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Bientôt sur le blog : Rattrapage du retard !

vendredi, juin 12, 2009

Anime Review n°9 : Megamix Anime

Puisque les vacances sont toujours une bonne période pour mater un gros tas d'anime voici un résumé de tous ce que j'ai vu pour l'instant :

Ergo Proxy :


Dans un future dystopique, l'histoire tourmenté d'un jeune immigrant et d'une inspecteur de police pour élucider le mystère du "proxy", que le gouvernement tiens à étouffer. Avec une esthétique moderne et occidental, des personnages intéressants et charismatique et une histoire de type road-movie sur fond de craquage mental, voila qui semble prometteur. Seul le rythme un peu lent (par moment) et le traitement encore un peu trop japonais (surtout sur la fin) de l'histoire, on ne peut rien lui reprocher. Note : 17/20 Prenant et original, mais aurait du aller encore plus loin.

Ikkitousen, Ikkitousen Dragon Destiny, Ikkitousen Great Guardian :

Un manga baston ecchi dans la plus pur tradition du "combat si puissant qu'il arrache les vêtements des personnages féminins" et des saignements de nés. Se basant de très loin (mais alors de vraiment très loin) sur l'histoire chinoise bien connus "Les 3 Royaumes" (déja vu dans Dynasty Warriors, Kessen et autres), le scénar est prétexte pour des lycéennes ,bien formés pour leur âge, des combats violents et du fanservice à la limite de se que l'on peu permettre dans un anime (miam miam.) Note : 14/20 Note médiane sur tous les épisodes des 3 saisons (ce qui fait beaucoup de paramètres à prendre en compte), vous pouvez rangez Tenjo Tenge (Enfer & Paradis en VF) et passer à table pour votre dessert ecchi journalier/quotidien/mensuel/annuel.

Le Choix Du Patron - Haibane Renmei :

Parmi les mangas qui me sont conseillés tous les jours (et yen as) celui-ci l'étais avec une rare ferveur et par beaucoup de monde. Anime drama/vie de tous les jours, dans une ambiance originale et très accrocheuse, le tout sur une musique magnifique, on aurait tort de s'en priver. Ajouter à cela des thèmes intéressants et bien traités avec un rythme soutenus, on est proche de la perfection. Note : 19/20 Plus qu'un film ou qu'un livre, c'est un Anime, un média à part avec son originalité et sa façon de délivrer des émotions.

Kaiji :
Alors qu'il se retrouve criblé de dettes du jour en lendemain, Kaiji (un gros loser) décide de jouer le tout pour le tout dans des paris contrôler par la mafia dont l'échec signifie la mort. Sur le papier on pourrais croire à une sorte de Death Note avec des parieurs, mais il n'en n'est rien, le sens moral très développé de notre ami va tous faire pour gâcher le plaisirs et ainsi s'embarrasser de "Non, je ne peux pas le faire !" (cf Metal Gear Solid) et autre gag du genre. Les brainages n'étant pas non plus transcendant, tout comme les jeux proposés, on en ressort déçu.
Note : 12/20 Trop de morale et pas assez de brain, aurait pu être bien.

Le Choix du Patron - Paprika :

Par le même réalisateur que Perfect Blue et Paranoia Agent (voir anime review n°4) cette suite spirituelle de ce dernier s'incrit dans le même genre de principe mental mêlant réalité et imagination. Le résultat, bien plus joyeux que Paranoia, n'en demeure pas moins très profond et intelligent, poussant la reflexion à un niveau très appréciable. L'animation de MadHouse est très satisfaisante et l'anime permet des craquages qui défie notre perception du réel. Cependant le format et le point de vue le rend beaucoup plus facile à regarder que Paranoia Agent, il peut servir de prologue tant les situations se recoupent. Note : 19/20 Tout pour plaire et plus facile à appréhender que son grand frêre. Un superbe réussite pour un genre qui est malheureusment encore beaucoup trop rare.

Black Lagoon :

Un jeune employé de bureau se fais capturé par des "pirates" de la mer de chine et décide finalement de les rejoindre dans leurs monde de violence. En gros tout est prétexte à fusillade exemplaire et explosion retentissante avec une team de personnages charismatiques qui n'est pas sans rappeler Cowboy Beebop. A ceci près que Black Lagoon fais plus dans le bourinnage, l'humour et laisse un peu tomber le réalisme. Note : 16/20 Bien marrant, se regarde comme un bon film d'action des années 90.

Voila je croit qu'on à fais le tour, A la prochaine !


I must go to Liverpool ! Jimi Hendrix is calling me, I must defeat the Klingons !!!!!

Game Review n°17 : The Path

Si vous en avez marre des FPS sans intérêts et des portages consoles foireux, voici le jeu qui va mettre tout le monde pas daccord :

The Path


Fiche Technique-

Jeu d'horreur / Aventure développé par Tale of Tales et disponible via Steam (~10€) sortit le 19 mars 2009.
Jouable en solo sur PC, anglais seulement (à vérifier).

Décorticage-

Particulièrement inconnus dans le jeu vidéo, ce petit studio à eu la bonne idée de passer par une plate-forme tel que Steam et ainsi gagner des intéressés pour un jeu qui n'en n'est pas vraiment un. Sorte de film interactif, The Path se propose de revisité le conte du petit chaperon rouge (dans ses versions les plus trash) en version moderne. Vous choisissez alors une des 6 demoiselles proposées et devez rejoindre la maison de la grand mère sans quitter le chemin. Et c'est là que tous ce complique car si vous suivez gentiment le chemin et arrivez sans embuches à la cabane le jeu vous sort votre progression comme "Echec". Vous êtes donc obligés de vous frayez un chemin dans la forêt (ce que votre curiosité vous poussera à faire de toute façon) et vous rencontrerez alors de nombreux lieux et personnages étranges. Le but n'étant pas vraiment définis et le chemin devenant introuvable dès que vous le quittez (comme en vrai) vous croiserez probablement le loup et aurez alors des expériences sexuelles/gores/psychotiques avant de pénétré dans une maison de grand-mère à l'architecture pour le moins dérangeante.
Non, je n'invente rien.

La Forêt regorge de lieux et d'objets étonnants...

Le gameplay, quand à lui, en est réduit à sa plus simple expression : Bouger, Courrir, Intéragir.
Vous disposerez d'un inventaire vous permettants de collecter un grand nombre d'objets abandonnés (par exemple : une plume, un masque, une cabane (oui), un puit (oui)...) qui serviront à emplifier la fin du chapitre, heuresement différente pour chaque fille. Les collectionneurs pourront aussis s'assouvir de 144 petites fleur (à défaut de ressembler à quelque chose) mais d'en l'ensemble le jeu se bouclera en une petite après-midi et encore moins si vous partez en hurlant au bout de 5 minutes (ce qui n'est pas totalment impossible non plus). D'un point de vue technique on appréciera certains jeu de lumière bien travaillé et l'originalité de l'interface, zommant en transparence sur les objets/personnages proches. La musique est une des plus grandes réussites, traduisant l'ambiance et le stress de la plus belle manière. Attention cependant à ne pas se perdre pendant trop longtemps car sinon elle vous sortiras par les oreilles à cause du manque de variété. En définitive, un titre conceptuel et expérimental à essayez de toute urgence, même si tout le monde n'aimera/ne comprendra pas.

...mais ils ne sont pas tous aussi plaisants.

Résultats-

Graphisme : si la présences de nombreux sprites et textures grossières font un peu mal, les fabuleux effets de lumières et d'images rattrapent sans difficulté l'aspect général.

Gameplay : Extrèmement basique sur le papier, il conserve tout de même quelques subtilitées qu'il vous faudras decouvrir pendant vos aventures. Les objets à collecter et le principe de chemin/forêt sont originaux mais ne plairont pas à tout le monde, notamment à cause de l'absence de réelles récompenses (du moins matérielles).

Scénario/Durée de Vie : Le scénario est très difficille à juger, surfant sur de nombreuses symboliques que chacun interprétera à sa guise (certains forum/site le feront bien mieux que moi). La durée de vie est plutôt courte mais comparé à l'intensité de l'expérience, elle se trouve justifier. La difficulté générale est inexistante mais certains problèmes de gameplay (comme l'absence de carte ou le pathfinding) peuvent facilement énerver si on en viens à rester trop longtemps à tourner en rond dans la forêt.

Son : Les bruitages sont exceptionnels et la musiques est l'une des plus adaptée et des plus sinistre jamais entendu dans un jeu vidéo de mémoire de gamer. Cependant elle peut taper sur les nerfs si vous retrouvez perdus pendant une heure avec la même bande qui tourne en rond.

Ambiance : A jeu conceptuel, ambiance capitale. Que dire sur cette épouvantable fresque vidéoludique (j'insiste sur le ludique) pour pouvoir vous faire comprendre, ne serais-ce qu'un fragment de l'expérience ? Il faut le jouer pour le ressentir.

Note : 15/20 Une note qui n'a rien à voir avec la qualité de jeu, une note objective qui prend en compte les petits défauts du gameplay et la mise en scène chaotique du titre. Mais il faut bien comprendre que l'expérience doit être faites par tous, après libre à vous d'aimer ou non, de comprendre ou non. Si il vous faut une bonne note pour être motivé à jouer alors transformer ce 15 en 19 et allez-y, car sinon vous passerez à coté d'une légende unique en son genre.

Les + :

-L'ambiance
-Les thèmes abordés
-La profondeur du titre
-Les sensations procurées

Les - :

-Gameplay sournois
-Court
-Facile de s'y perdre

Si vous avez aimés : Question piège, tellement unique que je n'ai pas d'expérience qui s'en rapproche. Si vous aimés les jeux d'horreur vous pouvez vous rabbatres sur Silent Hill mais il n'est pas garantît que vous y trouviez le même plaisirs. Regardez plutôt Peur(s) du Noir, dans la catégorie animation, il devrait vous plaire.

Wolf Encounter : yes!

dimanche, juin 07, 2009

Combo Breaker : E3 2009

Puisque l'E3 de cette année viens de se terminer, pourquoi ne pas faire profiter des informations glanées heures par heures à ceux qui ont attendus la fin pour se renseigner ? Voici :

Récapitulatif E3 2009


Alors commençons par les grosses annonces des différentes conférences constructeurs :

Microsoft - Xbox 360/PC :

Commençon par la 360 mode aspirateur :

-JoyRide : Sorte de Trackmania-like qui reprend la formule qui marche : communautaire. (live arcade)

-Shadow Complex : Prochain "live arcade game" de Epic : Contra revisité (scrolling horizontal).

Ensuite 360 en mode license :

-Halo Reach : Prochain épisode de la série adapté de la nouvelle adapté elle même a partir de l'univers. On cherche même pas a faire du scénar original...

-Forza Motorsport 3 : Grand Tourismo, on va vous niquer !

-Metal Gear Solid Rising : Dommage pour les fans de PS3.

Ensuite les éditeurs secondaires en puissance :

-Left 4 Dead 2 : Si vous avez acheté le 1, félicitation, vous venez de vous faire arnaquez ! Rien de change, perso bidon, 3 armes/zombies, en plus, payant, ambiance moisie... Pompe à thune bonjour.

-Spinter Cell Conviction : film américain bonjour ! Fini l'infiltration place au bourrinage...

-Tony Hawk Ride : Avec planche usb inclus

-Modern Warfare 2 : Comme le 1 mais en plus gros.

-Wolfenstein : Aurait le potentiel d'être bien mais bon, n'espérez pas trop...

-RUSE : Peut-être le jeu qui va révolutionner le RTS. Etonnament intelligent.

-Assassin Creed 2 : Un gros poid lourd, à le potentiel d'être absolument excellent s'il parvient à dépasser les quelques défauts de jeunesses de son grand frêre.

-Crysis 2 : rien de spécial

-Star Wars : The Old Republic : Annoncé comme le plus aboutit des jeux de la license, sous fomr de MMORPG

-Tales of Monkey Island : Prenez l'une des meilleures séries point'n click et dévelloppez sa suite par Telltale game. Win assurez.

Enfin, la 360 en mode innovante :

Project Natal : Caméra reconnaisance de mouvement (tiens, tiens) qui pourrait semble-t'il marcher correctement sur tout le corps. Voir ici

Nintendo - Wii/DS :

Nintendo mode license :

-Zelda Spirit Track (DS) : Déja une vidéo avait filtré, Phantom Hourglass 2 avec un train.

-New Super Mario Bros. Wii : Après une version DS qui à rentrée beaucoup d'argent voici une version mutiljoueur Wii en local avec 4 pote. Peut être marrant...

-Super Mario Galaxy 2 : Le retour du plus mauvais Mario 3D hourra ! Avec des niveaux, graphismes, gameplay similaire (en dehors du retour de Yoshi).

-Golden Sun DS : Jouez banjo, résonnez guimbarde ! Enfin la suite d'un excellent Rpg sur GBA.

-Metroid Other M (Wii) : Un beat'em all Metroid développé par Team Ninja (Gaiden / DOA) on aurra tout vus. Peut être bon si on à de la chance.

-Mario vs Donkey Kong & My Wario Ware (DSi) : Communautaire plein poumon.

-Wii Fit Plus : Avec un cardiofréquence pince-à-linge inclus...

-Mario et Luigi : Bowser's Inside Story : La suite des excellents Mario et Luigi se place déja comme une valeur sure de la DS.

Editeurs Secondaires :

-Red Steel 2 : Ambiance bizzare mais pourrais faire très mal si le Wii Motion Plus tiens ses promesses.

-The Lapins Crétins, La Grosse Aventure : Premier vrai jeu avec les lapins, pourrais savérer marrant si pas trop répétitif (et assez long).

-Resident Evil The Darkside Chronicles : Re2 en rail shooter. Je suis excité.

-Monkey island (voir PC)

-No More Heroes 2 : Amélioration principale : 2 sabre laser ! Yeepee !!

-Professeur Layton et la boite de Pandore : Tout le monde a adoré le premier, la suite s'annonce du même niveau.

Sony - PS3/PSP :

Dans la catégorie license :

-MGS Peace Walker (PSP) : Une suite à MGS 3 parait-il. Probablement bon surtout jouable en Coop à 4.

-Uncharted 2 : Among Thieves : Comment faire revivre un Tomb Raider-like Avec d'énorme script et du multijoueur.

-MAG : FPS multijoueur online pouvant hébergé 256 joueur en même temps. Le guerre, c'est fantastique !

-God of War 3 : Du bourrin, du bourrin et encore un petit peu de bourrin. Du God of War en puissance.

-The Last Guardian : Suite d'Ico et Shadow of the Colossus ( 2 légendes), toujours très conceptuel.

-Grand Tourismo PSP et Grand Tourismo 5 : Toujours de la simulation à plus haut.

-ModNation Racers : Little Big Planet de la course --> Communautaire.

Les éditeurs Secondaires :

-Dante's Inferno : La vision EA de Devil May Cry sur PS3/PSP/360.

-Resident Evil PSP : Tout est dit.

-Final Fantasy XIV Online : Vous avez bien lu. Apparament on à du temps libre chez Square.

-Bayonetta : La vision des Anciens de Capcom de Devil May Cry.

-DJ Hero : Voila comment on reprend le meilleur du jeu de rythme maintenant que ca se vent.

-Agent : Nouveau Rockstar dans l'ambiance espion année 70.

-Wipeout HD Fury : L'addon du précédent.

Dernier sursaut avant la mort :

-Sony annonce une télécommande avec accéléromètre prévu pour FPS et RTS. Merci Nintendo !

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Voila ce croit que l'on à fait à peu près le tour, a vous de choisir votre poison maintenant.

jeudi, juin 04, 2009

Artist Review n°3, Movie Review n°20 : Guy Ritchie.

Si ce nom ne vous dit rien, vous allez vite comprendre pourquoi j'en parle ici, si , au contraire, vous vibrer en entendant rien qu'en alors vous allez vite comprendre pourquoi j'en parle ici.
Voici :

Le Choix Du Patron
Guy Ritchie

Réalisateur-

Né le 10 septembre 1968 à Hatfiled (GB) Guy Ritchie est un metteur en scène ayant, en quelques films, atteint un statu de légende vivante qui n'est pas sans rappelé Tarantino (artist review n°1). Débutant sa carrière en 1995 par un court métrage aujourd'hui introuvable The Hard Case. Son premier (et pas le moindre) de ses vrais films est sortit 3 ans plus tard et s'intitule dans la version française : Arnaque, Crime et Botanique.
Tout de suite ca vous parle, hein ?
Pour ceux qui sont toujours dans le flou il sagit d'un film de truand dans un londres des bas quartier avec la première apparition de Jason Statham dans un film (le célèbre Transporteur par la suite.). Recevant sans condition les meilleurs voeux des critiques et des spectateurs son deuxième film tous aussi légendaire est disponible seulement 2 ans plus tard : Snatch. Si à partir de la vous ne savez toujours pas de quoi je parle il serait temps de retrouver l'adresse de se loueur de vidéo du coin. Cette suite spirituelle de son grand frêre se place toujours dans le même style d'endroit et garde 2 acteurs qui reprennent leur type de rôle précédent : Le louche Jason Statham et le psychopathe Vinnie Jones.
Par contre le budget fais des miracles car l'un des persos principal est joué par Brad Pitt et devient, pour les fans, une référence de l'acteur. Surfant toujours sur des situations explosives et des retournements digne de Pulp Fiction ce film se taille lui aussi une place de choix dans nos coeurs.
Et là, c'est le drame...
Après s'être marié à Madonna (oui elle), la suite de sa carrière se ballade entre clip vidéo de merde et un abominable remake d'une romance déja pourrie à la base : Swept Away, avec Madonna dans le rôle principal. Si vous n'avez jamais entendus parlés des talents d'actrices de Madonna, et bien c'est justement parce qu'ils n'existes pas.
Oublions cette sanglante mésaventure et revenons en terrain connus, en 2005 sort un nouveau film Revolver. Malgré une volonté de revenir vers ses premières amours le film est fracassé par un majorité de critiques et de spectateurs qui n'ont vraisemblablement pas compris le film (le review sera plus explicite à ce sujet). Et enfin pour terminer sa plus récente performance s'intitule RocknRolla (dont la pub tourne régulièrement sur pas mal de chaine) qui s'inscrit dans la lignée de ses précurseurs en terme de qualité et ambiance. Je ne manquerais pas non plus de vous faire parvenir la review de Sherlock Holmes, son prochain film qui sort en novembre.

Guy Ritchie - Lock, Stock and Two Smoking Barrels


Sortit en 1998 avec Jason Fleyming, Dexter Flechter, Nick Moran et Jason Statham (et d'autres acteurs anglais), l'histoire raconte comment 4 petits truand des bas-fons de Londres vont se démmerdez pour trouver de quoi rembourser "Harry la Hache" en intervenant dans les affaires de plusieurs dangereux personnages.

Casting : Le premier rôle de Statham est aussi son meilleur et par extension, les quatres personnages principaux sont tous absolument excellent. Les méchants ne sont pas en reste car Vinnie Jones, Harry la Hache et encore d'autres sont particulièrement mémorable. Avec même un petit cameo sympa de Sting c'est véritablement un gage de qualité.

Scénar : Du Guy Ritchie dans toute sa puissance, en partant d'une situation de départ toutes les histoires se retrouvent de plus en plus liées jusqu'a l'explosion finale. Un grand moment d'humour et de destruction.

Bande-son : Un peu à la manière de Tarantino, Ritchie aime à utiliser du vieux rock et de la vrai musique pour ces films. Le mélange prend bien d'autant que certaines scènes prennent un caractère unique (notamment une utilisation judicieuse de la célèbre danse grecque).

Visuel : Le vieux Londres prend vie au travers des pubs et des ruelles sales et malfamées. Une ambiance tout à fais unique.

Note : 18/20 Son premier film est aussi le plus légendaire, pas étonnant qu'il est été catapulté au sommet après ca. Des personnages délirants, une intrigue très bien orchestrés, une bande-son intelligente et une ambiance unique, rien à dire, c'est une légende.

Guy Ritchie - Snatch

Sortit en 2000 avec Jason Statham, Vinnie Jones, Brad Pitt, une histoire de truand dans le monde de la boxe clandestine couplé à un diamand qui intéresse plus d'un type malveilant voila en gros le synopsis.

Casting : Encore meilleur que dans Arnaque, Crime et Botanique les personnages sont tous enormes et c'est les méchants cette fois-ci qui ont la part belle : Avec un Vinnie Jones encore plus dingue qu'avant, un méchant digne de Jack Nicholson (une des plus hautes distinctions sur mon echelle), les mannouch' et leurs façon de parler qui rendent honneur à la version française... Même Brad Pitt est original, vous vous rendez compte !

Scénar : A nouveau du Guy Ritchie en puissance, comprenez par la un gros bordel. Entre l'histoire du diamand et celle de la boxe qui n'ont rien à voir et qui pourtant s'entrecroise et le rôle innatendus mais légendaire des mannouch', peut d'autre film égale cette classe.

Bande-son : Un petit moins puissante que celle de son ainé elle laisse la part belle au dialogue constructif dont la proportion est l'une des plus importantes jamais entendus de mémoire de cinéphile.

Visuel : Plus proche des films classiques, ils manquent une petit coté viellot et sale de Arnaque, Crime et Botanique mais cependant il est compensé par une jeu de caméra inspiré et maitrisé.

Note : 18/20 Difficile de trouver quelque chose à reprocher à ce film tant il est bien construit et absolument tordant. Nécéssite tout de même un petit peu d'humour noir...

Guy Ritchie - Revolver


Sortit en 2005 avec Jason Statham et quelques vieux pourris inconnus, le film raconte l'histoire d'un ancien tolard qui sort de prison avec une méthode mathématique permettant de gagner à tous les coups dans n'importe quel jeu (imaginez un peu...). Il se retrouve vite contre des gros magnats du jeu qui cherchent à savoir comment il fais et doit aussi s'associer à des usuriers qui le font chanter. Une historie complexe pour un film qu'y l'est encore plus.

Casting : Si ont retiendra le rôle un peu différent mais toujours classe que Statham, les autres ne sont pas particulièrement mémorable, bien qu'on verra que ce n'est pas là que ce situe l'intéret général du scénario. Mention spéciale au tueur de service qui n'a pas du tout la tête de l'emploi tout en restant badass.

Scénar : C'est ici qu'il faut s'accrocher et c'est pourquoi les critiques pro et spec ne l'ont pas aimés : il est aussi compliqué que l'Armée des 12 singes (pour donner une idée). Surfant sur plusieurs concepts très profond et sur une mise en scène qui vous fais exploser le cerveau, vous aurez besoin de plusieurs visions avant de comprendre l'étendus du film. Une grosse performance mais pas assez facile d'accès pour la plupart des humains.

Bande-son : No comment, elle est surement bien mais pas eu le temps de l'écouter tant le reste du film surchargeait mon système de pensée.

Visuel : L'ambiance devient de plus en plus space et dérangeante mais toujours progressivement, de façon à vous faire basculer vous aussi dans le doute. Le jeu de couleur est particulièrement intelligent, surtout passé la moitié du film.

Note : 19/20 Comment noté un film aussi compliqué et pourtant aussi puissant ? Nécéssisant plusieurs visions pour comprendre l'immensité et la quatité d'information, il entre dans la catégories trop rare des "mind-blowing" , au coté de l'Armée des 12 singes, The Fountain et quelque autres légendes trop puissantes pour le commun des mortels. Enorme mais réservé à une audience réceptive.

Guy Ritchie - RocknRolla

Sortit en 2008, avec Gérard Butler, Mark Strong et Tom Wilkinson, une histoire de mafioso de l'immobillier combiné avec des petits truands endettés et un Russe un peu trop puissant. Le tout tournant autour d'une bande de Junkies et d'autres individus peut recommandables.

Casting : Le personnages principals, Archie est très sympa mais pas encore au niveau de ses prédécesseurs dans le genre. Même verdict pour le méchant principal ainsi que pour l'autre perso important qui ne décolle pas non plus au dessus de ses grands frêres.

Scénario : Si il est moins déjantés et humoristiques que Snatch/Arnaque, il conserve néanmoint la touche Guy Ritchie et certains scènes légendaires sont là pour le prouver. Les dialogues constructifs sont eu aussi d'une moins bonne trempe, véhiculant une sorte de petit message philosophique (du type Philosophe Junkies) qui n'est pas sans rappellé d'autres films plus classiques.

Bande-son : Bénéficiant d'un excellent thème principal et d'un OST de qualité, le film est tout à fais au niveau des anciennes productions Ritchie et une fois de plus comparable avec Tarantino.

Visuel : Classique mais efficace, c'est à nouveau le jeu de caméra qui prend le pas, rendant tous à fais crédibles, et ainsi prenant, l'ambiance du RocknRolla.

Note : 16/20 Le divertissement parfait, un excellent mix des films de gangsters habituels de Ritchie mais sous une forme plus classique qui ravira la critique et les spectateurs plus perméables à l'humour. Cela n'empêchera pas les fans du réalisateur de passer un très bon moment mais il reste un petite déception façe à ses ainés.

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Voila ce qui conclut notre review : en définitive Guy Ritchie est un excellent réalisteur bien que souvent en avance sur son temps, la qualité de ses films n'est pas toujours reconnus par le plus grand nombre. Néanmoint, il à sus se forger une excellente réputation en très peu de temps et gageons qu'il nous épateras encore avec ses futurs projets.

Si vous avez aimés : Tarantino bien sur, sinon il faut traiter les films de truand au cas par cas, parmis lesquels on prendras : Ocean's 11/12/13, Les Infiltrés (movie review n°16), Braquage à L'Anglaise/Italienne, Dobermann... Pour les mind-blowing associés à Revolver voyez plutôt L'Armée des 12 singes, The Fountain, Blade Runner...


Et pour ceux qui tomberais dessus seulement maintenant, la filmographie continue avec Sherlock Holmes et sa suite Jeu d'ombres.

La Chanson du Mardi Soir : Star Shpongled Banner

Pour fêtez le concert d'octobre à Londres (pour lequel j'ai une place ^^) voici une shpongle de très haute qualité :
Star Shpongled Banner


Pour ceux qui ne connaitrait pas Shpongle (les pauvres) voici une brève introduction : Duo de psybient (psychadelic trance + ambient) avec Simon Posford (Hallucinogen / Younger Brother) et Raja Ram (1200 Mics.) qui se spécialise dans une sorte de psybient tribale unique en son genre (les sons électro se mélange au percussions, flutes...). Après un premier album légendaire : Are You Shpongled ? contenant par exemple Divine Moment of Truth et avant l'écletique Nothing Lasts but nothing is Lost voici Tales of the Inexpressible. Conternant une proportion de win à la limite de l'acceptable (environ 9 chanson sur 9 pour les plus regardants) cet album est un must have dans pratiquement toute les playlist, même pour les réticents de l'electro (comme moi). Sinon pas grand chose à rajouter mis à part le fait que leur prochain albuùm devrait sortir fin de l'année.

I am a Shaman....