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lundi, mai 03, 2010

Artist Review n°5, Movie Review n°32 : Tim Burton.

Un des réalisateurs les plus facilement reconnaissable dont le style à carrément donné lieu à un adjectif (Burtonesque est utilisé régulièrement) tant il est personnel. Je pense qu'on ne le présente plus mais puisque tout le monde arrive avec des niveaux de cultures différents, je choisis de repartir du début, voici :

Tim Burton


Artiste-

Timothy William Burton est un réalisateur américain née en 1958 en Californie. Ayant débuté comme dessinateur chez Disney, il produit une paire de court métrage devenus aujourd'hui des références des fans : Vincent et Frankenweenie (bientôt adapté en film) ou ses références au films d'horreur et à Vincent Price se retrouvent. Quelques années plus tard après avoir quitté Disney, il fera son grand lancement avec Beetlejuice et peu de temps après avec le légendaire Batman considéré encore aujourd'hui comme un référence dans l'adaptation du justicier.

Recevant alors carte blanche, il enchaine les films d'excellence, Batman Return , Edward au Main d'Argent et l'Etrange Noël de Mr.Jack (qui ne réalise pas vraiment lui même) mais s'en suis ensuite un petite descente de qualité où il n'arrive pas à avoir le dernier mots avec les producteurs, ses films de cette période ne seront clairement pas les meilleurs (Mars Attacks ! et La Planète des Singes surtout). Cependant il conserve le cœur des fans avec Sleepy Hollow et avec deux dessins animés qui lui sont souvent rattaché malgré le fait qu'il ne les aies pas réalisés : L'étrange noël de mr.jack et james et pêche géante.

Repartis ensuite sur une bonne pente avec Big Fish, il revient sur les projets récent qu'on lui connait : Charlie et la Chocolaterie, Les Noces Funèbres, Sweeney Todd et le tout récent Alice au Pays des Merveilles.

A noter aussi, qu'en plus de son style inimitable à base de poésie noire, on retrouve souvent des acteurs fétiches, Danny DeVito, Helena Boham Carter (sa compagne actuelle) et le plus connus Johnny Depp qui apparait dans la moitié des films de Burton.

Tim Burton - Pee-Wee's Big Adventure

Comédie sortit en 1985 avec Paul Reubens et Elizabeth Daily (et d'autres grand inconnus), le film raconte d'un original, Pee Wee, qui va tout tenter pour retrouver sa chère bicyclette avec l'aide de nombreux amis.

Casting : Avec une grosse brochette d'inconnus, on peu clairement dire que c'est l'acteur principal qui marque le plus, avec son personnages aussi déjanté que étonnamment au courant (j'y reviendrais). Les autres personnages ne sont pas plus impressionnant que ça et serve surtout à donner la réplique.

Scénario : Un espèce de Mr.Been totalement décalé essaye de retrouver sa bicyclette, la plus belle du monde. Un scénario très loufoque pour une comédie qui l'est encore plus. Il sert surtout d'excuse pour faire voyager l'étonnant Pee Wee dans un monde peu regardant des illuminés.

Bande-Son : Le première collaboration entre Danny Elfman et Tim Burton est déjà une grande réussite, duo dynamique qui se retrouvera pour encore de nombreux bon films.

Aspect Visuel : Plein de déguisement, d'attrape-nigaud et de fausse magie, le visuel est clairement plein d'imagination mais applique avec les moyens du bord, donc en plastique. Au final convient étonnamment bien avec l'ambiance du film.

Note : 14/20, le premier Tim Burton est un cas clinique de "tu as trop d'imagination". Avec un personnages et des gags totalement loufoques mais des dialogues intelligent surprenant, Burton s'insère dans le cinéma de manière inattendus et finalement très différente de ce qu'il proposera par la suite. Se regarde facilement grâce à un humour qui fais mouche et comme curiosité dans la carrière plutôt sombre du personnage.

Tim Burton - Beetlejuice


Comédie sortit en 1988 avec Michael Keaton (Batman(s) de Burton, Johnny Dangerously), Catherine O'Hara (Maman J'ai Raté l'Avion) et Alec Baldwin (Aviator, Pearl Harbor, Les Infiltrés (non ce n'est pas DiCaprio déguisé)). Un couple récemment décédé se retrouve au prise avec une famille insupportable venus habiter leurs anciennes maison, il décide de faire appel au Bio-exorciste Beetlegeuse mais celui-c se révèle vite être incontrôlable.

Casting : Si la plupart des acteurs ne sont pas très connus, on donnera sans soucis la palme à un Michael Keaton difficilement reconnaissable mais totalement déjanté (doublé en français par le colonel Olrik). Les autres personnages sont tout de même sympathique, surtout la petite Wynona Ryder (qui sera ensuite un des deux personnages principaux de la série animé qui découle du film).

Scénario : Totalement original et avec une ambiance excellente, on entre de plein fouet dans "le monde merveilleux de Tim Burton" (tellement original qu'il donnera lieu à une série de dessin animés). Dommage que les délires de Beatlejuice ne soient pas au centre de l'histoire mais contient tout de même une des scènes les plus drôles jamais vues dans un film.

Bande-Son : Danny Elfman est de retour et nous sert encore une fois sont talent dans une ambiance sombre et décalé de toute beauté. En VO Michael Keaton se déchaine et la version française n'a pas à rougir de la comparaison, un très bon travail.

Aspect visuel : Recevant un budget spécial pour les effets spéciaux, le film fais partis de cette catégories légèrement à part des films où les effets spéciaux se baladent dans une zone pas assez réaliste mais pas trop cartoon non plus. En gros certains trouvent ca relativement flippant. Néanmoins le film est resté célèbre pour son ambiance visuelle (notamment dans la vision plutôt originale du monde des morts).

Note : 15/20, même si l'histoire aurait gagné à être un peu plus étoffé, avec notamment plus d'apparition de Beatlejuice, l'ambiance sombre et décalé avec l'humour omniprésent en fait une référence pour une comédie familiale originale (bien que certains pourront être légèrement refroidis par le coté parfois effrayant des images). On peu le considérer sans problème comme le début du style Tim Burton.

Tim Burton - Batman

Adaptation de comics sortit en 1989 avec Michael Keaton et Jack Nicholson (Vol au Dessus d'un Nid de Coucou, Wolf, Shinning, Les Infiltrés). Une des nombreuses adaptations de l'homme chauve-souris dans laquelle on apprend ses raisons pour devenir un justicier et dont le scénario se concentre surtout sur l'apparition du Joker.

Casting : Si Michael Keaton et Kim Bassinger sont relativement crédibles dans leurs rôles respectifs (Batman et demoiselle en détresse) ont retiendra surtout la performance légendaire de Nicholson qui campe un Joker aussi fou que dangereux. La performance qui à mis toute la pression sur The Dark Night pour vouloir placer plus haut la barre.

Scénario : Le mythe de Batman est connus, cela n'empêche pas qu'à l'époque la naissance du Joker et "Je suis Batman !" étaient une première pour nombre de (futur) fans. Cependant le coté sombre et torturé des personnages (Batman tue quelques personnes par exemple) à fais beaucoup plaisirs par rapport au vieux Batman des années soixante.

Bande-Son : Toujours assuré par Elfman(qui composera 3 ans plus tard le thème du générique de la série animée) l'excellent travail donne une belle couleur à l'ensemble. De plus une partie des thèmes sont des compositions originales de Prince qui collent parfaitement à l'esprit du Joker. Le doublage français est très bon aussi, assuré par de très bon interprète pour le joker et alfred notamment.

Aspect Visuel : Inspiré des comics et de l'expressionnisme allemand, l'ambiance est l'une des meilleures jamais utilisée dans les adaptations suivantes. On retrouvera un visuel très proche dans la légendaire "Animated Series", 3 ans plus tard.

Note : 18/20, probablement une des meilleures adaptations du grand détective, malgré son age avancé, il reste une véritable légende pour les fans. Son ambiance sombre, sa bande-son épique et son casting en béton en sont responsables.

Tim Burton - Edward aux mains d'argent


Drame sortit en 1990 avec Johnny Depp (première collaboration avec Burton) et Wynona Ryder (de Beatlejuice). Étonnant Frankenstein des temps modernes, Edward (non pas celui-la) vis seul dans l'ancien château de son créateur jusqu'au jour où une représente l'y trouve et décide de l'emmener à la ville. Mais à cause de sa naïveté les habitants vont vite commencer à s'intéresser à lui et à son étrange absence de doigts, remplacé par des ciseaux.

Casting : Tous les personnages de la ville (sauf quelques uns) renvoient parfaitement bien l'image qu'on voulait leurs donné : "salaud d'humains !" et animent le film mais c'est sans conteste Johnny Depp qui donne ici une de ses meilleures interprétations à ce jour.

Scénario : un bon vieux drame comme on en voit pas souvent (enfin surtout moi) fais plaisirs de temps en temps surtout quand on s'accroche si vite au personnage et qu'on est happé dans l'histoire dès les premières minutes. Burton n'y va pas de main morte pour critiquer les banlieues américaines et le film se place dans la catégories "quand c'est finis, la première impression est "je vais buter tous ces salauds !"".

Bande-Son : Elfman nous livres ici une bande-son fantomatique qui glisse sur l'histoire avec douceur. Très personnelle et sentimentale, on y retiendra surtout le morceaux sous la neige qui à été cité plus d'une fois parmi les meilleurs de Elfman. Le doublage français est correct, de toute façon les sentiments ne passent pas beaucoup par les mots.

Aspect Visuel : Grand amateur d'opposition, le coté sombre et fantastique du château est contrasté par l'aspect "plastique" de la ville. Cela amène une dualité importante du plus bel effet.

Note : 17/20, un excellent drame comme on en voit pas souvent avec un scénario maitrisé et porté par un casting de grande qualité (surtout le personnage principal). On regrettera simplement de ne pas avoir la possibilité pendant le film de tuer les protagonistes de la ville et profiter d'un vrai happy end mérité.

Tim Burton - Batman, le défi

Adaptation de comics sortit en 1992 avec Michael Keaton, Michelle Pfeiffer (Wolf) , Christopher Walken (Max Zorin) et Danny DeVito (Johnny Dangerously, Vol au dessus d'un nid de coucou). Alors que les fêtes de fin d'année approche, un dangereux individus, Le Penguin, sort des égout pour enlever Max Schreck, un business-man véreux. Mais alors que les deux personnages sembles s'allier, l'assistante de Schreck, une certaine Selina Kyle, vois sa vie bouleverser après avoir été sauvé par Batman. Politique, traitrise, amour et violence sont les maitres mots de ce noël à Gotham.

Casting : Keaton reprend son rôle de Batman toujours avec classe et c'est à nouveau les méchants qui ont la part belle dans cette suite. DeVito fais peur, dans un Penguin quasi monstrueux et Christopher Walken joue ce qu'il sait faire de mieux, un manipulateur hors-pair et un dangereux individus (imaginez Max Zorin à gotham). Mais la palme revient à Michelle Pfeffeir qui, grâce à son jeu d'acteur ou à la direction experte de Burton, devient une icône qui vole la vedette des autres personnages.

Scénario : Politique et traitrise (deux synonymes) sont les maitres mots de cette suite dans laquelle les méchants ont enfin une place conséquente dans l'histoire. Certains en furent rebuté car jugeant Batman trop absent mais leurs charisme ne laissera personne indifférent. Seul la fin est un petit peu tiré par les cheveux (le plan machiavélique du Penguin est peu crédible).

Bande-Son : Assuré par nul autre que Elfman, la bande-son est dans la tradition de qualité du premier épisode. On saluera le doublage français pour un penguin dérangeant et une excellente Catwoman.

Aspect Visuel : Encore plus sombre que le premier, Burton tire vraiment sur la corde pour qu'on puisse encore le qualifié de film familial. Avec des effets de lumières excellents et une excellente révision des personnages du comics (surtout Catwoman).

Note : 18/20, rarement le numéro 2 est meilleur que le premier, mais ici c'est l'exception qui confirme la règle. Si cette suite est meilleure sur presque tout les points, je leurs accordes la même note car le premier à toujours le mérite d'avoir eu Nicholson en Joker. Mais si vous hésitez encore à voir cette suite, ne vous posez plus la question et procurez vous-le (attention les enfants seront peut-être un tantinet effrayez...).

Combo Breaker - Tim Burton, L'étrange noël de Mr.Jack.


Film d'animation Disney sortit en 1993 réaliser par Henry Selick avec Chris Sarandon et Danny Elfman.
L'une des œuvres le plus souvent associé avec Burton est aussi l'une de celle qu'il na jamais réaliser. Basé sur un poème de Burton écrit pendant ses années chez Disney, il ne sera que producteur. Mais, y revenant régulièrement pour aider au tournage, ayant écrit le scénario et étudié le format musical avec Danny Elfman on peu le considérer comme co-réalisateur du projet. En tout cas ce film est l'un des grands classiques Disney, une raison déjà bien suffisante pour la voir, mais sachant qu'il est réalisé par Henry Selick et Tim Burton, en stop-motion et qu'encore aujourd'hui il s'impose comme une pierre angulaire d'un certaine culture...(qui n'a jamais vu de sac avec le crâne de Jack Skellington ?) je pense que vous êtes convaincus.

Note informative : 19/20

Tim Burton - Ed Wood

Biopic sortit en 1994 avec Johnny Depp (Pirates des Caraïbes, Las Vegas Parano), Bill Murray et Sarah Jessica Parker. Edward (non pas celui-ci) Wood est un cas intéressant. Considéré comme le plus mauvais réalisateur de tous les temps avec des "chef-d'œuvres" tel que Plan 9 from outer space mais pourtant, il à sus gagner une certaine légende et de l'affection tellement son œuvre transcende les limites du kitsch en continuant à se prendre au sérieux. Ce film raconte son histoire.

Casting : Les des rôles les plus inattendus de Johnny Depp, en fait de n'importe quel acteur normal venus camper un illuminé dans cette fresque bizarre. Le pseudo Bela Lugosi et Johnny Depp en tienne quand une bonne couche.

Scénario : Euh...et dire que c'est un biographie, c'en est presque dérangeant. De voir Johnny Depp se transformé en un Ed Wood totalement à l'ouest avec des morceaux de films qui apparaissent clairement comme "incroyable mais vrai" de stupidité, difficile de donné une opinion tranché.

Bande-Son : Howard Shore viens ici remplacer Danny Elfman dans l'une des rares exceptions. Peut pas une si bonne idée car ici la bande son se fais transparente, accompagnant le film mais sans prendre une réelle dimensions. Les voix sont satisfaisantes mais c'est plutôt les bruitages qui font plaisirs (comme dans tous bon vieux film ridicule).

Aspect Visuel : Entièrement tourné en noir et blanc pour rendre hommage à l'époque, on droit à un point de vus utile, la réponse à la question "comment ils sont pu osez faire ca ?" qu'on se pose souvent en voyant des extraits des films de Ed Wood ou autre du même niveaux.

Note : 14/20, ma classique note quand je suis dérouté. N'ayant pas particulièrement connus le personnage, j'ai la nette impression que ce film est plus destiné à ceux qui en ont gardés une certaines affection pour ses délires. Bien filmé et avec un bon casting, il reste cependant un film intéressant même si j'aurais beaucoup de mal à vous le conseillez malgré sa position de "meilleur film de Tim Burton" sur Rotten Tomatoes (critiques et spectateurs). Un OVNI, comme le personnage lui-même d'ailleurs.

Tim Burton - Mars Attacks!


Comédie sortit en 1996 avec Jack Nicholson, Pierce Brosnan (Bond, James Bond), Tom Jones, Danny DeVito, Sarah Jessica Parker et Nathalie Portmann (Star Wars Ep1,2,3 , V pour Vendetta). Comédie loufoque à base d'invasion d'alien répugnant qui veulent profiter de la Terre. L'histoire tourne autour de plusieurs personnages alant de la famille présidentielle à une petite famille du sud des USA en passant par Las Vegas...

Casting : Porté par une liste impressionnante d'acteur connus allant du futur James Bond à la future Reine Amidala, on à affaire à des belles caricatures de la culture américaine avec en plus plusieurs acteur récurrent de Buton. On notera la petite présence de Tom Jones dans son propre rôle à Las Vegas.

Scénario : Les aliens arrivent et les américains se demandent comment les acceuillirs, se posant des questions sur leurs intentions. Mais après qu'il ai prononcé "Ne courrez pas, nous sommes vos amis !" tout le monde est d'accord sur la conduite à adopter. Un scénario loufoque qui brille plutôt par ses nombreuses références et ses caricatures féroces que par son réalisme.

Bande-son : Ce film marque le retour de Danny Elfman dans une bande-son efficace et épique. Le présence de musique connue (Tom Jones faisant partie du casting) est très bien intégré et fais partie de la légende.

Aspect Visuel : Alien loufoque et psychopathes, américains totalement à l'ouest et Tom Jones dans son propre rôle autant dire que l'ensemble ne se prend pas au sérieux. Et on aime !

Note : 15/20, avec un casting en béton, des gags en avalanches et beaucoup de références et caricatures, un pur délire ! Alors pourquoi que 15 ? Tout simplement que le film se regardent mieux âgé, pour profiter de plusieurs blagues et pour s'amuser de connaitre le cast. Et malgré son humour noir, il reste tout de même en dessous du style Burton.

Tim Burton - Sleepy Hollow, La Légende du cavalier sans tête


Film fantastique sortit en 1999 avec Johnny Depp, Christina Ricci (Casper, Speed Racer) et Christopher Walken. Alors que la petite bourgade de Sleepy Hollow est victime d'une série de meurtre particulièrement violent, l'inspecteur Ichabod Crane viens mener l'enquête parmi les légendes, sorcières et fantômes revanchard que compte la région.

Casting : Johnny Depp est encore une fois au centre de cette adaptation, dans un rôle mêlant étrangement septisime et fantasie. Il est suporté par un cast excellent, Christina Ricci d'une part, mais aussi une bande de vieux dingue de province aussi sombre qu'accrocheurs (comprenant Christopher Lee en autre).

Scénario : Basé sur légende de cavalier sans tête, le film agrandit grandement le simple concept du livre pour en faire un vrai policier, matiné de fantaisie dans un petit village hostile. Peut faire peur, peut rebuter mais est surtout reconnus comme excellent.

Bande-son : Danny Elfman est encore une fois de la partie avec une bande son sombre et présente qui donne un peu de couleur à une ambiance noir et blanc. Avec un thème principal excellent et une bonnne constitance pendant tout le film, autant dire que c'est encore une réussite. Le doublage français est toujours bon surtout qu'en français Johnny Depp trouve enfin sa voix (aha).

Aspect Visuel : Plus sombre parait difficile, même les scènes de jour paraissant de nuit. Une excellente ambiance s'en dégage grâce aux effets de lumières de grande qualités et au maquillage des personnages.

Note : 17/20, Un pur Burton dans toutes sa splendeur. De l'humour noir, de la fantasie, une ambiance dark au possible et un casting en titane, je suis positif que l'univers du livre à trouver son maitre. Même le seul point faible du livre, le scénario, est ici grandement amélioré, une ambiance thriller qui se marient très bien avec l'ensemble.

Tim Burton - La Planète des singes

Film de science-fiction sortit en 2001 avec Helena Bonham Carter (Fight Club, Harry Potter 5, tous les film récent de Burton), Mark Wahlberg (Les Infiltrés, Max Payne) et Michael Clarke Duncan (Armageddon, Daredevil, Sin City). Adapté du livre de Pierre Boulle, un astronaute arrive sur une étrange planète où les singes évolués dominent des hommes digne des animaux.

Casting : Helena Bonham Carter recontra Burton sur se tournage, mais c'est pourtant pas ici qu'elle brille. Il faut dire que les singes brillent rarement... D'ailleurs pour le coup les humains non plus.

Scénario : Adapté du livre de base qui est déjà nul et remake du film de 1968 qui est nul aussi, le film tente de changer de nombreux élément pour apporter un coté action (les singes sont réduits à un niveaux empire romain au lieu du niveau humain) et tente un twist final que tout le monde connais déjà. Autrement dit, il est nul.

Bande-son : Danny Elfman est encore là et c'est bien. Peut-être le meilleur du film avec un ambiance peplum bien agréable. Le voix sont dignes des singes qui les prononcent.

Aspect Visuel : Si vous trouviez que le maquillage était ridicule dans la version de 1968, dites-vous qu'il est pire ici. Difficile de prendre le film au sérieux quand il est peuplé partout de singe en plastoc.

Note : 8/20 Se regarde parce que c'est Tim Burton et qu'Elfman signe une bonne bande-son autrement il ne dépasserais pas 5. Même si un talent évident se promène du coté des décors et de la partie technique, il ne parvient à éviter l'ecueil habituel de la Planètes de singes en général, à savoir que le scénario est nul. Mais vraiment. Et si les premières minutes se supportent encore, quand on commence à entrer de plein pieds au millieu des singes, l'aspect ridicule de la chose prend le dessus et tue le reste du film. Bon je suis peut-être un peu (aha) subjectif mais en tant que fan de Tim Burton je trouve qu'il sagit de la plus grosse erreur dans sa filmographie.

Le Choix du Patron
Tim Burton - Big Fish

Comédie Dramatique sortit en 2003 avec Ewam McGregor (Obi-Wan Kenobi), Steve Buscemi (Armageddon, The Island) et Helena Bonham Carter. Un fils tente de se réconcillier avec son père mourrant, qui raconte sa vie sous forme d'histoire plus ou moins réaliste.

Casting : Si revori Steve Buscemi est toujours un plaisirs, une ovation pour Ewam McGregor qui tiens parfaitement son rôle de jeune un peu niais mais désesperément romantique. Le reste du cast est sympathique (dont Helena Bonham Carter que vous ne reconnaitrez pas) et surtout parait normal/réaliste, un point très important (j'y reviendrais).

Scénario : L'histoire de Edward Bloom (encore un Edward ?!) est raconté en petit flash-back parfaitement intégré jusqua un point où on se demande vraiment si les histoire qu'ils racontes sont vrais ou non. Mais le plus importants c'est que l'on à envie d'y croire. Mêlant admirablement bien drame et humour c'est une fresque magnifique qui est racotné, avec ses hauts et ses bas.

Bande-son : De mon point de vue, Elfman nous sert ici l'un de ses meilleurs travaux (d'ailleurs nominés à plusieurs récompenses) un mélange parfait de folk mais avec un orchestre. La musique non-originale est excellente aussi, fonctionne parfaitement avec le ton de l'histoire et à le mérite d'utiliser des genres très différents (Elvis Presley à coté de Canned Heat). Le doublage français est très satisfesant, avec Ewan McGregro qui reprend sa voix habituelle mais parfois narré par l'autre acteur (le personnage vieux).

Aspect Visuel : Avec très peu d'effet spéxiaux pour garder l'ambiance la plus magique possible, le film parvient à nous faire croire la fantaisie avec une réalisation sans faille. Si le style Burton est toujours présent, il passe au second plan, utilisé avec parcimonie.

Note : 20/20, probablement le meilleur film de Tim Burton et l'un de mes films préféres tous genre confondus, Big Fish tiens le paris de mêler drame et humour avec une histoire magnifique ou la réalité et la fantasie se confonde. Basé sur un scénario intelligent et soutenue par un casting pertinent et une réalisation exceptionelle, je ne peu que vous conseillez de voir (ou revoir) ce chef-d'oeuvre, y compris pour les non-fans de Burton, qui pourrait bien être fort surpris.

Tim Burton - Charlie et la Chocolaterie

Film fantastique sortit en 2005 avec Johnny Depp, Helena Bonham Carter et Christopher Lee. Raconte l'histoire du pauvre petit Charlie qui par chance gagne le droit de visiter pour la première fois la plus grande chocolaterie du monde en compagnie de trois autre enfant et du directeur, un certain Willy Wonka.

Casting : Johnny Depp défie ici en pleine façe l'ancien acteur du film de 1971 qui était déjà bien dingue avec un jeu totalement déjanté et parfois presque dérangeant (en le voyant faire des sous entendus sordides au millieu des enfants par exemple). Les enfants sotn bien choisis et se prennent tellement bien au jeu que plusieurs d'entre eux donnent envie d'être baffé à chaque ligne de dialogue. On notera une petite présence amusante de Christopher Lee en dentiste, le cauchemard de tous gamin.

Scénario : Adapté du livre, Burton à eu la bonne idée d'avoir un budget colossal pour adapter les merveilles de l'usine (ce qu'il fesait défaut à l'ancienne adaptation). Il en ressort un script sympathique qui se vaut aussi simple que possible (écartant par exemple l'espionnage industriel très présent dans le livre) pour livrer une versin plus familliale du film. Et pour une fois cela fonctionne.

Bande-son : Parsemé à la Disney de petites chansons faites pour larguer quelques enclumes moralisatrices (à des enfants/parents qui en ont bien besoin tout de même) elles sont toujours amusantes et ont des propriétés mémotechnique affreuse (ou magnifique c'est selon). On notera aussi le reste de la bande-son (toujours par Elfman bien sur) qui se place à la hauteur de la réputation de l'ancienne adaptation. Les doublages originaux sont excellent pour ceux qui accrochent l'anglais sinon bravo à la traduction français est arrivé à préserver une grande partie de l'intérêt des chansons (même si les voix ne sont pas aussi accrocheuse).

Aspect Visuel : Une ode à tous ceux qui ont un petit faible pour le sucré, vous allez fondre intérieurement. D'une immense rivière de chocolat nestlé en passant par les descriptions formelles des bonbons à de quoi donne envie de se boulotter une ou plusieurs tablettes de bon chocolats pendant le film. On appréciera aussi la qualité des décors et des personnages qui donnent un violent coup de vieux à l'adaptation de 1971.

Note : 17/20, coloré, sucré, délicieux, cette adaptation arrivent sans soucie à se placer au niveaux de son grand frère des années 70 et se permet d'avoir une excellente ambiance, avec Johnny Depp encore plus exentrique que d'habitude et un décord qui donnent une envie irrésistible de croquer dans du chocolat.

Tim Burton - Les Noces funèbres

Film d'animation sortit en 2005 avec Johnny Depp, Helena Bonham Carter, Christopher Lee (j'ai l'impression d'écrire toujours la même chose...) et Danny Elfman. L'histoire du mariage raté de Victor Van Dort qui se retrouvent à devoir partager sa vie à une mariée légèrement morte.

Animation : Le style Burton dans toute sa puissance, la coté des morts paraits étonnament joyeux et vivant par rapport au bonde réel en bichromatique. Une excellente animation en définitive, qui brillent surtout par son impresionnant jeu sur les couleurs et les personnages.

Son : Quelques chansons à la Disney viennent assuré l'ambiance et se trouvent être aboslument excellente (dont une chanté par Danny Elfman) comme toujours composé par Eflman. Même si elles sont moisn nombreuses que dans l'Etrange Noël de Mr.Jack on est pris dans se troubilliont sans difficulté. Les voix originales sont de classiques de Burton (se faire marier par Christopher Lee quelle classe) et les voix françaises non sont pas en reste avec par exemples les parents de la mariée étant respectivement "Madame Araignée" (de James et la pêche géante) et Palpatine.

Histoire : Un conte fantastique signé Tim Burton du même niveau de qualité en d'ambiance que ses autres délire personnel (Beatlejuice, l'Etrange Noel) avec son lot de rebondissement et d'humour.

Personnages : Tous plus drôles les uns que les autres, il juissent d'une conception fabuleuse, totalement contraire au proportion normales (personnages squelletique avec des têtes allongées) et se permettent en plus d'avoir des personnalités haute en couleur avec d'un coté les humains gris et froid contre les morts en couleur et joyeux.

Ambiance : Si vous cherchez à explique à un débutant le "style Burton", montré lui ce film, vous y trouverez tous ce qu'il y a à savoir.

Note : 18/20 Tim Burton se fais plaisirs, adapte sa propre histoire, son propre monde et ses propres délires dans un film d'animation que tous les fans du réalisateur tiendront pour légendaire. Pour les débutants, il sagit d'un excellent point de départ : son ambiance unique, ses personnages hilarants et la qualité de l'animation en fais une parfaite introduction à une autre vision du cinéma.

Tim Burton - Sweeney Todd : Le Diabolique Barbier de Fleet Street

Film musical noir sortir en 2007 avec Johnny Depp, Helena Bonham Carter et Alan Rickman (Rogue). Alors qu'il c'est fais exiler de Londres il y a 15 ans, Benjamin Barker, alias Sweeney Todd revient prendre sa revanche aidé par une modeste marchande de tourte, Mrs Lovett.

Casting : On retrouve le duo favoris de Burton au premier plan dans des rôles qui sembles avoir été fais pour eux. Le film étant un musical, les autres acteurs ot surtout été choisis pour leur voix même si les acteurs classiques ne sont pas en reste (Depp et Bonham se débrouillent très bien façe à un Alan Rickman spécialise de théatre).

Scénario : Directement adaptée de la pièce de théatre le scénario est aussi loufoque que sordide, un coté très sombre mais jamais pris totalement au sérieux. Pour donner l'aspect du théatre, de nombreuses scènes sont chantés avec plus ou moins de classe (j'y reviendrais). On appréciera la fidèlité par rapport à la pièce originale (que j'ai vue).

Bande-son : ici ce n'est pas Elfman pour une fois mais Stephen Sondheim, le créateur original de la pièce de théatre qui s'occupe de la musique, logique en vérité. Si les chansons absolument excellente, elle ne sont rien sans l'étonnant prestation des acteurs qui se débrouillent particulièrement bien. Par contre la version française reprend les voix habituelles des protagonistes mais n'a pas traduit les chansons. Il est donc préférable de le regarder entièrement en version originale (avec des sous titres si besoin) pour éviter la coupure entre les deux langues.

Aspect Visuel : Plus dark que dark on sent que Tim Burton à vraiment le coup de main après Batmen le défi et Sleepy Hollow. Absolument magnifique, les effets visuels (de lumières par exemple) donne lieu à un Londres que vous n'avez encore jamais vus (enfin sauf si vous avez vus Sherlock Holmes avant).

Note : 17/20 Mériterais 18 mais la version paresseuse française, obligeant le spectateurs à être anglophile, lui fais perdre un public. Pour les autres vous adorerez l'ambiance sombre et décalée, le jeu d'acteur excellent y compris leurs chant) et le scénario tordus.

Movie Review n°32 : Alice au pays des merveilles

Fiche Technique-

Film fantastique sortit le 24 mars 2010 en France avec Johnny Depp, Helena Bonham Carter, Alan Rickman et Christopher Lee (j'ai vraiment l'impression d'écrire les même choses). Adapté du célèbre livre Alice au Pays des Merveilles de Lewis Caroll, se plaçant comme suite de la version Disney prévus le 24/07 en DVD et Bluray. Disponible en Disney Digital 3D, dure presque 2h, tout public.

Synopsis-

Alors qu'Alice, qui à maintenant 19 ans, vit difficilement dans son Angleterre victorienne, elle s'échappe d'une fête en poursuivant un lapin blanc dans un trou. En arrive alors dans...en fait vous connaissez déjà la suite.

Décorticage-

Alors qu'en animation, Disney domine déjà l'histoire d'Alice depuis presque 60 ans maintenant, en film c'est plus compliqué. Après de nombreuses adaptations en film plutôt foireuse vous diront tout le monde, l'histoire tentais régulièrement de se faire remettre au gout du jour, mais s'en jamais donner satisfaction. Alors forcément quand on à entendus que Tim Burton, le génie derrière mon article, allait se mettre sur Alice au pays des merveilles, avec Johnny Depp et le tout payé par Disney, il y avait de quoi faire la fête. Faut dire que Burton et Alice, on ne peux rêver de meilleur association tant on imagine facilement leurs deux esprits uniques se combinées. Laissez un univers totalement dingue et sombre à la fois à l'homme qui nous à offert le meilleur adaptation de Charlie et la Chocolaterie il y a 5 ans et on est déjà conquis. Cependant après être allez le voir en fanfare au cinéma, en 3D, l'impression qui s'en dégage le plus chez pratiquement tous les spectateurs est la déception. Je m'explique.
Le film commençais pourtant bien, avec une Alice agréable à regardez un début dans les règles du l'original de Disney (le clé et la bouteille "buvez-moi" sont toujours là) mais une fois arrivez à l'intérieur on s'aperçoit que le pays imaginaires à subis quelques transformation. Attention ne me prenez pas mal, l'univers est incroyable, surtout en 3D mais c'est son coté un peu "mort" qui fais perdre de la crédibilité. Quand on pense à Alice, on pense à des animaux bizarre qui danse et font n'importe quoi, on pense à une forêt luxuriante plein d'arbres improbables et à quelques personnages haut en couleur dont les poèmes sont aussi symboliques que mystérieux. Et bien ici, il n'en n'est rien.
Burton ayant été déçus des adaptations du type "Alice rencontre un personnages fous, s'en va et retombe sur un autre dingue", il à décidé de mettre le scénario au centre de cet adaptation. par conséquent plus de dialogues loufoques ou incompréhensible, c'est des morceaux de scénario qui sont donnés et des phrases clé qui cherchent à expliquer pourquoi le monde est à présent totalement hors-service. Forcément dans ce contexte sérieux beaucoup de personnages en prennent un coup violent, à commencer par le chapelier (joué par Johnny Depp) qui derrière un petit coté imprévisible se place comme l'un des héros de l'histoire. Ce traitement par défaut s'applique à nombre de personnages connus pour être moralement ambigus voir fous et qui se retrouvent ici trop normal pour vraiment marqué les esprits (la chenille et le chat de Cheshire sont les pires exemples). Seul le Lièvre de Mars est digne de la folie que l'on s'attendait à voir dans le film, dans un coté même plus violent que d'habitude, l'envie de jeter des tasses à la figure des gens le prenant régulièrement.



Non soyons pas non plus mauvaises langue, certains personnages en sortent grandis, à commencer par la reine rouge/de cœur, joué par Helena Bonham Carter en pleine forme qui rend honneur à sa réputation tyrannique. La reine blanche quand à elle n'apparait pas beaucoup mais fais forte impression, sa folie étant traité différemment de ce qu'on à l'habitude de voir. Et j'ai gardé Alice pour la fin, dans une performance qui énervera certains et qui conviendra parfaitement à d'autre, elle est totalement à l'ouest. Ne sachant jamais si elle se trouve dans un rêve ou non, elle semble en permanence dans en trance, dans un état second qui parait logique dans le contexte mais qui peu semblé comme solution de facilité. De plus les scènes d'action, aussi étrange que cela puissent paraitre dans une adaptation d'Alice, sont très impressionnantes surtout avec une utilisation généreuse de la 3D.
Concernant le son, je pense que c'est l'élément qui montre le plus la baisse de régime tant Danny Elfman semble peu inspiré par l'ambiance qu'a voulue donner Burton. Malgré un thème d'ouverture mémorable et des thèmes d'actions correct, le reste de la bande-son est l'un des plus plats et des moins mémorables du compositeurs. Les voix sont correctes même si je soupçonnes le doublage français d'avoir loupé quelques éléments de la version originales.

Résultats-

Casting : Si certains perosnnages font grises mines suite au traitement plus sérieux de l'histoire, d'autre apprécie le changement. On appréciera Helena Bonham Carter dans toute sa splendeur mais pas Johnny Depp qui aurait clairement pu donner mieux. La nouvelle Alice sera certainement source de débat, certains détesterons d'autres n'y verront pas de problème.

Scénario : Pour la première fois dans l'histoire, Alice se voit affublé d'un scénario sérieux avec des enjeux et des rebondissements. Dommages que cela se fasse au détriment de l'aspect déjanté de l'œuvre qui ne brillaient clairement pas par son histoire.

Bande-son : Probablement la bande-son la moins mémorable de Elfman qui semble aussi dérouter que nous par le traitement du réalisateur et qui délivre le strict minimum. A noté que la Bo comporte aussi des morceaux écrit par des vrais artistes qui font encore plus tâche dans l'univers (Avril Lavigne en générique de fin c'est d'un mauvais gout...). Les voix françaises survivent mais perdent un petit peu par rapport au originaux.

Aspect Visuel : Si Burton à déjà prouvé mainte fois qu'il savait manier les univers décalés, on est déçu par son manque de prise de risque, l'ambiance se résument à des grands champignons, beaucoup d'effet spéciaux et quelques visuels sympathiques.

Note-

14/20 Perd 1 point pour avoir déçu tout nos espoirs. Il est vrai que Burton avait déjà eu des problèmes quand il essayait de faire un blockbuster (La Planète des singes en est l'exemple parfait) mais la simple idée de l'associer avec l'univers d'Alice promettait pourtant bien meilleur adaptation. Cependant tout n'est pas mauvais : avec des scènes d'action impressionnante, un univers sympathique et quelques personnages très accrocheurs, on est surtout déçu que la présence d'un vrai scénario aient été prétexte à calmer les personnages et à les rendre beaucoup plus docile, un comble pour l'univers original. Triste à dire mais on dirait un peu Alice au pays des merveilles mais coincé du cul.

Les + :

-Qualité des visuels (dont la 3D)

-Certains personnages plus violent que d'habitude

-Un vrai scénario

-Certains environnements ou redesign des personnages

-Scène d'action efficace

Les - :

-Des personnages trop coincés

-Pas de chanson et bande-son plate

-Univers peu accrocheur

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En définitive, Tim Burton est un réalisateur unique, ayant pratiquement inventé un nouveau style de cinéma. Sombre, symbolique et drôle, nombreux sont ceux qui n'accrocheront pas à ses productions les plus personnelles (Les Noces Funèbres, Sweeney Todd) et le préfèreront dans des films plus ou moins classique (Big Fish, Edward au main d'argent). Néanmoins on peu dire qu'il à maintenus un niveau de qualité impressionnant dans sa carrière et peu de fillm viennent gâchez se triomphe (La Planète des Singes, Alice au pays des merveilles).
Maintenant il ne reste plus qu'à attendre la suite de sa filmographie (normalement Frankenweenie) et à surveiller tout les petits "wannabe" comme l'excellent réalisateur de Numéro 9 qui pourrait bien un jour reprendre le flambeau.

Si vous avez aimés : Henry Selick déjà bien reviewé dans ses colonnes sinon il est plutôt unique. Cherchez autrement dans les média qualifiés de "Burtonesque", ce n'est pas pour rien que j'ai fais cette review.

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