En ce moment sur le blog : Movie Review Avengers ; Review DragonForce ; Game Review SSX
Bientôt sur le blog : Rattrapage du retard !

vendredi, mai 29, 2009

La Cuisine du Patron : Le Grand Pot-Au-Feu.

Attention les yeux, voici un gros tas de films et musiques, tout ce qui est passé en un mois environ.
Film :

-Braquage à l'Anglaise : Une bonne histoire de truand, surtout quand c'est une histoire vrai. Avec une bonne bande-son et mise en scène le scénario tiens la route porté par un Jason Statham dans son rôle habituel. Note : 15/20 Rien à dire, juste bon.

-Hot Fuzz : Si vous avez H2G2 dans le type humour anglais je vous proposes une excellentes comédie policière. Avec un personnage principal à la gueule de guerrier, un scénario totalement déjanté et une bande-son puissante, ce film est un pur massacre. Note : 18/20 Un grand moment de délire si on apprécie le genre et j'espère pour vous que c'est le cas.

-Le Nom de La Rose : Un vieux classique ressortit du placard est toujours aussi bon malgré l'age. Une intrigue religieuse bien faite avec un Sean Connery épatant et une ambiance glauque, tout ce qu'il faut pour passer un bon moment. Note : 17/20 Vieux mais excellent

-Taken : Film français avec Liam Neeson qui tire plus qu'il ne parle pour notre plus grand plaisir. Si le scénario n'a rien de transcendant, il nous sert un film d'action intense qui à le mérite d'être très bien réaliser et avec un vrai acteur principal. Note : 15/20 Un film d'action old-school moderne.

-There Will Be Blood : Une histoire de magnat du pétrole dans une amércique post-western c'est alléchant sur le papier. Le problème est que le film est probablement trop intelligent (et long) pour moi, l'intensité viens surtout du personnage principal et de l'excellent acteur qui le fais vivre. Par contre la bande-son ne ravira pas tout le modne, presque trop destructrice à mon gouts. Note : 13/20 à regardez avec No Country For Old Men, même sorte de complexité.

-Ong-Bak 2 : Attention n'a pas grand chose à voir avec Ong-Bak premier du nom, ni avec L'honneur du Dragon (souvent mal interprété comme Ong-bak 2). Ici, on se trouve en ancienne Thailande (1421) avec une histoire qui comprend Roi cruel, pirate au grand coeur et jeune orphelins de sang royal en gros. De toute façon tout est juste prétexte pour Tony Jaa de fracasser du sans-visage avec des choragraghies qui relègue définitivement Jackie Chan au rang de grand père. Note : 14/20 Marrant et bourrin mais toujours pas aussi cool que son grand frêre.

-Le Bossu de Notre-Dame : Un classique Disney pour finir. Plutôt bon, l'ambiance est vraiment sympa, entre grandeur gothique et ambiance festive, on en à pour tout les gouts. L'animation est encore bonne, surtout les plans des lieux qui sont de toutes beauté. Au final c'est plutôt les personnages qui pêche car (mis à part le Terrifiant Frolo) ils sont très classiques et pas forcément mémorable. Les chansons sont heuresement dignes des vrais Disney tout comme le scénario qui finit bien. Note : 17/20 Note médiane entre le film lui-même et sa place parmis les Disney. Correct mais pas non plus au niveau du Roi Lion (son plus proche frêre).


Musique :

-AC/DC - Back in Black & Highway to Hell : AC/DC fais son retour par la grande porte dans ma playlist avec les 2 albums mythiques qui ont constitue le gros de sa légende.

-Derek Sherinian - Molecular Heinosity : Un nouvel album dans la ligné des excellents autres, que demandez de plus ? Toujours beaucoup de guitare (featuring des légendes) et le super clavier, Derek ne joue pas la carte de l'originalité mais c'est loin d'être un drame.

-Edguy - Tinnitus Sanctus : Le dernier Edguy est fidèle à lui même, surtout pour ceux qui le préférait dans le genre hellfire Club. Plus sombre et plus lourd, il n'en reste pas moins du Edguy classique, et chez eux, c'est un problème.

-Grave Digger - Ballad of a Hangman : Après quelque albums en retrait, voici de quoi redorrer le blason du speed métal old school. Contient une doses généreuses de puissances brutes mais pas encore assez pour égaler Rheingold. Cepedant on est dans la bonne direction.

-Iron Maiden - Ed Hunter : Quand le jeu lui-même est sponsorisé par Iron Maiden, comment résisté ? Cela donne une sorte de best of du Iron Maiden classique, tout ce qu'il faut pour ce détendre après un rude journée.

-Jimi Hendrix - Experience Hendrix, The Best of : 20 titres et une proportion de légendes qui frise l'indécence.

-John McLaughlin - Mediterranean Concerto : Si les expériences de McLaughlin avec un orchestre ne sont pas toutes réussis à 100%, celles-ci est de très bonne facture avec en prime quelques reprises de morceaux déja bien à la base.

-John McLaughlin - The Heart of Things : un petit projet, court mais efficace qui donne à manger à ceux qui en veulent. Diffère du travail habituel de McLaughlin avec un passage en Acid Jazz. Ceux qui aime se jetteront dessus, les autres peuvent oublier.

-Mahavishnu Orchestra - Adventures in Radioland : Voici l'album le plus dur à trouver et on comprend pourquoi. Pas spécialement mauvais, il n'arrive pas non plus à la cheville des premiers albums même un ou deux morceaux sont sympas.

-Kaya Project - Discography : Side Liner en plus accoustique. Pas mal du tout mais pas aussi légendaire que Shpongle.

-Kila - Lemonade & Buns : 1/3, neo-celtic. Un genre inexistant dans ma playlist il y a peu arrive avec un bon mélange de genres sur base celtique. Une bonne addition.

-Led Zeppelin - Discography : Légendaire et en flac...

-Linkin Park - Hybrid Theories : Il fut un temps où ce groupe étais vraiment bien, et c'est en ce temps que cet album est sortit. Une pure légende pour ma génération.

-Liquid Trio Experiment 2 - When The Keyboard Breaks : Live in Chicago : un live raté de liquid tension experiment ou le clavier de rudess pète dans le 2 première minutes. S'en suit un jam énorme sur le reste du live avec plusieurs gros craquages (voir sur wiki pour les intéressé). Marrant mais aurait pu être meilleur (avec un clavier justement).

-Lynyrd Skynyrd - Pronounced 'leh-nérd 'skin-'nerd) : Premier album, une excuse pour Free Bird en gros.

-mùm - Summer Make Good : Un album vraiment très très space. Intéressant tout de même mais réservé au plus motivé des auditeurs.

-Paco de Lucia, Al Di Meola, John McLaughlin - Passion, Grace & Fire : Ce premier album du légendaire Guitar Trio est tout aussi technique et bon que le second. A consommer sans modération.

-Peatbog Faeries - Croftwork : 2/3, neo-celtic. Un peu plus rapide que Kila et particulièrement variée, une autre bonne addition fraiche et originale.

-Pink Floyd - Wish you were here : 01Shine On You Crazy Diamond (Part One).flac Tout est dit.

-Rammstein - Herzeleid & Sehnsucht : Comme j'avais oublié à quel point Rammstein c'était bon avant qu'il ne devienne de grosses tartes commercialles. Indus et German FTW !

-Rhapsody - Legendary Tales : Premier album qui complete ma collection. Pas encore aussi bon que Dawn of Victory mais meilleur que leur dernier.

-Various Artists - RocknRolla OST : En attendant la review générale, un petit avant gout de la classe de ce film. Le thème principal est mémorable.

-Shooglenifty - The Arms Dealer's Daughter : 3/3 neo-celtic. Le plus traditionnaliste des 3, mais reste tout aussi frais et bon que ces congenères. Ambiance joyeuse au programme.

-Stratovarius - Discography : Très bon jusqu'a un changement de direction plus classique depuis Stratovarius (l'album). Le dernier Polaris n'est pas mal non plus mais à aussi perdu ce coté clavier signature.

-Yes - Ultimates Yes : 35th Anniversary Collection : Progressif rock des années 70 bien connus, vous reconnaitrez Owner of a Lonely Heart.

Ouf c'est enfin fini ! Vous me remercierez plus tard.

L'Album du Mois : Kill to get Crimson

En mai, fais ce qu'il te plait ! Écouté de la bonne musique en fais partie et j'opère donc un petit retour à mes origines musicales remises au gouts du jours :

Le Choix du Patron
Mark Knopfler - Kill To Get Crimson



Est-il vraiment utile de présenté Mark Knopfler ? Leader du légendaire groupe Dire Straits et guitariste de renom, sa réputation de "Dieu de la guitare" est amplement mérité à mon humble avis. Après plusieurs album solo de qualité et quelques projets par-ci par-là, Mark reviens avec son cinquième album studio fin 2007, le présent Kill to get crimson. Directement sortit après sa collaboration avec Emmylou Harris, le style de cet album est un peu plus country que les autres, beaucoup de morceaux sont plus accoustiques notamment. On notera aussi une variété d'instrument propre à ses album solo : en vrac accordéon, violon, banjo, flute, cistre (?)...
et toujours la Fender Stratocaster signature (ou autre guitare électrique de Dieu) pour un jeu de guitare pur et technique à la fois. Voila, quittons-nous sur les morceaux à retenir :
-True Love Will Never Fade, la chanson mémorable
-We Can Get Wild, Knopfler dans toute sa splendeure.
-The Fish and The Bird, un de mes morceaux favoris de Mark Knopfler tout confondus.

jeudi, mai 28, 2009

la Chanson du Mardi Soir : Forest

Désolé pour le retard mais le période d'exam ne ma pas laisser le temps de mettre à jour le blog. En échange voici du vrai son pour me faire pardonner :

Big Blue Ball - Forest


Le moins que l'on puisse dire c'est que la carrière de Peter Gabriel est plutôt variée. Après le lead du groupe Genesis et travail solo de qualité ( Voir Sledgehammer), il nous proposes aujourd'hui un project vieux de plusieurs années mais qui à pris son temps pour se mettre en forme : Big Blue Ball, ou Peter Gabriel & Friends. En gros on à droit à des titres "à la Peter Gabriel" combiné à de la musique du monde. En effet , "Friends" correspond à une tripoté d'artiste de tous horizons qui travaille ensemble pour nous offrir des morceaux originaux et bien travaillé, Forest est un de ceux là. Débutant sur une ligne étrange de flute (?), le morceaux prend rapidement une forme rythmé et la voix exotique convient parfaitement bien. On croirait presque entendre du Shpongle mais un peu moins électro et avec une ambience bien spécifique. Enfin, si tous les morceaux de sont pas de cette qualité, on aurait tout de même beaucoup de plaisirs à écouter cette collaboration qui plane sur un genre de musique encore trop peu exploité.

Merci et bonsoir.

samedi, mai 23, 2009

Movie Review n°19 : Anges et Démons

Si vous n'avez pas lu le livre et que Da Vinci Code vous a fais vibrer, vous serez peut-être intéressés par ceci :

Angels & Demons

Fiche Technique-

Adaptation du roman de Dan Brown du même nom, réalisé par Ron Howard (Willow, Apollo 13, Da Vinci Code) avec Tom Hanks (Forest Gump, Save the private Ryan) et Ewan McGregor (Obi-wan Kenobi, Big Fish). Sortit le 13 mai 2009 (et toujours à l'affiche !), dure 2h20.
Genre : Thriller, Adaptation de Roman.

Synopsis-


Robert Langdon, le héros de Da Vinci Code, est appellé en urgence par le Vatican pour offrir son avis d'expert religieux façe à une menace de grande envergure en pleine élection du prochain Pape. En effet les descendants des "Illuminati",une secte scientifique antique anti-religion, on dérobé au CERN (Centre Européen de Recherche Nucléaire) un fragment d'antimatière qui réduirait la ville en poussière. Robert Langdon et sa partenaire du centre, Vittoria Vetra, vont devoir déjoué ce mystère en pleine course contre le temps.

Décorticage-

Casting : Tom Hanks reprend son excellent rôle de Langdon et dispense à nouveau généreusement ses références historiques à qui veux l'entendre tout en conservant le dynamisme du personnage d'origine. Sa collègue Ayelet Zurer (Vittoria), par contre, se débrouille moins bien et ne sait visiblement pas quand elle peut sortir des références alambiqués ou quand elle donne juste une réplique basique, donnant lieux à de petites frictions avec le "sachant tout" Langdon. C'est plutôt du coté de Ewan McGregor qu'il faut chercher, son rôle du Camerlingue est encore une fois preuve de sa versabilité. Autrement les autres personnages sont correct mais pas transcendant (notamment les cardinaux peu expréssifs).

Scénario : Ayant pris quelques libertées par rapport au livre, elles ne sont finalement pas si grave que ça, elles restes plutôt pour alléger la critique envers l'église qui se voit cette fois mise en victime (contrairement à la polémique Da Vinci Code). Cependant on s'aperçois en lisant le livre que les plus mauvais moments de celui-ci sont aussi ceux du film et notamment la décevante fin. On appréciera par contre le rythme effréné du livre qui devient une intense course contre la montre dans son adaptation.

Sa sainteté Silvano Ventivoglio le grand Cardinal accompagné du remplacent temporaire du Pape, le Camerlingue Patrick McKenna.

Bande-Son : A la vu du budget on pouvait s'attendre à une bande-son mémorable et on peut dire que Howard à bien fais son travail. Des thèmes rapides mais orchestral façon chant gregorien, rien de tel pour un petit thriller religieux.

Aspect Visuel : C'est ici qu'on sent l'expérience de Ron Howard dans le cinéma, les scènes s'enchainants efficacements et sans temps mort, tout en restant claires et précises : du très bon travail. Le même type d'effet visuel que Da Vinci Code se retrouve aussi, notamment quelques eye candy pour accompagné la réflexion.

Résultat-

15/20 Un bon thriller religieux qui, à défaut d'être aussi controversé que son ainé, est bien plus intense et nous tiens en haleine pendant les 2h20 du film sans problème. Seul substiste un léger manque de bonne volonté chez certains acteurs (Cardinaux sans visage en tête) ainsi que l'adaptation malheureusement fidèle de la fin du livre (dont je vous laisses découvrir la faiblesse).

Les + :

-Très intense et bien remplis
-Bon scénario dans l'ensemble
-Plusieurs bon Personages (Langdon, Camerlingue)
-Caméra sans défaut
-Bande-son épique

Les - :

-Personages secondaires fluctuants
-Fin miteuse
-Moins trash envers l'Eglise.

Si vous avez aimés : Les intrigues religieuses autre que Da Vinci Code ne sont pas légion mais vous pouvez toujours vous rabbatres sur Le Nom De La Rose.

mercredi, mai 20, 2009

Game Review n°16 : Left 4 Dead

Si vous n'avez pas peur des zombies, que vous avez terminé 3 fois tout les Resident Evil et que vous mangez un Pyramid head guy tout les matins alors voici pour vous :

Left 4 Dead


Fiche Technique-

Survival Horror / Beat Em All sortit le 20 novembre 2008 édité et développé par Valve disponible sur PC et xbox360 avec dans les rôles principaux : Bill, Zoey, Louis et Francis. Jouable en solo et multijoueur online sur les 2 plateformes.

Décorticage-


Si les derniers jeux multijoueur en ligne vous avait laissé un vieux gout de netteur dans la bouche voici une bonne occasion de vous racheter en teamplay. Prenez CS, ajoutez des zombies et lancé de_hospital et vous voila partit. Plus sérieusement vous prenez le contrôle d'un des membres d'une équipe de survivants au millieu d'une ville de zombies et vous devez, au cours des 4 campagnes, vous échappez. Rien de bien original donc au niveau du gameplay, c'est du pur FPS half-lifeien sur moteur source (qui se fais vieux d'ailleurs) mais l'originalité réside dans le fait que vous et les membres de votre équipe devrez restez soudez (bots ou humains en ligne) car les zombies apparaissent aléatoirement à chaque partie. De plus on trouvera également des infectés "spéciaux" qui ne manqueront pas d'attirer sur vous la horde, de vous immobilisés à coup de langue ou encore de faire des bonds de plusieurs mêtres pour vous dépecés. Toutes ces joyeustés sont encore combinés au puissant Tank et à la Witch, l'un ne tombera que quand toute l'équipe lui aura vidé la moitié de ses munitions dessus et l'autre vous mettra à terre (ayant du coup besoin d'être relevé par un allié) si vous avez le malheur de la réveillé. En somme de joyeuse soirée en perspective.

Bill et Fancis réglant leurs problêmes

Coté ambiance, pas de soucis on s'inspire des films de zombies classiques (hopital, ferme, aéroport) mais les quattres campagnes seront parcourues en quelques heures seulement et si vous ne possédez pas internet, le jeu s'arrête ici. Si ce n'est pas le cas, vous pourrez y découvrir un mode "versus" ou chaque équipe contrôle à tour de rôle les zombies spéciaux (ce qui rend du coup les parties bien plus intéressantes), un mode coopératif simpatique et surtout la promesse de passer des soirée entière à craquer sur le net et repartir avec la tête pleine de moment d'antologie comme au bon vieux temps sous CS.

Résultats-

Graphisme : Le moteur source commence à ce faire vieux et ça ce sent. Malgré quelques effets de lumière réussis et un design accrocheur le reste du jeu est juste passable mais pas excempt de bug (comme d'habitude avec les jeux sources).

Gameplay : Gameplay source classique avec M16, shotgun et snipe à la sauce CS. Notons que les munitions (à l'inverse des survival horror) sont largement suffisante à une utilisation bourrine pour compenser le manque de vrai grenade (quelques molotov et pipe bomb de temps en temps mais c'est tout). Le système de vie et de soin est assez classique aussi, avec points de vie, dégat et "relever moi mes amis". C'est plutôt du coté des zombies qu'on trouve les bonnes idées, leur gameplay étant technique mais instintif (puissant mais fragile). Le système de réaparition aléatoire est un très bon point par contre l'IA n'est pas toujours très réceptive à son environement.

Son : Une ambiance rythmé par les "Je Recharge !" et par les grognements des zombies comme dans tout jeux d'horreur qui se respecte. Manque quelque thème d'action tout de même.

Durée de Vie : En solo compter 3-4 heures avant de mettre le jeu au placard. En multi par contre elle est potentiellement illimité, tel un CS en puissance, on pourra passer des journées entières à poutrer du zombies en masse. Cependant le nombre de campagne est assez restreint et ne semble pas encore près d'augmenté (malgré des extensions gratuites du jeu).

Ambiance : En solo en retrouvera cette délicieuse ambiance de Beat Em All infecté de dizaines de zombies près à courrir sur vous et vous réduire en charpie si vous ne prenez pas la peine d'appuyer sur la détente de votre shotgun automatique. En multi c'est surtout le teamplay et le moment de bravoure des différentes teams qui fais plaisirs (sauf si vos amis sont des boullets).

Note : 15/20

Si vous jouer en solo inutile de tourner autour du pot, passer votre chemin, ya rien à voir. Par contre si vous cherchez un jeu multi avec du potentiel et pas mal de teamplay, il se pourrait bien que votre vie perde un peu de son aspect social au profit d'un aspect survival horror. A vous de voir...

Les + :
-Gameplay Solide
-Multijoueur mémorable
-Pouvoir jouer les zombies
-Zombies aléatoires

Les - :
-Graphisme viellot
-Bande-son inexistante
-Durée de vie solo ridicule
-"un boullet dans le groupe"

Si vous avez aimés : Vous pouvez toujours chercher dans les survival-horror que j'ai cité plus haut mais il y a de forte chance que vous préfèreriez un défouloir multi de qualité et dans cette optique je vous conseillerais bien Team Fortress 2 qui (à l'heure où j'écris ces lignes) va recevoir une grosse update.


lundi, mai 11, 2009

La Cuisine du Patron : Soirée Pluvieuse

La suite de la cuisine du patron sur tout ce qui est un tant soit peu récent, suivez le guide !

On commence par le très récent et direct-to-DVD : Punisher: War Zone

Après un Punisher n1 (avec Travolta) assez moyen, on change totalement de réalisateur et d'acteur principal pour cette fausse suite. Avec une dame au commande pour un film noire et violent on pouvais s'attendre au pire et pourtant, le contrat "violence" est remplis même si les effets sont un peu du type "Ballons remplis de Ketchups". C'est toujours un pas dans la bonne direction. Malheureusement c'est le seul point fort du film, avec un scénario qui ravirais Steven Seagal et un acteur principal qui ressemble autant au Punisher que Deadpool dans le dernier X-Men (et vlan !) tout n'est pas rose. Sans compter des personnages miteux (dont le "grand méchant") et une palette d'émotion qui frise Robocop rendant le peu de dialogue totalement obsolète. La musique n'est pas mieux et l'ambiance noire et violente du comics n'est que très peu utilisée. Note : 11/20 Mieux que le premier et un pas dans la bonne direction coté violence. Le reste est nul.

Toujours dans le récent voici Max Payne !

Encore une adaptation de jeux vidéo où le réalisateur n'a pas jugé utile de jouer au jeu (tout comme moi en tant que spectateur). Cela n'empêche pas de faire un film presque correct pour ceux qui n'y connaisse rien mais force est de constater qu'il manque un petit quelque chose. La super ambiance polar noir ?, le scénario en béton ?, les personnages tourmentés ?, l'acteur qui prête sa tête au jeu ?, le rythme intense du jeu ?, les "Bullet-Time" signature ?, l'intrigue complexe ? Oui, ca fais un peu plus "qu'un petit quelque chose"...
Note : 12/20 La note du pauvre, encore une adaptation vague d'un monument du jeux vidéo.

Un peu moins récent mais plus acclamé : Wall-E

La dernière production des studios Pixar (déjà rendu excellent par tout leurs travaux ou presque) est enfin disponible en Bluray et voici mon verdict : Génial. Redéfinis le concept de "film émotion", chaque petite portion est faite pour nous faire ressentir "awwwwwww" de plaisirs tellement "il est mignon !". Comme toujours dans les pixar l'animation est excellente ainsi que la partie sonore, surtout l'impressionnant travail fait sur les bruitages. Même le scénario est vraiment sympa avec un petit message positif en prime. Du grand grand Disney comme on n'en n'avais plus vu depuis longtemps. Note : 19/20 au moins aussi beau que Eternal Sunshine of The Spotless Mind (et c'est dire) et le reste est aussi excellent.


Bon pour changer voici un peu de musique (mais aussi récente) : Oasis - Dig Out Your Soul

Souvent comparé à Coldplay pour leur origine et style commun, Oasis n'en n'est pas moins une légende de ces 10 dernières années. Puisque je n'en n'avais jamais écouté voici une erreur de réparé avec leur dernier album. Plus rapide que Coldplay, la composition est vraiment sympa aussi, de même que la production sonore en général, les vocals sont excellents sur une majorités des morceaux. Notons que les titres se suivent particulièrement bien ce qui permet d'écouter l'album comme un tout ou chanson par chanson. Parmi celles-ci j'ai accrocher - (Get Off Your) Your High Horse Lady, - Falling Down (Op de Eden of the East très bon anime) et Waiting for the Rapture. Note : 15/20 Un bon ambassadeur d'un genre peu représenté dans ma playlist ça fais toujours plaisirs.

Enfin pour finir dans le récent voici The Prodigy - Invaders Must Die & Lost Beats

Après plusieurs albums qui tendait vraiment à du big beat avec des paroles type punk plaqué dessus, il était temps que le groupe fasse un come-back dans le genre qu'y la vu naitre : le breakbeat. Tout n'est pas rose non plus, certain morceau reste de mauvaise facture (comme Omen par exemple) et l'ensemble est un peu répétitif, un défaut imputable à tous les albums de Prodigy et à ceux des autres groupes du genre d'ailleurs. On notera ausi la présence de L'EP Lost Beats dans la version deluxe de l'album, Ep qui contient quand à lui 4 morceaux bien électro et instrumental pour notre plus grand plasirs. Perso j'ai retenu : Invaders Must Die, World's on Fire et The Big Gundown (de lost beats). Note : 15/20 Une bonne addition à n'importe quelle playlist electro/breakbeat avec le retour d'un son plus travaillé et plus lourd.

Voila c'est tout pour ce soir à la prochaine !

vendredi, mai 08, 2009

Artist Review n°2, Musical Review n°15 : Kaki King

Voici comme promis la première Artist Review sur :

Kaki King

Chanteuse-

Née le 24 Aout 1979 à Atlanta, cette jeune guitariste à débuté directement sa carrière par un album solo à l'age de 24 ans, Everybody Loves You. C'est un album entièrement acoustique et instrumental mettant en scène sa superbe technique de jeu comprenant du Tapping, Slapping et d'autres termes dont je n'ai pas la moindre idée de leurs significations. Peu de temps après, sort son deuxième album, Legs to Make Us Longer qui est très similaire au niveau jeu et qui sera un peu moins bien reçu. Puis la renommé arrive et un album plus travaillé nommé ...Until We Felt Red est disponible 2 ans après le dernier. Il ne véhicule pas de message communiste mais un son électro inconnus jusqu'à lors pour la jeune guitariste qui devient également chanteuse sur quelqu'une de ses chansons. D'ailleurs c'est dans cette période qu'elle est déclaré "Guitar God" par Rolling Stone Magazine, une première pour une femme. Enfin, l'année 2007 sera surtout marqué par ses nombreux lives ainsi que par sa participation à la bande-originale de Into The Wild pour laquelle elle et ses collaborateurs sont nominés pour un Golden Globe Award. Mais il faudra attendre 2008 pour voir son nouvel album dans le bacs, Dreaming of Revenge que nous allons reviewés, avec les autres albums bien sûr, pour votre plus grand plaisirs.

Kaki King, une guitariste hors pair.

Catégorisation-

-Guitare accoustique surtout sur ses 2 premiers albums.
-Indie rock : alternatif guitare, batterie, chant façon moderne surtout dans le dernier album.
-Electro progressif : Composition lente avec instrumentation électronique.

(Tant pis si elles veullent rien dire, moi jle voit comme ca !)

Kaki King - Everybody Loves You

Dès la première chanson de l'album le ton est tout de suite mis en place et sa matrise de l'instrument est clairement affirmé. Entre le rythme technique et le refrain en arpèges (je sais même pas ce que ca veut dire) la sauce prend très bien. Par contre le premier mal apparait, 2 minutes de chansons c'est bien peu... La suite reprend avec un morceaux plus rythmé et encore plus technique (c'est possible !) mêlant plusieurs changements de rythmes.
Après celui-ci on a cette fois un morceau plus lent et abordable, avec une rythmique constante. Avec 3 minutes on sent déja le titre plus long et moins technique au profit d'une meilleure fluiditée. Ensuite c'est au tout d'un titre d'inspiration ambient, clairement destiné à reposer l'esprit.
Idéal pour se relaxé, Night After Sidewalk n'est pas pour autant dénué d'intéret, celui-ci est juste plus étalé sur la chanson. Dailleurs ce titre s'emboitera parfaitement avec les 2 morceaux suivants, un rythmé et un reposant, à tel point qu'on ne verra que rarement le changement. Par contre le bien nommé Close your Eyes & You'll Burn Into Flames est suffisament impressionant techniquement pour provoquer cet effet quand il est écouté avec attention.
Après un autre morceaux calme on tombe enfin sur le morceau titre, qui se révèle être agréable sans pour autant transcender le reste de l'album. C'est le suivant, Fortuna qui s'en chargera, avec 7 minutes d'une composition exemplaire et d'un jeu de guitare particulièrement adapté.
Note : 15/20 Un album efficace mais qui laisse une vague impression de vide lorsque l'on tente de retenir des titres. Malgré quelques moments de bravoure, c'est la compostion et non pas la technique qui déséquillibre le CD.
A Retenir :
-Carmine St.
-Night After Sidewalk
-Fortuna

Kaki King - Legs to Make us Longer


Déja la présentation est plus naturelle, une magnifique et simple intro nous propulse dans ce qui semble être un album plus travaillé et équilibré que son grand frêre. Le célèbre Playing With Pink Noise en deuxième position nous rappelles par contre que la technique est toujours au rendez-vous avec une composition simple mais éfficace portée uniquement par la guitare.
C'est avec Ingots que l'album commence vraiment, les percussions venant parfaitement compléter l'ensemble des guitares pour un titre plus rythmé au refrain mémorable. Le morceaux suivant joue par contre dans un tout autre style, plus calme mais aussi intense, c'est typiquement le genre de morceaux qu'on aurait attendus avec de la voix (qui veindra plus tard). Néanmoint la meilleure composition et l'apparition inopiné de cordes sont très appréciables.
Le morceau numéro 5 est une suite spirituelle de playing with pink noise mais plus saccadé et lent. Il ouvre dailleurs la voie au deux prochains titres qui sont indissociable de pars leurs ambiance similaire. On notera par contre l'amusant Lies qui rappelle la musique du vieux New York des polars noirs d'avant ma naissance. Suivront 2 morceaux techniques impressionants toujours appréciable mais qui serviront surtout de préparation au dernier morceau My Insect Life.
De la même façon que dans l'album précédent, le dernier mais pas le moindre avec pour la première fois la voix légère de Kaki King portant magnifiquement la composition de 5 minutes (plus 3 bonus) comprenant aussi un solo dépassant allègrement le cadre de guitare accoustique. Un excellent point de départ pour la suite.
Note : 16/20 Plus travaillé et équilibré que son prédécesseurs, cet album est meilleurs presque à tous les niveaux sauf peut-être l'effet de surprise qui fais perdre de l'originalité à plusieurs titres.
A Retenir :
-Ingots
-Solipsist
-My Insect Life

Kaki King - ...Until We Felt Red


2 ans après son dernier album Kaki reviens avec de nouvelles idées et tiens bien à dépasser le stade de simple guitariste accoustique. Cela se remarque tout de suite avec Yellowcake, premier morceau affichant clairement les paroles au dessus de la guitare et force est de constater que celles-ci conviennent parfaitement à l'ambiance. La deuxième grande surprise viens de la chanson titre du CD qui marque le passage à l'électronique et la plus grande place attribuée à la batterie. Le mélange est assez surprenant, à tel point qu'on en vient à qualifier ce morceau d'expérimental par rapport à ses titres habituels.
Une fois passer ces mises en garde on entre dans le vif du sujet avec 8 minutes de chanson qui combine chant et électro dans une vaste composition combiné à des instruments étonnants ressemblant à des cordes chinoises. On retombe ensuite dans un travail plus classique de sa part, le tranquille Goby avec une basse bien ronde qui fait glisser l'ensemble et le fluidifiant. La chanson numéro 5 ici tent presque vers l'indie avec les paroles et un background plus simplifié. Mais c'est après la transition technique de Ahuvati qu'on retombe sur l'originalité de cet album, la chanson tranquille chanté et joué par Kaki King.
Des percussions toutes légères, un jeu de guitare hypnotique, les paroles chuchotées à notre oreilles et le solo intense de guitare électrique sont autant de bijoux que le morceau I Never Said I Love You transcende clairement tout son précédent travail, c'est une merveille. Ensuite le reste de l'album se déroule tel un tapis de musique avec First Brain et Second Brain en transition crescendo ainsi que These Are The Armies Of The Tyrannized une chanson dans la veine de Goby pour ammener vers la fin. La fin qui est elle même précédée de 2 morceaux court mais intense qui, faute d'être marquant, nous décolle l'esprit afin de mieux apprécier le grand finale : Gays Sons Of Lesbians Mothers. Le Clip étant assez éloquant sur la manière de l'avoir réalisé je n'insiterais pas sur sa mise en place de génie mais plutôt sur sa musicalité qui dépasse de très loin celle des morceaux qui se veulent "nouvelle génération de musique" en expérimentant à l'électro.
Note : 18/20 Plus difficille à écouter mais d'autant plus fort en l'appréciant, une véritable réussite pour redonner un coup d'accélérateur à sa déja très bonne carrière solo.
A Retenir :
-Goby
-I Never Said I Love You
-Gays Sons Of Lesbians Mothers

Le Choix Du Patron
Kaki King - Dreaming of Revenge

L'introduction faisant à nouveau étalage du mélange électro-accoustique en un très bon compromis est bonne mais pas indispensable. Bien plus intéressant le vrai début du CD se fais avec Life Being What It Is. Encore une fois les paroles de Kaki font merveilles, sa voix devient suffisament affirmée pour tenir tête à sa guitare sans que l'une ou l'autre ne se fasse concurrence. Elle donne le ton de l'album, relaxant et ouvert, une ambiance confirmé par le titre suivant bien qu'étant instrumental.
C'est surtout Pull Me Out Alive qui va marqué la "rupture", un morceau qui pourrait très bien faire partie d'un album indie rock conventionnel. Malgré un refrain mémorable, cette chanson ne rend pas totalement honneur à son travail précédent mais marque une volonté de s'ouvrir et de rendre accessible son travail. Heuresement Montreal nous remmetra bien vite sur le terrain désormais connus de ces compositions rythmés électro.
On lui préfèrera cependant un Open Mouth presque fantomatique qui, porté par les cordes, le fais s'envoler avec notre esprit dans les hautes sphères de la musiques.
Pour nous reposer, le morceau suivant est construit de manière bien plus habituelle et sera une bonne remise à niveau pour attaquer la deuxième partie de l'album. Vient ensuite ce qui est probablement la plus belle performance de Kaki King en chant, Saving Days In A Frozen Head. Les paroles et le rythme hypnotique habille cette magnifique composition pour l'ammener, aussi simple soit-elle, dans nos oreilles.
On continue sur une vague plus expérimentalle avec Air And Kilometers duquelle les critiques (dont moi) s'accorde à dire qu'elle est une franche réussite. Tout un univers se met en place, entre calme et rythmé, relaxant et motivant à la fois. Un voyage musical de toute beauté.
La fin d'un l'album est toujours importante pour King, mais cette fois-ci ce n'est pas 1 mais 2 morceaux mémorable qui termine ce quatrième album. Le premier : Can Anyone Who Has Heard This Music Really Be A Bad Person ? est si tranquille qu'il calmerait n'importe quel individus pour peu qu'il écoute sincèrement. C'est à nouveau ici que le talent de compositrice de Kaki apparait dans toute sa splendeur. Le deuxième : 2 O'Clock est à nouveau chanté voir chuchoté dans des paroles émotionnelle jusqu'à un crescendo mémorable qui transcende à nouveau les autres artistes qui se prétendent à son niveau.
Note : 19/20 Peut-être pas autant travaillé et puissant que son prédécesseur mais bien plus équilibré et accessible, dans un album qui nous fais voyager dans tous les méandres du meilleur de Kaki King. Magnifique tant en une seulle entité qu'en 11 chansons disctintes.
A Retenir :
-Life Being What It Is
-Open Mouth
-Saving Days In A Frozen Head
-Air And Kilometers
-2 O'Clock

Et maintenant son nouvel album est sortit dont la review se trouve à cette adresse !

-------------------------------------------------------------------------------------------------

Kaki King est de loin la meilleure dans son domaine et ses talents de chanteuse, guitariste et compositrice ne cessent de prendre de l'ampleur l'ayant propulsés en 5 ans au sommet de son art. Ses quatres albums solos reflètes bien son évolution chacun ayant gagné en qualité tout en conservant ce qui fesait de son(ses) prédécesseur(s) une(des) référence(s) : La technique, la fluidité, la profondeur, l'ouverture.
En plus elle est mignonne alors quoi demander de plus ?

G.


Si vous avez aimés : les clips, sinon je conseillerais Björk pour un plaisirs de même niveau.

I don't wanna go, but I can't say I've had a good time doing anything...


Combo Breaker ! Nouveautés au rayon surgelés.

Salut les ptits lecteurs, voici quelques infos en vrac sur la vie, l'univers et le reste.

Nouvelle rubrique qui n'en n'est pas une : Artist Review. Si vous revenez sur movie review n°6 vous verrez qu'il sagit d'un post récapitulant la carrière (ou du moins partielle) d'un artiste dans le domaine du cinéma, de la musique, du jeux vidéo et pourquoi pas de l'écriture un jour ?
Se constitura donc de plusieurs review à la suite du travail d'un(e) artiste et de mes commentaires (mais probablement plus de note générale de l'artiste, pas envie de faire taper dessus). Après Tarantino les prochaines review à se sujet seront : Kaki King (musique) et Guy Ritchie (Film).

Voila sinon pas encore abandonné une partie livre si j'ai le temps (et les lectures) qui vont avec sinon prochaine cuisine du patron films et musiques ainsi qu'une review game d'ici pas trop longtemps sur MadWorld.

Continuer à lire, sinon mon sponsort va me caser la ******.

Bon aller c'est fini, y'en à marre, salut !

Movie Review n°18 : I'm Wolverine !

Attention messieurs les fans de x-men, voici en exclusivité la review du dernier épisode de la saga directement d'une salle de cinéma légale !

X-Men Origins : Wolverine

Fiche Technique-

Adaptation de comics sortit le 29 avril 2009 avec Hugh Jackman (Prestige, Australia) et Liev Schreiber (Les Insurgés, Sphere). Réalisé par Gavin Hood (total inconnus) adapté du comics X-men et plus particulièrement de l'histoire de Wolverine. Dure 1h45.
Genre : Comics, X-Men, Blockbuster

Synopsis-

Comment Wolverine à t'il perdu la mémoire ? Que c'était'il passé avec Stryker durant le projet Arme X ? et pourquoi "Dents de Sabre" cherche t'il à le planter depuis toujours ? La longue et ténébreuse histoire du grand Wolverine (ou Logan pour les intimes) ou Comment obtient on des griffes en adamantium ?

Décorticage-

Casting : Mauvais point par rapport au film précédent. Si Jackman est toujours autant taillé pour le rôle de Logan, les autres personnages sont bien mal choisis, Victor Creed (Dent de Sabre) en tête n'ayant rien à voir avec ces apparitions habituelles ou bien des personages comme Gambit ayant perdu leur classe avec leur passage au live-action. Oubliez également Deadpool qui n'a que le nom de fidèle par rapport à son illustre modèle. Les seuls cast réussis sont ceux des persos mineur ou qui n'avait pas vraiment de tête marquante dans le comics. Clairement en retrait par rapport aux autres adaptations récentes.

Scénario : Si les évènements de l'histoire de Logan sont bien présent, ils sont souvent dans le désordre et s'intègre bizzarement aux épisodes suivants (Xavier qui marche O_o). De plus la prise de position bloqué sur Wolverine empêche d'autre personnage récurrent (comme Gambit) d'avoir un vrai rôle et se voit donc cantonnés à donner la réplique et à mourir sans préavis. Autre problème, tous les persos viennent du comics mais la plupart (sauf Blob et 1 ou 2 autre) sont très mal mis en valeur et ne laisse qu'un gout de "persos original sans visage plaqué sur un concept existant sans vraiment de personalité". Sinon, il reste prévisible surtout au niveau de l'histoire d'amour cousue de fil blanc et de la séparation Creed/Logan mais il permet quelque scène d'antologie du cinéma d'action.

Victor Creed (Alias Dents de Sabre) dans son remis nex-gen.

Bande-Son : La musique composé par Gregson-Williams (l'impression de l'entendre tout le temps lui) donne comme toujours un aspect bien épique aux scènes d'action mais rien de plus ou de moins que celle des autres épisodes. Efficace mais pas mémorable.

Aspect Visuel : Bon et mauvais coté. Citons en vrac pour les mauvais des griffes entre 3D et plastique, un gambit modèle "petite frappe", un deadpool modèle "méchant sans visage", des pouvoir de mutants à peine impressionant (super force, original !)... Par contre les bastons sont bien maitriser et on sent le délestage du porte monnaie sur des scènes de combats redéfinnisant le concept d'"Effet Spéciaux".

Résultat-

15/20 Après cette liste de défaut longue comme mon déficit budgétaire pourquoi donner 15 ? Tout simplement que 15 est ici la note cinématographique pour ceux qui ne connaisse l'univers que brievement et qu'y veulent du grand spectacle avec Hugh Jackman au sommet de sa forme. Eh bien c'est réussis. Maintenant, si vous êtes fan comme moi et que vous vous attachez à espérez une adaptation aussi réussis que le numéro 1 voici la note que vous devez regardez : 12/20. Oh, détail, Deadpool n'a de nom que pour ameuter les fans, n'espérez pas voir ca.

Les + :

-Baston Grandiose
-Hugh Jackman
-Bande-son motivante
-Effet visuel mémorable

Les - :

-Scénario fluctuant
-Histoire d'amour à 2 balles
-Seconds rôles baclés
-Deadpool sux
-Xavier marche
-Gambit est homosexuel

Si vous avez aimés : Vous aimez donc soit : Les Blockbuster, donc brachez Spider-Man, Pirate des Caraibes, X-men (les autres) et j'en passe, ou soit les adaptations de Comics, donc branchez Iron Man, Batman, Incroyable Hulk et j'en passe.

La Chanson du Mardi Soir : Pastoral

Dans ce monde de béton, de métal et de plastique un petit retour à la nature s'impose de temps à autre et j'ai exactement le morceaux qu'il vous faut en ce doux printemps :

Mahavishnu Orchestra - Pastoral


Définition de Pastorale sur Wikipédia : [...]"évoque une forme d’harmonie originelle entre l’homme et la nature."
Déja marqué "Love" sur Last.fm depuis un moment ce morceaux tiré de l'album Visions of the Emerarld Beyond est celui qui a particulièrement retenu mon attenton ces derniers temps. Ne durant que 3 minutes (et 40 sec d'intro) il fallait vraiment que le morceaux fasse sensation pour passer au dessus de Eternity's Breath (Chanson du Mardi Soir 4 juin 08) mais force est de constater qu'en 2 minutes le groupe insuffle au morceaux une ame grâce à un style de jeu totalement différent rappellant plutôt un orchestre de type celtique. L'ambiance mis en place par le "sampling" de chant d'oiseau et la présence importante du violon de Jean-Luc Ponty offre un réel plaisir à l'auditeur qui est transporter dans un forêt pleine de vie. Dommage qu'il soit si court, un album entier basé sur ce concept aurait pu être absolument magnifique...


Oh Lord Supreme Supreme, let me fulfill thy Will !

mardi, mai 05, 2009

La Cuisine du Patron : Après-midi pluvieux.

Bientôt les vacances (haha) et vu le nombre de film récent plus ou moins intéressant qui sont sortit en 1 ans une petite cuisine du patron s'impose.
On débute par un film "gentil" : 21 Las vegas

Sorti en juin 2008, ce film raconte l'histoire plus ou moins vrai d'étudiant qui s'amuse a conter les cartes au Black Jack. Vu au travers du meilleur étudiant de Harvard (genre) on à le droit au tous les classiques du teenage movie a savoir, le héros un peu loser (pas de thune dans cet exemple), ces coapins geeks qu'il va abandonner avant de revenir en pleurant, la nana super canon qu'il le remarque seulement quand il joue... Mis a part les stéréotype un peu énervant on a tout de droit à quelque perso marrant (Kevin Spacey de Usual Suspect et Morpheus) et à quelque moment de bravoure (notamment du au fait que le héros soit surdoué).
Au final sympa et regarde facilement mais pas non plus du grand art façe à des poids lours du casino comme Ocean's 11 et j'en passe.
Note : 14/20

Un peu plus récent et prestigieux : Burn After Reading

Le dernier film des frères Cohen (The Big Lebowsky et No country for old men) est a nouveau une comédie dark et loufoque comme ils les apprécient et se permettent les acteurs branchés du moment (Brad Pitt, Clooney, Malkovich...). Le scénario est du grand n'importe quoi, des employés du gym club qui tente de monnayé des informations secrête qui n'en sont pas entre tout le monde qui trompe tout le monde et un tas de quiproquo plus épais que le maquillage de Britney Spears. Le jeu d'acteur est assez intéressant, Brad Pitt notamment se déchaine en sportif niais, et situation sont bien travaillés mais il manque quelque chose. Malgré plusieurs moments de bravoures, le film manque de punch ne parvient pas vraiment à faire hurler de rire. J'ignore si c'est moi qui suit peut-être moyennement réceptifs à ce genre de comédie mais je vais avoir du mal à le conseiller.
Note : 12/20 Si ce type de film vous fais rire rajouter au moins 4 points pour le jeu des acteurs et la mise en situation totalement idiote.


On revient un peu en arrière : Wanted, Choisis ton Destin

Adapté d'un comics absolument excellent et qui n'a rien à voir ce film de juillet 2008 est surtout une excuse pour Angelina Jolie et un branleur pour flinguer tout ce qui bouge a l'aide de 2-3 concept sympatique comme celui de mettre des HS dans le dos. Malgré un jeu d'acteur totalement plat et un scénario qui tiens sur la tranche d'un demi confettit, il reste regardable surtout grâce à la dynamique des scènes d'action. Véritable nouvelle référence, en ce qui concerne les cascades automobiles par exemple, pour l'action en général et les dialogues construcifs (surtout ceux repris du comics ^^) toujours marrant, un bon film du samedis soir.
Note : 14/20 De l'action à l'état pur.


Même période : Tonnerre sous les Tropiques


Dans le domaine rare du "film dans le film" certain se démarque plus que d'autre. Sur le papier Ben Stiller (La Nuit au Musée) est le réalisateur et l'acteur principal dans cette caricature de film d'action idiot. Avec des personnages tous plus stupides les uns que les autres (mention spéciale à Tom Cruise en producteur mégalomane) et un scénario qui mixe quiproquo avec bande de pirate asiatiques comment cela pouvait mal tourner ?
Note : 15/20 Hilarant par moment mais quelque longueur en millieu de film.



Voila c'est tout pour ce soir, à demain !

Anime Review n°8.75 : Naruto Movie

Après un "Bleach Movie" abominable quoi de mieux qu'un petit comparatif avec son rival de toujours :

Naruto Shippūden 2: Bonds

Synopsis-

Alors que Konoha est attaqué par une bande de ninja en aile volante, Naruto, Sakura et Hinata doivent protéger un grand soigneur et son élève vers un village touché lui aussi par les "Ninjas du Ciel". Naruto va alors devoir luter contre un complot d'envergure contre Konoha et la présence de Sasuke ne facilitera pas les choses.

Décorticage-

Animation : Par rapport à l'animé dans ses meilleurs moments l'animation de cet OAV est largement au-dessus et se permet des passages en 3D d'une qualité impresionnante. Par contre les combats sont toujours traité de la même façon.

Son : Pour une fois, la bande-son est très prenante, entre les musiques de combats et le nouveau thème de Sasuke, la qualité est au rendez-vous. Les voix sont fidèles à elles-mêmes dans leurs bon et mauvais coté, pas de surprise de ce coté là.

Histoire : C'est là que le bas blesse. Avec des ninjas volant (qui ont 2 minutes de screen time) et une forteresse sortit d'une jungle inexpliqué, la crédibilité de cet opus est déja largement entamé mais c'est avant d'avoir découvert les 2 médecins sans aucun charisme et le méchant "super sayan 3". Même Sasuke (dans ses 3 minutes de screen time) parviens difficiliement à relever le niveau, la faute à une gentiesse innapropriée dans ses actions. Seul les combats (assez fréquents) remontent le niveau ainsi que la mise au placart de beaucoup de persos qui volait du screen time.
Sinon le scénar reste du niveau shonen : l'amour, protéger les siens, montrer sa détermination, rasengan et j'en passe. (Attention ! Si vous regardez ce film n'essayé pas de comprendre pourquoi en pleine attaque des supers ninjas volants contre Konoha, ils envoient 3 de leurs meilleurs ninja protéger un inconnus et une gamine en formant alors un groupe comprenant 4 médecins sur 5 personnes...O_o.)

Perso : Pas de grande surprise, les méchants sont anti-charismatique et les 2 sidekick on autant de présence qu'une pierre dans la montagne. On sent que toute l'attention à été porté sur les (courtes) retrouvailles de Naruto et Sasuke car les autres personnages ne servent qu'a donner la réplique et éviter les trous dans le scénar (où ils échouent lamentablement).

Appréciation : Un peu mieux qu'un simple hors-manga (comme les épisodes d'en ce moment) mais toujours bas de gamme. Se laisse tout de même regardé pour les combats/explosions fréquentes.

Résultats-

10/20 Après un Bleach catastrophique et un Naruto Shippuden movie très moyen, cet épisode est finalement regardable si on a vraiment aucune espérance. La production générale (animation et sonore) est excellente et les nombreux combats se trouvent renforcés d'un dynamisme rare dans ce type d'anime. Cepedant, l'histoire ridicule et baclé n'étant qu'un prétexte pour réunir (brievement) les 2 protagonistes est toujours aussi mauvaise, sans compté le design des persos qui ne restera pas dans les mémoires (sauf peut-être comme référence de nullité). A noter une copie flagrante du design de Laputa, Le Chateau dans le Ciel (Miyazaki) et de Dragon Ball Z (commun au hors série récent).

Les + :
-Une bonne animation
-Une bande-son de qualité
-Des combats prenants

Les - :
-L'histoire
-Le Design des lieux et persos
-Le rôle mineur de Sasuke et des méchants en général.

Si vous avez aimés : Le premier film Naruto Shippuden est passable sinon rabattez vous sur l'anime, le manga ou Bleach. Autrement les shonens récents de baston (D-Gray Man...).