le point fort du film sauf si vous vous classez dans la catégorie spectateurs d'action auquel cas la deuxième moitié du film vous ravira.
Bande-son : Des musiques de qualités ponctues agréablement l'univers mais c'est surtout l'ambiance sonore en général, comme les bruitages ou la langue inventé des indigènes qui donnent au film sa couleur.
Aspect Visuel/Ambiance : Probablement le point le plus réussis du film, mêlant ambiance culture tribale avec un univers magique et réaliste à la fois, on est aspiré dès les premières minutes dans l'ambiance du film. Notons au passage l'usage intelligent de la 3D qui vient donner la vie à toute cette planète et qui ne dérangera que les plus maniaques d'entre vous.
Résultats-
19/20 La nouvelle référence en matière de film, que se soit sur le plan action que ambiance. Se plaçant sur différent niveaux (il peut se le permettre il dure 3h) chaque audience y trouvera ce qu'elle apprécie car même pour les blaser du cinéma fantastique, c'est un peu comme revoir Star Wars ou Jurrasic Park pour la première fois. Seul le scénario réaliste mais perdant légèrement en crédibilité vers la fin fera quelques insatisfaits.
Les + :
-Ambiance unique
-Immersion totale
-Cast sympathique
-Message écolo à large spectre
-Ambiance sonore parfaite
-Niveaux des visuels, surtout en 3D
-Mélange action et réflexion
Les - :
-Rebondissement du scénario prévisible
-Perte de crédibilité au profit de ramassage de plus grand public (vraiment un - ?)
Si vous avez aimés : c'est un peu normal. Je vous conseillerais bien Star Wars, Jurassic Park, Le seigneur des anneaux...enfin toute cette joyeuse fantasy mais vous les avez surement tous vus alors...
Avatar
Fiche Technique-
Film de science-fiction réalisé par James Cameron (Terminator, Aliens, Abyss...) sortit au cinéma depuis le 16 décembre avec Sam Worthington (Dernier Terminator) et d'autre gens. Visible en français et 3D dans les cinémas qui vont bien, dure 2h50 !
Synopsis-
Dans un futur pas très proche, un marines paraplégique arrive sur la planète Pandora, seule planète où l'on trouve l'épice, pardon un cailloux qui vaut cher et pour pouvoir l'exploiter tranquillement on va devoir exploser les gentils indigènes qui squattent. Imaginez Pocahontas mais avec une interface qui permet à quelques choisis (comme notre héro) de se retrouver dans des corps d'indigènes afin de pouvoir s'en approcher.
Décorticage-
J'aimerais faire un décorticage complet du film mais pour éviter de donner trop d'information, vous serez cantonnés au résultats pur.
Casting : Le lead male est pas mauvais du tout, heureusement décerné à un acteur moins connus (et moins con) que la plupart des blockbusters. Les autres personages sont soient trop virtuel soient trop mineurs pour avoir uen mention, à l'exception de la biologiste cassante mais généreuse et du captain america de service qui prend son rôle à cœur.
Scénario : Frolant les classiques du genre les humains sont méchants, les indigènes sont gentils, le film s'appuie aussi sur une ambiance féérique et sur une évolution du personnage principal très convaincante mais attention à ceux qui n'aime pas se prendre des message écolo dans la tronche, il se pourrait que vous vous sentiez atteint. Toutefois ce n'est pas le point fort du film sauf si vous vous classez dans la catégorie spectateurs d'action auquel cas la deuxième moitié du film vous ravira.
Bande-son : Des musiques de qualités ponctues agréablement l'univers mais c'est surtout l'ambiance sonore en général, comme les bruitages ou la langue inventé des indigènes qui donnent au film sa couleur.
Aspect Visuel/Ambiance : Probablement le point le plus réussis du film, mêlant ambiance culture tribale avec un univers magique et réaliste à la fois, on est aspiré dès les premières minutes dans l'ambiance du film. Notons au passage l'usage intelligent de la 3D qui vient donner la vie à toute cette planète et qui ne dérangera que les plus maniaques d'entre vous.
Résultats-
19/20 La nouvelle référence en matière de film, que se soit sur le plan action que ambiance. Se plaçant sur différent niveaux (il peut se le permettre il dure 3h) chaque audience y trouvera ce qu'elle apprécie car même pour les blaser du cinéma fantastique, c'est un peu comme revoir Star Wars ou Jurrasic Park pour la première fois. Seul le scénario réaliste mais perdant légèrement en crédibilité vers la fin fera quelques insatisfaits.
Les + :
-Ambiance unique
-Immersion totale
-Cast sympathique
-Message écolo à large spectre
-Ambiance sonore parfaite
-Niveaux des visuels, surtout en 3D
-Mélange action et réflexion
Les - :
-Rebondissement du scénario prévisible
-Perte de crédibilité au profit de ramassage de plus grand public (vraiment un - ?)
Si vous avez aimés : c'est un peu normal. Je vous conseillerais bien Star Wars, Jurassic Park, Le seigneur des anneaux...enfin toute cette joyeuse fantasy mais vous les avez surement tous vus alors...
jeudi, décembre 17, 2009
La Chanson du Mardi Soir : Hicksville.
On continue dans les bon morceaux de psybient, ceux qui font tripper avec :
Celtic Cross - Hicksville
Tiré de l'album de Celtic Cross (voir la dernière Cuisine du Patron) comme première chanson et chanson titre, nous voici encore en présences d'une production S. Posford. Et quel pied ! Originalité, complexité, détail, précision, autant d'adjectif qui serve à qualifier le travail de Posford dans pratiquement tous ses projets (Hallucinogen, Shpongle, Dub Trees, Younger Brother...), tous ce que ce génie touche, il le transforme en or auditif. Cet album de Celtic Cross ne fais pas exception, avec une bonne proportion de morceaux de qualités, on retiendra tout de même la chanson titre : Hicksville, pour la ligne de corde au milieu de la chanson, un véritable morceaux de bravoure à rattacher avec Shpongle Spores.
La Cuisine Du Patron : Frappe Nucléaire Tactique
Victoire instantané et peu de retombé radioactive, que demandez de plus ?
La Cuisine Du Patron :
Flim
Brazil : Premier grand film (après les Monty Python bien sur) de Terry Gilliam, un excellent prologue à ses prochains (Las Vegas Parano, L'Armée des 12 singes...). Une sorte de craquage à la 1984 en un plus fun mais pas moins dérangeant, portée par une bande-son et des personnages mémorables. Un excellent modèle de faire ce qu'on peu avec ce qu'on à.
Le Bon, La Brute et le Cinglé : Pur délire coréen d'inspiration western en Mongolie intérieur avec des personnages fendart, des situations rocambolesques et une ambiance très agréable. Une très bonne surprise dans un genre qui ne brille pas par son originalité.
Les Aventures du Baron Münchausen : Film de Terry Gilliam avec une bonne brochette d'acteur (featuring Uma Thurman à 19 ans dans le rôle de Vénus O.O). Très sympa, marrant et légèrement bricolé puisque tout les effets spéciaux sont réalisés avec les techniques mécaniques d'époques. Complétement marteau mais passe bien surtout avec de la bouffe.
Living In Oblivion : Un petit craquage pour expliquer l'univers des cinéastes indépendants avec Steve Buscemi dans le rôle principal. Très bien filmé et rendus intéressant et marrant grâce à un scénario maitrisé.
Transformers 2 : Meilleurs que le premier (merci mon dieu), notamment la proportion d'action qui passe du simple au double. Avec un budget colossal et des robot de 30m de hauteur, on commence à s'approcher d'une adaptation intéressante si ce n'est l'abominable scénario et les personnages insoutenables.
Flim
Brazil : Premier grand film (après les Monty Python bien sur) de Terry Gilliam, un excellent prologue à ses prochains (Las Vegas Parano, L'Armée des 12 singes...). Une sorte de craquage à la 1984 en un plus fun mais pas moins dérangeant, portée par une bande-son et des personnages mémorables. Un excellent modèle de faire ce qu'on peu avec ce qu'on à.
Le Bon, La Brute et le Cinglé : Pur délire coréen d'inspiration western en Mongolie intérieur avec des personnages fendart, des situations rocambolesques et une ambiance très agréable. Une très bonne surprise dans un genre qui ne brille pas par son originalité.
Les Aventures du Baron Münchausen : Film de Terry Gilliam avec une bonne brochette d'acteur (featuring Uma Thurman à 19 ans dans le rôle de Vénus O.O). Très sympa, marrant et légèrement bricolé puisque tout les effets spéciaux sont réalisés avec les techniques mécaniques d'époques. Complétement marteau mais passe bien surtout avec de la bouffe.
Living In Oblivion : Un petit craquage pour expliquer l'univers des cinéastes indépendants avec Steve Buscemi dans le rôle principal. Très bien filmé et rendus intéressant et marrant grâce à un scénario maitrisé.
Transformers 2 : Meilleurs que le premier (merci mon dieu), notamment la proportion d'action qui passe du simple au double. Avec un budget colossal et des robot de 30m de hauteur, on commence à s'approcher d'une adaptation intéressante si ce n'est l'abominable scénario et les personnages insoutenables.
Games
Civilization 4 : Explosant de possibilité et base sur un système en béton, les seuls défauts sont : l'absence de tutorial (arg) et l'aspect chronophage du jeux.
Dragon Age Origins : Très bon successeur de Baldur's Gate malgré une difficulté mal géré, un équilibrage douteux et une ambiance vus, revus et rerevus. Méritera une vraie review si j'y rejoue un jour.
Painkiller Ressurection : Seulement 6 niveaux, aucune nouveauté et un level design abominable, ai-je besoin d'en dire plus ? L'IA est affreuse aussi.
Tekken 6 : Le retour de la meilleure série de jeu de baston 3D est fidèle à sa réputation. Déjà acclamé comme le meilleur depuis Tekken 3, avec beaucoup de perso (donc de style de jeu possible) et une variété de coup impressionnante. Le reste est bof par contre (surtout le mode histoire).
Civilization 4 : Explosant de possibilité et base sur un système en béton, les seuls défauts sont : l'absence de tutorial (arg) et l'aspect chronophage du jeux.
Dragon Age Origins : Très bon successeur de Baldur's Gate malgré une difficulté mal géré, un équilibrage douteux et une ambiance vus, revus et rerevus. Méritera une vraie review si j'y rejoue un jour.
Painkiller Ressurection : Seulement 6 niveaux, aucune nouveauté et un level design abominable, ai-je besoin d'en dire plus ? L'IA est affreuse aussi.
Tekken 6 : Le retour de la meilleure série de jeu de baston 3D est fidèle à sa réputation. Déjà acclamé comme le meilleur depuis Tekken 3, avec beaucoup de perso (donc de style de jeu possible) et une variété de coup impressionnante. Le reste est bof par contre (surtout le mode histoire).
Music
Archive : Triphop basé en france avec une légère évolution vers le progressive. A voir au futur festival des artefacts.
Celtic Cross - Hicksville : Posford avec Youth, ca donne du très bon craquage, surtout en flac. L'album remix n'est pas mal non plus, de loin.
Desert Dwellers - DownTemple Dub Roots : Se rattachant à de la psybient mais avec une ambiance et des sonorités différentes, ce troisième album continue sur la courbe d'originalité et de fraicheur de ses prédécesseurs.
Grails - The Burden of Hope : Sombre, triste, frais. Du post-rock et en même temps autre chose. Encore du travail pour Eclipse.
Medeski, Martin & Wood - Radiolarians 2 et 3 : Toujours du très bon pour Medeski & Co, avec une série de trois Radiolarians originaux, frais et décalés. Un travail pour eclispe à n'en pas douter.
Rodriguo y Gabriela - 11:11 : Le dernier album du duo de guitariste acoustique est le premier à passer les tests d'entrée de ma playlist avec une des sonorités variés et de très bonne compo. Toujours un peu trop de flamenco à mon gouts mais bon... A voir au futur festival des artefacts.
Et encore pas mal d'autre chose qui faut que j'écoute...
House : pause de noël, toujours bien sympa notamment le dernier épisode.
Heroes : désagréable impression que les auteurs invente le scénario au fur et à mesure des épisodes. Pas encore aussi nul que Dexter mais attention, faut qu'il se reprenne vite.
Star Wars - The Clone War : La deuxième saison à débuté sur les chapeaux de roues et ne s'arrête pas prolonger admirablement la licence., bien que les derniers épisodes soient un peu craquage, comme hommage au film de zombie (Star Wars en hommage au film de zombie vous avez bien lus). Mais sa reste marrant alors bon, on va pas s'en plaindre.
Voila c'est fini pour aujourd'hui, avec ca, la fin d'année risque d"être bien remplie !
Celtic Cross - Hicksville : Posford avec Youth, ca donne du très bon craquage, surtout en flac. L'album remix n'est pas mal non plus, de loin.
Desert Dwellers - DownTemple Dub Roots : Se rattachant à de la psybient mais avec une ambiance et des sonorités différentes, ce troisième album continue sur la courbe d'originalité et de fraicheur de ses prédécesseurs.
Grails - The Burden of Hope : Sombre, triste, frais. Du post-rock et en même temps autre chose. Encore du travail pour Eclipse.
Medeski, Martin & Wood - Radiolarians 2 et 3 : Toujours du très bon pour Medeski & Co, avec une série de trois Radiolarians originaux, frais et décalés. Un travail pour eclispe à n'en pas douter.
Rodriguo y Gabriela - 11:11 : Le dernier album du duo de guitariste acoustique est le premier à passer les tests d'entrée de ma playlist avec une des sonorités variés et de très bonne compo. Toujours un peu trop de flamenco à mon gouts mais bon... A voir au futur festival des artefacts.
Et encore pas mal d'autre chose qui faut que j'écoute...
Série
House : pause de noël, toujours bien sympa notamment le dernier épisode.
Heroes : désagréable impression que les auteurs invente le scénario au fur et à mesure des épisodes. Pas encore aussi nul que Dexter mais attention, faut qu'il se reprenne vite.
Star Wars - The Clone War : La deuxième saison à débuté sur les chapeaux de roues et ne s'arrête pas prolonger admirablement la licence., bien que les derniers épisodes soient un peu craquage, comme hommage au film de zombie (Star Wars en hommage au film de zombie vous avez bien lus). Mais sa reste marrant alors bon, on va pas s'en plaindre.
Voila c'est fini pour aujourd'hui, avec ca, la fin d'année risque d"être bien remplie !
Movie Review n°28 : Henry Selick à l'honneur.
Bienvenus petit cinéphiles aguerris. Aujourd'hui une double review d'animation pour tous les fans de Stop motion et d'univers décalé, c'est partis !
James et la pêche géante
Fiche Technique-
Film d'animation des studios Disney, réalisé par Henry Selick (L'étrange Noel de Mr. Jack et Coraline) et produit par Tim Burton (tiens tiens). Inspiré de la nouvelle des années 60 du même nom, réalisé en stop-motion (L'étrange Noel de Mr. jack, Chicken Run...) et en live action. Disponible en français, dvd et dure 84 minutes.
Synopsis-
Alors que James, enfant rêveurs et généreux, est martyrisés par ses deux affreuses tantes qui s'occupent de lui (ses parents ayant disparus "mangés par une rhinocéros sortit de nulle part"), il obtient un jour des "langues de crocodiles" magiques qui vont lui permetterent de réalisés sont voeux le plus cher, allez vivre à New York. Mais tout ne ce passe pas comme prévus et les langues finissent par agrandir une pêche et ses occupants laquelle servira alors de vaisseaux vers l'Amérique pour James et ses nouveaux amis : le mille patte, la sauterelle, Mme L'araignée et plein d'autre. Cependant le voyage est long et semé d'embuche jusqu'à NY et les tantes se sont jurés de poursuivre et de punir le petit aventurier. Arriverons-t'il sain et sauf sur la terre de tous les espoirs ?
Décorticage-
Animation : Le mélange vieux stop-motion et visuel habituel fais beaucoup pensé au premier craquage de Disney dans le genre : Peter et Eliot le Dragon et autres. Cependant après avoir vus L'étrange noel de M. Jack, il faut bien reconnaitre que James ne se place pas au même niveau en terme de qualité bien que certaine scène soient visuellement attractives.
Son : Comme tous les vieux Disney de l'époque, les chansons sur l'amitié, la famille et autres joyeusetés sont toujours de la partie, mais ici elles sont le mérite d'être plutôt sympathique, s'inspirant de plusieurs thème connus des autres Disney. A noté que, comme la plupart des autres animations de cette époque, le doublage original n'est pas meilleur (voir moins bon) que le remarquable doublage français.
Histoire : Pleine de magie, de poésie et de bonne volonté, celle-ci est très agréable même pour ceux qui n'ont pas lu le livre original, mais comme toute les production annexe de Disney, elle n'égale pas les grands classiques et surtout elle à le malheur d'être sortie après l'étrange noel, qui se révèle être énormément mieux...
Perso : Dans la tradition Disney, on retrouve les gentils, les méchants, les comiques au grand cœur et les solitaires/solidaires quand viennent les ennuis. Pas très originals mais pas désagréable non plus, même avec une apparition bonus de Jack Skellington.
Résultats-
Note : 15/20 Très sympa, poétique et plein de bonne intention, aurait pu devenir une référence de l'animation Disney alternative si il n'avait pas eu la maladresse d'être sortie après L'étrange Noel de M. Jack( je sais je l'ai dit beaucoup de fois). Autrement il reste regardable mais manque tout de même d'un petit morceaux d'ame.
Fiche Technique-
Film d'animation des studios Disney, réalisé par Henry Selick (L'étrange Noel de Mr. Jack et Coraline) et produit par Tim Burton (tiens tiens). Inspiré de la nouvelle des années 60 du même nom, réalisé en stop-motion (L'étrange Noel de Mr. jack, Chicken Run...) et en live action. Disponible en français, dvd et dure 84 minutes.
Synopsis-
Alors que James, enfant rêveurs et généreux, est martyrisés par ses deux affreuses tantes qui s'occupent de lui (ses parents ayant disparus "mangés par une rhinocéros sortit de nulle part"), il obtient un jour des "langues de crocodiles" magiques qui vont lui permetterent de réalisés sont voeux le plus cher, allez vivre à New York. Mais tout ne ce passe pas comme prévus et les langues finissent par agrandir une pêche et ses occupants laquelle servira alors de vaisseaux vers l'Amérique pour James et ses nouveaux amis : le mille patte, la sauterelle, Mme L'araignée et plein d'autre. Cependant le voyage est long et semé d'embuche jusqu'à NY et les tantes se sont jurés de poursuivre et de punir le petit aventurier. Arriverons-t'il sain et sauf sur la terre de tous les espoirs ?
Décorticage-
Animation : Le mélange vieux stop-motion et visuel habituel fais beaucoup pensé au premier craquage de Disney dans le genre : Peter et Eliot le Dragon et autres. Cependant après avoir vus L'étrange noel de M. Jack, il faut bien reconnaitre que James ne se place pas au même niveau en terme de qualité bien que certaine scène soient visuellement attractives.
Son : Comme tous les vieux Disney de l'époque, les chansons sur l'amitié, la famille et autres joyeusetés sont toujours de la partie, mais ici elles sont le mérite d'être plutôt sympathique, s'inspirant de plusieurs thème connus des autres Disney. A noté que, comme la plupart des autres animations de cette époque, le doublage original n'est pas meilleur (voir moins bon) que le remarquable doublage français.
Histoire : Pleine de magie, de poésie et de bonne volonté, celle-ci est très agréable même pour ceux qui n'ont pas lu le livre original, mais comme toute les production annexe de Disney, elle n'égale pas les grands classiques et surtout elle à le malheur d'être sortie après l'étrange noel, qui se révèle être énormément mieux...
Perso : Dans la tradition Disney, on retrouve les gentils, les méchants, les comiques au grand cœur et les solitaires/solidaires quand viennent les ennuis. Pas très originals mais pas désagréable non plus, même avec une apparition bonus de Jack Skellington.
Résultats-
Note : 15/20 Très sympa, poétique et plein de bonne intention, aurait pu devenir une référence de l'animation Disney alternative si il n'avait pas eu la maladresse d'être sortie après L'étrange Noel de M. Jack( je sais je l'ai dit beaucoup de fois). Autrement il reste regardable mais manque tout de même d'un petit morceaux d'ame.
Le Choix Du Patron
Coraline
Fiche Technique-
Film d'animation Stop-motion/3D réalisé par Henry Selick (L'étrange Noel, James et la pêche géante) sortit récemment en dvd et bluray. Inspiré par une nouvelle de Neil Gaiman (Stardust) du même nom dans un genre fantasy sombre. Disponible avec voix française et dure 100 minutes (bon ok, 1h40 si vous préférez).
Synopsis-
Coraline est une petite aventurière de 12 ans (me semble t'il) qui vient de déménager dans le *rou du *ul des US, loin de la ville et de ses amis. Alors que ses parents n'ont pas de temps à lui accordés, elles se prends à rêver d'aventure et de nouveaux mondes jusqu'à ce qu'un étrange passage fasse son apparition dans le salon. Elle découvre alors un monde parallèle et comme un rêve, elle aimerais pouvoir y rester pour toujours. Mais que cache son "autre" mère, celle qui à des boutons à la place des yeux ?
Décorticage-
Animation : Utilisant des techniques d'anim dernier cris, combinés au charme du stop motion, on est en présence d'une des plus belles réalisations dans ce domaine. Combinés à une ambiance visuelle absolument superbe (très Burtonesque d'ailleurs), un véritable monument pour tous les fans de ce type d'ambiance.
Son : La bande-son étant composé par Bruno Coulais (un français) sur une ambiance sombre et mystérieuse (rappelant un peu The Path, game review n°17), on s'en délecte surtout dans les moments fort. Appuyé par un doublage original de qualité (le français me semble passable mais moins fluide) et par quelques chansons très agréable, encore un très bon point.
Histoire : Si le thème classique, "attention à ce que tu demande" n'est pas le plus original qu'on est entendus, l'ambiance qui mélange agréablement Tim Burton et Alice Au Pays Des Merveilles (avant l'heure) fais magnifiquement vivre le tout. De plus le film étant récent, l'aspect réaliste de l'histoire parait bien plus crédible que dans les vieux Disney basé sur se crédo.
Perso : Alternant entre des personnages fantaisistes et la petit Coraline, réaliste et très attachantes, on sent l'influence moderne sur un genre qui ne compte que peu de réprésentant actuel. Un vrai bol de fraicheur.
Résultats-
Note : 19/20, L'un des meilleurs film dans un genre peu représenté en dehors de Tim Burton arrive même à se hisser jusqu'à son niveau sans pour autant le dénaturer. S'inspirant du meilleur des histoires d'animation fantaisiste mais avec un coté réaliste et des techniques d'animation moderne, on obtient un savant mélange qui ravira petit et grand pour peu qu'il apprécie l'ambiance dark et mystérieuse dans lequel baigne tout le film. Du grand art.
Les + :
-Ambiance fantastique
-Bande-son et doublage original
-Coté réaliste
-Mélange entre animation moderne et charme du stop motion
-Personnage attachant et haut en couleur
-Hommage au grand nom du genre
Les - :
-Peut-être le doublage français...
-Qu'il y ai aussi peu de film dans ce genre
Si vous avez aimés : Numéro 9, Tim Burton tout de suite si vous les avez pas tous vus autrement repassez vous vieux et nouveaux Disney en filtrant la qualité. Si vous avez déjà vu tous ca...informer moi si vous trouvez quelque chose de similaire ^^.
Coraline
Fiche Technique-
Film d'animation Stop-motion/3D réalisé par Henry Selick (L'étrange Noel, James et la pêche géante) sortit récemment en dvd et bluray. Inspiré par une nouvelle de Neil Gaiman (Stardust) du même nom dans un genre fantasy sombre. Disponible avec voix française et dure 100 minutes (bon ok, 1h40 si vous préférez).
Synopsis-
Coraline est une petite aventurière de 12 ans (me semble t'il) qui vient de déménager dans le *rou du *ul des US, loin de la ville et de ses amis. Alors que ses parents n'ont pas de temps à lui accordés, elles se prends à rêver d'aventure et de nouveaux mondes jusqu'à ce qu'un étrange passage fasse son apparition dans le salon. Elle découvre alors un monde parallèle et comme un rêve, elle aimerais pouvoir y rester pour toujours. Mais que cache son "autre" mère, celle qui à des boutons à la place des yeux ?
Décorticage-
Animation : Utilisant des techniques d'anim dernier cris, combinés au charme du stop motion, on est en présence d'une des plus belles réalisations dans ce domaine. Combinés à une ambiance visuelle absolument superbe (très Burtonesque d'ailleurs), un véritable monument pour tous les fans de ce type d'ambiance.
Son : La bande-son étant composé par Bruno Coulais (un français) sur une ambiance sombre et mystérieuse (rappelant un peu The Path, game review n°17), on s'en délecte surtout dans les moments fort. Appuyé par un doublage original de qualité (le français me semble passable mais moins fluide) et par quelques chansons très agréable, encore un très bon point.
Histoire : Si le thème classique, "attention à ce que tu demande" n'est pas le plus original qu'on est entendus, l'ambiance qui mélange agréablement Tim Burton et Alice Au Pays Des Merveilles (avant l'heure) fais magnifiquement vivre le tout. De plus le film étant récent, l'aspect réaliste de l'histoire parait bien plus crédible que dans les vieux Disney basé sur se crédo.
Perso : Alternant entre des personnages fantaisistes et la petit Coraline, réaliste et très attachantes, on sent l'influence moderne sur un genre qui ne compte que peu de réprésentant actuel. Un vrai bol de fraicheur.
Résultats-
Note : 19/20, L'un des meilleurs film dans un genre peu représenté en dehors de Tim Burton arrive même à se hisser jusqu'à son niveau sans pour autant le dénaturer. S'inspirant du meilleur des histoires d'animation fantaisiste mais avec un coté réaliste et des techniques d'animation moderne, on obtient un savant mélange qui ravira petit et grand pour peu qu'il apprécie l'ambiance dark et mystérieuse dans lequel baigne tout le film. Du grand art.
Les + :
-Ambiance fantastique
-Bande-son et doublage original
-Coté réaliste
-Mélange entre animation moderne et charme du stop motion
-Personnage attachant et haut en couleur
-Hommage au grand nom du genre
Les - :
-Peut-être le doublage français...
-Qu'il y ai aussi peu de film dans ce genre
Si vous avez aimés : Numéro 9, Tim Burton tout de suite si vous les avez pas tous vus autrement repassez vous vieux et nouveaux Disney en filtrant la qualité. Si vous avez déjà vu tous ca...informer moi si vous trouvez quelque chose de similaire ^^.
Eclipse : mùm
Bien le bonjour sujet ! Et comment vont le verbe et le complément ?
Aujourd'hui ce deuxième épisode d'Eclipse vous proposes se revoir un groupe qui à déjà plusieurs apparitions remarqué dans le blog :
Aujourd'hui ce deuxième épisode d'Eclipse vous proposes se revoir un groupe qui à déjà plusieurs apparitions remarqué dans le blog :
Eclipse present : múm
Depuis la musical review n°18 et l'album du mois de septembre on avait plus reparlé de mum depuis lors.
Petit rappel des fais : formé fin 90's par une bande d'icelandins au nom imprononcable, mum à réussis à se former une petite base de fan grâce à une approche musicale totalement originale.
Comment définir ?
Mélange d'instrument traditionnel, de boucle et bruits électroniques, le tout retranscrivant des ambiances différentes selon les albums (basé notamment sur des chuchotements), on aurait du mal à en faire le tout en 3 adjectifs.
Retenez surtout que c'est le seul groupe que je rapproche de The Books (Eclipse précédent) et c'est un compliment. Avec 3 premiers albums plus post-électro toujours sympathique à écouter, c'est surtout leurs récent nouveau départ que je trouve plus frais que jamais.
Si vous êtes intéressés je vous conseilles un petit tour sur youtube pour y voir des clips animés très sympa (mais aussi très symboliques), ca se passe ici et là.
Autrement leurs albums sont dispo sur Deezer mais attention seul les albums de FatCat records ou 130701 records, les autres sont mal triés.
Dans cette optique je vous conseilles de partir du plus récent (Sing Along) et de redescendre dans la chronologie pour l'apprécié au mieux (les premiers albums en rebuteront certains qui n'apprécient pas l'électronique libre).
Autrement les albums/singles/Ep sont disponibles via FatCat records (squat de Sigur Ros également).
Bonne écoute et à la prochaine pour une petite pause d'originalité musicale.
Petit rappel des fais : formé fin 90's par une bande d'icelandins au nom imprononcable, mum à réussis à se former une petite base de fan grâce à une approche musicale totalement originale.
Comment définir ?
Mélange d'instrument traditionnel, de boucle et bruits électroniques, le tout retranscrivant des ambiances différentes selon les albums (basé notamment sur des chuchotements), on aurait du mal à en faire le tout en 3 adjectifs.
Retenez surtout que c'est le seul groupe que je rapproche de The Books (Eclipse précédent) et c'est un compliment. Avec 3 premiers albums plus post-électro toujours sympathique à écouter, c'est surtout leurs récent nouveau départ que je trouve plus frais que jamais.
Si vous êtes intéressés je vous conseilles un petit tour sur youtube pour y voir des clips animés très sympa (mais aussi très symboliques), ca se passe ici et là.
Autrement leurs albums sont dispo sur Deezer mais attention seul les albums de FatCat records ou 130701 records, les autres sont mal triés.
Dans cette optique je vous conseilles de partir du plus récent (Sing Along) et de redescendre dans la chronologie pour l'apprécié au mieux (les premiers albums en rebuteront certains qui n'apprécient pas l'électronique libre).
Autrement les albums/singles/Ep sont disponibles via FatCat records (squat de Sigur Ros également).
Bonne écoute et à la prochaine pour une petite pause d'originalité musicale.
Game Review n°20 : L'appel du devoir, guerre moderne numéro 2
Après tout le buzz qu'il à suscité et les ventes plus que rentables, il est temps d'analyser le nouveau protégé d'Infinity Ward :
Call Of Duty Modern Warfare 2
Fiche Technique-
FPS développé par Infinity Ward (la saga Call of 1,2,4) et édité par Activision, sortit le 10 novembre 2009. Voix et texte en français, disponible sur Xbox360, PS3, PC. Le test à été réalisé sur la version PC pour le solo et la version xbox 360 pour le multi-joueur.
Décorticage-
S'étant imposer en seulement 4 épisodes comme l'une des séries de FPS les plus appréciés (à juste titre), le dernier épisode de la série revient (comme le cycle l'avait prédit) à son premier exécutif, Infinity Ward qui s'organise un retour dans la guerre moderne là ou Treyarch avait préféré nous resservir la même sauce WWII (cf game review n°12). Reprenant là où Modern Wafare premier du nom s'était arrêter mais cinq ans plus tard, vous contrôlez à nouveaux un des membres de la Task Force 141 (les SAS) sous le commandement de votre ancien perso jouable (Soap Mactavish) et en alternance un troufion de base des Rangers. Commençons par le début, ce que l'on remarque tout de suite, les graphismes. Un mélange diablement efficace de situation réaliste et de course-poursuite hollywoodienne, les environnement sont variées et superbes, le tour du monde est un vrai plaisirs mais à contraster avec les missions américaines qui ne surprendront pas les habitués de Fallout 3 (Washington Monument quelqu'un ?). Le jeu se veut aussi jouable par tout le monde, comprenez ainsi aide inutile, jeux scripté jusqu'au moindre détail, limite de mouvement et ennemis parfois affligeant, le tout si vous jouez en facile. Mais attention car la remise à niveau des modes de difficulté vous proposera peut-être le mode vétéran, qui lui souffre surtout de l'IA en carton de vos équipiers, du nombres limités d'actions possibles (pas de décal, pas de roulade, pas de mise à couvert...) et des environnements coupe-gorge que vous imposes certaines parties du scénario. Bien que le spawn infini est pratiquement disparu (merci seigneur), on conseillera à nouveau le mode commando pour des sensations plaisantes et une difficulté équilibré.
Concernant le scénario, sachez que celui-ci n'a rien à enviez à un bon film d'action des années 90, avec son lot de course-poursuite, de drama américain et d'explosion à coupé le souffle. La grosse différence avec le film, c'est que cette fois-ci ce n'est pas Stalonne ou Seagal que vous regardez atomiser tout le monde, c'est vous qui jouez le rôle principal, et croyez-moi, ca vaut se pesant d'or. La variété des missions est aussi au rendez-vous, avec une moitié des missions (les US) qui s'apparenteront à du très classique FPS de masse (du type Rainbow Six Vegas & Co) et l'autre moitié qui vous flattera l'égo en vous propulsant dans une des meilleures forces spéciales du monde dans des missions suicides reléguant James Bond au rang d'amateur (paradoxalement, ce que Rainbow Six devrait être). Certains passage du scénario on beau vouloir frapper fort, on sent tout de même que le jeu est tourné d'un point de vue américain et donc nous touches forcéments moins (oh mon dieu, ils attaqués le capitol, comme c'est grave...) malgré un mise en scène maitriser de bout en bout. Multipliant les séquences épiques, c'est un concentrés d'action qu'on nous sert et sous une forme réaliste très plaisante. L'effet pervers est la durée de vie qui ne dépasse à nouveau pas deux jours, si tant est que vous jouez en difficile. Concernant le reste du jeu vous verrez un recyclage des passages cultes des 2 modern warfare dans les "Specials Ops" que vous pourrez heureusement jouez en coopératif une aprem pour rire et sinon le mode multijoueur. Partant sur se satané principe de jeu console, au revoir les serveurs dédiées avec beaucoup de joueur, un bon ping et des mods/maps originaux, bienvenue le matchmaking qui rame et qui empêche toute liberté pour le joueur (attendez seulement que les premiers pack de maps payants apparaissent et vous verrez ce qu'on appelle le principe de vente forcée). En plus de ce mode très pénalisant pour les joueurs pc, vous retrouverez les traditionnels bonus déséquilibrés qui ne manqueront pas de faire croire au casual que temps investit=talent (merci la frappe nucléaire tactique d'instant win !).
Call Of Duty Modern Warfare 2
Fiche Technique-
FPS développé par Infinity Ward (la saga Call of 1,2,4) et édité par Activision, sortit le 10 novembre 2009. Voix et texte en français, disponible sur Xbox360, PS3, PC. Le test à été réalisé sur la version PC pour le solo et la version xbox 360 pour le multi-joueur.
Décorticage-
S'étant imposer en seulement 4 épisodes comme l'une des séries de FPS les plus appréciés (à juste titre), le dernier épisode de la série revient (comme le cycle l'avait prédit) à son premier exécutif, Infinity Ward qui s'organise un retour dans la guerre moderne là ou Treyarch avait préféré nous resservir la même sauce WWII (cf game review n°12). Reprenant là où Modern Wafare premier du nom s'était arrêter mais cinq ans plus tard, vous contrôlez à nouveaux un des membres de la Task Force 141 (les SAS) sous le commandement de votre ancien perso jouable (Soap Mactavish) et en alternance un troufion de base des Rangers. Commençons par le début, ce que l'on remarque tout de suite, les graphismes. Un mélange diablement efficace de situation réaliste et de course-poursuite hollywoodienne, les environnement sont variées et superbes, le tour du monde est un vrai plaisirs mais à contraster avec les missions américaines qui ne surprendront pas les habitués de Fallout 3 (Washington Monument quelqu'un ?). Le jeu se veut aussi jouable par tout le monde, comprenez ainsi aide inutile, jeux scripté jusqu'au moindre détail, limite de mouvement et ennemis parfois affligeant, le tout si vous jouez en facile. Mais attention car la remise à niveau des modes de difficulté vous proposera peut-être le mode vétéran, qui lui souffre surtout de l'IA en carton de vos équipiers, du nombres limités d'actions possibles (pas de décal, pas de roulade, pas de mise à couvert...) et des environnements coupe-gorge que vous imposes certaines parties du scénario. Bien que le spawn infini est pratiquement disparu (merci seigneur), on conseillera à nouveau le mode commando pour des sensations plaisantes et une difficulté équilibré.
L'assaut en hélicoptère d'une forteresse Russe en compagnie de Soap et du reste de la Task Force 141 fait beaucoup penser à The Rock.
Concernant le scénario, sachez que celui-ci n'a rien à enviez à un bon film d'action des années 90, avec son lot de course-poursuite, de drama américain et d'explosion à coupé le souffle. La grosse différence avec le film, c'est que cette fois-ci ce n'est pas Stalonne ou Seagal que vous regardez atomiser tout le monde, c'est vous qui jouez le rôle principal, et croyez-moi, ca vaut se pesant d'or. La variété des missions est aussi au rendez-vous, avec une moitié des missions (les US) qui s'apparenteront à du très classique FPS de masse (du type Rainbow Six Vegas & Co) et l'autre moitié qui vous flattera l'égo en vous propulsant dans une des meilleures forces spéciales du monde dans des missions suicides reléguant James Bond au rang d'amateur (paradoxalement, ce que Rainbow Six devrait être). Certains passage du scénario on beau vouloir frapper fort, on sent tout de même que le jeu est tourné d'un point de vue américain et donc nous touches forcéments moins (oh mon dieu, ils attaqués le capitol, comme c'est grave...) malgré un mise en scène maitriser de bout en bout. Multipliant les séquences épiques, c'est un concentrés d'action qu'on nous sert et sous une forme réaliste très plaisante. L'effet pervers est la durée de vie qui ne dépasse à nouveau pas deux jours, si tant est que vous jouez en difficile. Concernant le reste du jeu vous verrez un recyclage des passages cultes des 2 modern warfare dans les "Specials Ops" que vous pourrez heureusement jouez en coopératif une aprem pour rire et sinon le mode multijoueur. Partant sur se satané principe de jeu console, au revoir les serveurs dédiées avec beaucoup de joueur, un bon ping et des mods/maps originaux, bienvenue le matchmaking qui rame et qui empêche toute liberté pour le joueur (attendez seulement que les premiers pack de maps payants apparaissent et vous verrez ce qu'on appelle le principe de vente forcée). En plus de ce mode très pénalisant pour les joueurs pc, vous retrouverez les traditionnels bonus déséquilibrés qui ne manqueront pas de faire croire au casual que temps investit=talent (merci la frappe nucléaire tactique d'instant win !).
L'enfer des "favelas", ou le traditionnel, "connard n°1, bouge ton cul et va tuer tout le monde, je suis fatigué !"
Pour finir un mot sur les bon points du gameplay, son minimalisme incarnés dans la précision des actions et des scripts mais aussi un nombre d'arme très impressionnant, permettant une personalisation de votre arsenal dans pratiquement toute les missions est un vrai plus. Autrement on salue aussi la bande-sonore composé par une grande pompe d'hollywood qui nous sert des thèmes orchestral épiques à chaque fois que le besoin se fais sentir et un doublage (anglais pour la coup) sympathique du coté anglais mais très douloureux du couté rangers (ouah et autre particularité du langage militaire américain).
Résultats-
-Graphisme : Varié et flattant le regard, on sent les moyens qui accompagnent le jeux. Même en abusant un peu des effets de flous (et autre technique narrative habituelle à Call Of), on renforce tout de même l'immersion non-stop pendant toute l'aventure solo.
-Gameplay : Nayant pratiquement pas changé d'un iota depuis ses débuts (en dehors d'un petit ralentit et de quelques QTE), c'est une force mais aussi une faiblesse. Offrant une précision sans égal et un plaisirs de jeux simple et efficace grâce au nombre d'arme pharamineux, on déplore surtout le manque de possibilité en vétéran, quand les ennemis peuvent sauter, rouler, décaler, faire du tir au jugé, se mettre à couvers ou profiter des déplacement tactique (courir en se baissant) et que vous êtes bloqués sur les possibilités habituelles dans un jeux scripté (donc interdisant presque toujours le contournement).
-Son : Alternant composition épique avec hurlement des soldats et bruits de mitrailleuses, on est pas loin de la perfection. Seul la façon de parler américaine en énervera plus d'un.
-Scénar/Durée de Vie/Difficulté : Le scénario est assez classiques bien que légèrement décousue, de sorte que certains détails troublent quand on y réfléchis un peu. La durée de vie est comme toujours très faible mais malheureusement ce n'est pas le multijoueur sur PC qui va la rallonger, puisqu'on se retrouve toujours plombé par les mêmes problèmes (abus des classes et matchmaking). La difficulté est bien dosé selon ce que vous choisissez au départ, surtout si vous prenez commando.
-Ambiance : "La guerre, c'est fantastique !"
Note : 17/20 Perd un point à cause du multijoueur en mousse. En dehors de cette idiotie, saluons l'enchainement presque en permanence de scène d'anthologie, couplé avec une immersion totale. Un gameplay qui aurait demandé à être un peu plus varié et une durée de vie réduite sont les seuls vrais points noir de cette suite (voir aussi les missions américaines qui ne tiennent plus la comparaison avec les forces spéciales). A consommer sans modération chez quelqu'un qui l'aura acheté pour vous.
Les + :
-La guerre comme je l'aime
-Immersion totale
-Scène cultes
-Gameplay lissé
-Bande-son épique
Les - :
-L'accent américain
-Les personnages américain
-L'ambiance américaine
-Les missions américaines
-Le multi bidon
-la difficulté sauvage en vétéran
-le manque de vrais nouveautés
-dure une bonne aprem en solo
Si vous avez aimés : Les autres Call Of de Infinity Ward, Rainbow Six... Un bon film d'action.
"No Russians"
Résultats-
-Graphisme : Varié et flattant le regard, on sent les moyens qui accompagnent le jeux. Même en abusant un peu des effets de flous (et autre technique narrative habituelle à Call Of), on renforce tout de même l'immersion non-stop pendant toute l'aventure solo.
-Gameplay : Nayant pratiquement pas changé d'un iota depuis ses débuts (en dehors d'un petit ralentit et de quelques QTE), c'est une force mais aussi une faiblesse. Offrant une précision sans égal et un plaisirs de jeux simple et efficace grâce au nombre d'arme pharamineux, on déplore surtout le manque de possibilité en vétéran, quand les ennemis peuvent sauter, rouler, décaler, faire du tir au jugé, se mettre à couvers ou profiter des déplacement tactique (courir en se baissant) et que vous êtes bloqués sur les possibilités habituelles dans un jeux scripté (donc interdisant presque toujours le contournement).
-Son : Alternant composition épique avec hurlement des soldats et bruits de mitrailleuses, on est pas loin de la perfection. Seul la façon de parler américaine en énervera plus d'un.
-Scénar/Durée de Vie/Difficulté : Le scénario est assez classiques bien que légèrement décousue, de sorte que certains détails troublent quand on y réfléchis un peu. La durée de vie est comme toujours très faible mais malheureusement ce n'est pas le multijoueur sur PC qui va la rallonger, puisqu'on se retrouve toujours plombé par les mêmes problèmes (abus des classes et matchmaking). La difficulté est bien dosé selon ce que vous choisissez au départ, surtout si vous prenez commando.
-Ambiance : "La guerre, c'est fantastique !"
Note : 17/20 Perd un point à cause du multijoueur en mousse. En dehors de cette idiotie, saluons l'enchainement presque en permanence de scène d'anthologie, couplé avec une immersion totale. Un gameplay qui aurait demandé à être un peu plus varié et une durée de vie réduite sont les seuls vrais points noir de cette suite (voir aussi les missions américaines qui ne tiennent plus la comparaison avec les forces spéciales). A consommer sans modération chez quelqu'un qui l'aura acheté pour vous.
Les + :
-La guerre comme je l'aime
-Immersion totale
-Scène cultes
-Gameplay lissé
-Bande-son épique
Les - :
-L'accent américain
-Les personnages américain
-L'ambiance américaine
-Les missions américaines
-Le multi bidon
-la difficulté sauvage en vétéran
-le manque de vrais nouveautés
-dure une bonne aprem en solo
Si vous avez aimés : Les autres Call Of de Infinity Ward, Rainbow Six... Un bon film d'action.
"No Russians"
mardi, novembre 24, 2009
Movie Review n°27 : New Moon.
Ou dans sa version française :
Twilight Chapitre 2 : Tentation
Fichtre Technique-
Adaptation du 2ème roman de Stéphanie Meyer de la saga Twilight (voir movie review n°23, Twilight) avec Kristen Stewart (Into the wild, Jumper), Robert Pattison (Diggory dans Harry Potter 4), Taylor Lautner. Réalisté par Chris Weitz (la croisée des mondes n°1) sortie depuis le 18 novembre 2009 et dure malheureusement 2h10.
Fichtre Technique-
Adaptation du 2ème roman de Stéphanie Meyer de la saga Twilight (voir movie review n°23, Twilight) avec Kristen Stewart (Into the wild, Jumper), Robert Pattison (Diggory dans Harry Potter 4), Taylor Lautner. Réalisté par Chris Weitz (la croisée des mondes n°1) sortie depuis le 18 novembre 2009 et dure malheureusement 2h10.
Synopsis-
Alors que Bella croyais filer le parfait amour avec Joker, celui-ci décide de refuser ses avances SM (mord-moi s'il te plait !) et la quitte. Celle-ci déprimante trouve le réconfort chez Jacob, un de ses vieux potes du n°1 dont personnes ne se souvient. Tiraillé entre les deux et le tout sur fond de rivalité vampire/loup-garou, une adaptation fidèle (parait-il) du livre.
Décorticage-
Après leurs premières aventures quelques peu misérable (cf reviews n°23), Bella et Edward reviennent sur nos écran dirigé cette fois par un vrai réalisateur (celui la même qui nous avait offert une adaptation acceptable de "La Boussole d'Or), on peu espéré un peu plus de qualité. Si vous avez bravés les foules le premier jour comme moi vous savez déjà le premier problème du film, avant même que celui-ci est débuté, il s'agit de l'audience. Composé majoritairement de fille en grande partie de gamine qui ne peuvent pas s'empêcher de faire "Ahhh, Ohhh, Wouuuu..." et j'en passe durant tout le film, une première raison de ne pas perdre son temps au cinéma. Mais on à même pas encore attaqué le film. Premièrement le scénario est bancal (je me retient de dire pire) notamment dans la manière de faire transiter les scènes. Je m'explique : durant les cinq premières minutes on à le droit à "je t'aime, moi non plus...", tout va bien, "les petits oiseaux cui-cui, les petits chiens ouf-ouf, les petites abeilles biz-biz et les petits lama..." mais (après un montage symbolisant le temps qui passe) on à le droit à "Au fait, je me casse, sans toi, tu vaut rien, je te hais @+". Voila une excellente façon de passé d'un extrême à l'autre. Ensuite prise de re-mort et d'envie de suicide façon à l'odieux montage qui défile devant nos yeux, elle se découvre une révélation pour les hippies et commencent donc à trainer avec le barbare indien du début. Et la miracle, le mec s'avère cool et sympa, un film presque normal (compte tenus des circonstances) s'ensuit et ce pour une raison que je vais Spoiler tout de suite : le type en question est un loup-garou ! Forcément tous parait logique car pour ceux qui débarquent, les lupins sont fort, cool, marrant, sympa, bourrin, aime prendre la vie du bon coté...des vrais mecs en gros. Et là je les remercies d'avoir changé de directeur car celui-ci (si il n'a pas le droit de changer les vampires) se permet de relooké les loup-garou avec un talent certains ce qui à pour effet de propulsé les loup-garou dans un registre inconnus de twilight jusqu'à maintenant : Pas Mauvais !
Alors que Bella croyais filer le parfait amour avec Joker, celui-ci décide de refuser ses avances SM (mord-moi s'il te plait !) et la quitte. Celle-ci déprimante trouve le réconfort chez Jacob, un de ses vieux potes du n°1 dont personnes ne se souvient. Tiraillé entre les deux et le tout sur fond de rivalité vampire/loup-garou, une adaptation fidèle (parait-il) du livre.
Décorticage-
Après leurs premières aventures quelques peu misérable (cf reviews n°23), Bella et Edward reviennent sur nos écran dirigé cette fois par un vrai réalisateur (celui la même qui nous avait offert une adaptation acceptable de "La Boussole d'Or), on peu espéré un peu plus de qualité. Si vous avez bravés les foules le premier jour comme moi vous savez déjà le premier problème du film, avant même que celui-ci est débuté, il s'agit de l'audience. Composé majoritairement de fille en grande partie de gamine qui ne peuvent pas s'empêcher de faire "Ahhh, Ohhh, Wouuuu..." et j'en passe durant tout le film, une première raison de ne pas perdre son temps au cinéma. Mais on à même pas encore attaqué le film. Premièrement le scénario est bancal (je me retient de dire pire) notamment dans la manière de faire transiter les scènes. Je m'explique : durant les cinq premières minutes on à le droit à "je t'aime, moi non plus...", tout va bien, "les petits oiseaux cui-cui, les petits chiens ouf-ouf, les petites abeilles biz-biz et les petits lama..." mais (après un montage symbolisant le temps qui passe) on à le droit à "Au fait, je me casse, sans toi, tu vaut rien, je te hais @+". Voila une excellente façon de passé d'un extrême à l'autre. Ensuite prise de re-mort et d'envie de suicide façon à l'odieux montage qui défile devant nos yeux, elle se découvre une révélation pour les hippies et commencent donc à trainer avec le barbare indien du début. Et la miracle, le mec s'avère cool et sympa, un film presque normal (compte tenus des circonstances) s'ensuit et ce pour une raison que je vais Spoiler tout de suite : le type en question est un loup-garou ! Forcément tous parait logique car pour ceux qui débarquent, les lupins sont fort, cool, marrant, sympa, bourrin, aime prendre la vie du bon coté...des vrais mecs en gros. Et là je les remercies d'avoir changé de directeur car celui-ci (si il n'a pas le droit de changer les vampires) se permet de relooké les loup-garou avec un talent certains ce qui à pour effet de propulsé les loup-garou dans un registre inconnus de twilight jusqu'à maintenant : Pas Mauvais !
Tout de suite c'est plus classe que des vampires gays non ?
Pour continuer dans les (très) rare point positifs, le budget c'est amélioré donc meilleur effet spéciaux, meilleurs effets en général et meilleure musique (enfin à moitié).
Maintenant j'aimerais entré dans les points négatifs et trasher le film avec tous la violence dont je suis capable et laissez moi vous dire que si vous aviez l'intention de le voir (par exemple si vous avez aimés le livre/le 1er) ne lisez pas ce qui va suivre. Pour les autres je penses que c'est que vous attendez alors je vais pas me retenir.
Pour commencer le casting est abominable. Comme vous auriez pu le deviner les deux personnages principaux ne se sont pas amélioré avec l'age, c'est même, plutôt le contraire. Avec Bella qui ne finit pas de faire n'importe quoi et d'avoir autant de capacité émotionnelle qu'un Steven Seagal (cherchez "steven seagal emotion chart" sur google image), ses copains et copines qui ne servent qu'a prendre la tête et balancés des blagues miteuses, les vampires qui ont atteints (à l'exception d'un ou deux) le stade d'insupportable et encore plein d'autre perso plus inutiles que Jar Jar Binks. Si vous trouviez que les side-kicks étaits déjà énervant dans le premier vous allez passez deux très mauvaises heures. Un petit mot sur l'ambiance également : j'avais déjà pointé lors de l'ancienne review le peu de ressemblance (et c'est peu dire) entre les vampires habituels et ceux de Twilight mais malheureusement dans cet épisode la comparaison entre les loup-garous modernes et les "personnes à divergences de préférences sexuelles" (lisez vampires) ne tourne pas du tout (mais alors pas du tout) à l'avantage de ses derniers, leurs maquillage façon "couche de platre et rouge à lèvre" choque encore plus qu'auparavant. Rajouter à cela une bande de "super-vampire" avec différent pouvoir magique qui se planquent dans la seule ville (probablement du monde) qui s'auto-commémorent chaque année d'avoir chasser les vampires et qui ont la mauvais habitudes de démembrés leurs congénères qui s'amusent à "briller en société" et vous avez tous les éléments nécessaires pour écrire le scénario vous-même. Autre point qui fera frémir d'horreur plus d'un (vrai) spectateur : les dialogues. A mis chemin entre de la guimauve et de l'arsenic, ils provoquent d'abord le fameux réflexe vomitif avant d'entrainer une paralysie des muscles et une suractivités des zones du cerveaux exprimant le dégouts et la peur. En plus ils ont la mauvaises idées d'être nombreux et de plus en plus mauvais à tel point qu'on en vient à souhaiter encore plus vite que d'habitude la mort de tous les personnages du cast en dehors des lupins. Que dire de plus en moins ? Que la bande-son est 50% du temps un outrage au tympans ? Que la réalisation ne tient vraiment pas la route ? Que les passages "dramatiques" provoquent surtout nausées et dépression nerveuses ? N'en jetez plus camarades, je ne veut pas avoir à me souvenir de cette expérience traumatisante plus longtemps.
Résultats-
Casting : Affligeant. Les seuls persos qui étais acceptable avant sont devenus insupportables (notamment à cause de leurs apparitions plus fréquentes) et seuls les loup-garou sauvent les deux heures du suicides collectifs. Les vampires sont de pires en pires (si c'est vraiment possible) et l'héroïne je débrouillais bien mieux dans "Into The Wild " par rapport à sa performance que je qualifierais de lamentable.
Scénario : Très possiblement immonde de base, il n'est pas aidé par la réalisation bancale des différentes scènes. Les points négatifs du premier film sont toujours présent (certains même amplifiés) et seul l'adaptation du mythe des loup-garous est vraiment réussis (probablement une des plus efficaces que j'ai vus)
Bande-Son : Le terme calamiteux conviendrait bien, moitié supportable moitié misérable, il c''est toutefois légèrement amélioré entre les deux épisodes. Les dialogues par contre... la perspective de lire des telles atrocités me glace les entrailles rien que d'y penser.
Aspect Visuel : Aurait pu être bien si le réalisateur ne s'était pas sentis obligés (par la prod) de ne rien changé à tous ce qui avait déjà été adaptés dans le premier. Heureusement pour contrer cela, il à mis les bouchés doubles pour tout le reste et laissez moi vous dires que la ville des vampires italiens (ainsi que leur chapelle sixtine personnelle) et les loups-garous ont vraiment de la gueule. Le problème avait autant de bonne volonté c'est que la comparaisons avec les éléments récurrents du premier, comme disons les "Vampires", fais encore plus ressortir le manque de gouts qui les caractérises.
Note-
7/20 Moins 1 point pour le tapage médiatique et le genre d'audience avec laquelle vous partagerez le cinéma. Bien qu'en améliorant certains point, le film s'enlise encore plus dans cette infâme mixture d'arôme artificielle et de rehausseur de mauvais gout qui caractérisais déjà le premier volet de la saga. Si aviez encore des doutes sur le devenir de cette série, vous voila maintenant fixé. Le 3 va être très très difficile à regardez...
Un petit point personnel et subjectif pour finir : J'avais plusieurs fois entendus parler (dans des critiques ou autres) de gens qui applaudissaient à la fin des séances. Je m'étais toujours dit qu'il s'agissait d'une étrangeté locale, une relique des anciennes projections de film. Maintenant je voudrais simplement dire une chose, c'est qu'avec tous les films légendaires que je suis aller voir au cinéma depuis toujours, c'est dommage que le premier pour lequel les gens applaudissent à la fin soit Twilight 2...
Les + :
-Jolis Décors
-La moitié de la bande-son, celle qui est acceptable
-Lupin=Win
-Meilleur budget
Les - :
-Casting atterrant
-Dialogues létaux
-L'autre moitié de la bande-son, celle qui craint.
-Scénario boueux
Si vous avez aimés : les loups-garous, c'est normal ! Tout va bien, allez regardez des vrais films et oubliez le reste. Si vous avez aimés le film en totalité... je ne voit pas ce que je peux faire de plus pour vous, le seul remède connus est le curare.
Pour continuer dans les (très) rare point positifs, le budget c'est amélioré donc meilleur effet spéciaux, meilleurs effets en général et meilleure musique (enfin à moitié).
Maintenant j'aimerais entré dans les points négatifs et trasher le film avec tous la violence dont je suis capable et laissez moi vous dire que si vous aviez l'intention de le voir (par exemple si vous avez aimés le livre/le 1er) ne lisez pas ce qui va suivre. Pour les autres je penses que c'est que vous attendez alors je vais pas me retenir.
Pour commencer le casting est abominable. Comme vous auriez pu le deviner les deux personnages principaux ne se sont pas amélioré avec l'age, c'est même, plutôt le contraire. Avec Bella qui ne finit pas de faire n'importe quoi et d'avoir autant de capacité émotionnelle qu'un Steven Seagal (cherchez "steven seagal emotion chart" sur google image), ses copains et copines qui ne servent qu'a prendre la tête et balancés des blagues miteuses, les vampires qui ont atteints (à l'exception d'un ou deux) le stade d'insupportable et encore plein d'autre perso plus inutiles que Jar Jar Binks. Si vous trouviez que les side-kicks étaits déjà énervant dans le premier vous allez passez deux très mauvaises heures. Un petit mot sur l'ambiance également : j'avais déjà pointé lors de l'ancienne review le peu de ressemblance (et c'est peu dire) entre les vampires habituels et ceux de Twilight mais malheureusement dans cet épisode la comparaison entre les loup-garous modernes et les "personnes à divergences de préférences sexuelles" (lisez vampires) ne tourne pas du tout (mais alors pas du tout) à l'avantage de ses derniers, leurs maquillage façon "couche de platre et rouge à lèvre" choque encore plus qu'auparavant. Rajouter à cela une bande de "super-vampire" avec différent pouvoir magique qui se planquent dans la seule ville (probablement du monde) qui s'auto-commémorent chaque année d'avoir chasser les vampires et qui ont la mauvais habitudes de démembrés leurs congénères qui s'amusent à "briller en société" et vous avez tous les éléments nécessaires pour écrire le scénario vous-même. Autre point qui fera frémir d'horreur plus d'un (vrai) spectateur : les dialogues. A mis chemin entre de la guimauve et de l'arsenic, ils provoquent d'abord le fameux réflexe vomitif avant d'entrainer une paralysie des muscles et une suractivités des zones du cerveaux exprimant le dégouts et la peur. En plus ils ont la mauvaises idées d'être nombreux et de plus en plus mauvais à tel point qu'on en vient à souhaiter encore plus vite que d'habitude la mort de tous les personnages du cast en dehors des lupins. Que dire de plus en moins ? Que la bande-son est 50% du temps un outrage au tympans ? Que la réalisation ne tient vraiment pas la route ? Que les passages "dramatiques" provoquent surtout nausées et dépression nerveuses ? N'en jetez plus camarades, je ne veut pas avoir à me souvenir de cette expérience traumatisante plus longtemps.
Résultats-
Casting : Affligeant. Les seuls persos qui étais acceptable avant sont devenus insupportables (notamment à cause de leurs apparitions plus fréquentes) et seuls les loup-garou sauvent les deux heures du suicides collectifs. Les vampires sont de pires en pires (si c'est vraiment possible) et l'héroïne je débrouillais bien mieux dans "Into The Wild " par rapport à sa performance que je qualifierais de lamentable.
Scénario : Très possiblement immonde de base, il n'est pas aidé par la réalisation bancale des différentes scènes. Les points négatifs du premier film sont toujours présent (certains même amplifiés) et seul l'adaptation du mythe des loup-garous est vraiment réussis (probablement une des plus efficaces que j'ai vus)
Bande-Son : Le terme calamiteux conviendrait bien, moitié supportable moitié misérable, il c''est toutefois légèrement amélioré entre les deux épisodes. Les dialogues par contre... la perspective de lire des telles atrocités me glace les entrailles rien que d'y penser.
Aspect Visuel : Aurait pu être bien si le réalisateur ne s'était pas sentis obligés (par la prod) de ne rien changé à tous ce qui avait déjà été adaptés dans le premier. Heureusement pour contrer cela, il à mis les bouchés doubles pour tout le reste et laissez moi vous dires que la ville des vampires italiens (ainsi que leur chapelle sixtine personnelle) et les loups-garous ont vraiment de la gueule. Le problème avait autant de bonne volonté c'est que la comparaisons avec les éléments récurrents du premier, comme disons les "Vampires", fais encore plus ressortir le manque de gouts qui les caractérises.
Note-
7/20 Moins 1 point pour le tapage médiatique et le genre d'audience avec laquelle vous partagerez le cinéma. Bien qu'en améliorant certains point, le film s'enlise encore plus dans cette infâme mixture d'arôme artificielle et de rehausseur de mauvais gout qui caractérisais déjà le premier volet de la saga. Si aviez encore des doutes sur le devenir de cette série, vous voila maintenant fixé. Le 3 va être très très difficile à regardez...
Un petit point personnel et subjectif pour finir : J'avais plusieurs fois entendus parler (dans des critiques ou autres) de gens qui applaudissaient à la fin des séances. Je m'étais toujours dit qu'il s'agissait d'une étrangeté locale, une relique des anciennes projections de film. Maintenant je voudrais simplement dire une chose, c'est qu'avec tous les films légendaires que je suis aller voir au cinéma depuis toujours, c'est dommage que le premier pour lequel les gens applaudissent à la fin soit Twilight 2...
Les + :
-Jolis Décors
-La moitié de la bande-son, celle qui est acceptable
-Lupin=Win
-Meilleur budget
Les - :
-Casting atterrant
-Dialogues létaux
-L'autre moitié de la bande-son, celle qui craint.
-Scénario boueux
Si vous avez aimés : les loups-garous, c'est normal ! Tout va bien, allez regardez des vrais films et oubliez le reste. Si vous avez aimés le film en totalité... je ne voit pas ce que je peux faire de plus pour vous, le seul remède connus est le curare.
lundi, novembre 23, 2009
Movie Review n°26 : Micmacs.
Une bonne comédie française, ce n'est pas tous les jours que ca se produit :
Micmacs à tire-larigot
Fiche Technique-
Film français réalisé par Jean-Pierre Jeunet (Amélie Poulain, Cité des Enfants Perdus), avec Dany Boon, André Dussollier et plein d'autre acteur français que je ne connais pas. C'est une comédie burlesque sortie le 28 octobre 2009 dans les salles obscures et qui dure 1h45 ~.
Synopsis-
Bazil est un tranquille bonhomme, qui travaille dans un vidéoclub. Un jour il reçoit une balle dans la tête. Après cette mésaventure il se retrouve dans la rue avec une bande de dépravés qui vont l'aider à prendre sa revanche sur les marchands d'armes qui lui ont gâchés sa vie.
Décorticage-
Casting : Avec une brochette d'acteur tous plus excentriques les uns que les autres (Dominique Pinon et Dany Boon en tête) Jeunet réussis son paris de nous proposer des personnages attachants, variés et totalement décalés. Qui aurait l'idée de mettre une contorsionniste dans les personnages principaux ? Mention spéciale a Dany Boon qui se sent apparemment a l'aise dans son rôle étrange mais hilarant.
Scénario : Très simple sur le papier et plutôt irréaliste, celui-ci sert surtout de trame de fond pour faire évoluer des personnages et une ambiance qui à eux seuls font vivre l'histoire. Il est apporte aussi son lot de gag et de situation rocambolesque qui feront rire même les plus exigeants (dont je fais partie). Signalons aussi que le scénar s'encre bien plus dans la réalité que ses prédécesseurs (Amélie Poulain) avec des références discrètes mais efficace.
Bande-son : La musique est sympathique bien que moins marquante que Amélie Poulain, c'est plutôt les dialogues qui ont été magnifiquement bricolés.
Aspect Visuel : Jeunet frappe à nouveaux très fort avec une ambiance décalé, qui fais passez un taudis pour une véritable caverne d'Ali Baba. Le monde "d'en haut" parait triste et fade comparé à la profusion de couleur qui se dégage de la bande de joyeux drilles.
Résultats-
18/20 Il est rare d'avoir le droit à une comédie française de bonne qualité mais nous avons bien fais de faire confiance à Jeunet pour nous sortir un univers original, accrocheur et surtout bourrés de bonnes idées. Le casting s'en sort très bien pour faire vivre les personnages extravertis et le scénario nous tiens en haleines tous le long du film. Rien à redire et fous rire garantît même pour les amateurs de bon humour.
Les + :
-Personnages attachants
-Ambiance unique
-Dialogue au petits oignons
-Casting irréprochable
-Bidonnant
Les - :
-Qu'il soit l'un des seuls films français aussi drôle
Si vous avez aimés : Regardez-vous toute la filmographie de Jeunet pour commencer, ensuite une sélection (drastique ou non selon votre humour) de bonne comédie de "Bienvenue chez les Ch'tis" à "La Classe Américaine".
Film français réalisé par Jean-Pierre Jeunet (Amélie Poulain, Cité des Enfants Perdus), avec Dany Boon, André Dussollier et plein d'autre acteur français que je ne connais pas. C'est une comédie burlesque sortie le 28 octobre 2009 dans les salles obscures et qui dure 1h45 ~.
Synopsis-
Bazil est un tranquille bonhomme, qui travaille dans un vidéoclub. Un jour il reçoit une balle dans la tête. Après cette mésaventure il se retrouve dans la rue avec une bande de dépravés qui vont l'aider à prendre sa revanche sur les marchands d'armes qui lui ont gâchés sa vie.
Décorticage-
Casting : Avec une brochette d'acteur tous plus excentriques les uns que les autres (Dominique Pinon et Dany Boon en tête) Jeunet réussis son paris de nous proposer des personnages attachants, variés et totalement décalés. Qui aurait l'idée de mettre une contorsionniste dans les personnages principaux ? Mention spéciale a Dany Boon qui se sent apparemment a l'aise dans son rôle étrange mais hilarant.
Scénario : Très simple sur le papier et plutôt irréaliste, celui-ci sert surtout de trame de fond pour faire évoluer des personnages et une ambiance qui à eux seuls font vivre l'histoire. Il est apporte aussi son lot de gag et de situation rocambolesque qui feront rire même les plus exigeants (dont je fais partie). Signalons aussi que le scénar s'encre bien plus dans la réalité que ses prédécesseurs (Amélie Poulain) avec des références discrètes mais efficace.
Bande-son : La musique est sympathique bien que moins marquante que Amélie Poulain, c'est plutôt les dialogues qui ont été magnifiquement bricolés.
Aspect Visuel : Jeunet frappe à nouveaux très fort avec une ambiance décalé, qui fais passez un taudis pour une véritable caverne d'Ali Baba. Le monde "d'en haut" parait triste et fade comparé à la profusion de couleur qui se dégage de la bande de joyeux drilles.
Résultats-
18/20 Il est rare d'avoir le droit à une comédie française de bonne qualité mais nous avons bien fais de faire confiance à Jeunet pour nous sortir un univers original, accrocheur et surtout bourrés de bonnes idées. Le casting s'en sort très bien pour faire vivre les personnages extravertis et le scénario nous tiens en haleines tous le long du film. Rien à redire et fous rire garantît même pour les amateurs de bon humour.
Les + :
-Personnages attachants
-Ambiance unique
-Dialogue au petits oignons
-Casting irréprochable
-Bidonnant
Les - :
-Qu'il soit l'un des seuls films français aussi drôle
Si vous avez aimés : Regardez-vous toute la filmographie de Jeunet pour commencer, ensuite une sélection (drastique ou non selon votre humour) de bonne comédie de "Bienvenue chez les Ch'tis" à "La Classe Américaine".
dimanche, novembre 22, 2009
L'Album du Mois, Musical Review n°21 : Shpongleland.
D'ailleurs en parlant de Shpongle, j'en connais certains qui sont revenus du concert de Londres d'Halloween avec un petit cd que beaucoup d'autre attendais. Je propose d'en parler.
L'Album du Mois d'Octobre :
Le Choix Du Patron
Shpongle - Inefable Mysteries from Shpongleland
Shpongle - Inefable Mysteries from Shpongleland
Groupe & Catégorisation : Pour ceux qui ne sont pas en phase avec Shpongle (les pauvres), il devront patienter pour les explication, Eclipse me faisant savoir qu'il aimerais bien s'en charger.
Décorticage-
1-Electroplasm : On est toujours un peu anxieux au lancement d'une bombe comme le dernier Shpongle dans le casque. Les premiers samples sans liens précis entre eux ne font qu'accentuer cette sensation. On est dans l'état où on ressent "90% de peur et 10% d'excitation, ou bien 90% d'excitation et 10% de peur, c'est justement ce qu'y fais toute l'intensité de la chose."
Mais bientôt on à plus le temps de se poser la question, la musique se fais trop écrasante pour penser, jusqu'à ce que... l'ouverture ! Lourde et puissante, elle présage déjà une bonne augure mais c'est le rythme acoustique psychédélique qui prouve définitivement que Shpongle n'a rien perdus de sa superbe. La production à grandement gagner en qualité, les premiers craquages électro en témoigne. Alors que la rythmique prend une pause, on se fais assaillir de samples modifiés du plus bel effet. Un vrai bonheur que de se prendre une gifle musicale avant même la moitié du premier morceaux de l'album. Un sample très modifiés nous informes aussi sur la suite de l'album qui sera vraisemblement dans un ton très indien. Le retour aussi de la flute de Raja Ram, de bien meilleure effet dans Shpongle quand les titres dance-floor de 1200mics. J'aimerais continuer à réfléchir rationnellement mais un étrange spectre électronique me fais des grimaces à travers un sample franchement délirant. Et maintenant comment se concentrer sur des pensés intelligentes quand le morceaux entames justement une phase de transition pour mieux resauter à pieds joints dans un craquage semi acoustique/semi électro dans la tradition indienne ? Le titre se terminera enfin peu de temps après, pour enfin on puisse souffler...
"Un vrai bonheur que de se prendre une gifle musicale avant même la moitié du premier morceaux de l'album."
2-Shpongolese Spoken Here : En fait Non ! On ne souffle pas ! Une introduction exceptionnelle et difficilement descriptible au vus de sa complexité (imaginez la dance du "robot" traité par Posford) nous démontes le cerveaux. Imaginez un instant être pris dans un flipper mais avec de la bonne musique, une perspective peu soporifique n'est ce pas? Le titre se métamorphose ensuite en track légèrement dub n'étant pas sans rappellé un certains Younger Brother (avec Posford également) pour notre plus grand plaisirs. Le beat de base est d'ailleurs si accrocheur que bientôt on à l'impression que notre cerveaux fais des bons dans notre boite crânienne. Le sampling et modification de voix qui suivent passent immensément bien (et c'est un euphémisme) et l'aspect plus électro n'est absolument pas une impasse (même pour moi qui suit plutôt acoustique en général) avec par exemple la flute dont le son n'a plus grand chose avec l'original. Après la suite du craquage électronique, on à enfin le droit à une petite pause acoustique, de grande qualité elle aussi, ce qui place définitivement la production au dessus de tous soupçons. Le solo de guitare acoustique est un vrai plus sur la fin du morceaux.
"On à l'impression que notre cerveaux fais des bons dans notre boite crânienne."
3-Nothing is Something Worth Doing : Introduit par du Hang Drum (cherchez sur wiki), sorte de percussion métallique moderne qui donne un son particulièrement original, on sent qu'on va enfin avoir le droit de se reposer un peu. Notons par ailleurs que les premières couches sonores rappelles le son habituel de Shpongle. Ce qui est par contre nouveaux c'est une sorte de refrain, comme si les artistes avaient peur qu'on oublie leur chanson tellement elle son complexe. Bien composés et surtout très original grâce au son si particulier de la soucoupe volante, c'est en définitive une excellente idée qui se transmettra sur les chansons suivantes. L'ambiance est vraiment très coloré et agréable dans ce titre, il servira sans soucis de vecteur pour Shpongle avant de lancer du plus complexe à des auditeurs non initiés.
"Le refrain est en définitive une excellente idée qui se transmettra sur les chansons suivantes."
4-Inefable Mysteries : Cette fois-ci le son indien n'est plus juste une façon de parler, c'est toute la chanson qui s'en imprègne. Avec un début digne d'un temple bouddhiste mélangé à une ouverture de théâtre, la suite s'annonce puissante... Et c'est un euphémisme. Après une rapide montée, une sorte de refrain psychédélique mémorable emplis nos oreilles et classent déjà le morceaux dans la catégorie "excellente" alors qu'on arrive à peine à 3 minutes sur les 10 de la chanson. Le sampling des chanteurs indiens est musicalement une très bonne chose, surtout en entendant la façon dont ils sont accommodés avec la flute de Raja Ram. Vers le milieu, on assiste à un changement de rythme qui permet à la chanson de reprendre un second souffle et nous maintient vissé au casque, le volume de couche sonore étant physiquement très important. Ensuite nouveaux changement de rythme sur une partie plus électro, plus réminiscent de Tales of The Inexpressible dans ces meilleurs moments. Une dernière pirouette musicale et on finis (enfin) sur une sorte de prière du style yoga transcendantal pour être bien sur de vous posé avec de revenir avec...
"La chanson nous maintient vissé au casque, le volume de couche sonore étant physiquement très important."
5-I Am You : Attention, derrière ce simple titre ce cache un des meilleurs (le meilleur pour moi) morceaux de Shpongle. Il débute fort simplement par un chant de sutra assez psychédélique et une montée prometteuse derrière une sample déroutant sur les tortures à l'école. Plus la chanson gagne en intensité et plus on commence à vibrer d'une seule mesure, comme si les multiples couches sonores nous faisaient résonner en chœur, s'harmonisant malgré leurs extrêmes différences. Passant sur un rythme psychédélique mémorable qui se place peu de temps après en arrière plan, sans cesser de se complexifiés bien sur, on arrive tranquillement sur la courbe haute du milieu de chanson avec la voix qui chante quelques lignes simples mais tellement efficaces qu'on à droit ici à l'un des meilleurs passages audio du groupe. C'est ensuite la légendaire flute de Raja qui va se charger d'amener la relance électronique comme dans la chanson d'avant mais en plus puissant. Tout cela pour finalement descendre... mais est-ce vraiment la fin ? Malgré une baisse progressive jusqu'à un point presque final on remonte à nouveaux pour mieux décoller encore une fois avec l'appuie de l'electro et de l'acoustique dans un refrain mémorable comme on s'est fais habituer dans cet album. Après une petite transition le rythme en profite de nouveaux pour se faire la malle et une base d'apparence plus classique prend le relais. Enfin plus classique si on omet les différentes couches bricolés dessus jusqu'à créer un ensemble si puissant que déconstruire ces couches devient presque impossibles tant la totalité est si parfaite par rapport à la somme de toutes. Le morceaux se termine sur cette courbe de violence jusque dans les dernières secondes.
"....on commence à vibrer d'une seule mesure, comme si les multiples couches sonores nous faisaient résonner en chœur, s'harmonisant malgré leurs extrêmes différences."
6-Invisible Man In A Fluorescent Suit : Avec une introduction au violoncelle de toute beauté et vu la claque que l'on vient de se prendre on aurait pu penser qu'on aurait droit un morceaux plus tranquille pour se remettre de nos émotions. Cependant la montée qui se lance très tôt tend plutôt à nous faire miroitée une autre explosion auditive. L'acoustique est d'ailleurs rapidement rejoins, d'abord par ses congénères guitares puis par des petits sons électroniques psychédéliques "à la Entheogenic". L'ensemble se met doucement en place avec la guitare qui commence à amener un rythme accrocheur qui prend de plus en plus d'ampleur, jusqu'à la certitude qu'il va devenir le refrain mémorable de ce morceaux. Cela se confirme quand les premières couches sonores commencent à rentrer dans les nouvelles et qu'un sample extrêmement trippant se greffe sur le rythme qui lui, commence à devenir hypnotique tant il est soutenus par d'innombrables branches sonores. Alors que l'électro s'en donne à cœur joie, le notre, commence à s'emballer quand la puissance atteint son maximum... et là c'est l'explosion ! Assurément le rythme de base le plus immense jamais composé par Shpongle et toute la chanson nous balades autour de cette création divine. Les cordes reviennes faire un petits bonjour mais elles se heurtents à des sons "acid" contribuant eux aussi à nous maintenir en état de trance. Heureusement on à enfin le droit à une transition plus calme sur la flute de Raja Ram, mais déjà l'electronique mentale fais son show, dans un solo inattendus mais transperçant. Le morceaux ce termine dans ce flux mi acoustique/mi électro.
"Assurément le rythme de base le plus immense jamais composé par Shpongle."
7-No Turn Unstoned : Après une petite introduction sans prétention on est surpris par l'arrivée très précoce de la voix. Avec des vrais textes et peu de modifications vocales (du moins dans un premier temps), c'est un plaisirs rare chez Shpongle qui nous fais immédiatement "Once Upon The Sea Of Blissful Awareness". Cette simplicité ne va pas rester longtemps et très vite la voix se métamorphose en flux électronique indescriptible qui traverse notre cerveaux de par en par.
Puis la voix et la flute se partage la plage sonore principale dans une longue courbe tranquille, passage bien agréable puisque peu représenté durant le reste de l'album. Une douce transition des cordes nous relances dans une montée plutôt reposante. Appuyé tantôt par de l'électronique, tantôt par de l'acoustique, elle finit par nous ramenés à la voix qui nous chantes le refrain bien inspirés. Enfin on redescend en douceur vers le morceaux suivants.
"La voix se métamorphose en flux électronique indescriptible qui traverse notre cerveaux de par en par."
8-Walking Backwards Through The Cosmic Mirror : Dès l'explosion du début on sent que la dernière chanson ne sera pas la moindre. Cependant après cette grosse basse qui nous tombe dessus on est surpris par la transparence du beat principal qui arrive peu de temps après. En collaboration avec une grande quantité de sons électro l'ensemble est assez sympathique jusqu'à un sample de voix modifiés d'une violence rarement égalé. Ce craquage particulièrement jouissif est répété quelques fois avant d'entré dans le vif du morceaux sorte de mélange d'une infinité de sons électro formant une grande masse changeante de musique (faisant un peu penser à Shulman). Après une petite transition, on remonte en chevauchant les sons "acid" vers une ambiance très étonnantes ( sorte de mélange entre une caverne et l'espace de mon point de vue).
Passé ce stade l'électro devient suffisamment complexe pour nous balader sans difficultés à travers différents mondes parallèles musicaux. Comme si on passait à travers plusieurs réalités avant de revenir sur une de celles que nous connaissont pour à nouveau repartir vers une nouvelle vision (une sensation décuplé par l'usage intelligent de spatialisation) et tout ça pour enfin revenir chez nous...changés...libérés...humble.
"L'électro devient suffisamment complexe pour nous balader sans difficultés à travers différents mondes parallèles musicaux."
Résultats-
Note : 20/20 Vous l'attendiez, vous l'espériez, peut-être même vous le priiez... Eh bien voilà vos efforts récompensés. Après trois albums tous plus excellents les uns que les autres, Shpongle avait fort à faire pour ne pas décevoir un public très exigeant et nous ne pouvons que constatez qu'ils sont aller au devant de leurs précédents travail, relevant même notre irrationnel espoir qu'ils arrivent à nous surprendre au delà de tous ce qu'on pouvait imaginer. Plus que de la psybient, c'est un genre à part, l'un des meilleurs, qui prend tous son sens ici : Mental Music.
Les + :
-L'originalité
-La puissance
-La complexité
-Reste gravé dans la mémoire
-Digne d'eux même
Les - :
-Aucun
Si vous avez aimés : Félicitations, vous voilà arrivés au sommet.
I Feel...Shpongled...
Décorticage-
1-Electroplasm : On est toujours un peu anxieux au lancement d'une bombe comme le dernier Shpongle dans le casque. Les premiers samples sans liens précis entre eux ne font qu'accentuer cette sensation. On est dans l'état où on ressent "90% de peur et 10% d'excitation, ou bien 90% d'excitation et 10% de peur, c'est justement ce qu'y fais toute l'intensité de la chose."
Mais bientôt on à plus le temps de se poser la question, la musique se fais trop écrasante pour penser, jusqu'à ce que... l'ouverture ! Lourde et puissante, elle présage déjà une bonne augure mais c'est le rythme acoustique psychédélique qui prouve définitivement que Shpongle n'a rien perdus de sa superbe. La production à grandement gagner en qualité, les premiers craquages électro en témoigne. Alors que la rythmique prend une pause, on se fais assaillir de samples modifiés du plus bel effet. Un vrai bonheur que de se prendre une gifle musicale avant même la moitié du premier morceaux de l'album. Un sample très modifiés nous informes aussi sur la suite de l'album qui sera vraisemblement dans un ton très indien. Le retour aussi de la flute de Raja Ram, de bien meilleure effet dans Shpongle quand les titres dance-floor de 1200mics. J'aimerais continuer à réfléchir rationnellement mais un étrange spectre électronique me fais des grimaces à travers un sample franchement délirant. Et maintenant comment se concentrer sur des pensés intelligentes quand le morceaux entames justement une phase de transition pour mieux resauter à pieds joints dans un craquage semi acoustique/semi électro dans la tradition indienne ? Le titre se terminera enfin peu de temps après, pour enfin on puisse souffler...
"Un vrai bonheur que de se prendre une gifle musicale avant même la moitié du premier morceaux de l'album."
2-Shpongolese Spoken Here : En fait Non ! On ne souffle pas ! Une introduction exceptionnelle et difficilement descriptible au vus de sa complexité (imaginez la dance du "robot" traité par Posford) nous démontes le cerveaux. Imaginez un instant être pris dans un flipper mais avec de la bonne musique, une perspective peu soporifique n'est ce pas? Le titre se métamorphose ensuite en track légèrement dub n'étant pas sans rappellé un certains Younger Brother (avec Posford également) pour notre plus grand plaisirs. Le beat de base est d'ailleurs si accrocheur que bientôt on à l'impression que notre cerveaux fais des bons dans notre boite crânienne. Le sampling et modification de voix qui suivent passent immensément bien (et c'est un euphémisme) et l'aspect plus électro n'est absolument pas une impasse (même pour moi qui suit plutôt acoustique en général) avec par exemple la flute dont le son n'a plus grand chose avec l'original. Après la suite du craquage électronique, on à enfin le droit à une petite pause acoustique, de grande qualité elle aussi, ce qui place définitivement la production au dessus de tous soupçons. Le solo de guitare acoustique est un vrai plus sur la fin du morceaux.
"On à l'impression que notre cerveaux fais des bons dans notre boite crânienne."
3-Nothing is Something Worth Doing : Introduit par du Hang Drum (cherchez sur wiki), sorte de percussion métallique moderne qui donne un son particulièrement original, on sent qu'on va enfin avoir le droit de se reposer un peu. Notons par ailleurs que les premières couches sonores rappelles le son habituel de Shpongle. Ce qui est par contre nouveaux c'est une sorte de refrain, comme si les artistes avaient peur qu'on oublie leur chanson tellement elle son complexe. Bien composés et surtout très original grâce au son si particulier de la soucoupe volante, c'est en définitive une excellente idée qui se transmettra sur les chansons suivantes. L'ambiance est vraiment très coloré et agréable dans ce titre, il servira sans soucis de vecteur pour Shpongle avant de lancer du plus complexe à des auditeurs non initiés.
"Le refrain est en définitive une excellente idée qui se transmettra sur les chansons suivantes."
4-Inefable Mysteries : Cette fois-ci le son indien n'est plus juste une façon de parler, c'est toute la chanson qui s'en imprègne. Avec un début digne d'un temple bouddhiste mélangé à une ouverture de théâtre, la suite s'annonce puissante... Et c'est un euphémisme. Après une rapide montée, une sorte de refrain psychédélique mémorable emplis nos oreilles et classent déjà le morceaux dans la catégorie "excellente" alors qu'on arrive à peine à 3 minutes sur les 10 de la chanson. Le sampling des chanteurs indiens est musicalement une très bonne chose, surtout en entendant la façon dont ils sont accommodés avec la flute de Raja Ram. Vers le milieu, on assiste à un changement de rythme qui permet à la chanson de reprendre un second souffle et nous maintient vissé au casque, le volume de couche sonore étant physiquement très important. Ensuite nouveaux changement de rythme sur une partie plus électro, plus réminiscent de Tales of The Inexpressible dans ces meilleurs moments. Une dernière pirouette musicale et on finis (enfin) sur une sorte de prière du style yoga transcendantal pour être bien sur de vous posé avec de revenir avec...
"La chanson nous maintient vissé au casque, le volume de couche sonore étant physiquement très important."
5-I Am You : Attention, derrière ce simple titre ce cache un des meilleurs (le meilleur pour moi) morceaux de Shpongle. Il débute fort simplement par un chant de sutra assez psychédélique et une montée prometteuse derrière une sample déroutant sur les tortures à l'école. Plus la chanson gagne en intensité et plus on commence à vibrer d'une seule mesure, comme si les multiples couches sonores nous faisaient résonner en chœur, s'harmonisant malgré leurs extrêmes différences. Passant sur un rythme psychédélique mémorable qui se place peu de temps après en arrière plan, sans cesser de se complexifiés bien sur, on arrive tranquillement sur la courbe haute du milieu de chanson avec la voix qui chante quelques lignes simples mais tellement efficaces qu'on à droit ici à l'un des meilleurs passages audio du groupe. C'est ensuite la légendaire flute de Raja qui va se charger d'amener la relance électronique comme dans la chanson d'avant mais en plus puissant. Tout cela pour finalement descendre... mais est-ce vraiment la fin ? Malgré une baisse progressive jusqu'à un point presque final on remonte à nouveaux pour mieux décoller encore une fois avec l'appuie de l'electro et de l'acoustique dans un refrain mémorable comme on s'est fais habituer dans cet album. Après une petite transition le rythme en profite de nouveaux pour se faire la malle et une base d'apparence plus classique prend le relais. Enfin plus classique si on omet les différentes couches bricolés dessus jusqu'à créer un ensemble si puissant que déconstruire ces couches devient presque impossibles tant la totalité est si parfaite par rapport à la somme de toutes. Le morceaux se termine sur cette courbe de violence jusque dans les dernières secondes.
"....on commence à vibrer d'une seule mesure, comme si les multiples couches sonores nous faisaient résonner en chœur, s'harmonisant malgré leurs extrêmes différences."
6-Invisible Man In A Fluorescent Suit : Avec une introduction au violoncelle de toute beauté et vu la claque que l'on vient de se prendre on aurait pu penser qu'on aurait droit un morceaux plus tranquille pour se remettre de nos émotions. Cependant la montée qui se lance très tôt tend plutôt à nous faire miroitée une autre explosion auditive. L'acoustique est d'ailleurs rapidement rejoins, d'abord par ses congénères guitares puis par des petits sons électroniques psychédéliques "à la Entheogenic". L'ensemble se met doucement en place avec la guitare qui commence à amener un rythme accrocheur qui prend de plus en plus d'ampleur, jusqu'à la certitude qu'il va devenir le refrain mémorable de ce morceaux. Cela se confirme quand les premières couches sonores commencent à rentrer dans les nouvelles et qu'un sample extrêmement trippant se greffe sur le rythme qui lui, commence à devenir hypnotique tant il est soutenus par d'innombrables branches sonores. Alors que l'électro s'en donne à cœur joie, le notre, commence à s'emballer quand la puissance atteint son maximum... et là c'est l'explosion ! Assurément le rythme de base le plus immense jamais composé par Shpongle et toute la chanson nous balades autour de cette création divine. Les cordes reviennes faire un petits bonjour mais elles se heurtents à des sons "acid" contribuant eux aussi à nous maintenir en état de trance. Heureusement on à enfin le droit à une transition plus calme sur la flute de Raja Ram, mais déjà l'electronique mentale fais son show, dans un solo inattendus mais transperçant. Le morceaux ce termine dans ce flux mi acoustique/mi électro.
"Assurément le rythme de base le plus immense jamais composé par Shpongle."
7-No Turn Unstoned : Après une petite introduction sans prétention on est surpris par l'arrivée très précoce de la voix. Avec des vrais textes et peu de modifications vocales (du moins dans un premier temps), c'est un plaisirs rare chez Shpongle qui nous fais immédiatement "Once Upon The Sea Of Blissful Awareness". Cette simplicité ne va pas rester longtemps et très vite la voix se métamorphose en flux électronique indescriptible qui traverse notre cerveaux de par en par.
Puis la voix et la flute se partage la plage sonore principale dans une longue courbe tranquille, passage bien agréable puisque peu représenté durant le reste de l'album. Une douce transition des cordes nous relances dans une montée plutôt reposante. Appuyé tantôt par de l'électronique, tantôt par de l'acoustique, elle finit par nous ramenés à la voix qui nous chantes le refrain bien inspirés. Enfin on redescend en douceur vers le morceaux suivants.
"La voix se métamorphose en flux électronique indescriptible qui traverse notre cerveaux de par en par."
8-Walking Backwards Through The Cosmic Mirror : Dès l'explosion du début on sent que la dernière chanson ne sera pas la moindre. Cependant après cette grosse basse qui nous tombe dessus on est surpris par la transparence du beat principal qui arrive peu de temps après. En collaboration avec une grande quantité de sons électro l'ensemble est assez sympathique jusqu'à un sample de voix modifiés d'une violence rarement égalé. Ce craquage particulièrement jouissif est répété quelques fois avant d'entré dans le vif du morceaux sorte de mélange d'une infinité de sons électro formant une grande masse changeante de musique (faisant un peu penser à Shulman). Après une petite transition, on remonte en chevauchant les sons "acid" vers une ambiance très étonnantes ( sorte de mélange entre une caverne et l'espace de mon point de vue).
Passé ce stade l'électro devient suffisamment complexe pour nous balader sans difficultés à travers différents mondes parallèles musicaux. Comme si on passait à travers plusieurs réalités avant de revenir sur une de celles que nous connaissont pour à nouveau repartir vers une nouvelle vision (une sensation décuplé par l'usage intelligent de spatialisation) et tout ça pour enfin revenir chez nous...changés...libérés...humble.
"L'électro devient suffisamment complexe pour nous balader sans difficultés à travers différents mondes parallèles musicaux."
Résultats-
Note : 20/20 Vous l'attendiez, vous l'espériez, peut-être même vous le priiez... Eh bien voilà vos efforts récompensés. Après trois albums tous plus excellents les uns que les autres, Shpongle avait fort à faire pour ne pas décevoir un public très exigeant et nous ne pouvons que constatez qu'ils sont aller au devant de leurs précédents travail, relevant même notre irrationnel espoir qu'ils arrivent à nous surprendre au delà de tous ce qu'on pouvait imaginer. Plus que de la psybient, c'est un genre à part, l'un des meilleurs, qui prend tous son sens ici : Mental Music.
Les + :
-L'originalité
-La puissance
-La complexité
-Reste gravé dans la mémoire
-Digne d'eux même
Les - :
-Aucun
Si vous avez aimés : Félicitations, vous voilà arrivés au sommet.
I Feel...Shpongled...
La Chanson du Mardi Soir : Midnight Eyes.
Se soir on plonge dans une expérience mentale et spirituelle avec :
Entheogenic - Midnight Eyes
Première chanson de l'album Golden Cap, celle ci est en faite une "reprise" du morceaux Twilight Eyes de l'album précédant celui-ci (Spontaneous Illumination). Avec une ambiance mi-électro, mi-tribale, la basse hypnotique nous transportes dans un monde parallèle de musique, où chaque son se fusionne dans une tourbillon de couleur mentale. Des samples de chants tribaux, à la ligne de guitare indienne, jusqu'a la monté électronique avec les petits sons "acid" si mentalement jouissif... Une vrai réussite, l'un des solos morceaux non Shpongle qui pourrait presque passez pour un. Et c'est un sacré compliment.
Première chanson de l'album Golden Cap, celle ci est en faite une "reprise" du morceaux Twilight Eyes de l'album précédant celui-ci (Spontaneous Illumination). Avec une ambiance mi-électro, mi-tribale, la basse hypnotique nous transportes dans un monde parallèle de musique, où chaque son se fusionne dans une tourbillon de couleur mentale. Des samples de chants tribaux, à la ligne de guitare indienne, jusqu'a la monté électronique avec les petits sons "acid" si mentalement jouissif... Une vrai réussite, l'un des solos morceaux non Shpongle qui pourrait presque passez pour un. Et c'est un sacré compliment.
dimanche, novembre 08, 2009
Artist Review n°4, Musical Review n°20 : Knopfler.
Un artiste qui accompagne ma playlist depuis ses début et qui méritait une vrai apparition sur le blog, combiné à la review de son dernier album, voici :
Mark Knopfler
Artiste-
Né le 12 aout 1949 à Glasgow (Ecosse), cette légende de la guitare est tout d'abord devenu célèbre dans son rôle de leader du groupe Dire Straits (immensément bon aussi) et à la séparation du groupe, commence une carrière solo de grande qualité. Après son expérience Dire Straits très rock, son travail solo débuta sur Golden Heart, un album proche du style de son ancien groupe mais avec une plus grande variété, notamment sur les genres représentés et les instruments utilisés. S'en suivis deux album au début des années 2000, Sailing To Philadelphia et The Ragpiker's Dream, dans lesquels ils brossent de plus en plus un style bien particulier, différent de son rock habituel. Continuant à un rythme régulier, sort Shangri-la, un des albums les plus appréciés des critiques. Changement de genre assez brutal, les deux prochain album se rapprochant plus de la country (avec beaucoup de guitare acoustique) dont une collaboration avec la chanteuse Emmylou Harris : All The Roadrunning.
Après une série de live ensemble arrive le deuxième album influencé par le genre : Kill To Get Crimson. Et après 2 ans d'attente le voila à nouveau de retour avec un nouvel album intitulé Get Lucky dont la review arrive tout de suite après.
Artiste-
Né le 12 aout 1949 à Glasgow (Ecosse), cette légende de la guitare est tout d'abord devenu célèbre dans son rôle de leader du groupe Dire Straits (immensément bon aussi) et à la séparation du groupe, commence une carrière solo de grande qualité. Après son expérience Dire Straits très rock, son travail solo débuta sur Golden Heart, un album proche du style de son ancien groupe mais avec une plus grande variété, notamment sur les genres représentés et les instruments utilisés. S'en suivis deux album au début des années 2000, Sailing To Philadelphia et The Ragpiker's Dream, dans lesquels ils brossent de plus en plus un style bien particulier, différent de son rock habituel. Continuant à un rythme régulier, sort Shangri-la, un des albums les plus appréciés des critiques. Changement de genre assez brutal, les deux prochain album se rapprochant plus de la country (avec beaucoup de guitare acoustique) dont une collaboration avec la chanteuse Emmylou Harris : All The Roadrunning.
Après une série de live ensemble arrive le deuxième album influencé par le genre : Kill To Get Crimson. Et après 2 ans d'attente le voila à nouveau de retour avec un nouvel album intitulé Get Lucky dont la review arrive tout de suite après.
Mark Knopfler avec la guitare symbolique de son légendaire groupe Dire Straits
Catégorisation-
-Rock fauteuil : Du même calibre qu'Eric Clapton, le genre de Dieu qui n'a pas besoin de shred pour être considérés comme un génie à la guitare. Morceaux posé, parfois rapide, parfois très lent, mais toujours pur.
-Country : Guitare acoustique, production minimaliste et ambiance folk pour de la musique autant chanson qu'histoire.
-Musique du Monde : Avec de nombreux "Multi-instrumentaliste" dans son groupe, des titres véhiculent parfois un petit coté celtique ou autre.
-Rock fauteuil : Du même calibre qu'Eric Clapton, le genre de Dieu qui n'a pas besoin de shred pour être considérés comme un génie à la guitare. Morceaux posé, parfois rapide, parfois très lent, mais toujours pur.
-Country : Guitare acoustique, production minimaliste et ambiance folk pour de la musique autant chanson qu'histoire.
-Musique du Monde : Avec de nombreux "Multi-instrumentaliste" dans son groupe, des titres véhiculent parfois un petit coté celtique ou autre.
Mark Knopfler - Golden Heart
Pour bien marquer la séparation avec Dire Straits, le premier morceaux nous mets tout de suite dans une ambiance très différentes, là ou on connaissait la mélancolie, on trouve un morceaux lumineux, mémorable. Bien que conservant un jeu de guitare très similaire à ses habitudes on commence à voir percer l'émancipation avec Imelda le deuxième morceaux qui tranche avec le début de l'album. Viens ensuite la chanson titre, très similaire aux derniers albums de Dire Straits, plus posé et plus fluide. On alternera ensuite morceaux électro originaux et semi-rapides avec des titres plus calme du même type que la chanson titre avant d'arriver sur une vrai surprise A Night In Summer Long Ago. Avec une magnifique ambiance écossaise et des paroles inspirés, on tiens là une vrai belle performance de l'artiste qui nous fais savoir qu'il excelle aussi en composition qu'en technique de son instrument. Pour ne pas non plus perdre les fans on se retrouve avec une chanson que les fans de la première reconnaitrons aisément comme la suite évidente des chansons du type Walk of Life (album Brothers in Arms de Dire Straits) nommé ici Cannibals. Après cette montée classique, on retombe sur une chanson plus calme, sympathique ballade mais qui est vite éclipsée par la suivante : Je Suis Désolé. Débutant par un intro à la gratte divine et montant sur un refrain mémorable en français dans le texte, une véritable réussite pour ce titre digne des anciennes performances de Knopfler. Même schéma ensuite, morceaux calme et honnête avant une chanson originale, qui se fera entendre plus d'une fois dans les concerts (notamment une excellente reprise dans Real Live Roadrunning) : Done With Bonaparte. La France à nouveau à l'honneur, avec une superbe chanson, aussi intéressante musicalement qu'au niveau des paroles. Enfin une chanson calme en ouverture pour la fin, sorte de finish tranquille.
Note : 17/20 Un excellent premier album solo qui prouve sans détour que Knopfler est aussi doué comme compositeur qu'en tant que guitariste. Avec de nombreux morceaux originaux et une esthétique encore proche de Dire Straits, les fans seront comblés, les autres auront une bonne base pour découvrir le style Knopfler.
A Retenir :
-Imelda
-A Night In Summer Long Ago
-Je Suis Désolé
Note : 17/20 Un excellent premier album solo qui prouve sans détour que Knopfler est aussi doué comme compositeur qu'en tant que guitariste. Avec de nombreux morceaux originaux et une esthétique encore proche de Dire Straits, les fans seront comblés, les autres auront une bonne base pour découvrir le style Knopfler.
A Retenir :
-Imelda
-A Night In Summer Long Ago
-Je Suis Désolé
Mark Knofpler - Sailing To Philadelphia
Le deuxième album de Knopfler se veut tout aussi varié et équilibré que son prédécesseurs, le premier morceaux en témoigne. Du même calibre que son équivalent de Golden Heart, il affiche une énergie et une couleur qui ne devrait pas déplaire à pratiquement n'importe qu'elle audience.
Cependant il n'est que peu de chose façe au morceaux titre SailingTo Philadelphia, qui réussis le tour de force de nous raconter une histoire complexe tout en restant un des morceaux les plus agréable de l'album avec un très bon duo de chanteur. Un autre morceaux rapide et entrainant sympa et on plonge à nouveau tête la première dans la qualité grâce à Baloney Again. Ligne mémorable à l'accordéon et petit coté country, un prémisse du style que Knopfler va développer dans ses prochains albums. Suivit par un bon duo entre Knopfler et Van Morrisson mais une production musicale un poil moins bonne que la chanson titre on enchaine sur un bonne chanson malheureusement absente de certaines version de l'album : Do America. Avec un riff mémorable de guitare électrique et des paroles rythmés, une bonne addition. Une petite descende ensuite, avec deux morceaux calmes mais moins mémorables pour remonter en beauté sur Prairie Wedding. Deux lignes de guitare suffisent à vous transporter au 7ième ciel et le reste de la chanson maintient se niveau de qualité. On reste dans le profond avec Wanderlust (a ne pas confondre avec l'excellent single de Björk) qui fais penser au morceaux sombre et intime de Dire Straits (particulièrement dans leur dernier album). On retombe enfin sur un duo de morceaux plus rapide, l'un correct, l'autre mémorable le "a la J.J. Cale", Junkie Doll. Ce sera la dernière monté puisque les deux dernières chanson sont clairement du registre du moreaux de fin chez Knopfler, calme et ouvert.
Note: 18/20 Difficile de noter cet album car si certains morceaux sont passables, ils sont aussi mélangé parmi certains des meilleurs morceaux de Knopfler à ce jour.
A Retenir-
-Sailing To Philadelphia
-Baloney Again
-Prairie Wedding
-Junkie Doll
Cependant il n'est que peu de chose façe au morceaux titre SailingTo Philadelphia, qui réussis le tour de force de nous raconter une histoire complexe tout en restant un des morceaux les plus agréable de l'album avec un très bon duo de chanteur. Un autre morceaux rapide et entrainant sympa et on plonge à nouveau tête la première dans la qualité grâce à Baloney Again. Ligne mémorable à l'accordéon et petit coté country, un prémisse du style que Knopfler va développer dans ses prochains albums. Suivit par un bon duo entre Knopfler et Van Morrisson mais une production musicale un poil moins bonne que la chanson titre on enchaine sur un bonne chanson malheureusement absente de certaines version de l'album : Do America. Avec un riff mémorable de guitare électrique et des paroles rythmés, une bonne addition. Une petite descende ensuite, avec deux morceaux calmes mais moins mémorables pour remonter en beauté sur Prairie Wedding. Deux lignes de guitare suffisent à vous transporter au 7ième ciel et le reste de la chanson maintient se niveau de qualité. On reste dans le profond avec Wanderlust (a ne pas confondre avec l'excellent single de Björk) qui fais penser au morceaux sombre et intime de Dire Straits (particulièrement dans leur dernier album). On retombe enfin sur un duo de morceaux plus rapide, l'un correct, l'autre mémorable le "a la J.J. Cale", Junkie Doll. Ce sera la dernière monté puisque les deux dernières chanson sont clairement du registre du moreaux de fin chez Knopfler, calme et ouvert.
Note: 18/20 Difficile de noter cet album car si certains morceaux sont passables, ils sont aussi mélangé parmi certains des meilleurs morceaux de Knopfler à ce jour.
A Retenir-
-Sailing To Philadelphia
-Baloney Again
-Prairie Wedding
-Junkie Doll
Mark Knopfler - The Ragpicker's Dream
Après deux albums dont nous venons de prouver leur qualité, il fallait bien qu'une petite baisse arrive. Cependant on est encore loin de l'échec, le premier morceaux (désormais très connus chez Knopfler) vous le prouvera, Why Aye Man est bâtis sur le même principe que les premiers morceaux des autres albums, rapides, mémorables et entrainants. Le suivant s'inscrit lui dans la ligné plus country que l'on retrouvera plus tard mais qui montre déjà qu'il s'y débrouille très bien, malgré un manque de vrai solo. Hill Farmer's Blues s'en tire mieux avec une ambiance plus profonde et donc plus prenante. S'en suit un morceaux plus lent mais pas parmis les meilleurs de cette catégorie et un morceaux plus rapides toujours moyen. On leur préfèrera Fare Thee Well Northumberland dans un genre plus country/blues, marquant le retour du combo piano harmonica. Marbletown juste après n'est pas mal non plus, notamment grâce à son rythme mémorable. La suivante étant très transparente, on s'arrêtera plutôt sur Coyote un très bon morceaux sur "bipbip et coyote". En plus des paroles la production musicale est très bonne sur cette chanson, tant au niveau de la guitare que de la basse. Enfin, on terminera par un morceaux titre très oubliable, un titre country amusant mais peu profond et une chanson de fin traditionnelle habituelle de Knopfler.
Note : 16/20 La première entrée de Knopfler dans le style country n'est pas encore exempt de défauts. Un album qui brille surtout par son ambiance générale, posée et sympathique mais qui échoue à remonter au niveau des deux premiers malgré quelques bonnes idées. Fonctionne mieux comme musique de fond.
A Retenir-
-Why Aye Man
-Fare Thee Well Northumberland
-Coyote
Note : 16/20 La première entrée de Knopfler dans le style country n'est pas encore exempt de défauts. Un album qui brille surtout par son ambiance générale, posée et sympathique mais qui échoue à remonter au niveau des deux premiers malgré quelques bonnes idées. Fonctionne mieux comme musique de fond.
A Retenir-
-Why Aye Man
-Fare Thee Well Northumberland
-Coyote
Mark Knopfler - Shangri-La
Deux ans après son dernier album et après un violent accident, Knopfler nous reviens avec plein de nouvelle idée et bien décidé à nous faire partager son tour du monde et sa vision. C'est véritablement l'album qui à forger son style particulier avec sa variété et sa qualité générale de morceaux. Débutant non pas sur un morceaux rapide, mais par un titre plus tranquille racontant une histoire vrai avec une production musicale de qualité. Le titre rapide et mémorable se place cette fois ci en deuxième position et se nomme Boom, Like That. On retrouve des paroles inspirés, un rythme prenant et un solo de qualité. Après deux balades sympathiques, c'est Back To Tupelo qui marque surtout par son minimalisme et son ambiance dans laquelle on s'identifie immédiatement. Cependant le morceaux suivant, qui est également le morceaux titre, ne rayonne pas, tout comme le suivant, tout deux manquant légèrement d'intérêt malgré des paroles inspirés. La vrai surprise survient avec Song For Sonny Liston. Sorte de balade country sur la vie du boxer Sonny Liston , Knopfler réussis une nouvelle fois le tour de force de proposer des paroles complexes sur une rythmique mémorable (à retrouver aussi dans le Real Live Roadrunning). On se repose ensuite avec une morceaux tranquille et minimaliste et on revient sur un titre vraiment original : Postcards From Paraguay. Avec un rythme entrainant qui fais pensé au musique latine et une bonne musicalité de la voix, encore un succès. On continue avec un morceaux très personnel et très agréable puis un titre plus proche de son style pseudo-country. On termine par un morceaux sympathique mais assez simpliste dans la lignée de Do America (Sailing to philadelphia) ou Daddy's Gone do Knoxville (Rapiker's Dream) mais pour une fois c'est le dernier morceaux que l'on retiendra. Don't Crash The Ambulance, contient tous les éléments d'un excellent morceaux : une très bonne base musicale, de l'originalité (accordéon), des paroles intéressantes tout en restant musicale... Enfin un finish digne de ce nom.
Note : 18/20 Knopfler nous livres ici son album le plus varié et le plus original de toute sa carrière. Avec une grande variété de style pour toute les audiences, à nouveaux les titres corrects côtoient parmi les meilleurs morceaux de l'artiste.
A Retenir-
-Boom Like That
-Back To Tupelo
-Song For Sonny Liston
-Don't Crash The Ambulance
Note : 18/20 Knopfler nous livres ici son album le plus varié et le plus original de toute sa carrière. Avec une grande variété de style pour toute les audiences, à nouveaux les titres corrects côtoient parmi les meilleurs morceaux de l'artiste.
A Retenir-
-Boom Like That
-Back To Tupelo
-Song For Sonny Liston
-Don't Crash The Ambulance
Mark Knopfler - All The Roadrunning
Sa collaboration avec Emmylou Harris (que la plupart d'entre vous ne connaitrons pas) ne date pas d'y hier et le projet d'un album à pris son temps pour enfin arriver à maturité. Débutant pas une morceaux correct et rythmé, l'ambiance nous emporte immédiatement et ne nous quittera qu'a la fin de l'album. Car si certains peuvent avoir des doutes entre Knopfler et une chanteuse de country le deuxième titre : I Dug Up A Diamond dissipera tous les faux espoirs. Avec deux voix aussi entrainantes et une composition toujours aussi riche, on s'enfonce dans notre fauteuil avec plaisirs. Le premier single et l'un des fer de lance de la collaboration arrive ensuite et s'appelle This Is Us. Construit sur une base classique avec la guitare acoustique de Harris et électrique de Knopfler, on comprend pourquoi ce morceaux à été choisis pour représenté l'album. Pas le plus profond, mais nettement le plus facile à écouter. On reste ensuite dans le rapide avec une chanson rythmée, presque dansante, dans la ligné des balls country animé par le violon. C'est après qu'on retrouve la profondeur du deuxième morceaux dans Rollin' on. Avec des paroles très musicales (chantée majoritairement par Harris) et une production minimaliste de qualité, on obtient un titre presque hypnotique qui sied parfaitement à une écoute du soir. Passons sur ensuite un morceaux plus proche du répertoire de Harris (comprenez faiblard) et intéressons-nous à Right Now l'une des 3 chanson du style "This Is Us" facile à écoutez et à aprécier. En retrouvant la guitare électrique sur un riff mémorable on se surprend à entendre encore un moment tourner le titre dans la tête pour notre plus grand plaisirs. Après une autre balade plus intéressante cette fois-ci (la voix de Knopfler étant prédominante comme une réponse à Rollin' On), on revient sur un titre rapide le troisième de la série des morceaux mémorables : Belle Star. De mon point le morceaux qui exploite le mieux la collaboration des deux chanteurs en "question-réponse", le tout bien rythmé et plein de guitare des deux types. La chanson suivante n'est pas mauvaise mais malheureusement elle est vite oublié quand on tombe sur la chanson titre juste après. All The Roadrunning, est de très loin la meilleure performance de l'album sur tout les niveaux et c'est elle qui fais honneur à cette collaboration inattendue. Toute l'organisation musicale s'emboite parfaitement, créant ainsi une ambiance au petits oignons, le tout supporté par le talent des deux chanteurs qui donnent la couleur à l'ensemble. Après une telle qualité on en oublie presque le morceaux final, qui s'inscrit plutôt dans la ligné des finish Knopfler traditionnel, à savoir posé et ouvert.
Note : 18/20 Ce n'est peut-être pas ce que tout le monde attendais mais je pense que personne n'a été déçu de la qualité de la performance. Bien que les deux styles des artistes ne font pas mouche à tous les coups, ses quelques écarts ne pèsent pas lourd façe à l'excellence du reste de l'album. A noter qu'un live de la collaboration est disponible en dvd et il est absolument excellent, nous offrant les deux chanteurs sur le répertoire de Knopfler solo mais aussi sur celui de Dire Straits.
A Retenir-
-I Dug Up A Diamond
-Rollin' On
-Belle Star
-All The Roadrunning
Note : 18/20 Ce n'est peut-être pas ce que tout le monde attendais mais je pense que personne n'a été déçu de la qualité de la performance. Bien que les deux styles des artistes ne font pas mouche à tous les coups, ses quelques écarts ne pèsent pas lourd façe à l'excellence du reste de l'album. A noter qu'un live de la collaboration est disponible en dvd et il est absolument excellent, nous offrant les deux chanteurs sur le répertoire de Knopfler solo mais aussi sur celui de Dire Straits.
A Retenir-
-I Dug Up A Diamond
-Rollin' On
-Belle Star
-All The Roadrunning
Le Choix Du Patron
Mark Knopfler - Kill To Get Crimson
Mark Knopfler - Kill To Get Crimson
Après la collaboration avec une chanteuse de country, il parait normal que l'album qui suit soit influencé par le genre. Revenant avec de nouvelles idées pour son style semi-country, on retrouve la dichotomie du Rapiker's Dream, à savoir les riches (ce qu'il est) et les pauvres (ce à quoi il s'identifie), une vision modeste que l'on retrouvera aussi dans le prochain album. Précisons que le coté country fais que les paroles racontent presque tout le temps une histoire plus qu'une simple utilité musicale. Débutant par un morceaux très classique, True Love Will Never Fade nous parait tellement proche qu'on à l'impression de déjà connaitre la chanson la première fois que l'on tombe dessus. Là ou Knopfler fais très fort c'est que cette impression n'est pas négative. C'est plutôt un plaisirs d'être entre la découverte et le routinier (aussi étonnant que cela puisse paraitre). Le deuxième titre, The Scaffolder's Wife rentre plus dans le cœur des choses avec une ligne très posé, presque mélancolique, tout comme Dire Straits aimait à faire mais dans la country au lieu du rock. Et le mélange s'avère excellent, très reposant tout en restant accrocheur. Un troisième morceaux assez similaire mais en un peu moins bon, on l'oubliera vite au profit de Heart Full of Holes. L'une des balades les plus réussie de Knopfler (si ce n'est pas "La" plus réussie), elle nous transporte dans une ambiance bien particulière, proche du vieux bar de l'ouest mais avec en jouant de nouveau avec la mélancolie, un thème de Knopfler retranscrit à le perfection. Avec une montée multi-instrumentale mémorable et un rythme accrocheur mais léger, on tient une vrai légende. Comme si cela ne suffisait pas, We Can Get Wild, qui vient juste après, nous maintiens sur ce nuage avec une ambiance différente mais tout aussi bonne qu'avant. Le seul élément qui la sépare elle du rang de légende est le manque de la montée instrumentale très originales de sa prédécesseur. Elle n'en demeure pas moins une référence. Mais on ne s'arrête pas la dans la qualité, Secondary Waltz nous surprend par sa base 3/4 de valse mais bien vite se sont nos oreilles qui danse au rythme léger de la voix de Knopfler, convenant admirablement bien à l'esprit. Avec des paroles sentant presque le vécu et qui sont, comme toujours, parfaitement intégré à la musique on aurait tort de s'en priver. Malheureusement lmes bonnes ont une fin et cet enchainement de superbe chanson décroit légèrement sur les trois suivants. N'étant tous pas mauvais, ils ont cependant le malheur de suivre le pic de qualité de l'album, ils paraissent donc moins originaux et moins intéressants à écouter. Cependant si cette légère baisse avait entamé notre enthousiasme l'attente sera de courte de durée car la chanson qui suit ce déclin est littéralement une des meilleures de toute la carrière de Knopfler et assurément la meilleur des ses essais country, il s'agit de The Fish And The Bird. Difficille de décrire avec des mots la qualité de ce titre sans faire mention de Prairie Wedding (dans l'album Sailing To Philadelphia), tout deux partageant un aspect minimaliste avec seulement quelques lignes de guitares mais donnant lieu à une profondeur et rentrant profondément dans le subconscient de l'auditeur, provoquant une intense vague de plaisirs. A peine remis de cette vague Knopfler nous sert encore une chanson de grande qualité, Madame Geneva's. Avec une construction mémorable et un refrain relaxant, c'est à nouveau la mélancolie qui nous transportes dans son histoire. Le morceaux final, comme d'habitude, ne sera pas le plus mémorable (score difficile à atteindre dans cet album) mais aura le mérite de finir un beauté un album de grande qualité sans décevoir, notamment grâce à une apparition très agréable de la trompette (faisant penser à Your Latest Trick de Dire Straits, ce qui est pour les non-connaisseurs, un sacré gage de qualité).
Note : 19/20 Quand une telle proportion de morceaux légendaire, il est difficile de maintenir le niveau sur tous un album, encore plus dans un genre qui n'est pas vraiment à son habitude. Malgré un petit trio de chanson plus classique, force est d'avouer que le reste de l'album est enchanteur et se place comme une valeur sure pour toute les audiences du soir.
A Retenir-
-The Scaffolder's Wife
-Heart Full of Holes
-We Can Get WIld
-The Fish and the Bird
-Madame Geneva's
Note : 19/20 Quand une telle proportion de morceaux légendaire, il est difficile de maintenir le niveau sur tous un album, encore plus dans un genre qui n'est pas vraiment à son habitude. Malgré un petit trio de chanson plus classique, force est d'avouer que le reste de l'album est enchanteur et se place comme une valeur sure pour toute les audiences du soir.
A Retenir-
-The Scaffolder's Wife
-Heart Full of Holes
-We Can Get WIld
-The Fish and the Bird
-Madame Geneva's
Musical Review n°20,
Mark Knopfler - Get Lucky
Mark Knopfler - Get Lucky
Voici maintenant la review du dernier album sortit en octobre dernier :
1-Border Reiver : Disponible sur son site comme morceaux test, je dois dire que les acheteurs se sentent confiance avec un morceaux d'une telle qualité. Débutant sur une ambiance celtique rare chez Knopfler depuis Golden Heart, on est ravis par la tournure néo-celtique que prend l'album couplant le style violon et flute à la traditionnelle guitare et maitrise de la voix de Knopfler. Une très bonne addition.
2-Hard Shoulder : Une production musicale un peu moins originale et donc moins sympathique. On perd un peu le coté celtique prometteur et par conséquent le morceaux est relégué au rang des musiques d'ambiances, malgré un refrain musicalement réussis.
3-You Can't Beat The House : Sortir un bon morceaux c'est déjà dur, sortir un bon morceaux du premier coup c'est carrément insolent. Avec une ambiance western plus classique (presque blues) mais une production musicale d'aujourd'hui, le titre s'en tire avec les honneurs.
4-Before Gas And TV : On retrouve le coté celtique d'intro pour notre plus grand plaisirs mais cette fois on reste dans le semi-country du dernier album pour un morceaux minimaliste mais très prenant. A nouveaux une histoire chantée qui nous propulses autour d'un feu de camp avec un vieux baroudeur nous jouant un peu de gratte sous le ciel étoilée. A nouveaux la production musicale combiné à son talent de compositeur fais des merveilles.
5-Monteleone : Pour varier les plaisirs c'est maintenant une intro orchestrale qui fais son apparition, pour une chanson posé et mélancolique comme sait si bien nous en concocter Knopfler. Faisant pensé à Heart Full Of Holes de l'album précédent, on croit presque en reconnaitre un bout un moment mais cette fois ci c'est la guitare qui est à l'honneur malgré l'évidente puissance symphonique harmonise le tout.
6-Cleaning My Gun : Dans un style bien plus classique à la "Boom, Like That" du Shangri-la c'est un peu le retour du morceaux rapide et sympa du début. Avec une ambiance un peu "JJ.Cale" et un bon rythme c'est le dernier bon morceaux avec la descende qui va suivre.
7-The Car Was The One : Malgré une volonté de continuer dans les minimaliste posés à la guitare, force est de reconnaitre que la recette ne prend pas cette fois-ci. Avec un rythme trop classique et une production peu inspiré, on manque sincèrement d'accroche, bien que le titre reste largement écoutable. Dommage et malheureusement pas le seul.
8-Remembrance Day : Débutant mieux qu'avant et avec un style un peu plus sympa, on à affaire à un morceaux de finish au millieu de l'album. Fesant légèrement pensé au style posé qu'il réussissait si bien dans sa dernière performance mais cette fois ci il manque le souffle de vie qui vous transportes. Pas mauvais pas toujours pas au niveaux malgré quelques bonnes idées.
9-Get Lucky : Selon les artistes le morceaux est titre est parfois le meilleur, parfois il ne vaut pas tripette. Chez Knopfler on à eu le droit au meilleur (Sailing To Philadelphia) mais aussi au moyen (Shangri-la). A première écoute on se surprend à penser à morceaux collaboratifs avec Harris, mais malgré un rythme sympathique et un solo de flute, on est toujours de ce qui étais proposés dans Kill To Get Crimson.
10-So Far From The Clyde : Triste à dire mais à force de vouloir chanté une histoire au lieu de parole on à du mal à tenir sa musique et on se retrouve avec la première fois chez Knopfler où les paroles ne passent pas avec la musique. Dommage d'autant que cette fois-ci la production musicale était meilleure. Heureusement refrain maintient à flot cette chanson sur les marins.
11-Piper To The End : Enfin la spirale infernale est brisée, et de très belle manière. Revenant au début par un intro néo-celtique de toute beauté, on sent que l'album ne va pas se finir dans les larmes. Tout est mieux : la construction musicales, l'implantation des paroles, l'ambiance, les différents instruments, le rythme accrocheur... Je m'étais peut-être trompés l'album finis dans les larmes mais de joie.La meilleure performance de l'album.
Attention ce dernier morceaux n'est disponible que sur iTunes
12-Early Bird : D'accord il n'est pas inclus dans l'album, mais on aurait tort de s'en priver. Avec sa construction rythmée et très accrocheuse, c'est un véritable réussite sur tous les tableaux. Avec un refrain mémorable et une bonne ambiance, elle mérite d'être écouté même si elle est plus compliquée à se procurer.
Note : 17/20 Pour cet album Knopfler avait trois possibilités : Le celtique, le country, l'orchestral. Malheureusement en les utilisant toutes on est forcément déçu car le celtique n'est pas assez exploités (car dès qu'il l'est on l'adore), la country à déjà été trop bien couverte avec les deux derniers albums et l'orchestral est sous exploité en tant que fond sonore. Malgré un quatuor de chansons moyennes qui descendent l'album, les bons morceaux du débuts et de la fin rattrapent le tout pour un album très déséquilibrés, capable du très bon comme du moyen.
A Retenir-
-Border Reiver
-Before Gas and TV
-Piper to the End
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En définitive je voudrais revenir sur un point que j'apprécie beaucoup chez Knopfler, c'est cette modestie toujours présente dans ces chansons, parfois minimalistes mais souvent profondes et encore plus souvent originales. Faisant honneur à la brillante mais courte carrière de Dire Straits sans (malheureusement d'ailleurs) en reprendre certains éléments gagnants, j'espère qu'il continueras de nous étonnés, en espérant que son prochain album soit un plus équilibré que le dernier.
Voila, je pense avoir brossé un tableau assez explicite de l'artiste et j'espère que cela vous donnez envie de le (re)découvrir. Merci de votre attention et à bientôt.
Si vous avez aimés : Vous avez donc surement déjà saigner Dire Straits mais je le rappelle tout de même au cas ou... Autrement je conseillerais évidemment Eric Clapton, Eric Johnson pour de la bonne guitare électrique tout aussi originale ou bien encore Tommy Emmanuel pour la guitare acoustique.
1-Border Reiver : Disponible sur son site comme morceaux test, je dois dire que les acheteurs se sentent confiance avec un morceaux d'une telle qualité. Débutant sur une ambiance celtique rare chez Knopfler depuis Golden Heart, on est ravis par la tournure néo-celtique que prend l'album couplant le style violon et flute à la traditionnelle guitare et maitrise de la voix de Knopfler. Une très bonne addition.
2-Hard Shoulder : Une production musicale un peu moins originale et donc moins sympathique. On perd un peu le coté celtique prometteur et par conséquent le morceaux est relégué au rang des musiques d'ambiances, malgré un refrain musicalement réussis.
3-You Can't Beat The House : Sortir un bon morceaux c'est déjà dur, sortir un bon morceaux du premier coup c'est carrément insolent. Avec une ambiance western plus classique (presque blues) mais une production musicale d'aujourd'hui, le titre s'en tire avec les honneurs.
4-Before Gas And TV : On retrouve le coté celtique d'intro pour notre plus grand plaisirs mais cette fois on reste dans le semi-country du dernier album pour un morceaux minimaliste mais très prenant. A nouveaux une histoire chantée qui nous propulses autour d'un feu de camp avec un vieux baroudeur nous jouant un peu de gratte sous le ciel étoilée. A nouveaux la production musicale combiné à son talent de compositeur fais des merveilles.
5-Monteleone : Pour varier les plaisirs c'est maintenant une intro orchestrale qui fais son apparition, pour une chanson posé et mélancolique comme sait si bien nous en concocter Knopfler. Faisant pensé à Heart Full Of Holes de l'album précédent, on croit presque en reconnaitre un bout un moment mais cette fois ci c'est la guitare qui est à l'honneur malgré l'évidente puissance symphonique harmonise le tout.
6-Cleaning My Gun : Dans un style bien plus classique à la "Boom, Like That" du Shangri-la c'est un peu le retour du morceaux rapide et sympa du début. Avec une ambiance un peu "JJ.Cale" et un bon rythme c'est le dernier bon morceaux avec la descende qui va suivre.
7-The Car Was The One : Malgré une volonté de continuer dans les minimaliste posés à la guitare, force est de reconnaitre que la recette ne prend pas cette fois-ci. Avec un rythme trop classique et une production peu inspiré, on manque sincèrement d'accroche, bien que le titre reste largement écoutable. Dommage et malheureusement pas le seul.
8-Remembrance Day : Débutant mieux qu'avant et avec un style un peu plus sympa, on à affaire à un morceaux de finish au millieu de l'album. Fesant légèrement pensé au style posé qu'il réussissait si bien dans sa dernière performance mais cette fois ci il manque le souffle de vie qui vous transportes. Pas mauvais pas toujours pas au niveaux malgré quelques bonnes idées.
9-Get Lucky : Selon les artistes le morceaux est titre est parfois le meilleur, parfois il ne vaut pas tripette. Chez Knopfler on à eu le droit au meilleur (Sailing To Philadelphia) mais aussi au moyen (Shangri-la). A première écoute on se surprend à penser à morceaux collaboratifs avec Harris, mais malgré un rythme sympathique et un solo de flute, on est toujours de ce qui étais proposés dans Kill To Get Crimson.
10-So Far From The Clyde : Triste à dire mais à force de vouloir chanté une histoire au lieu de parole on à du mal à tenir sa musique et on se retrouve avec la première fois chez Knopfler où les paroles ne passent pas avec la musique. Dommage d'autant que cette fois-ci la production musicale était meilleure. Heureusement refrain maintient à flot cette chanson sur les marins.
11-Piper To The End : Enfin la spirale infernale est brisée, et de très belle manière. Revenant au début par un intro néo-celtique de toute beauté, on sent que l'album ne va pas se finir dans les larmes. Tout est mieux : la construction musicales, l'implantation des paroles, l'ambiance, les différents instruments, le rythme accrocheur... Je m'étais peut-être trompés l'album finis dans les larmes mais de joie.La meilleure performance de l'album.
Attention ce dernier morceaux n'est disponible que sur iTunes
12-Early Bird : D'accord il n'est pas inclus dans l'album, mais on aurait tort de s'en priver. Avec sa construction rythmée et très accrocheuse, c'est un véritable réussite sur tous les tableaux. Avec un refrain mémorable et une bonne ambiance, elle mérite d'être écouté même si elle est plus compliquée à se procurer.
Note : 17/20 Pour cet album Knopfler avait trois possibilités : Le celtique, le country, l'orchestral. Malheureusement en les utilisant toutes on est forcément déçu car le celtique n'est pas assez exploités (car dès qu'il l'est on l'adore), la country à déjà été trop bien couverte avec les deux derniers albums et l'orchestral est sous exploité en tant que fond sonore. Malgré un quatuor de chansons moyennes qui descendent l'album, les bons morceaux du débuts et de la fin rattrapent le tout pour un album très déséquilibrés, capable du très bon comme du moyen.
A Retenir-
-Border Reiver
-Before Gas and TV
-Piper to the End
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En définitive je voudrais revenir sur un point que j'apprécie beaucoup chez Knopfler, c'est cette modestie toujours présente dans ces chansons, parfois minimalistes mais souvent profondes et encore plus souvent originales. Faisant honneur à la brillante mais courte carrière de Dire Straits sans (malheureusement d'ailleurs) en reprendre certains éléments gagnants, j'espère qu'il continueras de nous étonnés, en espérant que son prochain album soit un plus équilibré que le dernier.
Voila, je pense avoir brossé un tableau assez explicite de l'artiste et j'espère que cela vous donnez envie de le (re)découvrir. Merci de votre attention et à bientôt.
Si vous avez aimés : Vous avez donc surement déjà saigner Dire Straits mais je le rappelle tout de même au cas ou... Autrement je conseillerais évidemment Eric Clapton, Eric Johnson pour de la bonne guitare électrique tout aussi originale ou bien encore Tommy Emmanuel pour la guitare acoustique.
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