En ce moment sur le blog : Movie Review Avengers ; Review DragonForce ; Game Review SSX
Bientôt sur le blog : Rattrapage du retard !

mercredi, décembre 30, 2009

Bonnes Fêtes !

Un petit post pour vous souhaitez un joyeux anniversaire pour Isaac Newton (25 décembre) et pour Val Kilmer (31 décembre).

Vla le temps des fêtes ! Joyeux noël, bonne année, bonne santé et j'en passe !

Game Review n°21 : Dead for Left 2

Une petite review, la dernière de l'année, pour finir en beauté voici :

Left 4 Dead 2

Fiche Technique-

Jeux de massacre de zombies (FPS/Beat 'Em All) , suite de Left 4 Dead (Game Review n°16) développé et distribué par Valve sortit le 19 novembre 2009 avec dans les rôles principaux Ellis, Rochelle, Coach et Nick. Existe en français, jouable en solo, multijoueur (y compris xbox live invité) sur PC et xBox 360.

Décorticage-

Graphisme : Toujours et encore sous le moteur source, celui-ci nous ressert ses textures grossières mais cette fois-ci avec une ambiance visuelle plus originale et bien plus amusante.

Gameplay : Tous ce qu'on peu attendre d'une suite, le gameplay de base n'a pas changé mais gagne en possibilité avec plus d'armes (dont les nouvelles armes corps à corps), plus de zombies spéciaux et plus de variétés dans les situations (courir pour désactiver une alarme, tenir la fin du niveaux pendant un concert de rock, allez cherchez du soda pour un planqué...). Cependant force est de constater que tous les nouveaux contenus aurait pu sans peine être ajouté dans Left 4 Dead premier du nom.

Son : Quelques thème musicaux sympathique qui viennent au moins changé un peu des "zombies par ci, zombies par là, je recharge !..." On appréciera beaucoup les zombies spéciaux qui "gargouillent" tous d'une manière différentes, facilitant ainsi leurs repérage.

Le cast est moins charismatique que celui du premier mais mieux armés.

Durée de vie : En solo compter au moins... 4/5 heures pour débloquer les succès "finir les campagnes" et ensuite passez au multi. Si vous n'avez pas (ou n'aimez pas) le multijoueur, vous pouvez désinstaller le jeux. Autrement réfléchissez bien avant de perdre ce qui reste de votre vie sociale.

Ambiance : Cette suite apporte un très agréable changement de décors et les 5 campagnes, toutes imprégnés de Louisiane profonde, se font agréable à parcourir malgré certaines parties coupe-gorge en multijoueur.

Résultats-

16/20 Bien plus complet que son prédécesseurs, il frappe fort et améliore tous les aspect de cette formidable expérience. Plus de tout et de grande qualité, le mode multijoueur promet de longue soirée à chasser du zombie et de nombreux moment de délire du coté des survivant ou des infectés. La seule ombre au tableau est la désagréable impression que les joueurs du premier se sont fais arnaquer en achetant la démo au lieu du jeu final.

Les + :

-Gameplay toujours efficace

-Plus de tout

-Meilleure ambiance visuelle et sonore

-Durée de vie potentiellement illimité

Les -

-Le moteur graphique qui se fais vieux

-Contenus encore à la limite de l'acceptable par rapport à d'autre jeux

-Casting bien moins inspirés que Bill & Co.

-Aurait du être Left 4 Dead tout court

Si vous avez aimés :
cherchez dans tous ces joyeux FPS multijoueur de valve (Team Fortress 2, DoD Source...), mais vite car ils sont encore en promotions. Sinon on se voit sur les serveurs !


dimanche, décembre 20, 2009

Movie Review n°29 : Avatar

A peine au cinéma et déjà review, bande de veinard vous allez savoir avec certitude (ou presque) si ce film tient ses promesse :
Le Choix Du Patron
Avatar


Fiche Technique-

Film de science-fiction réalisé par James Cameron (Terminator, Aliens, Abyss...) sortit au cinéma depuis le 16 décembre avec Sam Worthington (Dernier Terminator) et d'autre gens. Visible en français et 3D dans les cinémas qui vont bien, dure 2h50 !

Synopsis-

Dans un futur pas très proche, un marines paraplégique arrive sur la planète Pandora, seule planète où l'on trouve l'épice, pardon un cailloux qui vaut cher et pour pouvoir l'exploiter tranquillement on va devoir exploser les gentils indigènes qui squattent. Imaginez Pocahontas mais avec une interface qui permet à quelques choisis (comme notre héro) de se retrouver dans des corps d'indigènes afin de pouvoir s'en approcher.

Décorticage-

J'aimerais faire un décorticage complet du film mais pour éviter de donner trop d'information, vous serez cantonnés au résultats pur.

Casting : Le lead male est pas mauvais du tout, heureusement décerné à un acteur moins connus (et moins con) que la plupart des blockbusters. Les autres personages sont soient trop virtuel soient trop mineurs pour avoir uen mention, à l'exception de la biologiste cassante mais généreuse et du captain america de service qui prend son rôle à cœur.

Scénario : Frolant les classiques du genre les humains sont méchants, les indigènes sont gentils, le film s'appuie aussi sur une ambiance féérique et sur une évolution du personnage principal très convaincante mais attention à ceux qui n'aime pas se prendre des message écolo dans la tronche, il se pourrait que vous vous sentiez atteint. Toutefois ce n'est pas le point fort du film sauf si vous vous classez dans la catégorie spectateurs d'action auquel cas la deuxième moitié du film vous ravira.

Bande-son : Des musiques de qualités ponctues agréablement l'univers mais c'est surtout l'ambiance sonore en général, comme les bruitages ou la langue inventé des indigènes qui donnent au film sa couleur.

Aspect Visuel/Ambiance : Probablement le point le plus réussis du film, mêlant ambiance culture tribale avec un univers magique et réaliste à la fois, on est aspiré dès les premières minutes dans l'ambiance du film. Notons au passage l'usage intelligent de la 3D qui vient donner la vie à toute cette planète et qui ne dérangera que les plus maniaques d'entre vous.

Résultats-

19/20 La nouvelle référence en matière de film, que se soit sur le plan action que ambiance. Se plaçant sur différent niveaux (il peut se le permettre il dure 3h) chaque audience y trouvera ce qu'elle apprécie car même pour les blaser du cinéma fantastique, c'est un peu comme revoir Star Wars ou Jurrasic Park pour la première fois. Seul le scénario réaliste mais perdant légèrement en crédibilité vers la fin fera quelques insatisfaits.

Les + :

-Ambiance unique

-Immersion totale

-Cast sympathique

-Message écolo à large spectre

-Ambiance sonore parfaite

-Niveaux des visuels, surtout en 3D

-Mélange action et réflexion

Les - :

-Rebondissement du scénario prévisible

-Perte de crédibilité au profit de ramassage de plus grand public (vraiment un - ?)

Si vous avez aimés : c'est un peu normal. Je vous conseillerais bien Star Wars, Jurassic Park, Le seigneur des anneaux...enfin toute cette joyeuse fantasy mais vous les avez surement tous vus alors...

jeudi, décembre 17, 2009

La Chanson du Mardi Soir : Hicksville.

On continue dans les bon morceaux de psybient, ceux qui font tripper avec :

Celtic Cross - Hicksville

Tiré de l'album de Celtic Cross (voir la dernière Cuisine du Patron) comme première chanson et chanson titre, nous voici encore en présences d'une production S. Posford. Et quel pied ! Originalité, complexité, détail, précision, autant d'adjectif qui serve à qualifier le travail de Posford dans pratiquement tous ses projets (Hallucinogen, Shpongle, Dub Trees, Younger Brother...), tous ce que ce génie touche, il le transforme en or auditif. Cet album de Celtic Cross ne fais pas exception, avec une bonne proportion de morceaux de qualités, on retiendra tout de même la chanson titre : Hicksville, pour la ligne de corde au milieu de la chanson, un véritable morceaux de bravoure à rattacher avec Shpongle Spores.

La Cuisine Du Patron : Frappe Nucléaire Tactique

Victoire instantané et peu de retombé radioactive, que demandez de plus ?

La Cuisine Du Patron :

Flim


Brazil : Premier grand film (après les Monty Python bien sur) de Terry Gilliam, un excellent prologue à ses prochains (Las Vegas Parano, L'Armée des 12 singes...). Une sorte de craquage à la 1984 en un plus fun mais pas moins dérangeant, portée par une bande-son et des personnages mémorables. Un excellent modèle de faire ce qu'on peu avec ce qu'on à.

Le Bon, La Brute et le Cinglé : Pur délire coréen d'inspiration western en Mongolie intérieur avec des personnages fendart, des situations rocambolesques et une ambiance très agréable. Une très bonne surprise dans un genre qui ne brille pas par son originalité.

Les Aventures du Baron Münchausen : Film de Terry Gilliam avec une bonne brochette d'acteur (featuring Uma Thurman à 19 ans dans le rôle de Vénus O.O). Très sympa, marrant et légèrement bricolé puisque tout les effets spéciaux sont réalisés avec les techniques mécaniques d'époques. Complétement marteau mais passe bien surtout avec de la bouffe.

Living In Oblivion : Un petit craquage pour expliquer l'univers des cinéastes indépendants avec Steve Buscemi dans le rôle principal. Très bien filmé et rendus intéressant et marrant grâce à un scénario maitrisé.

Transformers 2 : Meilleurs que le premier (merci mon dieu), notamment la proportion d'action qui passe du simple au double. Avec un budget colossal et des robot de 30m de hauteur, on commence à s'approcher d'une adaptation intéressante si ce n'est l'abominable scénario et les personnages insoutenables.

Games


Civilization 4 : Explosant de possibilité et base sur un système en béton, les seuls défauts sont : l'absence de tutorial (arg) et l'aspect chronophage du jeux.

Dragon Age Origins : Très bon successeur de Baldur's Gate malgré une difficulté mal géré, un équilibrage douteux et une ambiance vus, revus et rerevus. Méritera une vraie review si j'y rejoue un jour.

Painkiller Ressurection : Seulement 6 niveaux, aucune nouveauté et un level design abominable, ai-je besoin d'en dire plus ? L'IA est affreuse aussi.

Tekken 6 : Le retour de la meilleure série de jeu de baston 3D est fidèle à sa réputation. Déjà acclamé comme le meilleur depuis Tekken 3, avec beaucoup de perso (donc de style de jeu possible) et une variété de coup impressionnante. Le reste est bof par contre (surtout le mode histoire).

Music

Archive : Triphop basé en france avec une légère évolution vers le progressive. A voir au futur festival des artefacts.

Celtic Cross - Hicksville : Posford avec Youth, ca donne du très bon craquage, surtout en flac. L'album remix n'est pas mal non plus, de loin.

Desert Dwellers - DownTemple Dub Roots : Se rattachant à de la psybient mais avec une ambiance et des sonorités différentes, ce troisième album continue sur la courbe d'originalité et de fraicheur de ses prédécesseurs.

Grails - The Burden of Hope : Sombre, triste, frais. Du post-rock et en même temps autre chose. Encore du travail pour Eclipse.

Medeski, Martin & Wood - Radiolarians 2 et 3 : Toujours du très bon pour Medeski & Co, avec une série de trois Radiolarians originaux, frais et décalés. Un travail pour eclispe à n'en pas douter.

Rodriguo y Gabriela - 11:11 : Le dernier album du duo de guitariste acoustique est le premier à passer les tests d'entrée de ma playlist avec une des sonorités variés et de très bonne compo. Toujours un peu trop de flamenco à mon gouts mais bon... A voir au futur festival des artefacts.

Et encore pas mal d'autre chose qui faut que j'écoute...

Série

Dexter après une saison de merde, le twist de la fin mérite à lui tout seul une vision (seulement 12 épisodes, vous survivrez en passant quelques parties trop chiantes). Je plaisante pas, la fin vaut Vraiment la saison !

House : pause de noël, toujours bien sympa notamment le dernier épisode.

Heroes : désagréable impression que les auteurs invente le scénario au fur et à mesure des épisodes. Pas encore aussi nul que Dexter mais attention, faut qu'il se reprenne vite.

Star Wars - The Clone War : La deuxième saison à débuté sur les chapeaux de roues et ne s'arrête pas prolonger admirablement la licence., bien que les derniers épisodes soient un peu craquage, comme hommage au film de zombie (Star Wars en hommage au film de zombie vous avez bien lus). Mais sa reste marrant alors bon, on va pas s'en plaindre.

Voila c'est fini pour aujourd'hui, avec ca, la fin d'année risque d"être bien remplie !

Movie Review n°28 : Henry Selick à l'honneur.

Bienvenus petit cinéphiles aguerris. Aujourd'hui une double review d'animation pour tous les fans de Stop motion et d'univers décalé, c'est partis !

James et la pêche géante


Fiche Technique-

Film d'animation des studios Disney, réalisé par Henry Selick (L'étrange Noel de Mr. Jack et Coraline) et produit par Tim Burton (tiens tiens). Inspiré de la nouvelle des années 60 du même nom, réalisé en stop-motion (L'étrange Noel de Mr. jack, Chicken Run...) et en live action. Disponible en français, dvd et dure 84 minutes.

Synopsis-

Alors que James, enfant rêveurs et généreux, est martyrisés par ses deux affreuses tantes qui s'occupent de lui (ses parents ayant disparus "mangés par une rhinocéros sortit de nulle part"), il obtient un jour des "langues de crocodiles" magiques qui vont lui permetterent de réalisés sont voeux le plus cher, allez vivre à New York. Mais tout ne ce passe pas comme prévus et les langues finissent par agrandir une pêche et ses occupants laquelle servira alors de vaisseaux vers l'Amérique pour James et ses nouveaux amis : le mille patte, la sauterelle, Mme L'araignée et plein d'autre. Cependant le voyage est long et semé d'embuche jusqu'à NY et les tantes se sont jurés de poursuivre et de punir le petit aventurier. Arriverons-t'il sain et sauf sur la terre de tous les espoirs ?

Décorticage-

Animation : Le mélange vieux stop-motion et visuel habituel fais beaucoup pensé au premier craquage de Disney dans le genre : Peter et Eliot le Dragon et autres. Cependant après avoir vus L'étrange noel de M. Jack, il faut bien reconnaitre que James ne se place pas au même niveau en terme de qualité bien que certaine scène soient visuellement attractives.

Son : Comme tous les vieux Disney de l'époque, les chansons sur l'amitié, la famille et autres joyeusetés sont toujours de la partie, mais ici elles sont le mérite d'être plutôt sympathique, s'inspirant de plusieurs thème connus des autres Disney. A noté que, comme la plupart des autres animations de cette époque, le doublage original n'est pas meilleur (voir moins bon) que le remarquable doublage français.

Histoire : Pleine de magie, de poésie et de bonne volonté, celle-ci est très agréable même pour ceux qui n'ont pas lu le livre original, mais comme toute les production annexe de Disney, elle n'égale pas les grands classiques et surtout elle à le malheur d'être sortie après l'étrange noel, qui se révèle être énormément mieux...

Perso : Dans la tradition Disney, on retrouve les gentils, les méchants, les comiques au grand cœur et les solitaires/solidaires quand viennent les ennuis. Pas très originals mais pas désagréable non plus, même avec une apparition bonus de Jack Skellington.

Résultats-

Note : 15/20 Très sympa, poétique et plein de bonne intention, aurait pu devenir une référence de l'animation Disney alternative si il n'avait pas eu la maladresse d'être sortie après L'étrange Noel de M. Jack( je sais je l'ai dit beaucoup de fois). Autrement il reste regardable mais manque tout de même d'un petit morceaux d'ame.

Le Choix Du Patron
Coraline



Fiche Technique-

Film d'animation Stop-motion/3D réalisé par Henry Selick (L'étrange Noel, James et la pêche géante) sortit récemment en dvd et bluray. Inspiré par une nouvelle de Neil Gaiman (Stardust) du même nom dans un genre fantasy sombre. Disponible avec voix française et dure 100 minutes (bon ok, 1h40 si vous préférez).

Synopsis-

Coraline est une petite aventurière de 12 ans (me semble t'il) qui vient de déménager dans le *rou du *ul des US, loin de la ville et de ses amis. Alors que ses parents n'ont pas de temps à lui accordés, elles se prends à rêver d'aventure et de nouveaux mondes jusqu'à ce qu'un étrange passage fasse son apparition dans le salon. Elle découvre alors un monde parallèle et comme un rêve, elle aimerais pouvoir y rester pour toujours. Mais que cache son "autre" mère, celle qui à des boutons à la place des yeux ?

Décorticage-

Animation : Utilisant des techniques d'anim dernier cris, combinés au charme du stop motion, on est en présence d'une des plus belles réalisations dans ce domaine. Combinés à une ambiance visuelle absolument superbe (très Burtonesque d'ailleurs), un véritable monument pour tous les fans de ce type d'ambiance.

Son : La bande-son étant composé par Bruno Coulais (un français) sur une ambiance sombre et mystérieuse (rappelant un peu The Path, game review n°17), on s'en délecte surtout dans les moments fort. Appuyé par un doublage original de qualité (le français me semble passable mais moins fluide) et par quelques chansons très agréable, encore un très bon point.

Histoire : Si le thème classique, "attention à ce que tu demande" n'est pas le plus original qu'on est entendus, l'ambiance qui mélange agréablement Tim Burton et Alice Au Pays Des Merveilles (avant l'heure) fais magnifiquement vivre le tout. De plus le film étant récent, l'aspect réaliste de l'histoire parait bien plus crédible que dans les vieux Disney basé sur se crédo.

Perso : Alternant entre des personnages fantaisistes et la petit Coraline, réaliste et très attachantes, on sent l'influence moderne sur un genre qui ne compte que peu de réprésentant actuel. Un vrai bol de fraicheur.

Résultats-

Note : 19/20, L'un des meilleurs film dans un genre peu représenté en dehors de Tim Burton arrive même à se hisser jusqu'à son niveau sans pour autant le dénaturer. S'inspirant du meilleur des histoires d'animation fantaisiste mais avec un coté réaliste et des techniques d'animation moderne, on obtient un savant mélange qui ravira petit et grand pour peu qu'il apprécie l'ambiance dark et mystérieuse dans lequel baigne tout le film. Du grand art.

Les + :

-Ambiance fantastique

-Bande-son et doublage original

-Coté réaliste

-Mélange entre animation moderne et charme du stop motion

-Personnage attachant et haut en couleur

-Hommage au grand nom du genre

Les - :

-Peut-être le doublage français...

-Qu'il y ai aussi peu de film dans ce genre

Si vous avez aimés : Numéro 9, Tim Burton tout de suite si vous les avez pas tous vus autrement repassez vous vieux et nouveaux Disney en filtrant la qualité. Si vous avez déjà vu tous ca...informer moi si vous trouvez quelque chose de similaire ^^.


Eclipse : mùm

Bien le bonjour sujet ! Et comment vont le verbe et le complément ?
Aujourd'hui ce deuxième épisode d'Eclipse vous proposes se revoir un groupe qui à déjà plusieurs apparitions remarqué dans le blog :

Eclipse present : múm

Depuis la musical review n°18 et l'album du mois de septembre on avait plus reparlé de mum depuis lors.
Petit rappel des fais : formé fin 90's par une bande d'icelandins au nom imprononcable, mum à réussis à se former une petite base de fan grâce à une approche musicale totalement originale.

Comment définir ?
Mélange d'instrument traditionnel, de boucle et bruits électroniques, le tout retranscrivant des ambiances différentes selon les albums (basé notamment sur des chuchotements), on aurait du mal à en faire le tout en 3 adjectifs.
Retenez surtout que c'est le seul groupe que je rapproche de The Books (Eclipse précédent) et c'est un compliment. Avec 3 premiers albums plus post-électro toujours sympathique à écouter, c'est surtout leurs récent nouveau départ que je trouve plus frais que jamais.



Si vous êtes intéressés je vous conseilles un petit tour sur youtube pour y voir des clips animés très sympa (mais aussi très symboliques), ca se passe ici et .

Autrement leurs albums sont dispo sur Deezer mais attention seul les albums de FatCat records ou 130701 records, les autres sont mal triés.
Dans cette optique je vous conseilles de partir du plus récent (Sing Along) et de redescendre dans la chronologie pour l'apprécié au mieux (les premiers albums en rebuteront certains qui n'apprécient pas l'électronique libre).
Autrement les albums/singles/Ep sont disponibles via FatCat records (squat de Sigur Ros également).

Bonne écoute et à la prochaine pour une petite pause d'originalité musicale.

Game Review n°20 : L'appel du devoir, guerre moderne numéro 2

Après tout le buzz qu'il à suscité et les ventes plus que rentables, il est temps d'analyser le nouveau protégé d'Infinity Ward :

Call Of Duty Modern Warfare 2



Fiche Technique-

FPS développé par Infinity Ward (la saga Call of 1,2,4) et édité par Activision, sortit le 10 novembre 2009. Voix et texte en français, disponible sur Xbox360, PS3, PC. Le test à été réalisé sur la version PC pour le solo et la version xbox 360 pour le multi-joueur.

Décorticage-

S'étant imposer en seulement 4 épisodes comme l'une des séries de FPS les plus appréciés (à juste titre), le dernier épisode de la série revient (comme le cycle l'avait prédit) à son premier exécutif, Infinity Ward qui s'organise un retour dans la guerre moderne là ou Treyarch avait préféré nous resservir la même sauce WWII (cf game review n°12). Reprenant là où Modern Wafare premier du nom s'était arrêter mais cinq ans plus tard, vous contrôlez à nouveaux un des membres de la Task Force 141 (les SAS) sous le commandement de votre ancien perso jouable (Soap Mactavish) et en alternance un troufion de base des Rangers. Commençons par le début, ce que l'on remarque tout de suite, les graphismes. Un mélange diablement efficace de situation réaliste et de course-poursuite hollywoodienne, les environnement sont variées et superbes, le tour du monde est un vrai plaisirs mais à contraster avec les missions américaines qui ne surprendront pas les habitués de Fallout 3 (Washington Monument quelqu'un ?). Le jeu se veut aussi jouable par tout le monde, comprenez ainsi aide inutile, jeux scripté jusqu'au moindre détail, limite de mouvement et ennemis parfois affligeant, le tout si vous jouez en facile. Mais attention car la remise à niveau des modes de difficulté vous proposera peut-être le mode vétéran, qui lui souffre surtout de l'IA en carton de vos équipiers, du nombres limités d'actions possibles (pas de décal, pas de roulade, pas de mise à couvert...) et des environnements coupe-gorge que vous imposes certaines parties du scénario. Bien que le spawn infini est pratiquement disparu (merci seigneur), on conseillera à nouveau le mode commando pour des sensations plaisantes et une difficulté équilibré.

L'assaut en hélicoptère d'une forteresse Russe en compagnie de Soap et du reste de la Task Force 141 fait beaucoup penser à The Rock.

Concernant le scénario, sachez que celui-ci n'a rien à enviez à un bon film d'action des années 90, avec son lot de course-poursuite, de drama américain et d'explosion à coupé le souffle. La grosse différence avec le film, c'est que cette fois-ci ce n'est pas Stalonne ou Seagal que vous regardez atomiser tout le monde, c'est vous qui jouez le rôle principal, et croyez-moi, ca vaut se pesant d'or. La variété des missions est aussi au rendez-vous, avec une moitié des missions (les US) qui s'apparenteront à du très classique FPS de masse (du type Rainbow Six Vegas & Co) et l'autre moitié qui vous flattera l'égo en vous propulsant dans une des meilleures forces spéciales du monde dans des missions suicides reléguant James Bond au rang d'amateur (paradoxalement, ce que Rainbow Six devrait être). Certains passage du scénario on beau vouloir frapper fort, on sent tout de même que le jeu est tourné d'un point de vue américain et donc nous touches forcéments moins (oh mon dieu, ils attaqués le capitol, comme c'est grave...) malgré un mise en scène maitriser de bout en bout. Multipliant les séquences épiques, c'est un concentrés d'action qu'on nous sert et sous une forme réaliste très plaisante. L'effet pervers est la durée de vie qui ne dépasse à nouveau pas deux jours, si tant est que vous jouez en difficile. Concernant le reste du jeu vous verrez un recyclage des passages cultes des 2 modern warfare dans les "Specials Ops" que vous pourrez heureusement jouez en coopératif une aprem pour rire et sinon le mode multijoueur. Partant sur se satané principe de jeu console, au revoir les serveurs dédiées avec beaucoup de joueur, un bon ping et des mods/maps originaux, bienvenue le matchmaking qui rame et qui empêche toute liberté pour le joueur (attendez seulement que les premiers pack de maps payants apparaissent et vous verrez ce qu'on appelle le principe de vente forcée). En plus de ce mode très pénalisant pour les joueurs pc, vous retrouverez les traditionnels bonus déséquilibrés qui ne manqueront pas de faire croire au casual que temps investit=talent (merci la frappe nucléaire tactique d'instant win !).

L'enfer des "favelas", ou le traditionnel, "connard n°1, bouge ton cul et va tuer tout le monde, je suis fatigué !"

Pour finir un mot sur les bon points du gameplay, son minimalisme incarnés dans la précision des actions et des scripts mais aussi un nombre d'arme très impressionnant, permettant une personalisation de votre arsenal dans pratiquement toute les missions est un vrai plus. Autrement on salue aussi la bande-sonore composé par une grande pompe d'hollywood qui nous sert des thèmes orchestral épiques à chaque fois que le besoin se fais sentir et un doublage (anglais pour la coup) sympathique du coté anglais mais très douloureux du couté rangers (ouah et autre particularité du langage militaire américain).

Résultats-

-Graphisme : Varié et flattant le regard, on sent les moyens qui accompagnent le jeux. Même en abusant un peu des effets de flous (et autre technique narrative habituelle à Call Of), on renforce tout de même l'immersion non-stop pendant toute l'aventure solo.

-Gameplay : Nayant pratiquement pas changé d'un iota depuis ses débuts (en dehors d'un petit ralentit et de quelques QTE), c'est une force mais aussi une faiblesse. Offrant une précision sans égal et un plaisirs de jeux simple et efficace grâce au nombre d'arme pharamineux, on déplore surtout le manque de possibilité en vétéran, quand les ennemis peuvent sauter, rouler, décaler, faire du tir au jugé, se mettre à couvers ou profiter des déplacement tactique (courir en se baissant) et que vous êtes bloqués sur les possibilités habituelles dans un jeux scripté (donc interdisant presque toujours le contournement).

-Son : Alternant composition épique avec hurlement des soldats et bruits de mitrailleuses, on est pas loin de la perfection. Seul la façon de parler américaine en énervera plus d'un.

-Scénar/Durée de Vie/Difficulté : Le scénario est assez classiques bien que légèrement décousue, de sorte que certains détails troublent quand on y réfléchis un peu. La durée de vie est comme toujours très faible mais malheureusement ce n'est pas le multijoueur sur PC qui va la rallonger, puisqu'on se retrouve toujours plombé par les mêmes problèmes (abus des classes et matchmaking). La difficulté est bien dosé selon ce que vous choisissez au départ, surtout si vous prenez commando.

-Ambiance : "La guerre, c'est fantastique !"

Note : 17/20 Perd un point à cause du multijoueur en mousse. En dehors de cette idiotie, saluons l'enchainement presque en permanence de scène d'anthologie, couplé avec une immersion totale. Un gameplay qui aurait demandé à être un peu plus varié et une durée de vie réduite sont les seuls vrais points noir de cette suite (voir aussi les missions américaines qui ne tiennent plus la comparaison avec les forces spéciales). A consommer sans modération chez quelqu'un qui l'aura acheté pour vous.

Les + :

-La guerre comme je l'aime

-Immersion totale

-Scène cultes

-Gameplay lissé

-Bande-son épique

Les - :

-L'accent américain

-Les personnages américain

-L'ambiance américaine

-Les missions américaines

-Le multi bidon

-la difficulté sauvage en vétéran

-le manque de vrais nouveautés

-dure une bonne aprem en solo

Si vous avez aimés : Les autres Call Of de Infinity Ward, Rainbow Six... Un bon film d'action.

"No Russians"