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Bientôt sur le blog : Rattrapage du retard !

dimanche, octobre 31, 2010

Game Review n°29 : The Devil's Playhouse

Alors que de nombreux joueurs s'étripent sur Starcraft 2, Civilization, ou bien attendent WoW Cataclysm avec impatience, moi j'ai trouvé la voie. Voici le coup de cœur de cette fin d'année, voici :

Le Choix Du Patron
Sam & Max : The Devil's Playhouse

Fiche Technique-

Point'n Click déjanté développé et éditée par Telltale Games sortit entre avril et aout 2010 sous la forme de 5 épisodes. Puisqu'il s'agit de la saison 3 de Sam & Max j'ai décidé de faire une review générale plutôt que de parler épisode par épisode pour éviter de trop spoiler.

Décorticage-

Sam & Max, c'est un peu la récompense au fans pour leurs dévouement. Après un épisode mythique de la grande époque LucasArt, la suite avait été attendus longtemps avant d'être finalement annuler lorsque que le studio à décidé de fermer sa division réflexion au profit de la division "Traire au maximum la franchise Star Wars". Il à donc fallu attendre la bande de rigolo de Telltale pour qu'enfin le chien et le lapin reçoivent l'attention qui leurs est dû, avec ma fois, 2 saisons aussi déjanté qu'excellente. Après une attente fébrile voici que leurs nouvelles aventures sont disponible et sur une variété de support qui laisse penser qu'encore plus de gens vont craquer pour cette nouvelle saison.

Tout d'abord et, je pense, pour ne pas spoiler la dernière saison, le jeux commence en plein milieu de l'action et nous laisses nous familiariser avec un nouveaux jeu de commandes qui permet maintenant de jouer entièrement à la souris. Si les joueurs PC n'y verront pas de différences majeures, les joueurs consoles devraient appréciés qu'on ai pensé à eux, le genre "Point'N Click" s'adaptant peu à la maniabilité manette.


Le Trailer de présentation est bien classe, le moins qu'on puisse dire c'est qu'il donne le ton

Passé ce tutorial gameplay et enfin avalé ce fous rire déclenché par les premières minutes de jeux, on entre dans le scénario de plein pieds qui, sans vraiment spoiler, s'articule autour de Max qui reçoit des pouvoirs psychiques. Si vous vous êtes déjà imaginez le chaos que vous feriez régnez avec 1 pouvoirs au hasard de X-men, imaginez un instant notre cher Lapin avec de la transmutation, lire dans les penser et d'autres pouvoirs amusants que l'ont découvre au fur et à mesure des épisodes. L'une des nouveautés majeure est donc de pouvoirs passer le contrôle vers Max, fonctionnalité utilisé tout au long du jeux pour résoudre les énigmes.
Si elles sont toujours aussi débiles et donc pas forcément facile, le système d'indice mis en place pour Monkey Island est ressortis ici et devrait convenir à chacun pour ne pas trop bloquer devant certaines situation parfois tiré par les cheveux (mais toujours trouvable dans la bonne disposition d'esprit). Concernant l'humour du jeu, j'en dirais peu, mais sachez que si vous avez apprécié les autres saisons, celle-ci s'inscrit dans la digne continué avec entre autre un épisode 3 particulièrement légendaire.
Il faut maintenant aborder les mauvais points...

Probablement un des meilleurs épisodes de trois saison confondus, digne de Reality 2.0 en terme de fous rire/sec.

C'est chose faites alors finissons cette review par mentionné le travail exemplaire de la bande-son qui est à nouveau de grande qualité et toujours composé par le génial Jared Emerson-Johnson.

Résultats-

-Graphisme : Le style cartoon est encore une fois au rendez-vous et conserve son charme acquis dans les autres saisons. Les environnements sont variés et toujours très bien pensés de sorte que même la traditionnelle rue principale apparaisse différente à chaque fois.

-Gameplay : De nouveau, pourquoi changez une équipe qui gagne ? Le nouveau maniement de Max est très intuitif et les joueurs consoles devraient appréciée les nouvelles possibilités de déplacement. Encore un bravo pour le système d'indice qui est aussi non intrusif qu'efficace pour nous débloquer dans les moments critiques.

-Son : Le doublage et la musique sont du même calibres que d'habitude et c'est très bien comme ça. Dommage seulement qu'il n'y est plus de morceaux chantés comme dans la première saison ("War, it's good for you" par exemple).

-Scénario : Toujours le point fort de cette série, l'ambiance décalé et le scénario farfelus mais crédible sont toujours d'actualité. On aime aussi beaucoup que chaque épisode se place dans un genre différent (film noir, SF, horreur...) et le jeu des flashback et des blagues à retardements est toujours maitrisés de bout en bout. On regretera simplement l'absence de quelques personnages classiques qui manquent à l'appel, Bosco en tête.

-Ambiance : Futurama rencontre Chtulu.

Note-

19/20

Plus les saisons avance et plus la qualité est conservé dans tous les épisodes et de 3 épisodes moyen dans la premier, on est passé à 2 dans la deuxième et maintenant il n'y a plus qu'un épisode qui parait légèrement plus fade que les autres. Une excellente saison, remplis de fous rire et de situation loufoques mais avec cette fois-ci son lot de drama et de suspense, une performance incroyable qui montre que même dans cet univers comédie déjanté, il y a encore de la place pour beaucoup de délire. Je pense que leurs description "Epic Comedy Saga" est aujourd'hui largement mérité et tous ensemble : longue vie à Sam & Max !

Les + :

-Une ambiance toujours aussi décalé

-Un scénario qui arrive même à insuffler du suspense avec tout ces gags

-Un gameplay enfin adapté à tous

-Vous le nombres de support disponible vous n'avez plus aucune excuse

-Un seul épisode un peu en dessous de la moyenne

Les - :

-Certains lieux et personnages déjà trop exploité n'apparaissent peu/pas (pas vraiment un moins)

-Plus de chanson digne de La Cançion de Los Mariachis... (ok je chipote)

Si vous avez aimés : Telltale c'est rarement planté jusqu'à maintenant et leurs nouvelle série de Retour Vers le Futur arrive à grand pas...


PS : Histoire d'enfoncer encore le clou voici une petite vidéo d'introduction qui chronologiquement se place juste avant le premier épisode de cette saison.

L'Album du Mois de Septembre, Musical Review n°29 : Poetry for the Poisoned

Après une fin d'année très power-métal avec Rhapsody et Blind Guardian, la fin de cette petite trilogie arrive maintenant, voici :

L'Album du Mois de Septembre 2010 :
Kamelot - Poetry For The Poisoned

Kamelot nous gratifies encore une fois d'une magnifique pochette, tout à fais dans leurs style

Groupe & Caractérisation-

Kamelot, c'est avant tout un des meilleurs groupes de power-métal du moment, mais c'est aussi l'un de ceux qui se fais le plus désirer. Mêlant des morceaux puissants et épiques avec des ballades chantées de toutes beauté, le groupe à sus se faire une réputation parmi les ténors du genre. Si cet album est aussi attendus c'est également que depuis les 4 derniers album ils n'ont fais que monter en qualité. Est ce que cet album saura se montrer à la hauteur de leurs anciens travaux ?
Sortit chez Edel Music depuis le 10 septembre.
Genre : Power-métal, Symphonique

Décorticage-

1-The Great Pandemonium : Une introduction électronique surprenante qui lance rapidement dans un morceaux étonnamment classique. Un coté un peu plus dark dans les couplet mais en maintenant une vitesse qui n'est pas vraiment dans leur style. Cet étrange changement de direction se confirme dans le reste de la chanson, seul le refrain nous ramènes brièvement en terrain connus mais clairement pas au niveau de Rule The World dans l'album précédent.

2-If Tommorow Came : On pourrait croire à une suite directe de la chanson d'avant mais dans un registre plus acceptable. On retrouve ce coté dark et surtout se rythme fixe qui donne largement moins bien que les morceaux symphoniques auquel ils nous avaient habitués. Déjà un peu meilleurs que la première tout de même mais pas mémorable malgré un solo pas mauvais.

3-Dear Editor : Une introduction au prochain morceaux qui donne le contexte, où apparemment le groupe à dus apprécié le Zodiac de David Fincher (Ce qui n'est pas mon cas).

4-Zodiac : Enfin je me sens chez moi ! Des couplets mystérieux et prenant, un refrain épique et classe, Kamelot reprend du poil de la bête avec en plus une très bonne addition de guest vocals pour animer un peu le background. Pas mal du tout, mais pas non plus le meilleur morceaux de leurs discographie.

5-Hunter's Season : On reste maintenant du classique Kamelot, un titre comme il y en à pleins dans leurs disco. Toujours pas mauvais mais malheureusement pas exceptionnel non plus. Se permet tout de même un bonne montée et un solo bien classe (Qui n'est pas du guitariste habituel d'ailleurs haha).

6-House on a Hill : Je ne sais pas quelle chanson ils ont repris de leurs catalogue mais le début fais clairement pensé à une autre de leurs ballade. Malgré ce sentiment un peu dérangeant et un agencement musical classique, la présence de vocal féminin est vraiment appréciable et donne un belle couleur à l'ensemble. Je vois que mon conseil pour l'album précédent (qui date quand de la 2ème musical review...) à été entendus.

7-Necropolis : Si le coté sombre des deux première chansons revient en courant, il est ici bien mieux utilisé et bien plus prenant. Le rythme lent mais épique conviens parfaitement bien, et le groupe nous prouves encore une fois qu'il s'agit d'un genre qu'il maitrise (March of Mephisto, on s'en souvient encore). Avec en plus un solo de bonne qualité, que demander de plus.

8-My Train Of Thoughts : (Dream Theater quelqu'un?) Plus sérieusement, la voix du chanteur fais encore une fois des merveilles sur un titre, qui surprend au premier abord mais se révèle être très puissante. Un excellent mélange de symphonique et de métal, on n'hésite pas à monter le son encore et encore.


La vidéo officielle de The Great Pandemonium qui est, hum, particulière

9-Seal of Woven Years : Comment se fait-il que la neuvième chanson à une meilleure introduction que la première ? Et ce n'est pas pour rien, on est vite présenté à Ghost Opera 2, un refrain symphonique épique et des couplets rapides pour garder la pression. Un bon changement de rythme aussi sur la fin qui laisse présager une série de solo de bonne facture.

10 à 13-Poetry for the Poisoned (I,II,III,IV) : Une chanson titre divisé en plusieurs partie "à la progressive métal", ils ne nous l'avaient plus fais depuis Karma, mais voyons si le jeu en vaut la chandelle.
La première partie commence par une petite introduction sympathique et continue sur une chanson très changeante, plutôt agréable. On à dus mal à se faire une idée, les couplets mystique enchainent sur les refrains à peine plus fort avant de nous sortir un petit solo de guitare de nul part. On repars ensuite à l'inverse sur du très rapide, très orchestral qui nous surprend avant de de nouveau retombé dans le plus lent (en sample d'ailleurs).
La deuxième partie arrive sans qu'on puisse sans rendre compte ce qui fais déjà pensé que la chanson à pu être écrite et joué d'un trait avant d'être séparé par la suite. Et quoi de mieux pour commencer qu'a nouveau la voix féminine qui viens mesuré le propos de notre chanteur favoris. Cette deuxième partie est clairement le cœur de la chanson, et on aime. Changement de rythme, solo de qualité, le reste du titre se déroule dans nos oreilles sans aucune limitation.
La troisième et plus courte partie apparait comme franchement dispensable tant elle reste dans la même ligné que la précédente, elles auraient pus être fusionné.
La quatrième et dernière partie correspond à la fermeture de l'album sur une conclusion épique. Elle se permet encore de placer tout ce qui n'avait pas pu être mis dans la reste de la chanson, correspondant ici à un final grandiose.

14-Once Upon A Time : EdenEcho 2, sans le moindre doute. Même vitesse, même ambiance, même style, toujours bon.

Résultat-

16/20

Alors que Kamelot avait très nettement atteint son pic avec Ghost Opera, il faut bien reconnaitre qu'ils avaient fort à faire pour ancrer cet album définitivement dans nos mémoire. On pourra surtout lui reprocher une irrégularité dans la qualité des chansons, avec un début d'album qui, franchement, nous renvoies 10 ans en arrières dans leurs discographie ce qui n'est pas un compliment. Mais passer cette première partie décevante, Zodiac lance l'album qui ensuite ne s'arrête plus, culminant dans une chanson titre aussi épique qu'excellente qui faire ravaler ses dents à la tentative de Rhapsody et celle légèrement meilleure de Blind Guardian. Pour arriver au niveau de son grand frère, je pense que l'album aurait du débuté à Dear Editor qui aurais servis d'introduction et ainsi couper les deux premières chansons.

A Retenir :

-Necropolis
-My Train of Thoughts
-Poetry for the Poisoned

Les + :

-Une ambiance sympa

-Plus de voix féminine

-Toujours un excellent chanteur

-Une chanson titre excellente et mémorable

Les - :

-Un peu inégal

-Aurait gagné à coupé les deux premières chansons

Si vous avez aimés : Forcément le Blind Guardian et Rhapsody du moment, sinon le dernier Apocalyptica n'est pas mauvais.

Movie Review n°39 : Fessebouc

Alors que certains se pressent déjà dans les cinémas pour voir Jackass 3D, les critiques (et les geeks) ont depuis longtemps tilté sur un film qui, je l'entends déjà, serait le "film de l'année". Voyons qui peut faire de l'ombre à Inception, voici :

The Social Network

Une tagline intelligente mais qui restait apparemment leur seul argument de vente...

Fiche Technique-

Pseudo Biopic réalisé par David Fincher (Fight Club, Seven, Zodiac...) avec Jesse Eisenberg (Zombieland) et Justin Timberlake (sans commentaire) . Sortit le 13 octobre 2010 en France avec voix en français, dure 2h et certainement tout public ou similaire.

Synopsis-


Alors que le jeune étudiant Mark Zuckerberg se fais plaqué par sa copine du moment, il se lance dans la programmation d'un site qui va lui apporter une gloire aussi fulgurante que dangereuse, Facebook.

Décorticage-

-Casting : Puisqu'on parle de drame, il est plus que nécessaire d'avoir des acteurs crédibles et fort heureusement c'est paris réussis pour Fincher qui, en plus d'avoir un cast peu engageant (Justin Timberlake c'est à toi que je pense), arrive très bien à les diriger dans leurs rôles complexes. Un excellent Jesse Eisenberg porte le film dans un rôle de geek qui n'est pas des plus surprenant pour ceux d'entre nous qui devrait facilement reconnaitre certains comportements. Le reste du casting est très satisfaisant également, rien à redire.

-Scénario : Si la campane marketing nous avait laissé présager l'histoire de Facebook, il n'en n'est rien. C'est avant tout l'histoire de Zuckerberg, l'histoire d'un ascension peut-être trop fulgurante, l'histoire d'une amitié qui est mise à rude épreuve avec l'accès à la célébrité et le tout romancé pour faire du bon cinéma dramatique. Si on ne peut que saluer la performance de Fincher d'avoir réussis à rendre intéressante une histoire de geek de l'informatique, il faut bien avouer qu'on reste dans un certains classicisme, la mise en scène minimaliste n'aidant pas à graver le film dans les mémoires.

La bande-annonce n'est pas mauvaise mais elle donne vraiment l'impression que le film tourne autour de Facebook, ce qui n'est pas le cas...

-Bande-son : Une BO plutôt cool notamment grâce à la présence de Trent Reznor, alias NIN qui donne à la bande-son un coté sombre et électro très adapté mais surtout au moment où on l'a remarque car elle sait se faire régulièrement discrète. Les voix françaises sont satisfaisantes, un bon point pour ne pas avoir traduit les expressions "informatiques" qui donne un petit coté geek à l'ambiance ("un petit wget et c'est dans la poche.").

-Aspect Visuel/Ambiance : Je pense qu'on peut clairement dire que Fincher ne fais pas dans une réalisation flagrante et c'est toujours aussi vrai avec ce Social Network. Si la mise en scène épuré et minimaliste laisse la part belle aux émotions et au scénario, je trouve à titre personnel dommage que le réalisateur ne nous ai pas gratifiés de quelques visuel purement informatique dans la série "voilà ce que c'est votre site internet en fait, des lignes de codes".

Résultat-

17/20

Que dire sur ce film, si ce n'est que David Fincher à réussis un paris osé, rendre intéressante une histoire que n'a clairement pas la même prise sur tout le monde. Grâce à un casting très contrôler et à un scénario quasi universel, le film n'a vraiment pas grand chose à se reprocher. Après, si beaucoup de critique l'on déjà pré-encensé de la mention film de l'année, je pense que ma vision de critique professionnelle se confirme, notamment dans un certains dénigrement du plaisirs fantastique comme Inception par rapport à une histoire de succès déjà vus trente fois dans des domaines différents mais dont la finalité est la même.

Les + :

-Casting toujours dans les clous

-Clin d'œil pour les geek spectateurs

-Histoire universelle

-Bande-son efficace

-Mise en scène épurée

Les - :

-Mise en scène épuré

-Finalement très/trop classique dans sa réalisation

Si vous avez aimés : Je vous proposerais bien Wall Street dans la série l'histoire d'un succès, sinon les drames ce n'est pas vraiment mon domaine, je manque de proposition intelligente pour le moment.

J'aime !


mardi, octobre 12, 2010

Game Review n°28 : Civ V

Aujourd'hui je vous parles de l'un des facteurs qui à ralentit ma production d'article, je veux parler bien sur du jeux de stratégie le plus en vogue en ce moment, voici :

Le Choix Du Patron
Civilization V
(et non pas Stracraft II)


Fiche Technique-

Jeu de gestion (4X) développé par Firaxis et édité par 2K games, sortit le 24 septembre 2010 avec voix et texte en français. Pour les incultes 4X viens de l'appellation anglaise pour X-ploration, X-pansion, X-ploitation, X-termination, les 4 stages importants de ce type de jeux mêlant aussi bien gestion que stratégie et parfois tactique.

Décorticage-

Alors que la série Civilization à déjà dans sa poche un grand nombre de fans de la première heure, attirer les nouveaux venus n'est pas chose aisé, surtout quand la "Civilopédia" rubrique "Concepts de bases" comprend environ 25 articles et qu'une simple partie peut facilement pousser sur les 10 heures de jeux, ont les comprends. Alors que certains en perdent leurs nuits et leurs week-end, d'autre fuient devant une interface surchargé d'information à prendre en compte et un Montezuma qui amasse sa cavalerie devant vos frontières. Alors, comment contenter les fans et donner envie à la nouvelle génération ?
La réponse est simple, le coup de balai !

Ah, Gandhi ! C'est mon paillasson depuis Civ IV : il trône joliment devant ma porte et quand il devient trop vieux et trop moche à force de marcher dessus, il suffit de le jeter.

Pour tout ceux qui ont jouée au quatre, le coup de balai se ressent surtout par un grand ménage dans le nombre d'options, de bâtiments, de merveilles et j'en passe. Concept rafraichis, "neurfé" et pour certains mis aux arrêts, les fans ne seront pas tous d'accord et on les comprends.
L'exemple qui marque facilement est l'absence de religion et de "Choix politiques" regroupés en un seul et même tableau dont la complexité, voire même l'utilité, par rapport à l'ancien système sont déjà remis en cause. Si certaines options reviendront certainement par le biais d'extensions, abandons d'un intelligent système de curseur réglable pour la part de production allouée à la recherche est déplorable.
Si la nouveauté des "Cité-états" n'est finalement pas si impressionnante que ce qu'on nous avait laissé envisager, les vétérans pesteront aussi face au petit nombre de leaders différents, dont l'équilibres laisse perplexe, surtout par rapport au très très efficace système de Civ IV. C'est peut-être le point sur lequel les nouveaux vont se sentir lésé car, il faut bien l'avouer, l'attrait principal pour un débutant de Civ c'est de faire combattre Jules César avec Mao Zedong à la renaissance ou bien de mener glorieusement Napoléon dans une guerre sans merci contre les cruelles armée de Gandhi.


Que celui qui me dise qu'il n'a pas envie de jouer après avoir vu cette vidéo soit bénis, il aura sûrement une meilleure vie sociale et plus d'heure de sommeil que moi...


Mais que les nouveaux joueurs se rassurent, ils ne vont pas y voir la même chose que les invétérés de l'économie spécialiste, en commençant par un point qui ravis : la refonte de l'interface. Il faut avouer que malgré le challenge de taille que représente afficher toute les infos sans brûler les nerfs optiques de joueurs, l'équipe à réalisé un travail remarquable dans cette excellente interface qui, en plus d'être très facilement manœuvrable, n'est presque jamais pris en défaut, et ce même en fin de partie.
Bien sûr la quantité de détails en déroutera plus d'un mais on à enfin le droit, à la place d'une éventuelle campagne solo sans grand intérêt, à un mode didacticiel qui saura vous faire traverser les premières couches de concepts basiques sans vous privez de votre liberté d'action. En effet vous serez à nouveaux amenez à choisir votre style favoris parmi un éventail monumental de possibilité allant de la pure conquête à une victoire culturelle.
Encore une bonne façon de voir les choses, la carte passe au forma hexagonal et interdit maintenant l'empilage d'unité sur la même case ce qui, étonnamment, allège énormément les guerres. Ainsi, aucunes pertes dans l'aspect stratégique qui se voit retrouvé ici dans le placement intelligent des unités, notamment des nouvellement capables "Tir indirect" ou enfin vos trébucher peuvent attaquer la ville autrement qu'au corps à corps.
Pour finir sur une bonne nouvelle pour les nouveaux joueurs, l'IA à décidé de revêtir sa plus belle parure de bot stupide pour non seulement vous offrir les joies de leurs réactions légèrement irrationnelle (quelle plaisirs de se faire insulter par Alexandre le grand alors que vos canon se mettent tranquillement en position devant ses piquiers) mais aussi pour vous donner la possibilité de jouer à un niveau de difficulté correct sans vous faire aplatir la tronche par les samurai de Nobunaga.

Résultats-

-Graphisme : De fort jolie graphisme qui sont plutôt bien optimisé, malgré le nombre important de chose à afficher. Si certains effet visuel sont plutôt sympathique (comme la modélisation des unités et des villes) il est dommage que les leaders ai perdus le petit look semi-caricatural de Civ IV. Par contre l'interface est une réussite de A à Z surtout considérant la complexité de la tâche.

-Gameplay : Malgré quelques coupes vraiment dommage, les vétérans ne devraient pas lâcher prise grâce à la carte hexagonal anti-stack qui change vraiment la donne. Pour les néophytes en revanche, c'est l'ouverture que vous attendiez tant, le coté user-friendly est bien plus présent comparé aux autres épisodes. Dans tout les cas, les nuits vont être courtes.

-Son : Le doublage français est plutôt honnête (légèrement en dessous de celui du IV) et on appréciera que les leaders des différentes factions parlent leurs langue d'origine (enfin je suppose parce que je ne saurais reconnaitre l'Aztec de l'Egyptien). La bande-son à mon feu vert, un excellent mélange comme à l'accoutumé de musique du monde et de thème épique.

-Scénario/Durée de Vie/Difficulté : Construirez-vous une civilisation qui résiste à l'épreuve du temps ? voila pour le scénar. La durée de vie est potentiellement x² par rapport à d'autre jeux où j'ai déclaré une durée de vie potentiellement infinie x. Ceux qui connaissent un peu leurs math sauront alors que devant une puissance, n'importe quel polynôme, même tendant vers l'infini, est négligeable. La difficulté peut-être très relevée au fur et à mesure que l'on se donne de plus en plus de handicap (une vision récurrente chez Civ) mais au moins le didacticiel combiné au premiers niveaux vous laissent une bonne marge pour vous familiariser avec le jeu.

-Ambiance : On gagne quelques citations légendaires en plus (notamment avec les merveilles) mais en échange le nombre de leader est revus à la baisse, dommage, car il s'agissait d'un argument d'ambiance puissant (construire la statue de la liberté avec Genghis Khan c'est fort quand même).

Note-

17.5/20

Les vétérans vont rager c'est évident, et de manière générale on ne peu que déplorer l'absence de certains concepts fédérateurs de la série, religion et diplomatie en première lieu. Mais commencez Civilization IV il y a maintenant quelques mois à été un tel calvaire, un tel parcours du combattants ne serai-ce que pour comprendre les mécaniques du jeu qu'avoir aujourd'hui un nouvel épisode plus user-friendly est vraiment un plus. Combiner à cela une belle refonte de gameplay avec la carte hexagonale et un coup de balais sur un peu de complexité inutile et se nouveau Civilization devrait induire une force baisse de productivité et de résultat scolaire dans les prochaines années, surtout si il se montre aussi généreux en extensions que son grand frère.

Les + :

-Complexité toujours présente

-Interface en béton

-Combat plus stratégique et plus dynamique

-Ambiance sonore

-Durée de vie positivement hallucinante

Les - :

-Bouffe-temps considérable

-Quelques coupes qui font mal

-Manque de quelques leaders bien charismatiques

Si vous avez aimés : Je suis surpris que vous ne soyez pas en train d'y jouer, une petite pause avant l'assaut final peut-être ? Si vraiment vous en avez fais le tour (ce dont je doute allègrement) vous pouvez toujours vous mettre à Starcraft II, la courbe d'apprentissage est assez intéressante.


I am become Death, the destroyer of worlds !

Combo Breaker ! Des news sur la pelouse

On va profiter d'un petit poste d'excuse sur mon manque de présence sur ce blog pour faire une petite preview de ce qui vous attends sur le blog pour la fin d'année.

C'est Bientôt Halloween !

-Au niveaux musique, vous aurez remarquez l'album du mois qui doit maintenant rattraper septembre et sûrement octobre avec la fin de la trilogie du power-métal et le dernier Satch probablement. En review pure et dure il me reste potentiellement en vrac le dernier Flashbulb, le dernier Apocalyptica, le dernier Grave Digger et la review surprise que le prépare depuis peu. Enfin eclipse devrait se voir enrichir de deux artistes avant la fin d'année, un post-rock et un psybient, le premier d'une future liste.

-Au niveau film, je me maintiens environ à jour mais notre calendrier cinéma tourne à la blague par rapport au sortie US, il faudra donc patienter pour les films que j'aimerais vraiment voir : Machete, Scott Pilgrim et sinon peut-être quelques review old-school (j'ai plus films qui attendents encore d'être visionnée). Et d'ici la fin d'année la prochaine Artist review cinématographique devrait voir le jour surprise quand à qui je la dédicace.

-Pour les jeux, une grosse review de la saison 3 de Sam & Max et Civilization V sont dans les starting bloc, autrement une review large sur ma ludothèque PS3 comprenant en autre : Bayonetta et MGS4. Vous remarquerez que la review de Super Mario Galaxy 2 c'est fais la malle finalement jugé trop évident pour me fendre d'un communiquer. Et enfin si le Call Of veut bien se décider à sortir, il aura droit lui aussi à une petite analyse.

Voilà, sinon désolé pour mon manque d'attention mais que voulez-vous, la reprise est toujours difficile.

A+

L'Album du Mois de Aout : Musical Review n°28 : Edge of Time

Ce n'est pas la première fois qu'un album du mois prend du retard et, une fois n'est pas coutume, c'est encore un album de power métal que je m'en vais disséquer, voici :

L'Album du Mois d'Aout 2010 :
Blind Guardian - At The Edge Of Time

Une pochette dans le style de Blind Guardian, toujours légèrement en retrait par rapport à leurs début...

Groupe & Caractérisation-

Le dernier album du groupe plus que légendaire de power métal Blind Guardian, fondateur presque à eux seul d'un mouvement qui à donner Rhapsody, Nightwish et bien d'autre en Europe. Concernant le groupe, je ne dirais rien de plus, de nombreux site se chargeront bien mieux que moi de relater leurs célébrité, je rapelerais simplement qu'il s'agit de le dernier album depuis A Twist in The Myth, en 2006, qui se révèla être un excellent album. Vont-il réussir à maintenir le niveaux ? La réponse tout de suite !
Sortit depuis le 30 juillet 2010 sur Nuclear Blast records.
Genre : Power-Métal, Symphonique


Décorticage-

1-Sacred Worlds : Au moins l'intro à le mérite de mettre dans l'ambiance et de montrer leurs budget. Dans la série métal symphonique, on est au première loge. Alors que doucement l'orchestre cède la place à la guitare dans une transition de grande classe on entre véritablement dans le morceaux qui conserve le son et la rythmique distinctive du groupe, l'épique en plus. La voix fidèle à elle-même et les paroles fantasy sont toujours au rendez-vous pour animer entre autres un refrain frisant l'excellence, un talent dont ils avaient déjà fais étalage dans leurs dernier album. Deux solos plus tard et un grande finale de tout beauté, le premier morceaux (conçus à la base pour le jeux Sacred 2) pourrait largement faire office d'album seul.

2-Tanelorn (Into The Void) : Fini le symphonique, c'est ici le speed-métal qui revient à la charge (une tendance souvent observé récemment). Ceux qui ne jurent que par le vieux style de Blind Guardian et les albums Somewhere Far Beyond et ceux de la même période devrait trouvé ici un écho à leurs prière. Dans le pure style de leurs ancien travaux et ce n'est pas pour nous déplaire.

3-Road Of No Release : Une descente old-school dans un style que certains connaissent bien, les cris power-métalesque emplissant toute la bande-sonore. Une façon agréable de ralentir l'album tout en restant dans un style classe. Encore un domaine où Rhapsody aurait beaucoup à apprendre. Si le genre du morceaux ne fais plus autant décoller, l'accélération du solo est, par contre, jubilatoire.

4-Ride Into Obsession : Bizzarement c'est ce retour dans le speed/power qui pêche un peu. Malgré de la bonne volonté, quelque chose ne colle pas. Peut-être le manque de prise de risque, ou bien la manque de puissance du à l'absence de symphonique ou bien encore le son un peu trop vieillot. Pas mauvais mais donne l'impression d'une fois de trop.

5-Curse My Name : Une amusante ballade en Folk-métal avec tout les éléments classique : flute, violon et cornemuse, qui ravira les amateurs de ce type de sonorité. De manière intéressante c'est ici que Rhapsody leurs renvoie la balle avec des morceaux folk qui, il faut le dire, ressorte bien mieux. Un valeureux effort néanmoins.

6-Valkyries : Plusieurs changement surprenant de rythme, un bon lyrisme. Cette chanson s'invite un petit coté progressif qui n'est pas pour nous déplaire, surtout que l'ambiance est totalement dans les cordes classiques du groupe.

7-Control The Divine : Fouettant comme je les aimes, ce morceaux commence par d'un bon rythme et nous maintiens accrochez grâce à une bonne ligne de voix et un refrain mémorable le tout enrobé dans une couche de power comme les alignes si bien le groupe. Avec suffisament de renouveaux pour relancer la chanson au moment cruciaux, une bien bonne addition. Dommage que le niveau du solo ais été prouvé légèrement en retard par rapport à Rhapsody ou surtout DragonForce.

8-War Of The Thrones : L'autre ballade, se place plus comme un classique de leurs style : le style prenant et lyrique codifié dans A Past And Future Secret. Si ici le titre n'arrive, bien sûr, pas au niveau du morceaux sus-nommé, il faut lui accordé qu'il se maintient largement grâce à une très bonne gestion de l'acoustique entre autre, ainsi qu'un petit apport symphonique bienvenus.


Le clip de A Voice In The Dark où le ridicule est proportionnel à la qualité de la chanson...

9-A Voice In The Dark : La deuxième chanson amené clairement comme un trophée pour les fans de la vieille école. Un rythme puissant et rapide, pas de fioriture et un refrain mémorable. On est en plein dans le bon filon de Blind Guardian.

10-Wheel Of Time : A en juger par le temps et l'introduction, cette clôture se veut aussi épique que l'ouverture de tout à l'heure. Tout aussi classe et épique que la numéro 1, je croit qu'on peu clairement dire que Blind Guardian est à l'aise dans ses morceaux plus fantasy et symphonique que certains ne voudront l'admettre. Rien à lui reprocher, une excellent conclusion à un bon album.

Résultats-

15/20

Alors que certains ont du mal à se renouveler, Blind Guardian nous livre ici un album classique mais très bien ficelés, avec une grande cohérence tout au long de ses 10 morceaux. Malgré quelques bas pêchant plus par manque de prise de risque que par réelle faute, ils sont largement compensé par une intro et une conclusion légendaire qui ferais rougir Rhapsody devant leurs très moyenne tentatives dans ce genre.

Les + :

-Des morceaux pour tout les types de fans

-Une intro/conclu qui fais honneur à l'album

-Une ballade qui n'a pas à rougir devant les meilleurs du groupe

Les - :

-Reste fort classique

-Tout de même en dessous du dernier

Si vous avez aimés : Le dernier Rhapsody mentionné régulièrement, sinon le dernier Apocalyptica et le dernier Kamelot sont dans les bacs.

La Chanson du Mardi Soir : Green Sophia

Aujourd'hui le blog reviens avec une petite chanson du mardi soir récente, voici :

Evan Bluetech - Green Sophia


Je pense que pour certains lecteur le nom de Bluetech ne doit pas être inconnus par contre Evan... ?
Alors pour tout le monde, un petit cours sur Bluetech et ses alias :
Bluetech c'est quoi ? De la psybient plutôt tranquille dans la même veine que Side Liner par exemple, qui c'était fais remarquer à mes oreilles avec un premier album Prima Materia et l'excellente chanson Leaving Babylon.
Alors que d'autres artistes à la productivité restreite vinrent rejoindre ma playlist, Bluetech, lui, se matient à un rythme formidable de presque un album par ans ces derniers temps.

Mais depuis 2005, Bluetech s'est offert une paire d'alias, Evan Marc et Evan Bartholomew (son vrai nom me semble t'il). Ces derniers opérant chacun dans un style légèrement différent (Marc est plus minimaliste, Bartholomew plus conceptuel) et viennent grossir les rangs d'une discographie de qualité.
C'est tout juste l'année dernière qu'un petit single est disponible sous le nom Evan Bluetech et la première chanson, Green Sophia est un excellent exemple de la direction assumé d'Evan depuis ses derniers albums. Alors non seulement la chanson est super mais vous voulez la meilleure ?

Le single est disponible gratuitement sur son site alors vous n'avez aucune excuse pour ne pas tester cette chanson du mardi soir.

Sur ce, à la semaine prochaine (sic) !